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dimanche 4 mai 2025
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Cet été les enfants peuvent s’amuser aux 4 Temps avec un parcours d’accrobranche

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Cet été le centre commercial des 4 Temps propose aux enfants de s'amuser sur un parcours d'accrobranche - Defense-92.fr

S’amuser en faisant ses courses. A l’ occasion de l’Eté Paris La Défense organisé par Paris La Défense (PLD), l’organisme en charge de l’aménagement, la gestion et l’animation du quartier d’affaires, qui se tiendra cet été du 12 juillet au 19 août sur la place de La Défense, le centre commercial des 4 Temps propose aux enfants de profiter de deux parcours d’accrobranche.

Partenaire de l’animation estival, le centre commercial propose jusqu’au 26 août prochain aux plus jeunes de s’adonner aux activités de l’un des deux parcours. Implantés en clairière, ce sont plus de 500 mètres carrés d’espace qui sont dévolus aux loisirs avec un premier parcours pour les petits (à partir de 3 ans) et un second, plus sportif accessible aux plus de 1,40 mètres.

Pour profiter de cette animation gratuite, il faut être en possession de la carte de fidélité du centre (elle est disponible gratuitement) et que les enfants soient accompagnés d’une personne majeure.

Du Yoga Vinyasa sur le Toit de l’Arche

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Durant tout l'été des cours de yoga vinyasa sont donnés sur le Toit de l'Arche - DR

Quel plus beau cadre pour faire son yoga que sur le toit de La Défense ? Cet été le Toit de la Grande Arche se met au bien-être avec des cours de Yoga Vinyasa. Tous les lundis et mardis du 9 juillet au 28 août prochain, au petit matin dès 8h30 et pour une heure Mylène et Jean, dispenseront sur le pont promenade de l’Arche des cours de cette discipline.

Les cours facturés 15 euros comprennent le tapis et la bouteille d’eau, mais attention il n’y a pas de douche sur place.

Les préventes se font sur le site lagrandearche.fr

Allianz achète l’immeuble Dreamview à Artea

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Allianz Invest Pierre a acquis l'immeuble Dreamview auprès d'Artea - DR

Le groupe immobilier Artea a annoncé la cession en Vefa à Allianz Invest Pierre gérée par Immovalor Gestion, de l’immeuble « Dreamview » à Nanterre. Situé aux portes de La Défense à quelques encablures de la Paris La Défense Arena (ex : U Arena), l’immeuble « Dreamview », est situé au 129 à 143 rue Salvador Allende et au 124 à 136 rue des Trois Fontanot et développe près de 8 000 mètres carrés de surface de plancher. Anciennement occupé par Suez, l’édifice de bureaux fait actuellement l’objet d’une lourde restructuration devant s’achever dans les prochains mois. A sa livraison le bâtiment sera entièrement occupé par l’assureur Groupama qui établi actuellement son « campus » à travers plusieurs bâtiments le long des terrasses de l’Arche.

« Le bâtiment présentera un bilan CO2 très faible et bénéficiera des dernières technologies en matière de performances environnementales et énergétiques : certifié HQE niveau Excellent, très peu consommateur d’énergie et d’eau avec une centrale solaire en autoconsommation pour la production d’énergie photovoltaïque en toiture », détail un communiqué d’Artea.

« L’immeuble Dreamview comme son nom l’indique sera un immeuble qui associera vue exceptionnelle sur l’Arche de la Défense, qualité de vie pour les utilisateurs grâce au confort de ses aménagements et à son rooftop et très faible consommation d’énergie. C’est un immeuble innovant et performant qui rassemble ainsi tous les savoirs-faire d’Artea et qui sera livré clés en mains », explique Philippe Baudry, le PDG d’Artea.

Le montant de la transaction n’a pas été communiqué.

