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Nicolas Sarkozy salue la décision de son fils sur Facebook

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Nicolas Sarkozy salue la décision de son fils sur Facebook.

Le président de la République, Nicolas Sarkozy a réagi le vendredi 23 octobre sur le réseau social Facebook, au renoncement par son fils à briguer la présidence de l’EPAD. Sur le » post publié » à 17h00, il félicite Jean pour avoir pris une décision  » sage et courageuse » et déclare être fier de lui. Voici son message : « Jean a fait preuve cette semaine de grandes qualités face à un choix difficile, dans un contexte qui dépassait largement sa seule personne. Il a pris une décision sage et courageuse. Je suis fier de lui. Il sait maintenant le travail qu’il lui reste… . Je vous remercie pour votre soutien et vos commentaires éclairants.  »
Très rapidement, plus de 1 200 commentaires ont été postés par des internautes.  » il deviendra un grand homme et marquera surement l’histoire un jour ! »
écrit Nathalie; Mahamat s’interroge sur la décision  » hum! la décision vient de Sarko ou de Jean ! ».

Jean Sarkozy fait sont entrée au conseil d’administration de l’EPAD

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Jean Sarkozy au conseil général le 23 novembre 2009 - Defense-92.fr

L’hôtel du département des Hauts de Seine était en état de siège, de nombreux policiers entouraient l’accès, ce vendredi 23 octobre. Plus cent soixante journalistes venus de France mais aussi du monde entier sont venus couvrir l’élection de Jean Sarkozy en tant qu’administrateur de l’EPAD, lors du conseil générale des Hauts de Seine. « C’est la première fois que je vois ça » dit en rigolant Hervé, qui travail depuis 8 ans à l’hôtel des Hauts de Seine

Une manifestation s’est déroulée dès 8h devant l’hôtel du département à l’appel du PC et du PS, le collectif « Sauvons les Riches » était également présent, malgré l’abandon de Jean Sarkozy à prendre la présidence de l’Etablissement Publique.

Durant une vingtaine de minutes, Jean Sarkozy a défendu sa candidature pour le poste d’administrateur : « Je ne renoncerai à rien de l’ambition que j’ai pour ce quartier d’affaires, je ne renoncerai à rien de ma candidature à ce poste d’administrateur » a t-il déclaré en ajoutant qu’il était « pour » la fusion de l’EPAD et de l’EPASA pour donner le nouvel établissement EPADSAS. « On ne construira pas La Défense si on ne s’appui pas sur tous les maires […] il n’y a pas de partenariat si il n’y a pas de concertation » a t-il souligné. Il a précisé qu’il n’était pas « déçu » et « ne regrettait pas » avoir laissé passer le poste de président face aux très nombreuses critiques.

« Je n’ai rien contre Jean Sarkozy, il ne manque sans doute pas de talent. Mais franchement vouloir lui faire débuter ainsi sa carrière politique est une grosse faute commise par ceux qui l’ont poussé dans cette mésaventure » a déclaré Patrick Jarry maire (PC) de Nanterre.

« Notre devoir à nous, majorité présidentielle, est de rester unis et fidèles à nos valeurs. Le président de la République sait qu’il peut compter sur notre totale loyauté, et sur la mienne en particulier […] La Défense est le plus grand quartier d’affaires d’Europe. Il est connu du monde entier, mais lui aussi souffre de la crise. Il est à un moment charnière de son développement. Développement qui n’est pas toujours soutenu dans cette ambition ».  » a annoncé Patrick Devedjian, président des Hauts de Seine et de l’EPAD, tout en rajoutant « Jean Sarkozy apportera au conseil d’administration de l’EPAD son dynamisme et un regard neuf. J’aurais plaisir à travailler avec lui ».

« Les beaux engagements d’aujourd’hui, j’aurais voulu que la droite les mette en œuvre dans le passé, notamment en ce qui concerne la concertation avec les élus locaux. En politique, on ne juge pas aux discours, on juge les actes », a lancé Nadine Garcia.
« La reculade de Jean Sarkozy ne règle rien à la fusion » a pour sa part martelé Pascal Buchet.

Jean Sarkozy a reçu les 30 voix de la majorité départementale, Nadine Garcia (PCF) a quant à elle regroupée les 15 voix de l’opposition PCF, PS et Verts). Il n’a pas exclu la possibilité de se représenter à la présidence dans les prochains mois. Jean Sarkozy a pris le siège laissé vacant par Hervé Marseille (NC), démissionnaire, qui jusqu’alors représentait l’assemblée départementale à l’EPAD.

