Le parc Diderot, conçu par le paysagiste Alain Provost, ouvert en 1992 d’une surface d’un hectare situé sur le territoire de Courbevoie va être rénové pendant 18 mois par Defacto, l’établissement de gestion et d’animation de La Défense.
Jusqu’au printemps 2016, il restera inaccessible. Si le parc ne va pas significativement changer à sa réouverture, l’établissement va tout de même mener d’importants travaux avec la remise en état des espaces verts, la rénovation des équipements notamment les aires de jeux, le terrain de sport, et surtout la rénovation de la cascade, monument à part entière du parc qui la traverse. Un nouvel éclairage avec la mise en lumière de la cascade monumentale et l’installation de caméras de surveillance viendront s’ajouter aux travaux.
Ces travaux vont entrainer jusqu’à la réouverture du parc Diderot des modifications des cheminements. L’allée Sainte Odile sera entièrement fermée au public; l’entrée actuelle de la cité scolaire sera maintenue, mais accessible uniquement depuis la rue de Strasbourg, l’entrée de l’école André Malraux sera elle déplacée sur l’allée reliant la rue Louis Blanc et l’allée Sainte-Odile.
La maitrise d’œuvre sera opérée par Après la Pluie, le cabinet Merlin, Phytoconseil et François Magos. Deka assurera le bureau de contrôle.
Le projet de rénovation du parc Diderot – DR / Defacto
Les voyants sont presque au vert pour la tour Phare. Les opposants au projet qui avaient attaqué la validité du permis de construire de la tour Phare devant le tribunal administratif de Cergy puis devant la Cour Administrative d’Appel de Versailles qui les a déboutés, ont annoncé qu’ils ne se pourvoiraient pas en cassation devant le Conseil d’Etat.
Le projet de la tour Phare qui développe 147 000 m2 répartis sur 70 étages pour une hauteur avoisinant les 286 mètres (imaginée par l’architecte américain Morphosis à la suite d’un concours international en 2006 mené par l’Epadesa, alors Epad) avait obtenu son permis de construire le 6 juillet 2010. Ce dernier avait été attaqué par l’association « Village », l’opposition de Puteaux et Courbevoie représentée notamment par Jean-André Lasserre (élu PS à Courbevoie et au Conseil Général des Hauts-de-Seine), Nadine Jeanne (PS à Puteaux) et Joëlle Paris (élue EELV à Courbevoie) et la MASCF propriétaire de l’immeuble Triangle de l’Arche par sa SCI Horbouts I et II. Après un rejet de leur requête par le Tribunal administratif de Cergy en mai 2012, les trois opposants à la tour Phare avaient fait appel de la décision. Deux ans après, en décembre 2014, la sixième chambre de la Cour Administrative d’Appel de Versailles avait dans son arrêt rejeté les arguments des plaignants. Ils avaient alors deux mois pour se pourvoir ou non en cassation, chose qu’aucun ne fera.
Si Unibail-Rodamco qui mène ce projet en a fini avec la justice, tout n’est pas pour le moins réglé et pour cause. Le groupe du CAC 40 devra régler le problème de la passerelle provisoire. Fin décembre 2011 Jacques Kossowski, le maire de Courbevoie avait, dans un courrier, renvoyé dans les cordes Unibail-Rodamco en lui demandant de revoir sa copie concernant le projet de passerelle suspendue équipée d’escalators et d’ascenseurs pour créer une passerelle provisoire de plain-pied. Sans cet accord avec la mairie de Courbevoie, Unibail-Rodamco ne pourra lancer les travaux. En effet si la tour Phare est implantée sur le territoire de Puteaux, l’actuelle passerelle de plain-pied construite en 2007 après plusieurs années de retard, reliant La Défense au Faubourg de l’Arche en enjambant le boulevard circulaire, devra être détruite durant les travaux de la tour. Afin de ne pas manquer aux quelques 30 000 personnes qui l’empruntent chaque jour, un équipement provisoire devra obligatoirement être mis en place. Installée sur les deux communes : Puteaux et Courbevoie, cette passerelle provisoire nécessite l’accord du maire de Courbevoie et Puteaux. Et quatre ans après le maire de Courbevoie n’en démord pas, pire il ne veut même plus entendre parler d’une passerelle provisoire, même de plain-pied. « Je suis contre cette tour, je veux que l’on conserve la passerelle actuelle » nous confie Jacques Kossowski qui affirme ne pas mener cette opposition à des fins électoralistes « Je ne me représenterai pas aux prochaines municipales ni aux législatives ».
