Altaréa-Cogédim signe l’acte de vente avec l’EPADESA pour le « Quartett »

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13 janvier 2013 à 9h31

Altaréa-Cogédim signe l'acte de vente avec l'EPADESA pour le "Quartett"

L’EPADESA et le groupement de promoteurs Altaréa-Cogédim / Eiffage Immobilier ont signé le 11 décembre 2012, l’acte de vente pour la construction à Nanterre d’un programme mixte d’environ 23 000², dénommé « Quartett » qui comprend 140 logements familiaux, une résidence étudiante (118 chambres) et une résidence hôtelière (105 appartements) ainsi que des commerces, dont une moyenne surface alimentaire.

Situé à proximité immédiate de la gare Nanterre-Université et de l’Université Paris Ouest Nanterre La Défense, le programme « Quartett » s’intègre dans le projet Cœur de quartier (phase 1) de la ZAC Seine Arche, et dans un site en pleine mutation : construction de la nouvelle gare multimodale Nanterre-Université, restructuration en profondeur du quartier des Provinces Françaises (ZAC aménagée par la SEMNA). Le programme « Quartett », dont la construction doit démarrer courant janvier 2013 pour une livraison fin 2014 est la première pierre d’un quartier qui sera achevé d’ici 2018.

Les quatre volumes qui composent le programme se situent le long du boulevard des Provinces Françaises, au-dessus de commerces. L’architecte Jean-Paul Viguier a dessiné les quatre bâtiments comme résolument contemporain en étirant les formes (balcons extérieurs) et en jouant sur les transparences. Des jalousies métalliques finement ciselées animent les façades et préservent l’intimité des résidents. Le végétal tient une place importante dans cette composition : les étages supérieurs bénéficient de terrasses, côté jardins les appartements profitent d’un environnement végétal foisonnant : arbres, prairie fleurie, graminées, vivaces.

« Quartett » a fait le choix d’une certification NF Logement Démarche HQE et intègre les normes de qualité et de confort les plus exigeantes. En matière d’énergie, la résidence prétend au label Bâtiment Basse Consommation Effinergie.

Coface Service s’installe aux côtés de l’EPADESA et de la CCIP 92 dans Via Verde

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Adrien Teurlais

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12 janvier 2013 à 10h30

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Via Verde se remplit petit à petit. Après l’installation de l’EPADESA et de la Chambre du Commerce et de l’Industrie dans l’immeuble Via Verde, c’est Coface Service qui va s’y implanter. L’entreprise a pris à bail la totalité du septième étage soit environ 1 700m².

Le groupe MACSF a récemment acquis auprès de BNP Paribas Real Estate cet immeuble, qui est le seul immeuble de bureaux, neuf de Nanterre, labellisé BBC, et certifié HQE. Il a été récompensé de la Pyramide de Vermeil 2012, prix de l’immobilier d’entreprise. Cet immeuble de 7 étages pour 15 000m² comportant 109 places de parkings est signé de Willmotte & Associés, il a été livré en 2012.

Dans cette transaction, BNP Paribas Real Estate Transactions a agi en qualité de conseil du bailleur et du preneur.

Les 120 collaborateurs de l’EPADESA occupent 4 312m² soit la moitié du 3 ème étage et l’intégralité du 4 ème étage ainsi qu’une partie du RDC qui est dédié à sa « galerie des projets. La Chambre du Commerce et de l’Industrie des Hauts-de-Seine occupe elle depuis le le début de l’été 2012, 3 100m² pour sa centaine de salariés dans une partie du 1er étage, l’intégralité du second étage et partage le 3ème avec l’EPADESA.

Starbucks vous fait le Latte Tall à 2€

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Adrien Teurlais

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11 janvier 2013 à 3h28

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Après les expresso offerts tous les lundis matin pendant plusieurs semaines, la chaîne Starbucks bien implantée à La Défense fera tous les lundis du mois de janvier 2013 son Latte au format Tall à 2€ au lieu de 3,50€.

L’offre est valable les lundi 14, 21 et 28 janvier 2013 de 8h à 10h dans les quatre Starbucks du quartier à savoir celui de Cœur Défense, celui du Faubourg de l’Arche et les deux des Quatre Temps. En revanche le Starbuks de la gare Cœur Transport de La Défense (RER, Métro, Tram, bus et Transilien) ne proposera pas l’offre car ce dernier est géré par un tiers, SSP.

