Ivanhoé Cambridge, anciennement Stiq a conclu un bail avec la société Aélia du groupe Lagardère Services actuellement installé à Neuilly-sur-Seine, portant sur la location de 4 000 m² de bureaux dans la Tour Prisma. Le bail de ce premier locataire du bâtiment d’une durée ferme de six ans porte sur l’occupation des étages 1 à 4 de cette tour qui en comporte 22 depuis la dalle. Gan Eurocourtage, l’ex occupant avait quitté l’immeuble construit en 1998 en 2010 pour s’installer dans l’immeuble Elysée Défense permettant à Ivanhoé Cambridge de lancer la rénovation de ce bâtiment de 24 000m². Les travaux d’un montant de 15 M€ consistaient essentiellement dans la remise à neuf des plateaux de travail de 1 044 m² répartis des étages 1 à 21 ainsi que la rénovation complète des espaces de restauration. Ivanhoé Cambridge également propriétaire des tours T1 et T2 (GDF-Suez) dispose encore de 17 748 m² soit des étages 5 à 22 de Prisma.
Comme c’était à prévoir le juge du tribunal administratif de Cergy à suivi l’avis du rapporteur public en rejetant les trois recours contentieux déposés en 2011 par l’association « Village » le groupe politique « Une Autre Ambition pour Courbevoie » et le propriétaire de l’immeuble Triangle de l’Arche « Horbouts 1 et 2 ».
Lors de l’audience au tribunal administratif de Cergy du 25 avril dernier, le rapporteur public avait donné un avis défavorable aux trois requérants donnant ainsi raison à la société CNIT Développement filiale d’Unibail-Rodamco. Parmi les nombreux éléments pointés par les trois requérants, le rapporteur avait estimé qu’il n’y avait pas de risque pour la tour Phare de provoquer un « effondrement de la dalle », mais aussi que le projet du prolongement d’Eole vers l’ouest résultait d’un « décalage temporel » et que le permis de Phare ne pouvait donc pas tenir compte de l’emplacement d’Eole. Pour les effets venturis et l’ensoleillement, le rapporteur avait déclaré lors de l’audience que l’impact était pris en compte par l’étude. Concernant la poussière liée au chantier, cette étude avait estimé que l’impact était « difficile à évaluer » en précisant qu’il y aurait peu de démolition et donc peu de poussière. Autre argument mis en avant par les requérants visant à faire annuler le permis de construire de la tour Phare : la légitimité de son architecte Thom Mayne. Il était estimé que l’architecte américain n’était pas inscrit à l’ordre des architectes français. Le rapporteur a expliqué qu’un arrêté ministériel du 20 juillet 2007 autorisait l’architecte américain à construire sa tour en France. Sur l’argument de la saturation des transports en commun le rapporteur avait alors rappelé le prolongement d’Eole, la mise en service des rames à deux niveaux sur le RER A, l’automatisation de la ligne 1 du métro et le prolongement vers le Pont de Bezons du Tramway T2.
La destruction de la passerelle reliant la place Carpeaux au Faubourg de l’Arche, l’un des arguments de l’association Village était reproché. Le rapporteur avait également apporté une réponse sur ce point en rappelant qu’une passerelle provisoire serait créée et qu’une autre passerelle accessible aux PMR existe à une centaine de mètres.
Jean-André Lasserre, responsable du groupe politique « Une Autre Ambition pour Courbevoie » n’a pour l’heure pas indiqué s’il comptait faire appel de la décision. « Nous attendons de voir le jugement et nous prendrons notre décision la semaine prochaine lors d’une conférence de presse » a déclaré l’élu PS d’opposition à Courbevoie.
André Fessy, le responsable de l’association envisagerait de faire appel et d’attaquer le permis de l' »IUP » qui permettra d’acheminer en air frais la climatisation de la tour Phare.
Tout n’est pas réglé pour autant pour la foncière qui doit toujours trouver un accord avec la mairie de Courbevoie pour la construction de la passerelle provisoire. Fin 2011, en décembre Jacques Kossowski, le maire de Courbevoie avait , dans un courrier, renvoyé dans les cordes Unibail-Rodamco en lui demandant de revoir sa copie de passerelle suspendue équipée d’escalators et d’ascenseurs pour créer une passerelle provisoire de plain-pied. Sans cet accord avec la mairie de Courbevoie, Unibail-Rodamco ne pourra lancer les travaux. En effet si la tour Phare est implantée sur le territoire de Puteaux, l’actuelle passerelle de plain-pied construite en 2007 après plusieurs années de retard, reliant La Défense au Faubourg de l’Arche en enjambant le boulevard circulaire, devra être détruite durant les travaux de la tour. Afin de ne pas manquer aux quelques 30 000 personnes qui l’empruntent chaque jour, un équipement provisoire devra obligatoirement être mis en place. Installée sur les deux communes : Puteaux et Courbevoie, cette passerelle provisoire nécessite l’accord du maire de Courbevoie.
