8.4 C
Courbevoie
lundi 22 décembre 2025
- Publicité -
Accueil Blog

Deux morts après la chute d’un véhicule dans la Seine à Puteaux

0
Illustration : La Brigade Fluviale des Sapeurs Pompiers de Paris - Defense-92.fr

Une chute mortelle dans la Seine. Une voiture est tombée dans le fleuve dans la nuit de samedi à dimanche à Puteaux, non loin des tours de La Défense, entraînant la mort de ses deux occupants, âgés de 25 et 27 ans.

Selon les informations rapportées par Le Parisien, et confirmées par la Brigade des Sapeurs-Pompiers de Paris (BSPP), les secours ont été alertés peu avant 4h30 du matin après la chute d’un véhicule stationné sur l’Île de Puteaux, au niveau du 19, allée de l’Écluse.

Pour une raison qui reste à déterminer, la voiture a basculé dans le fleuve en pleine nuit. D’après les premiers éléments, l’hypothèse d’une erreur de manœuvre n’est pas exclue, le véhicule étant stationné sur une place située à proximité immédiate de la Seine. À cet endroit, le fleuve n’est séparé de la chaussée que par une simple bordure de trottoir, sans dispositif de protection particulier.

Les opérations de recherche ont été rendues difficiles par l’obscurité et la configuration des lieux. Toutefois, des traces de glissade vers l’eau ainsi que des débris de carrosserie ont permis aux secours de circonscrire la zone où le véhicule avait pu sombrer.

Après avoir localisé la voiture, la BSPP a engagé des plongeurs, appuyés par la brigade fluviale de la police. Le couple a été repêché immergé, pris au piège dans la carlingue du véhicule. « Nous avons tenté de les réanimer par des massages cardiaques, mais les victimes sont décédées sur place », confie un porte-parole de la BSPP. Le décès de l’homme de 27 ans et de la jeune femme de 25 ans a été constaté peu après 5 heures du matin.

Le commissariat de Puteaux, qui dépend de celui de La Défense, va désormais mener l’enquête afin d’établir les circonstances du drame.

Les cars pour l’aéroport de Beauvais ne passent plus par La Défense

0
La liaison par car entre La Défense et l’aéroport de Beauvais a été arrêtée le 13 décembre 2025 - Defense-92.fr

Fin de service pour l’Aérobus à La Défense. La liaison (ligne A03) entre le terminal Jules Verne de La Défense et l’aéroport de Paris-Beauvais -d’où partent notamment les compagnies low-cost Ryanair et Wizz Air-, a été définitivement arrêtée le 13 décembre dernier, au profit du terminal de la Porte Maillot, récemment rouvert.

Le service avait été transféré le 10 mai 2024 de la Porte Maillot à La Défense, à quelques semaines des Jeux Olympiques et Paralympiques. Le terminal de la Porte Maillot avait en effet servi durant les Jeux de base logistique pour les transferts, notamment ceux des délégations. La mairie de Paris avait tardé à rouvrir la gare routière, qui a finalement été légèrement rénovée.

Les navettes Aérobus retrouvent désormais leurs lignes historiques en cette fin d’année. En plus de la ligne A01 entre la Porte Maillot et l’aéroport de Beauvais, la ligne A02 relie toujours l’aéroport low-cost de Paris à Saint-Denis Université.

Ouvert en 2005 et toujours opéré par Keolis, le terminal Jules Verne accueille principalement le réseau de cars Express A14, notamment vers Mantes-la-Jolie. Le terminal Jules Verne voit également passer des cars des opérateurs BlaBlaCar et FlixBus, avec des liaisons vers Caen, Le Havre, Rouen, mais aussi Bruxelles.

Paris 2024 : pendant les Jeux, la navette de l’aéroport de Beauvais partira de La Défense

0
Pendant les Jeux Olympiques et Paralympiques les départs et arrivées se feront de Saint-Denis Université ou de La Défense - Défense-92.fr

Rallier l’aéroport de Beauvais depuis la capitale sera un peu plus compliqué durant les prochains mois. Depuis ce vendredi 10 mai et jusqu’à la fin des Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024 au moins, l’arrêt de bus de la porte Maillot (ligne A01) n’est plus desservi par le service Aérobus. Situé à environ 80 kilomètres de Paris, l’aéroport picard est principalement desservi par les compagnies low-cost comme Ryanair et Wizz Air.

Désormais, les navettes partent de Saint-Denis – Université (ligne A02) avec près de quatre-vingt allers-retours quotidiens. Les billets peuvent être achetés en ligne sur aerobus.fr ou directement sur place avant la montée. Les tickets sont valables pour tous les trajets de la ligne pendant douze mois.

