La boutique Miniso doit rester ouverte jusqu'à l'été 2026 - Defense-92.fr
Débarquée en France il y a six ans, l’enseigne Miniso, née en Chine en 2013, continue de s’implanter dans le pays. Après avoir ouvert au cœur de la Clairière du Westfield Les 4 Temps un pop-up de Noël dédié au nouveau film d’animationZootopia, l’enseigne chinoise a lancé une seconde boutique éphémère dans le mall.
Prenant la place de la friperie Fripe Avenue au second niveau du centre, la boutique Miniso s’étend sur près de 150 mètres carrés. La marque propose jusqu’à l’été prochain, dans un espacecoloré, tout un tas d’accessoires, depelucheset d’objets dedécoration, avec des licences allant de Hello Kitty à Disney, avecToy Story,Lilo et Stitch ou encoreZootopia.
La publicité de Spotify pour Gims va rester visible durant tout le mois de décembre - Defense-92.fr
En cette fin d’année, Gims est un peu la star de La Défense. Alors que le chanteur congolais s’apprête à investir la Paris La Défense Arena pour cinq shows, Spotify fait de lui son égérie avec une publicité géante de 3 000 mètres carrés sur la façade vitrée du Westfield Cnit. Cette réclame monumentale célèbre les plus de 8 millions d’écoutes du morceau « Ciel » sur Spotify. Visible jusqu’à la fin de l’année, cet affichage hors norme se dévoile aux yeux des centaines de milliers de personnes qui arpentent le parvis de La Défense et son marché de Noël.
Depuis le lancement de ce support au milieu des années 2000, de nombreuses marques se sont succédé sur la façade du Westfield Cnit, dont Audi, Leffe, Seat, Volkswagen, Huawei, Gillette Labs, Nike, New Balance, Samsung, Vueling, Toyota, Google, et dernièrement EDF puis le jeuCall of Duty : Black Ops 7.
Des individus liés au trafic de drogue ont fait irruption mardi dans la cour de l’école Maxime Gorki, provoquant l’émoi - Defense-92.fr
Encore et toujours de la violence. Une violente altercation a éclaté mardi dernier dans la cour de récréation de l’école maternelle Maxime Gorki, à Nanterre qui fait face aux tours de la Société Générale, en lisière de la cité Pablo Picasso et ses tours Aillaud. Une altercation qui n’a pas impliqué des écoliers mais des individus liés au trafic de stupéfiants…
Selon Le Parisien, vers 13h30, quatre personnes -dont trois encagoulés- ont fait irruption dans l’établissement et agressé un jeune homme qui tentait de leur échapper. La scène s’est déroulée devant plusieurs classes, y compris des élèves de maternelle.
Selon les témoins cités parLe Parisien, les agresseurs auraient frappé leur victime et proféré des menaces inquiétantes comme « On va te couper les doigts ». Pour de nombreux parents, cet épisode s’inscrit dans un climat de tensions lié à un point de deal installé dans le quartier Pablo Picasso, notamment autour de la tour 17 -actuellement partiellement vidée- de l’allée de l’Arlequin, qui doit faire l’objet d’une lourde rénovation dans le cadre d’un vaste plan de transformation du quartier. Au moins deux suspects auraient été interpellés. Selon Le Parisien, deux des personnes impliquées dans cette intrusion ont été arrêtées.
Face à l’inquiétude des familles, la mairie de Nanterre a annoncé un renforcement de la surveillance autour de l’école. Deux policiers municipaux seront mobilisés le matin, au moins jusqu’aux vacances de Noël, et des médiateurs seront présents à la sortie des classes. Ce jeudi matin, plusieurs parents ont bloqué l’établissement pour demander davantage de sécurité et ont été reçus par les élus et les services de police.
Le maire (DVG) de Nanterre, Raphael Adam n’a pas tardé à réagir. Il a adressé un courrier le 4 décembre au préfet des Hauts-de-Seine, Alexandre Brugère a demandé des patrouilles de la police nationale fréquente à proximité des lieux.
Cet énième épisode de violence qui a franchi un cap en pénétrant dans une école intervient alors même que la préfecture des Hauts-de-Seine a inscrit trois quartiers de Nanterere, dont celui de Pablo Picasso dans le dispositif« Ville de sécurité renforcée ».
Les élus du département des Hauts-de-Seine, réunis ce vendredi en séance publique, ont voté -à l’exception du groupe socialiste- la promesse d’autorisation d’occupation temporaire du stade départemental Yves du Manoir par la société RCF Rugby, une filiale de la galaxie Lorenzetti.