L’épaisse fumée noire visible depuis La Défense a attiré de nombreux badauds et interpellé de nombreuses personnes qui cherchaient à savoir d’où pouvait bien se dégager la fumée. C’est vers 13h10, le lundi 14 mai 2012 que le feu s’est déclenché dans le garage BMW au 68 boulevard de la Mission Marchand à deux pas de La Défense à Courbevoie. Le garage dépend de la concession de vente de deux-roues BMW situé boulevard de la Grande Armée à Paris. Un mécanicien explique avoir entendu un gros « boum » vers 13h puis vu d’importante flammes de la hauteur du bâtiment. Le chef d’atelier a donné l’alerte avant de quitter les lieux avec une secrétaire ainsi que huit autres personnes présentes dans les locaux. Rapidement arrivés sur place les pompiers venus en grand nombre : 140 soldats du feu de 18 casernes dont celle de La Défense n’ont maitrise le sinistre qu’une heure après vers 14h20. Un lourd dispositif a été déployé par les sapeurs pompiers de Paris avec une quarantaine de véhicules dont trois camions à grande échelle et 10 lances à incendie déployés.
Il ne reste presque plus rien des 1 100 m² de l’atelier de réparation BMW qui comportait un étage où était stockées environ 70 motos et de nombreux produits d’hydrocarbure. La verrière du bâtiment arrière a été totalement détruite tandis qu’une partie du toit du bâtiment avant, donnant sur le boulevard s’est effondré. D’après l’un des responsables de la concession qui était locataire, le bâtiment ne pourrait être rénové et devra donc être reconstruit.
Cet important incendie n’a heureusement fait aucune victime même légère et ne s’est pas propagé aux immeubles mitoyens. L’immeuble d’habitation voisin de six étages du boulevard de la Mission Marchande a toutefois vu sa façade complètement noircie par les flammes.
L’origine du feu serait de cause accidentelle d’après les enquêteurs de la police scientifique qui exclut l’origine criminelle.
Les 18 salariés de l’atelier BMW ont pour certains été réaffectés à d’autres garages de la région et pour d’autres mise au chômages technique. Les responsables de la marque allemande nous indiquaient espérer pouvoir rouvrir l’atelier le plus rapidement possible et minimiser le chômage technique des salariés.
Si le tramway qui n’est pas encore mis en service n’a pas été affecté, le trafic routier a été coupé ainsi que les lignes de bus. Le boulevard de la Mission Marchand vers la place de Belgique est resté coupé à la circulation jusqu’en début de soirée causant d’importants bouchons à partir de la sortie du tunnel de l’A14.
« Dans votre vie quotidienne ou dans le cadre de votre activité à La Défense, vous sentez-vous en sécurité ?, Lorsque vous vous trouvez seul(e) à La Défense, après la tombée de la nuit, vous sentez-vous en… ?, Votre entreprise dispose-t-elle de locaux accessibles au public ?, Avez-vous été victime d’une agression » sont l’unes des questions posées aux salariés, étudiants, habitants ou touristes de La Défense. Jusqu’au 24 mai 2012, Defacto, l’établissement de gestion de La Défense interroge le public sur la sécurité dans le quartier à travers six thèmes : Qui êtes-vous ?, la sécurité dans les espaces publics, la sécurité dans les transports en commun et les parkings, la sécurité sur votre lieu de travail, la sécurité dans les espaces commerciaux et la perception quant à l’action des acteurs et attentes en matière de sécurité.
Le questionnaire est accessible jusqu’au dimanche 27 mai 2012 via le site de Defacto ladefense.fr ou bien à télécharger ici et à envoyer à Defacto – Direction de la Sécurité et de la Sûreté – 5/6 Place de l’Iris – 92 095 Paris La Défense cedex avant le dimanche 3 juin 2012.
Comme pour les habitants de La Défense, Philippe Chaix le directeur de l’EPADESA a rencontré les habitants de Nanterre Seine-Arche. Durant ces réunions ouvertes principalement aux habitants de La Défense et de Seine-Arche qui sont organisées tous les trimestres le directeur de l’établissement d’aménagement de La Défense Seine-Arche fait le point sur les différents projets et chantiers du secteur.