Et l’élu n’est pas le seul à voir Phare d’un mauvais oeil. Son homologue Patrick Jarry, le président de l’Epadesa et maire de Nanterre n’avait pas caché son opposition au projet en nous déclarant lors du Simi en décembre dernier « Il n’y a pas de place pour un tel monstre ».
Le permis du projet reste valable deux ans et pourra être prolongé une seule fois pour un an. Il reste donc trois ans au groupe immobilier pour régler ses déboires, reprendre ses études, lancer les marchés et surtout prendre la décision de construire ou non ce mastodonte.
Le marché immobilier d’entreprise a repris des couleurs à La Défense. L’année 2014 fut bien meilleure que 2013 qui, elle, avait été catastrophique. L’année dernière aura battu des records, avec le nombre de mètres carrés placés. Au total ce sont quelques 250 000 m² qui ont été loués au cours de l’année dernière avec comme transaction notable KPMG qui a pris 40 500 m² dans la tour Eqho, Thales 10 200 m² dans la tour Carpe Diem, Sopra 8 800 m² dans la tour Manhattan, NYSEE Euronext 10 000 m² dans l’immeuble Praetorium, Dalkia 8 300 m² dans la tour Europe, AXA IM 27 000 m² dans Majunga ou encore Tarkett 6 000 m² dans la tour Initial.
Le taux de vacance dans le quartier qui avait explosé en 2013 en raison des livraisons des tours Carpe Diem et Eqho, s’est établi selon la dernière étude DTZ en cette fin 2014 à 12,5 % avec une baisse lors du dernier trimestre 2014. Au troisième trimestre 2014 il avait battu le triste record de 13,2 %. Le taux de vacance de La Défense figure cependant parmi l’un des plus élevés en Ile-de-France après celui du Croissant Ouest à 12,8 %.
Le taux de vacance de La Défense – DTZ
Mais cette reprise s’explique surtout par un réajustement de la valeur des loyers et de fortes mesures d’accompagnement (prise en charge par le propriétaire de l’installation, loyer réduit les premiers mois,…) de l’ordre d’environ 25%. Le loyer prime à La Défense a subi une légère correction pour s’établir à 540 €/m2/an (valeur faciale) fin décembre 2014 contre 560 €/m2/an un an plus tôt. Les valeurs locatives moyenne de première et seconde main ont toutes deux progressé de 13% en un an pour s’établir respectivement à 475 €/m2/an et 450 €/m2/an. Cette tendance s’explique par la concrétisation de plusieurs prises à bail sur des surfaces neuves et rénovées.
Evolution des valeurs locatives à La Défense – DTZ
Les entreprises continuent de bouder les immeubles anciens, qui représentent la moitié des surfaces et l’essentiel des disponibilités à La Défense se composent de grandes surfaces soit 83% du stock global, selon DTZ. « Beaucoup de ces immeubles de seconde main sont encore jugés trop obsolètes par les entreprises » estime DTZ dans son étude.
Lors du Simi, qui s’est tenu en décembre dernier, La Défense était l’un des sujets de conversations des participants. « La fenêtre est à La Défense: s’il y a de gros projets de regroupement pour les entreprises qui veulent plus de 30 000 m², c’est le seul endroit possible » nous confiait alors Loïc Cuvelier le directeur du département bureaux Ile-de-France Ouest chez BNP Paribas Real Estate qui parlait d’un « excellent bilan » pour 2014.
Alors que l’année 2014 a été rythmée par la livraison des tours Majunga d’Unibail-Rodamco avec ses 63 700 m² et D2 de Sogeprom qui développe 48 700 m², l’offre neuve devrait marquer une pause en 2015 et 2016. D’ici là aucune nouvelle surface ne sera livrée dans le quartier permettant ainsi l’écoulement des 400 000 m² qui étaient disponibles à la fin 2014.
Demande placée et offre immédiate de bureaux à La Défense, en milliers de m2 – DTZ
Si pour certains spécialistes de l’immobilier cette année sera moins bonne que la précédente, Jacques Bagge directeur du développement chez JLL reste optimiste. Pour celui qui dès le début 2014 avait parié sur plus de 200 000 m² commercialisés à La Défense, l’année 2015 devrait selon ses prévisions être tout aussi bonne. Si ces prévisions s’avèrent vraies le taux de vacance pourrait ainsi revenir à un niveau raisonnable aux alentours de 8%.