Propriétaire de la Plaine des Sports, comprenant l’historique stade Yves du Manoir à Colombes, ouvert en 1907 et qui a accueilli les olympiades de 1924 et de 2024, le département des Hauts-de-Seine en assure la gestion. À l’occasion de Paris 2024, il avait entrepris d’importants travaux (101 millions d’euros) pour accueillir les épreuves olympiques de hockey sur gazon.
La tribune Sud depuis la tribune historique et à gauche sur l’image la tribune Est – Atelier AACL
Occupé jusqu’en 2017 par le Racing 92 qui s’est émancipé à la Paris La Défense Arena, le stade Yves du Manoir va donc retrouver son équipe phare pour de nombreuses rencontres. Si Jacky Lorenzetti voulait faire de sa Paris La Défense Arena une maison XXL pour son club, le constat est aujourd’hui sans appel : l’homme d’affaires n’a pas réussi à remplir son arena pour les matchs du Racing 92, peu rentables. Les concerts, les grandes rencontres sportives (Rolex Paris Masters, Supercross de Paris…) ou d’autres événements le sont bien davantage.
Alors que la Paris La Défense Arena accueille de plus en plus d’événements, ses équipes doivent jongler avec le calendrier des Racingmen, qui évoluent actuellement en Top 14 et en Challenge Cup. Un véritable casse-tête qui pousse le club à délocaliser certaines de ses rencontres, notamment à Créteil (Val-de-Marne).
Vue depuis l’allée des anneaux vers l’arrière de la tribunes Est – Atelier AACL
Une situation devenue intenable pour le club. Après avoir abandonné Yves du Manoir, le Racing 92 veut donc revenir jouer dans son antre historique lorsque la Paris La Défense Arena sera occupée. Après avoir remporté l’Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) lancé en juin 2024 par le propriétaire des lieux, puis un peu plus d’un an après avoir présenté son projet et obtenu un permis de construire le 5 février 2025, l’initiative de l’homme d’affaires progresse.
Il obtient ainsi une Autorisation d’Occupation Temporaire (AOT) de cinquante ans du stade départemental Yves du Manoir pour un montant annuel de 77 350 euros (HT), auquel s’ajoute une redevance de 3 % sur le chiffre d’affaires brut de la billetterie, avec un montant minimum garanti de 45 000 euros par an.
Un accord certes jugé « bénéfique pour tous » par Najib Benarafa, conseiller d’opposition du canton de Colombes-1, mais qu’il estime « très généreux, peu contraignant et imprudent sur le plan juridique ».
La tribune Nord et sa bodega depuis la tribune historique. A droite la tribune Est – Atelier AACL
Si le département ne prévoit pas de débourser le moindre centime dans cette opération, le club investira 22,8 millions d’euros dans le projet dessiné par l’agence d’architecture AACL. Avant le départ du Racing 92 en 2017, le stade comptait quatre tribunes : trois ont été démolies après son départ, seule la tribune historique ayant été conservée puis rénovée pour les JO 2024, où trois tribunes provisoires avaient été installées. Dans le nouveau projet, cette tribune de 6 569 places sera maintenue, tandis que deux tribunes seront construites à l’Est (3 900 places) et au Sud (2 179 places), et qu’une tribune Nord de 850 places intégrant une bodega et un espace réceptif verra le jour. L’ensemble portera la capacité du nouveau stade à 14 000 places, soit presque deux fois moins que les plus de 30 000 places de la Paris La Défense Arena. Et comme à l’arena, le pelouse d’Yves du Manoir sera synthétique.
Vue de la bodega depuis le parvis – Atelier AACL
Mais alors que le club espère rejouer certains de ses matchs à Yves-du-Manoir, il va devoir franchir un obstacle juridique. Un autre club -de football cette fois-ci- a attaqué en début d’année le permis de construire devant le tribunal administratif de Cergy (Val-d’Oise). Le Racing Club de France Football (RCFF) et son président Patrick Norbert -qui ne souhaite pas s’exprimer-, aux ambitions particulièrement élevées, lorgnent sur le futur équipement, qu’ils jugent trop petit et doté de tribunes « particulièrement exposées aux intempéries », pour y disputer leurs matchs de National 3 avant de viser une montée jusqu’en Ligue 1 et même en Ligue des Champions.