Lors de cette réunion de deux heures qui s’est déroulée samedi 12 mai à 10h30 et qui a réuni une petite vingtaine de personnes, Philippe Chaix a abordé différents projets de la Seine-Arche à proximité de La Défense.
L’emplacement de la future gare du RER E de Nanterre semble se préciser sur le site du faisceau. La station devrait se située à quelques mètres de son emplacement prévu à l’origine, en surface à la place des entrepôts Géodis. Elle serait construite simultanément avec celle du Grand Paris Express qui elle sera souterraine. Le prolongement d’Eole vers l’ouest qui est programmé avant la construction des lignes du Grand Paris Express permettrait avec cette solution, une économie en temps et en argent évitant de construire la station souterraine après celle du RER E « quitte à ce que la station reste une coquille vide en cas de retard ou d’annulation du Grand Paris Express » déclare Philippe Chaix. Ce changement d’emplacement entrainerait la destruction de bâtiments dont un immeuble de bureaux appartenant à Silic situé au 14 avec François Arago à Nanterre.
« Le conseil général des Hauts-de-Seine votera dans les prochains jours la mise en double sens de la D 914 » précise Philipe Chaix. Ce dédoublement est aujourd’hui l’une des « exigences » d’Acri-Liberté l’une des deux associations à l’origine d’un recours contre le stade de l’Aréna 92.
Philippe Chaix est revenu longuement sur les projets liés à l’Aréna 92. Une école d’économie et de gestion lyonnaise projette de construire une antenne « aux Jardins de l’Arche » indique le directeur de l’EPADESA. L’emplacement du bâtiment d’une dizaine d’étages se situera entre l’hôtel Renaissance et l’Espace 21 sur le terrain qui aurait dû accueillir au milieu des années 90 une salle de spectacle. Face à l’Aréna 92 de l’autre côté du parvis, la mairie de Nanterre projette la construction d’un petit immeuble de deux étages pour héberger la maison des sports. Des commerces sont également prévu le long des Jardins de l’Arche une fois réaménagés.
Projetée sur les maquettes de l’aménageur depuis plusieurs années, la tour imaginée entre l’Aréna 92, la D 914 et le cimetière de Neuilly ressort des cartons. Compatible avec le PLU de Nanterre, cet IGH avec pour nom de code « Tour des Serres de Neuilly » pourrait voire le jour à l’horizon 2020 et culminer à 200 mètres.
Un prolongement en souterrain ou aérien de la ligne 1 de métro est envisagé à terme vers le site des Groues a déclaré Philippe Chaix qui affirme que les études sont « sérieuses ».
Du côté de La Défense, la Caisse de Retraite des personnels navigants envisage la restructuration de l’immeuble Le Galion occupé par Orange pour le transformer en bureaux et logements.
Enfin les parkings « MP89 », propriété de l’EPADESA et loué à l’office HLM appelés « Le Croissant » en raison de leur forme, situés sur le boulevard Pesaro à moitié abandonnés et largement sous utilisés pourraient être détruits d’ici deux ans pour laisser place à des bâtiments de 5 ou six étages en 2015-2016. Ces immeubles abriteraient l’école Maxime Gorki, des logements et bureaux ainsi que l’école EDC. L’école, avec ce programme quitterait les Damiers, emplacement des futures tours Hermitage Plaza.
A partir du 10 mai 2012, la ligne 1 passe en 100% automatique tous les soirs dès 21h00 et jusqu’à fin de service. Cette automatisation permet notamment d’adapter instantanément la capacité de transport en situation d’affluence soudaine et d’offrir ainsi en heures creuses la possibilité de réaliser plus de 200% du service prévu.
Aujourd’hui, la ligne est exploitée à plus de 50% avec des trains automatiques en semaine et à plus de 70% pendant le week-end. Plus de la moitié de sa production se fait donc en exploitation automatique. C’est ainsi 23 nouveaux matériels qui circulent en mixité avec des trains classiques et leur nombre augmente au rythme de deux par mois.
La prochaine étape marquante sera réalisée à l’été 2012, date à laquelle, la ligne sera également automatique tous les week-end et comptera trente trains automatiques en service. La ligne 1, qui a déjà réalisé la plus grande partie de sa mutation, tout en respectant le planning initialement prévu, sera intégralement automatisée fin 2012.
Le 3 novembre 2011, la RATP mettait en service les premiers trains automatiques, avec voyageurs, de la ligne 1 du métro (Château de Vincennes – La Défense-Grande-Arche). Depuis cette date, la RATP fait cohabiter des trains automatiques et des trains à conduite manuelle. Cette exploitation mixte représente un véritable défi, relevé au quotidien par les agents de l’entreprise.