Plus proche de la Porte Maillot et bien plus accessible (RER A et E, ligne 1 du métro, tramway T2, Transilien L et U et de nombreuses lignes de bus), il est également possible d’embarquer par La Défense et son terminal Jules Verne (ligne A03) d’où partent les lignes régulières du réseau Express A14, Flixbus et BlablaCar. Mais attention, la fréquence des cars entre le plus grand quartier d’affaires d’Europe et l’aéroport de Beauvais est limitée à une vingtaine d’allers-retours par jour, avec une réservation obligatoire au préalable sur le site aerobus.fr.

Le trajet est proposé à 16,90 euros l’aller simple ou 29,90 euros l’aller-retour pour un adulte (ou respectivement 9,90 euros et 19,90 euros pour un enfant de 4 à 11 ans inclus) quel que soit la ligne utilisée. « Il est conseillé de privilégier un départ depuis Paris Saint-Denis Université au moins 3h avant le décollage de votre avion », prévient l’aéroport de Beauvais.

Depuis La Défense, comme depuis l’Université de Saint-Denis, les départs se font tout au long de la journée. Un premier départ est donné à 3 heures du matin depuis Saint-Denis et à 3h30 depuis le terminal Jules Verne de La Défense. Il faut compter 1h30 pour un trajet entre La Défense et l’aéroport de Beauvais tout comme en passant par Saint-Denis.

En outre, il est possible de partir ou d’arriver par le parc Disneyland Paris les samedis, dimanches et lundis. Cependant, la fréquence est bien plus faible, avec un aller-retour seulement. Les billets sont vendus à 24,90 euros (14,90 euros pour les enfants), et le voyage dure environ deux heures.

Gims survole Paris La Défense Arena avec un show XXL

0
Gims est concert pour quatre dates et cinq shows à la Paris La Défense Arena - Defense-92.fr
Quarante mille spectateurs, une scène monumentale bardée d’écrans géants et une entrée spectaculaire par les airs. Pour le premier de ses cinq concerts (sur quatre dates) à Paris La Défense Arena, Gims a frappé très fort. Sacré artiste de l’année aux Victoires de la musique en début d’année, le rappeur de 39 ans referme 2025 en apothéose avec cinq shows dans la plus grande salle de spectacle d’Europe, attirant près de 200 000 spectateurs.

Le spectacle débute dans un décor quasi cinématographique. Sur les écrans géants qui encerclent la salle, des images spectaculaires plongent le public –plutôt jeune, avec de nombreux parents accompagnés de leurs enfants– dans un univers fantastique. Puis Gims surgit, suspendu dans les airs, avant de rejoindre une plateforme flottante au cœur de la fosse. Les premières notes de « Sapés comme jamais » donnent le coup d’envoi d’un concert calibré pour l’arène avec des fans bouillonnant.

La scène, où le rappeur congolais est très souvent seul, pensée comme un élément vivant du show, ne cesse d’évoluer. Plateformes mobiles, structures qui s’élèvent et s’abaissent, cubes suspendus, passerelles allongées sous les écrans : chaque titre apporte sa transformation. Les bracelets lumineux distribués au public complètent un dispositif visuel impressionnant, renforcé par une qualité d’image irréprochable sur les écrans géants.

Gims enchaîne rapidement « Brisé », « Hola Señorita » et « Bella », plongeant la salle dans une ferveur immédiate. Le rythme est soutenu, les refrains repris en chœur par un public qui connaît chaque mot. Les classiques de la Sexion d’Assaut trouvent naturellement leur place avec un medley de « Désolé », « Ma direction », « Wati by Night » et « Disque d’or », déclenchant une vague de nostalgie chez « les anciens », comme aime le rappeler Gims.

Le voyage se poursuit avec « Est-ce que tu m’aimes ? », « Reste » ou encore « Changer », introduit par un moment plus intimiste accompagné d’un quatuor à cordes. Sur « Je te pardonne », l’atmosphère se fait plus feutrée, avant que le tempo ne reparte de plus belle avec « Bloqué » et « Ce soir ne sors pas ».

Les collaborations s’enchaînent sans casser le rythme. Vitaa rejoint Gims sur « Game Over », accueillie par une ovation. Dadju, son frère, partage ensuite la scène pour « Par amour », « Tu ne le vois pas » et « Terminal 2F », trois titres repris en chœur par l’arène entière. Il y aura également « J’me tire » que Gims reprendra seul. Il y a eu aussi « Reste », issu d’une collaboration inédite avec Sting. Le chanteur anglais n’était cependant pas présent et seule sa voix résonnait dans l’arena.

