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lundi 7 juillet 2025
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Céline Dion rajoute deux nouvelles dates à ses concerts de la Paris La Défense Arena

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Céline Dion vient de rajouter deux dates à ses concerts à la Paris La Défense Arena - DR

Deux de plus ! Face à l’énorme sucés de la vente des places pour ses quatre concerts prévus l’été prochain à la Paris La Défense Arena Céline Dion vient de rajouter deux nouvelles dates à sa tournée « Courage ».

La chanteuse québécoise se produira également les 3 & 4 juillet 2020 en plus des concerts programmés les 26, 27, 30 juin et 1er juillet. Ce sont donc en tout six concerts que promet de donner la star mondiale connue pour son titre « My Heart Will Go On ».

Pour acheter ses places il faudra une fois de plus être très rapide. La billetterie ouvrira ce mercredi 9 octobre à 10 heures.

Projet Hermitage : « Les travaux préparatoires ont démarré » assure son promoteur

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Les travaux préparatoires du Damier Bretagne ont débuté fin septembre affirme le promoteur Hermitage - Defense-92.fr

« Les travaux préparatoires ont démarré », voilà ce qu’annonce fièrement un communiqué du promoteur Hermitage au sujet de son mégaprojet présenté il y a plus de dix ans. Alors que Paris La Défense ne croit plus à ce projet pharaonique à tel point que l’établissement public a dernièrement enlevé les deux tours jumelles de la grande maquette du quartier d’affaires, le promoteur russe a assuré ce lundi soir avoir trouvé le financement pour bâtir ce projet chiffré à plus de 2,5 milliards d’euros.

Dans son communiqué diffusé en réaction à notre article sur la suppression de ses tours de la maquette de Paris La Défense, Hermitage affirme avoir levé cet été une première tranche du financement des travaux préalables à la construction de son projet et qu’une deuxième tranche sera mise en place d’ici la fin de l’année « pour couvrir la totalité des coûts de cette phase de pré-construction » et « amener le projet au stade du lancement de la construction ». Mais pas un mot du promoteur sur les détails de ce financement et surtout son origine ce qui laisse toujours planer le doute sur la viabilité économique du projet.

Cependant le promoteur Hermitage dirigé par Emin Iskenderov donne un peu plus de détails sur le chantier. « C’est ainsi qu’Hermitage, en partenariat avec RATP Habitat (ex Logis Transport, ndlr), a lancé lundi dernier 30 septembre 2019, les travaux de curage et désamiantage intérieur de l’immeuble Bretagne, le plus important des trois immeubles d’habitation sur le site, marquant la première phase de ces travaux préparatoires au lancement du projet », détaille le groupe immobilier.

Devant l’immeuble Bretagne qui fait partie de l’ensemble des Damiers (Seul les Damiers Infra, Anjou et Bretagne sont voués à être détruits pour laisser place au projet Hermitage) depuis quelques jours des pancartes de l’entreprise de démolition « Yvelines Travaux Services » ont en effet fait leur apparition. Certains permis de démolir ont eux été prorogés.

Un objectif de construction toujours pour l’horizon des Jeux Olympiques de 2024

Si le Damier Infra est complètement inoccupé depuis plusieurs années déjà et que celui du Bretagne a été évacué à l’été 2018 de ses derniers habitants réfractaires par des expulsions, l’Anjou est en revanche toujours occupé par huit familles.

Toujours dans son communiqué, Hermitage indique que le planning prévisionnel de son opération est de « clore cette première phase avant l’automne 2020 » puis « d’enchainer avec la construction afin de pouvoir livrer les deux tours pour les Jeux Olympiques d’été 2024 à Paris et la totalité du projet dans l’année qui suivra ».

« Les trois immeubles d’habitation sur le site représentaient 250 logements dont seulement quarante logements sociaux (PLS), les autres étant des logements intermédiaires (PLI) », poursuit Hermitage assurant qu’avec RATP Habitat il a créé « plus de 200 logements sociaux neufs, construits et livrés » dans le département des Hauts-de-Seine. Et de certifier que le projet permettra la création de 210 nouveaux logements sociaux (des logements étudiants) dans le cadre du projet.

Interrogé Paris La Défense n’a pas souhaité commenter le communiqué du promoteur mais a simplement confirmé « ne plus avoir de relation » avec Hermitage. Patrick Devedjian, le président des Hauts-de-Seine et de Paris La Défense qui se dit lui « très sceptique » ne croyant plus au projet a réaffirmé sa volonté de récupérer les 30 millions d’euros que doit Hermitage à Paris La Défense.