Pour son nouveau siège, Sogeprom, filiale de la Société-Générale a choisi l’immeuble Ampère. Mais le promoteur ne va pas se contenter de poser de nouvelles moquettes et cloisons. Sogeprom a profité du SIMI qui se déroule au Palais des Congrès à Paris du 3 au 5 décembre 2014 pour lever le voile sur son nouveau projet E+. L’entreprise, propriétaire de l’immeuble Ampère, construit au milieu des années 80 en bordure du circulaire sur le territoire de Courbevoie, va restructurer de fond en comble l’ouvrage de 15 233 m² qui passera à 14 891 m² après les travaux.
Pour ce projet confié à l’atelier a.2.3.4, l’architecte Jean Mas a imaginé un nouveau bâtiment à partir de l’actuel. La façade va être entièrement démontée pour être remplacée par une enveloppe plus vitrée laissant mieux passer la lumière naturelle. Comme pour la tour Majunga, les utilisateurs du bâtiment pourront ouvrir des ouvrants en forme de meurtrières pour laisser passer de l’air frais, évitant ainsi l’usage intensif de la climatisation. L’architecte a également repris l’idée d’installer des loggias à chacun des neuf niveaux du bâtiment en y insérant de la végétalisation. Sur le toit terrasse le promoteur installera un arbre « éolienne » permettant de fournir de l’énergie à l’immeuble. Les utilisateurs pourront en outre commander avec leur smartphone ou tablette, la lumière, les stores ou la climatisation de leurs bureaux.
L’entreprise qui vise les certifications HQE, BREEAM et BBC Effinergie souhaite en appliquer les normes systématiquement à tous ses nouveaux projets.
L’entrée actuelle de Ampère, petite et peu visible donnant sur une placette commune avec l’immeuble City Défense, construit à la même époque par le même architecte dans le même style -qui étant détenu par un autre propriétaire, ne sera pas rénové- va disparaître. Les utilisateurs et visiteurs de E+ feront désormais leur entrée directement par la rue Henri Régnault.
Sogeprom qui souhaite faire de E+ une vitrine de bâtiment « écologique » s’y installera à l’issue des travaux, fin 2016. Sogeprom quittera alors l’immeuble Ile-de-France pour installer les collaborateurs de son siège sur 3 500 m² dans E+. Ils seront rejoints sur 7 000 m² par ceux de la direction des affaires immobilières de la Société-Générale, actuellement implantée dans l’immeuble des Miroirs. La surface restante est mise en location. Cependant Sogeprom n’est pas voué à rester propriétaire de l’immeuble de bureaux qui sera cédé à la fin du chantier.
Durant tout le chantier, Defense-92.fr vous propose de suivre chaque semaine le chantier en photos en cliquant ici
Les fans du film d’animation La Reine des Neiges ont été déçus. Anaïs Delva, la voix française de la princesse de Disney connue pour son interprétation de « Libérée, délivrée » a dû annuler son showcase et sa séance de dédicace programmés samedi 28 février au sein du magasin Cultura des 4 Temps. La direction du magasin de Culture qui attendait entre 1 000 et 2 000 personnes a indiqué ne pas vouloir « jouer avec le feu » compte tenu du contexte actuel. Cultura explique que la maison de disque et la chanteuse souhaitent attendre que les « esprits s’apaisent ».
Mais ce n’est que partie remise: le concert aura bien lieu. Il est reporté au mercredi 29 avril à 16h30, durant les vacances de printemps. Et pour que le concert se déroule dans les meilleures conditions, l’enseigne espère l’organiser dans un espace plus grand dans le centre commercial des 4 Temps comme au Dôme ou à la Clairière.
Sur sa page Facebook, l’artiste s’est excusée auprès de ses fans « J’espère que vous ne m’en voudrez pas trop mais nous allons devoir reporter le showcase et la séance de dédicace initialement prévus ce samedi au Cultura des 4 Temps… »
Cette annulation fait suite aux menaces d’attentats des Shebab, la branche d’Al-Qaïda en Somalie la semaine dernière sur plusieurs centres commerciaux aux Etats-Unis, au Royaume-Uni, au Canada et en France, dont les 4 Temps.
Christophe Macra (à gauche) et Sylvain Removille (à droitte), les deux fondateurs de Apogé - Defense-92.fr
Ouvert dans la Galerie de l’Esplanade du quartier Michelet en octobre 2011, le caviste Apogé a, en seulement quelques années su conquérir les amateurs de vins et autres spiritueux. Les deux fondateurs de la boutique, Christophe Macra et Sylvain Removille qui se sont forgés une clientèle de salariés dans le quartier, habitants ou touristes, viennent de lancer l’Académie du Vin de Paris, à La Défense. Cette école du vin propose trois niveaux de formation allant du perfectionnement dans l’univers du vin à la formation de sommelier, serveur ou vendeur ou tout simplement destinée aux amoureux du breuvage. Le niveau 1, propose une formation d’une journée, pour 220 €, le niveau 2 dispose lui d’une formation de trois jours pour 630 €, tandis que le niveau 3 offre une formation de cinq jours pour un montant de 1 050 €. L’Académie du Vin de Paris propose également des formations sur mesure.