Le concert ménage aussi ses surprises. Un jeune fan est invité à monter sur scène pour interpréter « Loup garou », moment de complicité salué par le public. Plus tard, l’ambiance bascule à nouveau vers la fête avec « Best Life » aux côtés de Naps, avant une dernière ligne droite résolument dansante.

La dernière partie du show enchaîne « Spider », « Ninao », « Air Force Blanche », « Tu me rends bêtes ! » (mais sans Damso), « Parisienne », jusqu’au final très attendu sur « Ciel ». La salle s’éteint presque entièrement. Quarante mille bracelets blancs s’élèvent, transformant Paris La Défense Arena en un ciel étoilé. Gims savoure, remercie, sourit.

Après plus de deux heures de concert et près de quarante titres déroulés, le chanteur de Kinshasa quitte la scène comme il y est entré, en prenant de la hauteur, porté par une plateforme suspendue. Dans la salle, les cris résonnent encore. « Encore ! ». Mais il n’y aura pas de rappel. Gims s’en va, sous une ovation.

GIMS Setlist Paris La Défense Arena, Nanterre, France 2025, The Last Winter Tour

Les fans qui voudront revivre ce show démesuré, comme ceux qui n’ont pas eu la chance d’y assister, pourront le découvrir en prime time. France 2 diffusera le concert ce mardi 23 décembre à 21h10.

Et ce n’est pas la seule bonne nouvelle. Déjà présent à la même période l’an dernier, Gims fera son retour à Paris La Défense Arena en décembre 2026 pour deux concerts, programmés les 16 et 17 décembre. La billetterie est d’ores et déjà ouverte, avec des places proposées entre 70 et 120 euros selon les catégories.

Top 14 : pour leur derby, le Racing 92 et le Stade Français se quittent sur un nul

0
Un poteau de touche du Top 14 - Defense-92.fr

Les nuls en rugby sont plutôt rares. Pourtant, les Racingmen viennent d’en enchaîner deux d’affilée, après celui de la semaine passée en Challenge Cup. Pour son premier derby de la saison, le Racing 92 a longtemps dominé le Stade Français lors de cette rencontre comptant pour la douzième journée du Top 14, disputée à Jean Bouin. Mais les Parisiens ont arraché l’égalisation dans les ultimes secondes, laissant les deux équipes sur le score de 20 à 20.

Sur leur pelouse de Jean Bouin, les Parisiens ont inscrit deux essais (G. Melikidze 80+5’), transformés (L. Carbonel 80+6’), dont un de pénalité (27’), ainsi que deux pénalités (L. Carbonel 10’ et 61’). De leur côté, les Ciel et Blanc ont marqué trois essais (N. Hughes 7’, G. Fickou 58’ et W. Hulleu 69’), dont un transformé (U. Seunes 58’), ainsi qu’un drop (U. Seunes 23’).

Avec 28 points, le Racing 92 recevra la semaine prochaine Montauban à la Paris La Défense Arena pour le match du Boxing Day.

Bigflo & Oli animeront la soirée de handball à la Paris La Défense Arena

0
Bigflo & Oli se produiront en showcase le 9 janvier lors des matchs de l’équipe de France, à la Paris La Défense Arena - Defense-92.fr

Les deux frangins vont revenir à la Paris La Défense Arena. Les 9 et 11 janvier 2026, la plus grande salle de spectacle d’Europe accueillera pour la toute première fois du handball avec le Tournoi de France. Pour préparer son championnat d’Europe 2026, l’équipe de France, emmenée par Guillaume Gille, affrontera, le vendredi 9 janvier, la Slovénie avant de retrouver l’Autriche. Deux jours plus tard, le dimanche 11 janvier, ce sera la finale.

Pour animer la soirée du vendredi, le duo Bigflo & Oli sera aux commandes pour un showcase. La Paris La Défense Arena, les deux frères rappeurs la connaissent bien puisqu’ils y avaient donné des concerts en octobre 2019 et en décembre 2023 et animé la bodega du Racing 92 en mars dernier.

Des places sont encore disponibles pour les deux dates. Les billets sont vendus entre 20 et 100 euros selon les catégories. Des offres de Noël sont également proposées actuellement, avec des prix débutant à partir de 14 euros. Pour réserver vos billet c’est ici.

En cette fin d’année, vous allez pouvoir sauver des vies en donnant votre sang !