Une question se pose : Quel candidat va se présenter contre Patrick Jarry pour la présidence de l’EPAD ? Il pourrait s’agir de Joël Ceccaldi, député-maire de Puteaux, ou de Claude Leroi, président de la chambre de commerce et d’industrie de Paris. Mais deux autres possibilités sont aussi envisagées : la première serait l’élection de Jean-Marc Michel, haut fonctionnaire directeur général du logement et de la nature, qui siège au conseil et qui pourrait prendre la présidence par intérim, le temps que la fusion s’effectue. Jean Sarkozy pourrait alors tenter de briguer le mandat une seconde fois…
La seconde serait la modification du décret qui fixe la limite d’âge à 65 ans, ce qui permettrait à Patrick Devedjian de poursuivre son mandat. La réponse : le 4 décembre lors du conseil d’administration de l’EPAD à la tour Opus 12.

Flash-mob Banana République sur le Parvis

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Une flashmob "Banana République" sur le Parvis contre la nomination de Jean Sarkozy à l'Epad le 22 octobre 2009 - Defense-92.fr

« Allo l’Elysée, j’aimerais vous proposer ma candidature pour l’EPAD … des diplômes ? non aucun, mais je suis très motivé… » pouvait-on entendre le jeudi 22 octobre 2009 sur le Parvis de La Défense. La communication avec l’Elysée sera t-elle vraiment passée ? visiblement non, mais une chose est sûre, une petite trentaine de personnes ont proposé leur candidature à la tête de l’EPAD. Cette flash-mob « Banana République » qui a débuté à 13h13, invitait les opposants à se rendre sur le Parvis de La Défense, au pied de la grande Arche, munis d’une banane sur laquelle était collé un petit drapeau Français. Ils devaient alors mimer une conversation téléphonique vers l’Elysée avec leur banane à l’oreille et déposer leur candidature pour être président à la tête de l’Etablissement Publique d’Aménagement, en soulignant leur inexpérience pour ce poste. Cette flash-mob a été lancée à l’appel d’Olivier Auber qui juge la candidature de Jean Sarkozy « Illégitime » et compare la France à une « république bananière » en expliquant qu’elle représente « la ligne directe avec le pouvoir ». Parmi les manifestants Alexandre, 50ans, ouvrier trouve « complètement aberrant, de n’avoir aucun diplôme autre que le bac » et souhaiterait voir « quelqu’un plus mur ». « C’est une dérive du pouvoir, cela devient tellement voyant que c’est intolérable » estime quant à elle Sophie, romancière, la cinquantaine, qui s’est déplacée de Paris pour l’occasion. D’autres flash-mob sont organisées dans plusieurs grandes villes de France, souligne Olivier Auber.

Le web se félicite du retrait de la candidature de Jean Sarkozy

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Jean Sarkozy sur France 2

Depuis 15 jours, c’est une véritable déferlante politique, médiatique mais également sur le web qui s’est produite. A l’annonce du retrait de sa candidature, le web s’est agité et notamment sur Twitter qui a fêté cette annonce en renommant le groupe « jeansarkozypartout » en « jeansarkozynullepart ». « Match de l’EPAD Twitter 1 -Sarko 0 » pouvait -ton lire sur le réseau social.
De nombreuses opérations ont été organisées sur le web : groupe sur les réseaux sociaux, sit-in, vidéos et photographies moqueuses, … Beaucoup parlaient de népotisme, et de république bananière.
Christophe Grebert, élu Modem de Puteaux et rédacteur de Monputeaux.com qui avait lancé la pétition contre l’arrivée de Jean Sarkozy à la tête de l’EPAD a quand a lui salué et remercié jeudi soir, les 93 000 personnes qui ont signé la pétition et s’est dit très content de cette victoire.

Un nouveau tracé pour le RER E

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Carte prolongement RER E. ©20 Minutes

Le comité de pilotage du projet de prolongement du RER E vers La Défense et Mantes la Jolie qui s’est réuni pour la première fois le mardi 20 octobre, a proposé une variante du projet qui prévoit la création d’un tunnel qui longerait celui du RER A, et prévoit une interconnexion avec la ligne C et 1 du métro à la Porte Maillot. Mais ce projet représente un temps de parcours supérieur d’environ 7,5min et un surcout de 200 à 250 millions d’euros. La variante prévoirait un tunnel direct entre Haussmann- Saint Lazare l’actuel terminus et La Défense sans aucune station intermédiaire ce qui permettrait une liaison en 6min.