En un an le Toit de l’Arche s’est fait sa place dans les rooftops de la capitale

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Depuis sa réouverture en juin 2017 le Toit de l'Arche a attiré plus de 150 000 visiteurs - Defense-92.fr

De nouveau accessible aux touristes depuis un peu plus d’un an, le Toit de l’Arche tisse doucement mais surement sa place parmi les rooftops de la capitale. Réouvert en juin 2017 après huit ans de fermeture, le site touristique du quartier d’affaires perché à 110 mètres en haut de l’emblématique Arche a attiré plus de 150 000 visiteurs lors de ces douze premiers mois, a annoncé Corinne de Conti, la présidente du Toit exploité en concession par City One. A titre de comparaison, le Toit avait attiré 275 000 visiteurs en 2008 avant sa fermeture au printemps 2009.

Cette première année du Toit aura été riche en événements avec de nombreuses animations proposées comme la ferme de Pâques ou la patinoire. Un pic de visite avait alors été enregistré en décembre dernier où quelques 13 000 personnes s’étaient pressées pour profiter de cet espace de glisse synthétique éphémère installé sur le pont promenade. Deux opérations à succès qui seront reconduites, promet Corinne de Conti. La culture, point de pivot du Toit avec ses expositions consacrées au photojournalisme va se poursuive dans les prochains jours avec l’exposition de Pascal Maitre. Mais le Toit a aussi accueilli une multitude d’événements corporate ainsi que des tournages comme le clip « Un été français » d’Indochine ou celui du Sidaction.

Beaucoup de visiteurs franciliens

Alors qu’avant sa fermeture le Toit avait attiré en plus des franciliens de nombreux européens (anglais, espagnols, allemands et italiens) mais aussi des Japonais, brésiliens et coréens, le rooftop a pour sa première année réuni principalement des parisiens et franciliens mais aussi des provinciaux, des allemands, américains et anglais. « Il faut rappeler que l’Arche n’était plus présente dans les guides touristiques depuis de nombreuses années après sa fermeture. Nous avons fait tout un travail pour repositionner l’Arche dans les guides pour qu’elle fasse partie des visites touristiques », note Corinne de Conti qui pointe les difficultés d’accessibilité du quartier d’affaires, non pas en transports en commun mais pour les autocars.

Si pour sa première année d’exploitation, le Toit qui emploie une cinquentaine de salariés n’a pas été rentable, chez City One on se veut confiant. « On espère que l’année prochaine ou la suivante on le sera ; il y a eu quand même pas mal d’investissements », estime Corine de Conti. « Quand on redémarre un outil comme celui-là, c’est impossible de le rentabiliser en un an », poursuit-elle précisant que le coût d’exploitation annuel du Toit avoisine les 2,6 millions d’euros dont 300 000 euros pour les quatre ascenseurs panoramiques. Ces fameux ascenseurs qui avaient à l’époque entrainé la fermeture du Toit…

Transilien : sept semaines sans train pour remplacer le viaduc de Marly-le-Roi

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Cet été la SNCF va procéder au remplacement du viaduc de Marly-le-Roi. Ces travaux entraineront une fermeture de la branche de Saint-Nom la Bretèche sur la ligne L du Transilien - SNCF

Les prochaines semaines seront compliquées pour les usagers de la ligne L du Transilien. Cet été la SNCF va poursuivre son vaste chantier du remplacement du viaduc de Marly-le-Roi, ce qui permettra à terme la mise en circulation des nouvelles rames Francilien sur la branche de Saint-Nom La Bretèche.

Ces travaux prévus de longue date vont ainsi entrainer une fermeture totale durant sept semaines de la branche de Saint-Nom la Bretèche du 7 juillet jusqu’au 26 août prochain depuis la gare de Garches Marne la Coquette.

Pour pallier cette longue fermeture qui concernera tout de même six stations mais aussi la tangentielle de Saint-Germain à Noisy, la SNCF proposera aux voyageurs un service de remplacement par navettes routières.