0
Une collecte de sang - Defense-92.fr

L’Établissement français du sang (EFS) a besoin de vous en cette fin d’année. L’établissement organisera, du lundi 29 décembre 2025 au vendredi 2 janvier 2026, une collecte de sang au sein de l’hôtel Hilton (salles Rome 1 & 2) du Westfield Cnit. Les dons pourront être effectués de 13 heures à 18 heures, sauf le 31 décembre où la collecte se déroulera de 10 heures à 15 heures. Aucune collecte n’est prévue le 1er janvier. Pour participer à cette collecte, il est nécessaire de réserver dès à présent un créneau sur le site de l’EFS.

1 700 dons de sang sont nécessaires chaque jour en Île-de-France (10 000 en France) pour sauver des vies. Le don du sang est ouvert à toutes les personnes âgées de 18 à 70 ans, pesant plus de 50 kilos (65 ans pour un don de plaquettes ou de plasma) et en bonne santé. Pour donner, contrairement aux idées reçues, pas besoin d’être à jeun ; au contraire, mieux vaut avoir mangé avant. Une collation est en revanche offerte sur place aux donateurs. Le prélèvement dure de 7 à 10 minutes et permet de recueillir entre 400 et 500 ml de sang. Comptez environ une heure pour la durée totale du don, incluant les étapes de pré-entretien, de collecte et de repos.

Plus d’informations sur le don du sang ici.

Chantier de la ligne 15 Ouest : un nouveau schéma de circulation à la Rose de Cherbourg

0
Le plan de circulation de la Rose de Cherbourg a été modifié ce mercredi matin en raison du chantier de la future gare de la ligne 15 Ouest à La Défense - Defense-92.fr

La circulation routière évolue dans le secteur de la Rose de Cherbourg. L’achèvement des travaux préparatoires de la future gare de La Défense de la ligne 15 Ouest du Grand Paris a entraîné une modification du schéma de circulation dans ce secteur très fréquenté, notamment par les bus.

Alors que le chantier de construction de la gare s’apprête à réellement débuter, après plus d’un an de dévoiement de réseaux, le groupement IntenCités, piloté par Vinci pour le compte de la Société des Grands Projets (SGP), a procédé ce mercredi 17 décembre à la bascule du nouveau plan de circulation. Celui-ci évoluera de nouveau au printemps prochain, avant de se figer pour une large partie du chantier, dont l’achèvement est prévu fin 2031.

Cette modification entraîne le transfert de la RD9 (dans le sens La Défense vers Puteaux–Nanterre) plus au Nord, du côté de la résidence Boieldieu (au Sud), transformant ainsi la route en double sens. Un déplacement de la chaussée au niveau de la place Louise Bourgeois a également été opéré, tout comme une adaptation des voies couvertes à l’entrée de la gare routière.

Des heures d’attente pour retirer un colis un point relais du Westfield Les 4 Temps

0
À l’approche de Noël, le point relais de Westfield Les 4 Temps est saturé par les colis - Defense-92.fr

En passant commande sur internet, Charline ne s’attendait certainement pas à devoir attendre des heures pour retirer ses colis en point relais. Depuis plus d’une semaine déjà, le point relais Click & Services du Westfield Les 4 Temps est submergé par des milliers de colis, entraînant un afflux de clients tout au long de la journée.

« C’est la troisième fois que je tente de retirer mes colis. J’ai déjà attendu près d’une heure lors d’un précédent passage, et j’ai dû renoncer, car il fallait que je reprenne le travail », lâche Charline, à deux pas d’accéder au comptoir de retrait. Enfin la délivrance pour cette salariée de La Défense ? Eh bien pas du tout, puisque, au bout de 2h30 d’attente, elle ne repartira finalement qu’avec un seul de ses trois paquets.

Mais alors, qu’est-ce qui justifie un tel chaos ? Opéré depuis début octobre par un nouveau prestataire, Pick&Smile fait face aux suites du Black Friday et aux fêtes de fin d’année. Mais la véritable raison est à chercher dans la fermeture récente de nombreux points de retrait chez les commerçants au profit de lockers. Pick&Smile a aussi dû affronter un afflux record de colis de Mondial Relay, qui a dérouté des centaines et des centaines de paquets qui n’étaient pas prévus à l’origine.

« Ils n’ont pas respecté le contrat et l’objectif de colis que l’on s’était fixé », confie Sébastien Horemans, le PDG de Pick&Smile, sans jamais explicitement nommer Mondial Relay. « Nous avons été livrés presque quatre fois plus », ajoute-t-il.