Puteaux dit également non aux projet de fusion de l’EPAD et de l’EPASA

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Le conseil municipal de Puteaux. ©Cristophe Grébert

Après Courbevoie, puis Nanterre c’était au tour de Puteaux de s’exprimer contre le projet des deux décrets prévoyant la fusion des deux établissements publics de l’EPAD et de l’EPASA ainsi que l’extension du périmètre OIN. La vingtième et dernière question à l’ordre du jour demandait aux élus de se prononcer sur ce vote consultatif: la maire Joëlle Ceccaldi avait donné pour objectif de voter « non ». Lors des interventions des élus, Christophe Grebert, du Modem, qui était à l’initiative de la pétition contre la nomination de Jean Sarkozy à l’EPAD a déclaré, alors que quelques minutes plus tôt il apprenait le désistement de Jean Sarkozy à la présidence de l’EPAD, qu’il « remerciait les 93 000 signataires ». Propos qui ont énervé la maire, qui après quelques minutes a décidé de suspendre le conseil pendant une dizaine de minutes sous une avalanche de huées. A la reprise vers 20h40, Christophe Grebert revenant à la charge a de nouveau provoqué des cris d’élus de l’UMP et de partisans de la maire. Il a décidé alors en criant à la censure de quitter l’hémicycle. Le vote a eu lieu après son départ de l’assemblée qui a voté à l’unanimité  » contre  » le projet.

Jean Sarkozy jette l’éponge en renonçant à briguer la présidence de l’EPAD

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Grosse surprise, le jeudi 22 octobre, lors du journal télévisé de 20h de David Pujadas, Jean Sarkozy qui s’était porté candidat le 8 octobre 2009 à la présidence a annoncé le retrait de sa candidature face aux très nombreuses critiques venant de toute part. « Je serai candidat au poste d’administrateur de l’EPAD, mais si je suis élu je ne briguerai pas la présidence » a t-il déclaré. « Je ne veux pas d’une victoire entachée de soupçons », a-t-il ajouté, mais il a dénoncé une « campagne de manipulation et de désinformation ». « On a parlé « d’intrigues, de manœuvres et de choses fausses », a-t-il également dénoncé. « Je ne cours pas après les honneurs » précise t-il, en renonçant à la présidence de l’EPAD, « j’ai fait le choix de la raison », a-t-il insisté. «Ma candidature était pleinement légitime parce que je suis conseiller général», a-t-il tenu à souligner. «Est-ce que j’en ai parlé au Président ? Non. Est-ce que j’en ai parlé à mon père? Oui.» Il n’exclut toutefois pas de se représenter dans quelques mois ou années à la présidence de l’Etablissement Public. «Je ne suis pas sourd, ni aveugle. Et pour autant je souhaite défendre mes convictions», a-t-il conclu, assurant qu’il «n’y a aucune amertume chez moi». Une question se pose : quel candidat de droite va se présenter pour faire face à Patrick Jarry ? il pourrai s’agir de Joëlle Ceccaldi (UMP)maire de Puteaux ou bien celle de Claude Leroi qui est le président de la chambre de commerce et d’industrie des Hauts-de-Seine; le maire de Courbevoie Jacques Kossowski (UMP) ne pourra pas se présenter car il a atteint également la limite d’âge qui est fixée à 65 ans par l’EPAD. Mais il serait également possible de laisser Patrick Devedjian (UMP) en place, démissionnaire car frappé par la limite d’âge de 65 ans. Un amendement pour relever l’âge maximal des présidents d’établissements publics avait d’ailleurs été imaginé dans la loi sur le Grand Paris, avant de disparaître dans le projet final de Matignon.

Opération Grandeur Nature

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Opération Grandeur Nature.

A l’occasion de l’inauguration marquant la fin des travaux du CNIT, Unibail-Rodamco propriétaire du bâtiment et également des Quatre Temps organisent du jeudi 22 octobre au samedi 31 octobre 2009 l’opération commune « Grandeur Nature ». De nombreuses offres vous seront proposées : pour le tout nouveau CNIT Shopping ; Habitat vous offrira 15% de remise, Marionnaud 20%,… de l’autre côté du Parvis, les Quatre Temps vous proposeront 10% de réduction sur l’électroménager à Auchan, 20% de remise immédiate chez Sephora,… Des chéquiers de remises vous seront remis par des hôtesses. Pour vous rendre d’un centre à l’autre, trois « cyclobulles » vous transporteront. Des artistes déambuleront sur des échasses vêtus d’une robe végétale composée de fleurs et de feuilles, en cohérence avec le thème de l’opération. De gigantesques pots de végétaux trôneront aux entrées Parvis des deux Centres. Au détour d’un centre vous pourrez participer à un concours vous permettant de peut-être remporter un voyage à l’Ile Maurice.

Nanterre dit non à la fusion de l’EPAD et de l’EPASA

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Fusion Epad Epasa.