La grève des taxis se fait ressentir à La Défense

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Adrien Teurlais

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11 janvier 2013 à 10h25

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Des taxis place Carpeaux - ©Defense-92.fr

Difficile de trouver un taxi dans le quartier ce jeudi 10 janvier 2013. Le mouvement social des chauffeurs de Taxi qui a été très suivi en France l’a été à La Défense. Habituellement pleine de taxis attendant de prendre en charge des clients, la principale station de La Défense située place Carpeaux était bien vide. Tout au long de la journée les clients devaient attendre les très rares taxis qui ne suivaient pas le mouvement social. A la borne d’appel, Alain devant se rendre dans le XVIIème pour un rendez-vous au bout d’une dizaine de minutes a renoncé à prendre un taxi et a pris le métro. En revanche Paolo a eu un peu plus de chance : il a attendu à peine cinq minutes un véhicule pour se rendre à Roissy où l’attendait son avion.

Au deux autres stations de taxi c’était guère mieux, voire pire. A la station située rue des Michets Petray au pied de l’immeuble Voltaire, il y avait bien des taxis, mais aucun n’était en service. Quant à la station devant les hôtels Ibis et Novotel très peu de taxis prenaient en charge des clients.

Trois jours pour trouver sa voie

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Adrien Teurlais

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10 janvier 2013 à 9h21

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Les collégiens de tout le département des Hauts-de-Seine arpenteront cette année encore les allées du salon du Top Métier organisé par le conseil général des Hauts-de-Seine qui va se dérouler du jeudi 21 février au samedi 23 février 2013 au CNIT. Pour cette huitième édition presque 800 professions seront représentées avec 1 200 professionnels présents.

Les principaux secteurs d’activités seront représentés, sans oublier les métiers plus méconnus, comme les archéologues départementaux, la garde équestre, les fontainiers, les fermiers…

Le forum est ouvert à tous les élèves (collégiens et lycéens) et leurs parents, pendant les trois jours, de 9h à 18h. De nombreux ateliers et démonstrations métiers animent ce forum très visuel qui permet aux jeunes de réfléchir et de devenir acteurs de leur orientation.

Le site dédié topmetier.hauts-de-seine.net donne accès à de nombreuses informations actualisées chaque semaine. Il permet de consulter le programme et le plan du forum, et de créer en ligne son badge d’accès. Il regroupe également près de 400 fiches métiers, des interviews et des vidéos.

En 2012, plus de 28 000 visiteurs se sont rendus à cette septième édition contre 30 000 en 2011.

L’Arena 92 va t-il finir aux oubliettes ?

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Adrien Teurlais

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9 janvier 2013 à 10h19

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Le stade Arena 92 - ©Christian de Portzamparc

Des nuages sombres trônent au-dessus du projet de l’Arena 92. Les travaux qui auraient dû initialement débuter au début de l’année dernière avaient été bloqués par deux recours déposés par des associations de riverains. Depuis le premier recours déposé par Acri–Liberté a été levé et le second par l’association GAP est en passe de l’être.

Plus rien de semble retenir le lancement des travaux de ce complexe sportif dessiné par Christian de Portzamparc. Mais aujourd’hui la rentabilité d’un tel équipement pour le Racing Métro 92 est remis en question. Le devis établi par Vinci a augmenté et est passé à 350 M€ contre 200 M€. D’autant que plusieurs équipements dédiés au rugby sont en train de sortir de terre dans la région parisienne dont le stade Jean-Bouin ainsi que le stade à Ris-Orangis.

Le club des Hauts-de-Seine pourrait donc se retrouver sans stade si le projet venait à avorter. En effet d’ici 2016, il est prévu sur le stade actuel du Racing, le Manoir à Colombes, d’ériger un complexe de handball pour l’équipe de France. Jacky Lorenzetti, le président du Racing avait récemment dit qu’il trouverait un autre endroit. Plusieurs possibilité sont envisagées : Charlety ou encore Jean-Bouin en alternance avec le stade Français.

Reste que si l’équipement de l’Arena 92 ne voit pas le jour c’est tout le quartier des Groues qui pourrait rester en déshérence encore plusieurs années. Depuis l’annonce par Jacky Lorenzetti de l’Arena 92 à Nanterre, l’EPADESA a initié le réaménagement complet de ce quartier situé à l’arrière de l’Arche. Plusieurs projets sont programmés : Les logements « Ilot » 19 (par les Nouveaux Constructeurs), l’hôtel Valmy (par Unibail-Rodamco), l’université, le programme de logements et de chambres étudiantes par le promoteur Nexity, la salle de sport,… L’établissement d’aménagement de La Défense Seine-Arche projette d’y construire une grande rampe en pente douce de 700 mètres de long sur 40 mètres de large pour relier le parvis de l’Aréna 92 au parvis de La Défense à l’arrière de l’Arche.