Le RCFF reproche également à la ville de Colombes d’avoir autorisé la démolition « illégale » du pavillon de pesage et d’avoir délivré un permis fondé sur « des éléments mensongers » concernant la covisibilité avec un monument historique. Il dénonce aussi un projet dangereux et non conforme au PLU en raison d’un stationnement insuffisant et d’un risque majeur d’engorgement routier autour du stade.
Le plan du projet du Racing 92 – Atelier AACL
Un petit caillou dans la chaussure que Pierre-Christophe Baguet (LR), vice-président du département, espère voir disparaître rapidement. « Des négociations sont en cours aujourd’hui, et si le litige est réglé entre les deux clubs sportifs avant le printemps 2026, l’ouverture au public pourrait être envisagée pour la saison 2027-2028 », précise l’élu de la majorité.
Si le conflit entre les deux clubs se règle rapidement, le Racing 92 pourrait lancer les travaux dans la foulée, avec un objectif d’ouverture du stade pour la rentrée 2027. Quant à la répartition des matchs entre la Paris La Défense Arena et Yves du Manoir, cela reste encore flou. Jacky Lorenzetti évoquait il y a un an sa volonté de disputer une demi-douzaine de rencontres à Yves du Manoir. À d’autres médias, il a indiqué vouloir conserver seulement deux à trois grosses affiches à la Paris La Défense Arena. Une répartition qui pourrait -et devrait- dépendre des disponibilités de l’ex-U Arena. Une chose est sûre, avec ce second stade, les concerts et autres grands événements resteront la priorité, les matchs du Racing 92 étant bien moins rentables.
Le stade Yves du Manoir au printemps 2025 – Defense-92.fr
Le chantier de l'immeuble Edenn s'achève - Defense-92.fr
Un petit détour. Depuis le début de la semaine et jusqu’au 23 janvier 2026, une portion de la rue Clélestin Hebert (entre le boulevard de La Défense et le boulevard des Bouverts) à Nanterre est fermée à la circulation routière et piétonne.
Cette longue interruption doit permettre à Vinci de procéder au démontage de l’imposant portique métallique où était installée la base vie du chantier en cours d’achèvement de l’immeuble Edenn, futur siège de Schneider Electric.
Les véhicules doivent passer en amont par le boulevard Aimé Césaire ou bien en aval par l’avenue François Arago durant les travaux. Les piétons peuvent également cheminer par la venelle du bâtiment Origine qui abrite Technip Energies et EDF Renouvelables (uniquement en semaine de 8 heures à 19 heures).
Le service d’autopartage PullCOO vient d'être lancé à La Défense - Defense-92.fr
Plus de sept ans après le désastre d’Autolib’ et le fiasco de Zity, stoppé par Renault en janvier 2024, une nouvelle offre de mobilité vient d’être lancée, mais cette fois-ci pour les professionnels. Jusqu’ici implanté dans plusieurs zones rurales visant les particuliers, Agilauto Partage étend désormais son service à La Défense. Sous sa marque Pro, destinée aux entreprises, la filiale du Crédit Agricole Personal Finance & Mobility et de Crédit Agricole Leasing & Factoring s’est associée à PullCOO, une start-up réunissant cinq entrepreneurs spécialisés dans la mobilité professionnelle, pour expérimenter ce dispositif dans le quartier d’affaires. Le projet est estimé à un million d’euros sur trois ans.
Inspirés des modèles de restauration d’entreprise, les deux partenaires proposent aux sociétés intéressées une formule adaptée à leurs besoins. En plus d’un abonnement variable selon le nombre de salariés, l’offre inclut des forfaits facturés à l’heure d’usage des véhicules.
« Avec PullCOO, nous souhaitons faciliter la vie des entreprises et de leurs collaborateurs en leur offrant une alternative crédible et durable à la voiture individuelle. Notre partenariat avec Agilauto Partage Pro nous permet de proposer un service fiable, flexible et tourné vers l’avenir », s’enthousiasme Jérôme Ravet, financeur de PullCOO.
Jérôme Ravet (à gauche), financeur de PullCOO et Julien Cotta (à droite), directeur général directeur général de PullCOO – Defense-92.fr
Contrairement au service d’Agilauto Partage en zone rurale, l’offre avec PullCOO s’adresse exclusivement aux entreprises. Les deux partenaires espèrent convaincre les grands groupes de La Défense de réduire leur budget automobile. « La mise en place d’un service d’autopartage permet de diminuer sa flotte d’environ 30 %. Aujourd’hui, la voiture est l’un des actifs les moins rentabilisés. Elle reste immobile 90 % du temps », souligne Olivier Rossinelli, directeur général d’Agilauto Partage.