Les horaires et fonctionnement des bus de substitution sont à retrouver ici

Viva l’Opera : « La Traviata » à l’UGC des 4 Temps ce jeudi

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L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2017-2018 - DR

La huitième saison de Viva l’Opéra touche à sa fin. Ce jeudi 5 juillet à 19h30 l’UGC des 4 Temps diffusera dans la salle 16, la plus grande du complexe, cette œuvre de 2h44 coupée d’un entracte de vingt minutes, filmée à l’opéra de Baden Baden, dont la mise en scène a été assurée par Rolando Villazón et la direction musicale par Pablo Heras-Casado. Côté distribution les spectateurs pourront retrouver Olga Peretyatko (dans le rôle deVioletta Valéry), Atalla Ayan (Alfredo Germont), Simone Piazzola (Giorgio Germont), Christine Daletska (Flora Bervoix), Emiliano Gonzalez Toro (Gaston, Viconte de Létorières), Tom Fox (Baron Douphol), Konstantin Wolff (Marquis von Obigny), Deniz Uzun (Annina) et Walter Fink (Dr. Grenvil).

La projection est proposée au tarif de 10 euros pour les moins de 26 ans, 25 euros avec la carte UGC Illimité et 30 euros au plein tarif.

La réservation des places se fait en ligne sur Vivalopera.fr

Le promoteur des tours Hermitage réfute toute cession de son mégaprojet

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Le projet des tours Hermitage Plaza - DR

Sortiront-elles de terre un jour ? Les tours Hermitage Plaza portées par le jeune promoteur russe Emin Iskenderov font de nouveau parler d’elles. Alors que l’homme d’affaire avait promis en mars dernier en marge du Mipim à Cannes que son mégaprojet allait enfin pouvoir démarrer avant la fin de l’année, il serait selon, Les Echos en vente.

Dans une interview accordée au journal les Echos, le président des Hauts-de-Seine et de Paris La Défense (PLD), Patrick Devedjian a exprimé ses doutes « sur la capacité du groupe à financer et réaliser un projet aussi ambitieux » tout en confiant être déterminé « à sortir rapidement [ce projet] de l’impasse ».

Mais selon le quotidien économique, Hermitage qui porte ce projet des deux tours géantes de 320 mètres depuis bientôt dix ans serait en discussions avec des promoteurs du Grand Londres pour une cession. Une information que balaye d’un revers de main Hermitage : « Le groupe Hermitage n’a aucune discussion en cours avec des promoteurs du Grand Londres pour la vente du projet Hermitage Plaza. Les accords contractuels qui lient Paris La Défense au groupe Hermitage excluent à tout tiers de prendre des engagements sans l’accord des deux parties respectives », explique dans un communiqué le groupe russe qui dit n’avoir jamais cherché à « faire de la spéculation foncière ni même à revendre cette opération ».

« Dans le cadre de son protocole avec l’Epadesa, devenu Paris La Défense, valable jusqu’à fin juin 2020, le groupe Hermitage a demandé à Paris La Défense par courrier envoyé le 22 juin 2018 de procéder au plus vite à la finalisation de la promesse de vente telle que prévue par les articles de ce Protocole, à la signature de laquelle le groupe Hermitage débloquera l’indemnité d’immobilisation de 30 millions d’euros au profit de Paris La Défense », poursuit le promoteur promettant que ses tours seront livrées pour les Jeux Olympiques d’été de Paris en 2024.

Reste qu’Emin Iskenderov avait promis en mars dernier lors de sa conférence de presse qu’il apporterait des précisions sur le financement de son projet dès lors qu’il aurait obtenu un permis modificatif. Et à ce jour aucune nouvelle n’a été donnée de ce côté là. Le promoteur va cependant bientôt pouvoir se réjouir d’une avancée. Les expulsions de neuf occupants sur les dix-sept derniers encore présents dans les immeubles des Damiers Anjou et Bretagne voués à la démolition, seraient imminentes.