Tous ces projets, même s’ils ne sont pas réalisés par le même promoteur sont étroitement liés au complexe multimodal du club Alto Séquanais. La rampe d’accès et le réaménagement des jardins de l’Arche seraient financés en grande partie par les droits à construire de l’Arena 92. Et il n’est pas sûr qu’ Unibail-Rodamco veuille se lancer dans la construction de son hôtel s’il doit donner sur un terrain vague.

Mais à l’EPADESA on se veut rassurants, l’établissement rappelle que pour l’instant le projet est toujours dans les cartons. Concernant les autres projets des Jardins de l’Arche l’EPADESA temporise « En cas d’annulation de l’Arena 92 ils seront tous réalisés, chacun est indépendant ». L’établissement explique que seule la grande rampe d’accès pourrait ne pas voir le jour dans l’imédiat, en effet celle-ci devrait être financée en très grande partie par le complexe du Racing.

Patrick Jarry, le maire de Nanterre qui reconnait que la conjoncture a changé et que les banques prêtent moins facilement, déclare garder espoir de voir arriver les grues. Le maire en avait fait un enjeu politique en mettant en avant auprès de ses concitoyens les nombreux emplois qui seraient créés liés au projet.

Si les responsables du Racing ne souhaitent pas vraiment communiquer pour le moment on devrait en savoir plus dans les prochains mois.

L’EPADESA change son image

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Adrien Teurlais

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8 janvier 2013 à 10h57

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Des traits de repères gris parallèles et perpendiculaires, des lettres « pas fini » écrites en rouge aux allures de plan d’architectes, l’établissement de La Défense Seine-Arche change son identité visuelle. Finie l’appellation « La Défense Seine-Arche », l’établissement d’aménagement vient de lancer son nouveau logo. L’aménageur revient aux fondamentaux en abandonnant son sigle « La Défense Seine-Arche, De la Seine à la Seine » pour reprendre son nom d’origine « EPADESA ». Depuis la fusion de l’EPAD et de l’EPASA, les deux établissements d’aménagement du secteur, les dirigeants avaient souhaité présenter la fusion en créant ce fameux sigle « La Défense Seine-Arche » et créer une marque pour La Défense.

Imaginé par l’agence « Change is Good », le logo met en avant les sept lettres de l’établissement. L’établissement d’aménagement souhaite recentrer son image, plus comme une marque mais de nouveau comme un établissement d’aménagement de territoire. Après les attaques sur son fonctionnement, sa gestion et sur son utilité, l’établissement a souhaité rappeler dans son slogan son utilité en inscrivant « Etablissement Public d’Aménagement de La Défense Seine Arche » mais surtout en rappelant « Opération d’intérêt National ».

« Cette nouvelle version a été réalisée pour bien expliquer les missions de l’EPADESA au public et aux promoteurs » explique la porte-parole de l’établissement.

Plusieurs déclinaisons ont été créées qui seront affichées sur les différents supports de l’établissement.

Pour accompagner ce changement, le site de l’établissement a été légèrement modifié avec une petite réorganisation de certaine rubriques.

Par ailleurs l’adresse du site internet de l’établissement a changé pour devenir tout simplement « www.epadesa.fr ». L’adresse « www.ladefense-seine-arche » reste active.

Les Echopes de Puteaux ouvriront en février prochain

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Adrien Teurlais

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7 janvier 2013 à 10h55

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Les Echopes de Puteaux ouvriront en février prochain - ©Defense-92.fr

Les pompes à essence d’Esso, rue Paul Lafargue à Puteaux fermées en mai 2009 laisseront d’ici quelques semaines la place à des commerces de proximité. Six commerces vont ainsi voir le jour au bas d’un immeuble de logements sur environ 700 m². Un carrefour City de 428 m², un pressing « Séquoia » de 82 m², Un Thiriet (produits surgelés) de 280 m², un caviste Nicolas de 70 m², un salon de coiffure Jean-Louis David de 85 m² et une boulangerie « Les Fromentiers » de 172 m².