En excluant les particuliers, les partenaires veulent éviter les déboires d’Autolib’, dont les véhicules avaient été régulièrement dégradés. Ces nombreuses incivilités avaient en partie entraîné la faillite du service de Bolloré.
Pour le moment, le service, disponible 24 h/24 et 7 j/7 via une application et un site dédié, repose sur six véhicules électriques (quatre e-DS3 et deux Weez) rattachés au parking Centre – Grande Arche. L’opérateur prévoit d’augmenter la flotte à quinze véhicules dès janvier 2026, avant d’envisager un déploiement dans d’autres quartiers d’affaires ou zones d’activités qui ne sont pas bien desservies par les transports en commun ou qui nécessitent des connexions avec d’autres zones difficilement accessibles sans voiture.
Selon les deux partenaires, l’expérience menée dans les zones rurales par Agilauto Partage montre qu’un véhicule nécessite environ seize abonnés actifs pour fonctionner correctement. Ils précisent également qu’il doit afficher un taux d’usage de 70 %, soit près de vingt jours par mois, pour atteindre son seuil de rentabilité. Le duo vise entre seize et cent abonnés actifs par véhicule selon les saisons.
Le quartier du Parc Sud à Nanterre et sa cité Pablo Picasso - Defense-92.fr
Un énième dispositif pour lutter contre l’insécurité et la violence. Dévoilée en février dernier par le ministère de l’Intérieur, le dispositif de Ville de Sécurité Renforcée (VSR) vise à renforcer l’action des forces de l’ordre dans les communes exposées à des problématiques graves de sécurité et aux trafics de stupéfiants.
Pour la place beauvau, quatre critères cumulatifs définissent une « ville de sécurité renforcée » : la présence de trafics de stupéfiants installés, accompagnés d’un contrôle social et de violences ; une forte concentration des faits de délinquance ; des troubles récurrents à l’ordre public ; ainsi qu’une situation d’immigration irrégulière associée à des phénomènes de repli communautaire.
Dans les Hauts-de-Seine, le préfet de Police Patrice Faure a retenu la commune de Nanterre. Trois secteurs problématiques de la ville vont faire l’objet d’une attention particulière à savoir les Provinces Françaises, Nanterre Ville et Pablo Picasso, le quartier qui jouxte celui de La Défense.
La mise en œuvre du dispositif repose sur une coordination étroite entre les autorités judiciaire et préfectorale. Le procureur de la République et le préfet des Hauts-de-Seine ont ainsi créé un comité opérationnel anti-fraude (CODAF) dédié à Nanterre. Cette instance, chargée de la lutte contre la fraude aux finances publiques, permet une réponse coordonnée contre les fraudes sociales, fiscales, douanières et les situations de travail illégal.
Réuni pour la première fois le 19 novembre 2025, le CODAF a conduit à un premier contrôle, effectué ce mercredi 3 décembre à 14h30 en présence d’Alexandre Brugère, le préfet des Hauts-de-Seine. Deux commerces de la cité Pablo Picasso situés à proximité immédiate d’un point de deal ont été ciblés par les forces de l’ordre. « Plusieurs infractions au regard de l’emploi d’étrangers sans titre, a l’hygiène et aux règles de la consommation, ainsi que des infractions douanières, notamment en matière de vente de tabac, ont été relevées », affirme la préfecture des Hauts-de-Seine dans un communiqué. Du matériel de conditionnement, dont des sachets et des balances de précision, a également été découvert dans l’un des établissements.
Et la préfecture des Hauts-de-Seine ne compte pas en rester là. « Ces contrôles ont vocation à se poursuivre dans les prochaines », affirme-t-elle.
Le Westfield Les 4 Temps propose plusieurs animations pour accompagner les fêtes de fin d’année - Defense-92.fr
L’esprit de Noël s’empare du Westfield Les 4 Temps. Le centre commercial a revêtu ses habits de fête et offrira, jusqu’au début de l’année prochaine, plusieurs animations. Depuis novembre dernier, Miniso a installé une boutique éphémère au cœur de la Clairière du mall. Sur environ 85 mètres carrés, l’enseigne chinoise propose une large gamme de produits dérivés (peluches, accessoires…) consacrés àZootopie 2de Disney, actuellement en tête du box-office.