Après le « non » unanime des élus de Courbevoie, les élus de Nanterre ont voté à 49 voix « contre » et 4 « pour » (UMP), le vote consultatif du projet des deux décrets : l’un prévoyant la fusion de l’EPAD et de l’EPASA et l’autre l’extension du périmètre OIN sur Nanterre lors du conseil municipal de Nanterre le mardi 20 octobre 2009. Patrick Jarry, mairie PCF de Nanterre, qui s’est présenté également à la présidence de l’EPAD pour contrer Jean Sarkozy a déclaré lors du conseil  »

Je le dis avec gravité : c’est le devenir de Nanterre et de ses habitants qui se joue au travers de ces décrets. Ils sont une menace pour tout notre projet de ville. Ils poussent à un Ouest parisien invivable. Ils conduisent à une métropole plus inégalitaire et ségrégative, tournant le dos au nécessaire changement d’orientation en matière de développement durable […] Cela fait maintenant plus d’un an que le Président de la République se prépare, avec un cercle restreint, à ce projet catastrophique. Pour lui, il n’y a qu’une seule façon de sortir le quartier d’affaire et l’EPAD qui le gère, de leurs difficultés actuelles : rajouter 2 millions et demi de mètres carrés de bureaux, construire de nouvelles tours, attirer davantage les grandes sociétés internationales et les grands investisseurs mondiaux, et le tour serait joué ».

Le maire a rajouté dans son discours « A cette volonté de travail commun et d’échange, l’Elysée a répondu de la façon la plus brutale et autoritaire qu’il soit, en soumettant en plein mois d’août au vote des collectivités concernées les deux décrets sur lesquels nous nous prononçons ce soir. Et il rajoute à cette agression envers les habitants et les salariés de tout le secteur, la véritable provocation que représente la tentative d’imposer la candidature de Jean Sarkozy à la présidence de l’EPAD ».

La ville de Nanterre craint de ne plus avoir aucun contrôle sur son territoire après la fusion et l’extension du périmètre OIN qui s’étendra sur plus de 70% de la commune. « L’heure est donc à résister, de toutes nos forces, avec toutes nos voix, pour que ces projets de décrets soient retirés. Je l’affirme ici solennellement devant vous : nous irons jusqu’au bout. Nous multiplierons les initiatives publiques, nous engagerons toutes les procédures possibles devant les tribunaux. Nanterre n’acceptera jamais aucun diktat. Elle est ouverte au dialogue avec tous, mais elle exige le respect pour ses habitants » a t-il déclaré et a clôturé son discours en demandant au président de la république « d’entendre les voix de la raison et du bon sens » en justifiant que le « passage en force » n’est pas possible et que le projet est refusé par les communes de gauche comme de droite.

Il a par ailleurs annoncé que la pétition qui sera remise le 2 novembre à l’Elysée, contre ces deux projets de décrets a réuni plus de 4 000 signatures dès le week-end de son lancement.

Tous les partis d’opposition se sont opposés à ces décrets mis à part les élus de l’UMP. Frédéric Lefret qui durant une dizaine de minutes n’a cessé de marteler que cette fusion permettrait à Nanterre de se rouvrir et de reconnecter à l’ensemble des quartiers et notamment l’université de Nanterre et a dénoncé par ailleurs, les sommes investies dans la campagne de communication d’opposition aux projets de la mairie communiste, soit 450 000€ selon l’élu.

Une flash mob Banana République organisée contre Jean Sarkozy

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Une banane .

Un nouvelle « flash mob » est programmée à Paris le jeudi 22 octobre après l’annulation du Sit-in prévu le samedi 17 octobre contre l’élection de Jean Sarkozy à la présidence de l’EPAD. Il vous suffit de vous rendre sur le site bananarepublique.org, de rentrer votre numéro de téléphone ainsi que votre e-mail, le lieu de rendez-vous et l’heure vous seront communiqués par l’organisateur, quelques heures avant l’événement par sms, mais cette Flash-mob devrait se tenir sur le Parvis de La Défense au pied de la Grande Arche. Toutefois plusieurs flash mob auront lieu en France à l’initiative des internautes. « #BananaRépublique vous propose de « célébrer » dignement l’entrée de notre pays dans la farandole des régimes bananiers; ces pays où les dauphins succèdent au père, où la naissance et le pouvoir de l’argent font tout… Pour participer : vous devez acheter une banane, la décorer du drapeau francais : le but du jeu est de prendre la photo ou le film le plus original possibles incluant votre « banane téléphone » qui vous servira à mimer un entretient téléphonique avec l’Elysée pour vous présenté au poste de président de l’EPAD » explique l’organisateur sur le site. L’invitation est lancée à travers les réseaux sociaux comme « Twitter » et « Facebook » sur cette page #BananaRépublique.