Le projet a été mené conjointement par Defacto qui était propriétaire de ce local et par la mairie de Puteaux. Ces Echoppes sont situées à l’angle de la rue Paul Lafargue et de la rue de la Roque de Fillol et à l’angle de la rue Paul Lafargue de la rue de l’Oasis.

Le ruban des Echoppes sera coupé le 26 février prochain pour une ouverture le lendemain, le mercredi 27 février 2013.

Philippe Chaix va t-il rester à la tête de l’EPADESA ?

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Adrien Teurlais

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5 janvier 2013 à 4h39

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Restera ou ne restera pas ? le sort du directeur de l’établissement d’aménagement de La Défense Seine-Arche est toujours en suspens. Depuis l’arrivée de la gauche au pouvoir et après des soupçons de dérives des dépenses durant des salons et déplacements dénoncées par le Canard Enchainé l’été dernier, l’éviction de Philippe Chaix, en place depuis octobre 2008 à l’EPADESA semblait de plus en plus certaine à tel point que la ministre elle même annonçait son remplacement. A l’automne un certain Amin Khiari, ancien directeur du Pôle Leonard de Vinci était sur les rangs comme sept autres candidats pour briguer le poste. Mais face à une polémique naissante devant l’arrivée probable du fils de la vice présidente du Sénat,son nom avait rapidement été écarté. Le 18 octobre 2012, lors d’un conseil d’administration l’établissement, la ministre Cécile Duflot avait donné sa nouvelle feuille de route aux administrateurs sans donner de nom pour un nouveau directeur.

Comme l’explique Le Parisien, aujourd’hui le départ de Philippe Chaix en congés jusqu’au 14 janvier 2013 ne semble plus à l’ordre du jour. Le haut fonctionnaire de 58 ans qui a fait les bancs de l’ENA un an avant François Hollande n’est pas pour autant à l’abri. Son entourage rappel que Daniel Canepa a été remercié par le gouvernement sans ménagement. Son avenir est aujourd’hui entre les mains du premier ministre explique le Parisien dans son édition des Hauts-de-Seine.

Le ministère de l’Environnement s’installera dans la tour de l’Esplanade

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Adrien Teurlais

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4 janvier 2013 à 7h38

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C’est désormais officiel, le ministère du Développement Durable et celui de l’Egalité desTerritoires et du Logement vont s’installer la tour de l’Esplanade à ce jour nommée tour Séquoia propriété de Tishman Speyer et occupée par le siège de SFR jusqu’à son départ en octobre prochain pour St Denis. Cette tour construite au début des années 90 qui se développe sur une surface 53 600 m² sera entièrement occupée par les deux ministères qui ont pris à bail également les 251 places de parkings. La tour, qui est certifiée HQE Exploitation, sera rénovée afin d’accueillir les équipes du ministère à partir de juillet 2014.

« Aujourd’hui, l’administration centrale commune aux ministères du Logement et de l’Ecologie est répartie sur cinq sites à La Défense et compte environ 4 800 collaborateurs » explique le secrétariat général du ministère. A l’issue de cette installation les deux administrations seront implantées dans la tour de l’Esplanade et dans la paroi sud de la Grande Arche qui sera rénovée dans les prochains mois.

Le coût total de l’opération, charges comprises, s’élève à près de 540 M€ pour le loyer sur 13 ans et demi, confirme le ministère.

L’Etat qui a prévu une clause dans le contrat lui permettant de se porter acquéreur de la tour, pour l’acheter en 2016, une date pour l’instant « de principe » précise le secrétariat général. L’Etat devrait ainsi lancer un appel d’offres auprès de crédit-bailleurs.

Dans cette transaction, Tishman Speyer était conseillé, pour les opérations de financement, par l’étude Wargny-Katz et le cabinet De Pardieu, Brocas, Maffei. Le ministère de l’Ecologie était conseillé par Aktis Partners et l’étude notariale Allez & Associés.

Les tours Pascal A et B livrées en 1983 et développant une surface de 64 000 m² où sont actuellement implantés les bureaux du ministère devraient être transformées après son départ. Le propriétaire de l’ensemble, Morgan Stanley pourrait transformer le bâtiment de bureaux en un immeuble de logements ou encore un hôtel.

Le ministère va également libérer des surfaces dans l’immeuble Voltaire – situé en face de l’immeuble Pascal- qu’il partage avec GDF Suez et dont il est aussi locataire.

Quant à la partie haute de la paroi nord de la Grande Arche, dont l’Etat est propriétaire, le ministère n’a apporté aucune précision.

Defense-92.fr