L’automatisation de la ligne 1 est une première mondiale du point de vue technologique et organisationnel pour la plus ancienne et la plus fréquentée des lignes du métro parisien, avec 725 000 voyageurs par jour. Une automatisation réalisée pour la première fois sans interruption majeure.
Le groupe d’opposition de Courbevoie « Une autre Ambition pour Courbevoie » qui regroupe le PS, Europe Ecologie les verts et le Parti Communiste a annoncé dans un communiqué le dépôt d’un recours gracieux contre la tour sud du projet Hermitage Plaza. Ce permis avait été accordé le 6 mars 2012 par le maire de Courbevoie en même temps que ceux de la tour nord et des quatre autres immeubles qui accompagnent les tours.
Les élus de Courbevoie qui s’attaque pour l’instant uniquement à la tour sud et dénoncent le découpage du projet en trois permis de construire dit « saucissonné ». Ils qualifient le projet de « maelström juridique opaque » concernant la qualité du propriétaire du projet, Emin Iskenderov.
Ils y qualifient également l’étude d’impact « d’aberrante », relevant « un nombre de places de parking sous-estimé, un impact sur les transports décalé et un impact sur la circulation aérienne sous-estimé ».
De son côté l’association « Vivre à La Défense » nous a annoncé le dépôt vendredi 4 mai 2012 auprès du maire de Courbevoie de trois recours gracieux. Contrairement aux élus de Courbevoie l’association attaque les trois permis : la tour sud et la tour nord ainsi que les quatre immeubles jouxtant les tours, soit l’intégralité du projet. L’association qui réunit de nombreux habitants des Damiers Anou et Bretagne qui laisseront place au projet, conteste l’emplacement, l’acheminement en gaz, la saturation de la station de l’Esplanade de La Défense de la ligne 1 du métro,…
Ces premiers recours qui étaient prévisibles, devraient en toute vraisemblance être suivis d’autres à brève échéance. En effet, nombreux sont les opposants à ce gigantisme. Philippe Chaix avait lui-même reconnu lors du MIPIM, le jour de l’obtention des trois permis de construire que le projet ferait l’objet d’attaques et de nombreux recours, le directeur de l’EPADESA expliquait que les recours seraient « normaux ».
Ces quatre recours gracieux devraient être suivis de recours contentieux.
Emin Iskenderov, le PDG d’Hermitage le promoteur du projet n’a pas changé ses ambitions : il souhaite lancer la construction malgré les recours qui rappelons-le ne sont pas suspensifs sauf si un tribunal le décide.
Le projet est pour le moment bloqué tant qu’un accord avec l’ASL n’est pas trouvé, accord qui sera signé avec les copropriétaires des Damiers Champagne et Dauphiné avant l’été, promet le promoteur Franco-Russe.
C’est un pas de plus pour l’Arena 92 mené par le Racing 92 avec la signature le 4 mai dernier de la promesse de vente des droits à construire avec l’EPADESA. Cette signature s’est déroulée après le déclassement et la libération des emprises situées au pied de la grande Arche sur Nanterre.
Complexe modulable et moderne d’une surface de 94 000 m², l’Arena Nanterre La Défense accueillera un club résident de rugby, le Racing métro 92, en configuration stade ouvert et une programmation culturelle et sportive variée pouvant accueillir jusqu’à 40 000 spectateurs. L’Arena 92 proposera l’une des plus importantes capacités « indoor » d’Europe et profitera de la desserte exceptionnelle de La Défense et de ses 22 000 places de parkings. Le programme comprend également 33 000 m² de bureaux, des commerces dont la boutique du club Racing Métro 92, une brasserie et un restaurant gastronomique.
Conçu par l’agence d’architecture Atelier Christian de Portzamparc, cet équipement sera réalisé par le groupe de BTP GTM Bâtiment du groupe Vinci et devrait être livré au premier trimestre 2015, enfin en théorie… Le projet fait l’objet depuis l’obtention du permis l’objet de deux recours contentieux d’association de riverains : l’un « d’Acri-Liberté » et l’autre de « Gap ». Ne voulant prendre aucun risque le Racing via sa société porteur du projet Stadium refuse de lancer les travaux et espère trouver un accord avec les protestataires, retardant pour l’instant le projet du complexe.
En janvier dernier Icade présentait une série de clichés du chantier de la tour Eqho au pied de la tour. La foncière a lancé la deuxième série de son exposition qui prend pour thème « Des étages ou des hommes ».