Juste à côté, au pied d’un monumental sapin, les plus petits -comme les plus grands- peuvent rencontrer le Père Noël jusqu’au 31 décembre. L’homme en rouge et blanc accueille les visiteurs dans son fauteuil chaque jour de 10 heures à 13 heures et de 14 heures à 20 heures. Il est possible d’immortaliser l’instant avec une photo (15 euros, -50 % sur la première pour les membres du programme de fidélité Westfield).
Un concert de gospel sera organisé le vendredi 12 décembre entre 12h30 et 14 heures. Le show ne se tiendra toutefois pas au Westfield Les 4 Temps, mais dans le centre voisin, le Westfield Cnit.
Enfin, sur l’allée centrale du centre (niveau 0), face à la boutique Etam, une borne interactive permet aux visiteurs de tenter de remporter plusieurs cadeaux.
La boutique éphémère Miniso consacrée à Zootopie 2 est à retrouver à la Clairière du mall – Defense-92.fr
La ligne A du RER sera impactée par des travaux durant l’été 2026 - Defense-92.fr
Venir à La Défense depuis l’Est de la région sera compliqué si vous empruntez le RER A l’été prochain. Île-de-France Mobilités (IDFM), la RATP et la SNCF ont dévoilé les grands travaux programmés pour l’été 2026 sur le réseau francilien.
Après avoir mené les travaux du Renouvellement des Voies et du Ballast (RVB) sur le tronçon central de la ligne A du RER entre les étés 2015 et 2021, la RATP va désormais s’attaquer à la branche de Marne-la-Vallée – Chessy.
Du samedi 8 au dimanche 23 août 2026 (avec une nuit longue prévue le vendredi 7 août), la circulation des trains sera interrompue entre les gares de Vincennes et Noisy-le-Grand – Mont d’Est. Trois gares seront ainsi fermées aux voyageurs : Val de Fontenay (le RER E ne sera pas impacté), Neuilly-Plaisance et Bry-sur-Marne.
Au total, la RATP ambitionne de remplacer durant cette période quatre appareils de voie, 890 mètres de voie et de ballast, ainsi que de refaire 340 mètres d’assainissement de la plate-forme sur cet axe.
Pour pallier la fermeture des trois gares et raccorder la ligne à la branche isolée, un service de bus sera proposé par la RATP. Des navettes du RER continueront de circuler entre Noisy-le-Grand – Mont d’Est et Marne-la-Vallée – Chessy, où se trouve le parc Disneyland. Les trains circuleront normalement sur la branche de Boissy-Saint-Léger.
Mais ce n’est pas tout. La station Nation, qui entame une importante rénovation comme ses sœurs Auber et Charles-de-Gaulle – Étoile, sera fermée durant deux longs mois. Aucun train n’y marquera l’arrêt du 29 juin au 30 août 2026. Cette fermeture prolongée permettra à la RATP de procéder notamment à la réfection de l’étanchéité et au réaménagement des quais. Les lignes 1, 2, 6 et 9 du métro ne seront pas impactées.
Enfin, à l’Ouest, SNCF Réseau va également mener des travaux sur la section du RER A qu’elle exploite. Quatre aiguillages seront remplacés en gare de Maisons-Laffitte de nuit, du 1er au 17 juin, et durant cinq week-ends en continu, du 6 juin au 5 juillet.
BYD a terminé de peaufiner le décor de sa nouvelle concession installée au cœur de la Paris La Défense Arena. Ouvert au printemps, l’espace de vente du constructeur automobile chinois, sponsor du Racing 92 depuis la précédente saison et ce jusqu’en 2027 (au moins), a récemment rouvert après quelques semaines d’aménagement.
Installée sur le parvis de la plus grande salle de spectacle d’Europe, le showroom opéré par le distributeur Harmony Auto vient prendre l’emplacement de l’ancienne concession Cupra, qui avait elle-même succédé à celle de Toyota, les deux anciens sponsors du Racing 92.
S’étalant sur près de 400 mètres carrés, l’espace de vente adopte désormais l’identité visuelle du constructeur chinois. Destinée aussi bien aux professionnels qu’aux particuliers, la concession BYD met en avant les véhicules électriques et hybrides comme la Sealion 5 DM-i, la Seal U, l’Atto 2 ou encore la Dolphin Surf.
L’espace BYD est ouvert du lundi au vendredi entre 9 heures et 12h30 et de 14 heures à 18 heures. Cependant, il peut être fermé en cas d’événements (concerts, rencontres sportives, etc.) à la Paris La Défense Arena.
Le showroom de BYD s’étend sur près de 400 mètres carrés – Defense-92.fr
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