Pour former les papilles gustatives, cinq formateurs dont Christophe Macra et Sylvain Removille « Nos cours sont donnés dans nos locaux, chez Apogé, par des professionnels » déclare Sylvain Removille.
« Nos formations sont certifiées par le Wine and Spirit Education Trust (WSET), le plus grand organisme de formation spécialisé dans les vins et spiritueux à l’échelle internationale » précise t-il.
Plusieurs sessions de formation des trois différents niveaux sont programmées jusqu’à la fin de l’année.
Depuis sa création le WSET, basé en Angleterre affirme avoir formé plus de 43 000 candidats aux examens dans 60 pays, devenant le premier prestataire mondial en matière de formation à la connaissance des vins et spiritueux. Il se caractérise par une approche résolument internationale, proposant une formation sur les vins du monde entier et délivrant une qualification destinée aux professionnels en contact quotidien avec les vins et spiritueux et/ou aux amateurs cherchant à parfaire leurs connaissances.
Si ces diplômes ne sont pas reconnus par l’Etat français –mais le sont en revanche par l’Etat anglais, le pays de l’organisme-, ils sont en revanche très bien vus sur un CV par les professionnels du secteur. « Réputés et incontournables dans beaucoup de pays du monde, les diplômes du WSET viennent combler un vide dans les cursus d’étude en France » explique le site internet de l’Académie du Vin de La Défense.
Renseignements et inscriptions sur www.academievin.fr ou au 01 49 03 03 03
Stephanie Manciaux, la responsable du Columbus Café & Co de La Défense avec une partie de son équipe - Defense-92.fr
Starbucks et Mc Donalds avec son Mc Café ne sont désormais plus les seuls à régner en maitres dans la gare de La Défense, Columbus Café & Co compte bien s’imposer dans ce marché très concurrentiel. La chaine française a ouvert ce jeudi 26 février un tout nouveau point de vente.
Columbus Café & Co fait ainsi son retour dans la gare du quartier d’affaires. Elior avait ouvert un point de vente en mai 2007 au niveau de la gare routière des bus, sortie F, avant de le fermer en octobre 2010 faute de rentabilité.
A la tête de ce Columbus Café & Co qui a pris la place de l’ancienne sandwicherie Phileas, (jouxtant le Mark and Spencer Food) Stephanie Manciaux 30 ans, et son père, un ancien de SSP qui ont lancé ensemble C&C Gares. Le père et sa fille sont gourmands, ils souhaitent s’attaquer aux mastodontes des concessions de restaurations dans les lieux de transports Autogrill, Elior et SSP.
Cette unité de La Défense est la première de l’entreprise familiale qui ouvrira en franchise à la mi-mars un autre Columbus à la gare Issy-Val de Seine, puis un troisième établissement dans la gare du métro St Lazare en avril.
D’une surface d’environ 40 m2, ce Columbus Café & Co qui embauche neuf équipiers propose en plus du café et des boissons chaudes, des sandwichs, des salades, des bagels fabriqués sur place mais aussi des muffins. En revanche pour déguster votre consommation, impossible de prendre place dans le salon qui fait uniquement des ventes à emporter.
La guerre du café va redoubler à La Défense. Columbus aura comme concurrents cinq Starbucks, un Coasta Coffee et deux Mc Café. Ne manque plus que la chaine Illy.
Columbus Café & Co va revenir à La Défense. La chaine française de café, thés, sandwichs, salades ou encore de muffins qui avait ouvert en mai 2007 un point de vente dans la salle d’échanges de la gare de La Défense au niveau des bus, avant de le fermer en octobre 2010 faute de rentabilité, va réouvrir une nouvelle boutique, toujours dans la gare de La Défense. Cette fois-ci ce Columbus Café & Co de 43 m², qui sera exploité par la société C&C Gares, occupera un emplacement plus stratégique et plus fréquenté. C’est à l’emplacement de l’ancienne sandwicherie Phileas, que ce salon mitoyen au Marks and Spencer Food prendra place. Son ouverture est programmée pour le mercredi 25 février prochain.
La petite chaine française, bien implantée sur le territoire français devra faire face à une concurrence rude. A La Défense Columbus aura comme concurrents cinq Starbucks, un Coasta Coffee et deux Mc Café.