« Comme nous avons beaucoup trop de colis, nous sommes embourbés en réserve », indique Sébastien Horemans. C’est donc toute la chaîne qui s’est grippée. Les quelques employés sur place doivent non seulement recevoir, référencer et ranger les colis, avant de les délivrer aux clients.

De son côté, Mondial Relay se justifie : « Nous n’avons pas observé de situation similaire à celle du point relais Click & Services de La Défense. Ce site, ouvert en novembre dernier, accueille les colis de plusieurs transporteurs (huit concurrents de Mondial Relay, en plus de nos propres colis) et n’est donc pas représentatif de notre réseau. Les délais d’attente sur ce site n’ont aucun lien avec notre stratégie de développement : notre réseau est passé de 12 000 à 17 000 points de proximité entre 2022 et 2025 », indique le transporteur, assurant que son réseau de points de retrait hors domicile rencontre « un réel succès », avec 56 % des consommateurs qui préfèrent ce mode de livraison.

Concernant la fermeture de nombreux points relais chez les commerçants, Mondial Relay estime que les lockers « répondent aux attentes des consommateurs en matière de flexibilité (retrait 24h/24, 7j/7), de simplicité et de rapidité » et que « leur usage ne cesse de croître, permettant d’optimiser les flux logistiques, de limiter les livraisons infructueuses et de réduire l’empreinte carbone du dernier kilomètre ».

Après plus d’une semaine de chaos, la situation pourrait revenir à la normale dans les prochains jours, espère le responsable de Pick&Smile.

Municipales 2026 : Jacques Kossowski veut repartir pour un petit tour avant de passer la main à Stéphanie Soarès

0
Jacques Kossowski et Stéphanie Soarès se présentent en binôme aux élections municipales de Courbevoie - Defense-92.fr

Se faire réélire pour mieux passer le flambeau à celle qu’il a choisie. Maire de Courbevoie depuis 1995, Jacques Kossowski (Les Républicains) va se représenter aux prochaines élections municipales de mars 2026.

Alors que l’élu laissait planer le doute depuis plusieurs mois, il a dernièrement confirmé qu’il se portait candidat pour continuer à diriger la ville où est implantée une bonne partie du quartier d’affaires de La Défense.

Mais Jacques Kossowski, 85 ans, ne compte pas faire un sixième mandat complet. Pour lui succéder, il a jeté son dévolu sur l’une de ses actuelles adjointes, Stéphanie Soarès. « Il me fallait quelqu’un de jeune et elle a de grandes qualités. Elle coche un certain nombre de cases. Et puis elle travaille sur l’environnement et la nature, ce sont des sujets que j’aime beaucoup », confie Jacques Kossowski, parlant d’une « alliée très fidèle des Républicains »

En cas de réélection, l’actuel maire promet une « transition très douce au bout de deux ans maximum ». Et l’élu l’assure : il ne s’accrochera pas à son poste. « Je ne veux pas aller au terme de mon mandat, mais je resterai au conseil municipal, certainement pas comme adjoint, simplement comme conseiller. Je ne veux pas qu’il y ait deux maires », affirme Jacques Kossowski.

« C’est une belle marque de confiance du maire et une grande responsabilité. Je lui suis très reconnaissante », révèle Stéphanie Soarès, habitante de Courbevoie depuis vingt ans et élue dans l’actuelle équipe depuis 2014. « Nous allons nous soumettre tous les deux aux suffrages des Courbevoisiens. Nous sommes tous les deux en binôme », rajoute t-elle. Peu connue des Courbevoisiens et Courbevoisiennes, Stéphanie Soarès qui travail à la région Île-de-France a désormais tout juste trois mois pour se faire connaître.

En tandem, Jacques Kossowski promet un programme axé sur la sécurité, l’arrivée de la ligne 15 du Grand Paris Express, le social, la santé, le réaménagement de Charras, ainsi que l’avenir économique de La Défense et de son établissement.

Très convoité, Jacques Kossowski dit ne pas craindre de défections au sein de son équipe proche, tout en admettant redouter des « trahisons ». Sans la citer nommément, l’élu cible particulièrement son ancienne adjointe Aurélie Taquillain, qui s’était présentée face à lui en 2020 et se représentera en 2026.

Avant de porter son choix sur Stéphanie Soarès, Jacques Kossowski avait envisagé Éric Cesari, récemment condamné définitivement dans l’affaire Bygmalion, puis son adjointe Marie-Pierre Limoge et enfin Jean Spiri, nommé il y a tout juste un an directeur de l’Institut français d’Afrique du Sud et conseiller à l’ambassade de France.