Icade expose du jeudi 26 avril 2012 au lundi 3 septembre 2012 une vingtaine de clichés d’ouvriers et responsables du chantier, réalisés par le photographe Javier Urquijo. Les photographies en noir & blanc sont exposées en grand format sur des plaques métalliques, accrochées aux palissades du chantier côté place des Vosges, agrémentées de textes explicatifs d’Icade.
Jusqu’à la fin du chantier mi-2013 deux autres expositions seront présentées avec pour thème la nouvelle façade et la tour terminée.
La société foncière Icade réalise depuis l’été 2010 la rénovation de la tour Descartes devenue Eqho en mars 2011. La tour Eqho d’une hauteur de 140 mètres se développe sur 89 900m² de bureaux répartis sur 40 niveaux. Le cabinet d’architecte Hubert et Roy a donné une nouvelle vie à l’ancienne tour occupée par IBM en changeant entre autres sa façade et en créant un nouveau hall. Avec des plateaux de 1700 m² entièrement rénovés , Eqho pourra accueillir plus de 5 670 postes de travail. La tour dispose de 1 100 places de parkings sur 4 niveaux et offrira à ses utilisateurs un auditorium de 350 places, des services à la personne (conciergerie, bagagerie…), cinq propositions de formules de restauration dont un restaurant panoramique, 1 000 m² dédiés au sport (incluant 2 terrains de squash).
« Eqho » : un projet à haute qualité environnementale. Ce projet a obtenu la double certification HQE rénovation et BREEAM Very good, labellisé BBC.
La livraison de la tour Eqho est prévue pour la mi-2013.
Un clip anti-UMP du 92 tourné avec La Défense comme toile de fond
Les premières secondes de la vidéo tournée de nuit à La Défense ressemblent à un véritable reportage, mais très rapidement les commentaires du « journaliste » laissent à penser qu’il s’agit d’un faux reportage. « Ile-de-France, ses grands ensembles, sa violence, ses bandes, un phénomène qui ne date pas d’hier. Derrière ces tours, des zones de non-droit, depuis le début des années 80, les bandes s’emparent des territoires abandonnés par l’Etat. Nous avons enquêté auprès de l’une d’entre elles, autrefois confinée à quelques localités du département des Hauts-de-Seine mais qui aujourd’hui répand ses activités sur l’ensemble du territoire » avec comme image de fond différentes tours de La Défense. Puis la voix-off très rapidement invite à écouter le témoignage d’un « chef du 92 UMP » « sous couvert d’anonymat ».
Passé 30 secondes, le faux reportage laisse place à un clip de rap dénonçant le « système UMP » des Hauts-de-Seine. « Pour 2012, lâche le flouz on prend les mêmes et on recommence » chante le rappeur Monsi du 6 « Nos villes sont sereines, Levallois-Perret, Neuilly-sur-Seine, Puteaux, Sèvre, La Défense, Suresnes, l’affaire est pérenne ». Le rappeur dénonce également l’affaire de Jean Sarkozy à la présidence de l’EPAD « On parraine nos fils, on surveille nos billes » avec une image du fils cadet de l’ancien président en illustration. « Les dossiers de Charles Pastis s’épaississent, notre mission : garder des potes quand les trahissons sévissent. Au conseil Général, c’est Dallas, même à Nice les mecs sont novices. Précis comme un devis Vinci, 3° cycle en blanchissement Pôle Léonard de Vinci » scande t-il en épinglant l’université Léonard de Vinci construite à La Défense par Charles Pasqua.
Tout les membres de l’UMP du département en prennent pour leur grade : Patrick Devdjian, Jean Sarkozy, Isabelle et Patrick Balkany,… Le tout illustré par des images des personnalités politiques UMP du département, des coupures de presse sur différentes affaires, le logo de l’UMP, des billets de 500€ et aussi de nombreuses vidéos tournées dans le quartier de La Défense. Les scènes tournées de nuit se déroulent à bord d’une berline C6 roulant sur le boulevard circulaire et le pont de Neuilly dans laquelle est installé le rappeur arborant une écharpe bleu, blanc rouge avec le visage flouté se faisant ainsi passer pour un « chef de l’UMP » .
Ce clip, qui n’a rien d’un montage amateur est en réalité un appel à voter contre le « 92 UMP » pour les élections présidentielles et aux élections législatives, afin de se « débarrasser de cette racaille » comme l’indique la conclusion du clip qui dure 4 minutes 15 secondes.
La vidéo qui a dû faire bondir les personnes concernées et plus largement l’UMP, a été réalisé par « L’élément clé & Monsi du 6 » et a été mis en ligne le 14 avril 2012. A ce jour ce clip posté officiellement par stillmuzic compte plus de 6 300 visionnages.
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