L'animation de Nest sur la place de La Défense le 25 février 2015 - Defense-92.fr
Sur la place de La Défense, aux côtés des camions de gendarmes mobiles venus surveiller le centre commercial des 4 Temps après les menaces d’attentats, stationnait un véhicule de protection qui n’est pas passé inaperçu. A quelques jours de l’entrée en vigueur de la loi obligeant tout les foyers français à s’équiper d’un détecteur de fumée, la marque de domotique Nest née en 2010, devenue filiale de Google en juin 2014 –qui n’a que deux produits à son catalogue, le détecteur de fumée et un thermostat- est venue dans le quartier d’affaires pour séduire les derniers retardataires. Et son passage de quelques heures à La Défense le mercredi 25 février dans le cadre de sa tournée française a été remarqué par les passants. Nest a choisi pour sillonner le pays d’utiliser un camion de pompiers américain aux couleurs de sa marque, bleu clair et blanc, décoré par West Coast Customs, célèbre pour avoir participé à l’émission américaine de MTV « Pimp My ride »
Durant sa courte escale entre 14h et 18h, Nest a présenté son modèle « hight tech » de détecteur de fumée connecté. Si le prix de 109 € peut paraître exorbitant, l’entreprise le justifie par ses caractéristiques. En plus de sa fonction première de détecter toutes fumées, le petit boitier, au look « desing » est capable de détecter les émanations de monoxyde de carbone qui causent la mort de 300 personnes par an en France. Chaque année se sont quelques 800 personnes qui perdent la vie en France dans des incendies domestiques et 10 000 autres sont blessés. Et pour vous prévenir quand ça va mal, pas de bruits stridents, une voix vous délivre un message pour vous informer de la nature du problème en cours et de sa localisation. Le message est accompagné de signaux lumineux de différentes couleurs pour chaque type d’ incident. En cas d’absence, le détecteur, connecté au wifi vous alerte directement sur votre smartphone via une application. Pour ceux qui auraient beaucoup de pièces et souhaiteraient s’équiper lourdement, Nest propose de connecter jusqu’à 16 détecteurs.
L’obligation pour chaque foyer d’être équipé d’un détecteur de fumée est pour le 8 mars prochain. Pour les locataires, le coût du boitier incombe aux propriétaires. Les gros bailleurs sociaux devraient bénéficier d’un délai supplémentaire jusqu’au 1er janvier 2016.
La tour Eqho est désormais presque entièrement remplie. L’Union de Banques Arabes et Françaises (UBAF) vient de signer, fin janvier un bail d’une durée de 6 ans portant sur 3 724 m² de bureaux répartis sur les 15ème et 16 ème étages de la tour Eqho. Le locataire actuellement installé à Neuilly-sur-Seine prendra possession de ses nouveaux locaux à partir de début septembre 2015.
Dans cette transaction, l’UBAF était conseillée par Catella Property et Icade par BNP Paribas Real Estate.
L’UBAF rejoindra Air Liquide qui a pris 9 955 m² répartis sur les étages 17 à 21, la Banque de France qui elle a pris les étages 22 à 24 dans la tour Eqho soit 5 616 m² et KPMG qui va s’installer dans l’année sur 40 468 m² à travers le 1er étage et le 7ème étage et du 25ème étage au 40ème étage.
Avec cette transaction, la tour Eqho dispose encore de 11 506 m² vacants en partie basse entre le 8ème et 14ème étage.
Ancienne tour Descartes qui a abrité le siège d’IBM de la fin des années 80 à 2009, Eqho a entièrement été rénovée par Icade entre 2010 et 2013. Haute de 140 mètres la tour développe 79 000 m² de bureaux répartis sur 40 étages.
La tour Eqho dispose de cinq restaurants : Le Prisme, le Green, le Reflet, la cafétéria l’Horizon et un restaurant panoramique au 39ème étage. L’édifice promu comme un « campus à la verticale », par Icade propose de nombreux services : un parking privé de quatre niveaux en sous-sol de 1 100 places (voitures, bornes pour voitures électriques, vélos, deux-roues), un auditorium en gradins de 350 places, une conciergerie et bagagerie, un espace fitness comprenant notamment deux salles de squash, un salon de coiffure et un business center disposant de 18 salles de réunion avec espace lounge et terrasse ouvrant sur le quartier d’affaires. Pour ce dernier, le business center sera privatisé au profit du principal locataire de la tour KPMG.
Après avoir obtenu les certifications HQE NF bâtiments tertiaires en rénovation, BREEAM niveau « very good » et la labellisation BBC Effinergie rénovation (une première pour un immeuble de grande hauteur), la tour Eqho a été certifiée HQE exploitation.
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