Un programme à 360 millions d’euros pour Paris La Défense

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Le quartier de La Défense en mai 2017 depuis l'Arc de Triomphe - Defense-92.fr

Un programme de 360 millions d’euros pour la prochaine décennie. Le conseil d’administration de Paris La Défense (PLD), la nouvelle structure née en janvier dernier de la fusion de l’Epadesa (l’aménageur) et de Defacto (le gestionnaire) a adopté le 28 juin dernier son document d’engagement.

Ce document signé par les collectivités locales, désormais à la manette du quartier d’affaires de l’ouest parisien, définit pour les dix ans à venir les orientations stratégiques et les moyens qui seront mis en œuvre pour la refonte de La Défense. Ce vaste programme chiffré à 360 millions d’euros comprend notamment la remise à niveau des ouvrages, équipements et espaces publics devenus vieillissants qu’ils soient sur ou sous la dalle. Il permettra également à l’établissement de poursuivre son chantier de rénovation et de mise aux normes des tunnels.

Pour financer ce programme ce sont donc les collectivités qui vont devoir mettre la main à la poche. Alors que le département des Hauts-de-Seine, majoritaire à PLD va débourser 300 millions d’euros, le conseil régional d’Ile-de-France, la Métropole du Grand Paris et les villes de Courbevoie et Puteaux signeront chacune un chèque de 28 millions d’euros, représentant ainsi un montant global de 412 millions d’euros.

Les villes de Nanterre et Paris, pourtant présentes au CA de Paris La Défense ne participeront pas à ce budget. Les deux communes dirigées par Patrick Jarry et Anne Hidalgo ont refusé de mettre la main à la poche estimant entre autres que le quartier n’était pas sur leurs territoires.

Le village d’été « Les Estivales » va réinvestir le parvis de La Défense

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La prochaine édition des Estivales de La Défense se tiendra sur le parvis de La Défense du 2 au 22 juillet 2018 - Defense-92.fr

Il y aura de quoi s’occuper cet été à La Défense. Alors que Paris La Défense proposera du 12 juillet au 19 août prochain une nouvelle édition de son « Eté Paris La Défense« , une autre animation va investir la dalle du quartier d’affaires. Pour la troisième année consécutive, Codecom, l’organisateur du marché de Noël va proposer sur le parvis de La Défense « Les Estivales », un village d’été qui regroupera commerces et restaurants.

Du 2 au 22 juillet, les passants pourront retrouver tous les jours de 11 heures à 22 heures sur un espace de 6 000 mètres carrés 18 restaurants proposant des cuisines du monde (Inde, Grèce, Thaïlande, Brésil, Créole, Sénégal,…) ainsi qu’une quarantaine de commerçants dont plusieurs artisans. Pendant trois semaines des concerts, des cours de fitness ou encore de yoga viendront animer les festivités (Le programme est à retrouver ici).

Pour les soldes, les 4 Temps installe son Shopping Lab

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A l'occasion des soldes les 4 Temps propose à ses clientes son "Shopping Lab" - Defense-92.FR

Un Shopping Lab pour faire de bonnes affaires. A l’occasion des soldes d’été le centre commercial des 4 Temps propose jusqu’au dimanche 8 juillet son « Shopping Lab », en partenariat avec l’agence de tendance parisienne Carlin. Pendant neuf jours, les clientes du mall pourront découvrir au sein de ce Shopping Lab les derniers « must have » de la saison et pourront les associer aux pièces de mode des enseignes du centre.

« Ce Shopping Lab se présentera en un parcours initiatique de trois étapes, détaille Edith Keller, la CEO de Carlin Creative Trend. Ce dispositif apporte une nouvelle vision du shopping et s’intègre parfaitement aux 4 Temps, véritable lieu d’expérience ».

« Le Shopping Lab des 4 Temps permettra aux adeptes de la mode de découvrir les tendances de l’été 2018. Ce dispositif complet présentera deux mood boards créatifs, un cahier de tendances exclusif et une sélection de pièces mode, en adéquation avec les tendances émergentes, shoppées par Carlin », explique pour sa part Thibault Desmidt, le nouveau directeur des 4 Temps.