Le projet Hermitage Plaza – DR

Le Crédit du Nord ferme son agence de La Défense

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L'agence Crédit du Nord de La Défense a été définitivement fermé - Defense-92.fr

A l’intérieur de l’agence Crédit du Nord de la tour Franklin tout semble normal, les écrans fonctionnent encore, le mobilier est là, le distributeur automatique qui donne sur la dalle délivre encore de l’argent. Mais depuis courant juin une simple affiche collée sur la porte d’entrée de l’établissement ouvert dans les années 70 juste après la construction du building indique que l’agence est fermée et que les clients doivent désormais se diriger vers d’autres adresses du groupe.

Une fermeture qui n’est pas temporaire mais définitive comme nous l’a confirmé le groupe bancaire. Mais alors que d’autres grands groupes bancaires comme la Société Générale, BNP Paribas ou LCL ferment à tour de bras des agences dans le cadre de plans de restructuration, Crédit du Nord assure que cette fermeture est juste un cas isolé.

« Cette agence était plutôt concentrée sur une clientèle de particuliers. Elle ne se développait pas assez pour les professionnels », explique un porte-parole du Crédit du Nord assurant que tous les clients ont été informés en amont de la bascule. Les clients ont été répartis principalement entre les agences de Puteaux et Neuilly. Quant au personnel, tous ont été réaffectés.

Un tour de manège pour vous faire aimer les nouvelles recettes du Coca-Cola Light Taste

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Le manège de Coca-Cola est à découvrir toute la semaine sur la place de La Défense - Defense-92.fr

Tournez manège ! Pendant une semaine la dalle de La Défense va prendre un petit air de fête foraine. Pour accompagner le lancement des nouvelles recettes de sa boisson Light Taste, Coca-Cola organise depuis ce lundi et jusqu’à vendredi prochain une animation inédite sur la place de La Défense.

La célèbre marque de soda américaine a installé face au centre commercial Westfield un petit carrousel de huit mètres de haut (pour huit tonnes tout de même) aux vingt chaises volantes. L’occasion pour les salariés du quartier de s’offrir le temps de leur pause déjeuner un peu de sensation forte pendant trois minutes tout en dégustant l’une des nouvelles recettes la « Light Taste Exotic Mango ».

L’animation gratuite imaginée par l’agence Havas Event est à pratiquer tous les jours jusqu’à vendredi prochain de 10 heures à 19 heures. Le manège de Coca-Cola partira ensuite en tournée à Lille (Parvis centre commercial Euralille du 15 au 17 octobre), Strasbourg (Parvis de la Gare du 22 au 24 octobre), Lyon (Place Antonin Jutard du 29 au 31 octobre) et Nice (Quartier de l’Arenas du 5 au 7 novembre).

Entre matinée pluvieuse et après-midi parsemé d’éclaircies, la brocante du Faubourg de l’Arche a attiré les chineurs

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La quinzième édition de la brocante du Faubourg de l’Arche a été perturbé par la pluie - Defense-92.fr

La matinée pluvieuse ne laissait présager rien de bon. La quinzième édition de la brocante du Faubourg de l’Arche à Courbevoie a été un peu perturbée ce dimanche par la pluie. « Il a plu ce matin mais les gens sont venus une fois que le soleil était là », explique Michèle Tellier, l’organisatrice de ce vide-grenier pour l’association Passé-Présent. Sur les 350 exposants attendus, environ 300 étaient présents. « Il y a eu quelque défections » reconnait Michèle Tellier.

Et le soleil qui a tant manqué le matin a finalement fait une apparition appréciée l’après-midi. « Je suis là pour vider ma cave, lâche Laurence. Avec la pluie j’avais envie de partir mais finalement j’ai presque tout vendu ». Un peu plus loin Patrice et Patricia, un couple du Faubourg de l’Arche tente de vendre divers objets sur un petit stand. « C’est la quatrième fois que l’on fait cette brocante. C’est agréable », affirme Patrice. « Mais ça aurait été mieux sans la pluie », rajoute Patricia.

Dans les allées de ce quartier né dans les années 90, le temps maussade n’a pas refroidi les nombreux chineurs qui étaient à la recherche de bonnes affaires. « On était juste venus pour faire un tour mais on repart les bras bien chargés », confie Fatiha, habitante de Courbevoie venue avec sa mère Nadia. « C’est une très jolie brocante mais j’ai l’impression qu’elle rétrécit chaque année », estime pour sa part cette retraitée de Courbevoie très fière d’avoir déniché une petite boite ancienne.

Il y a dix ans le monde découvrait La Défense et son Epad avec « l’affaire Jean Sarkozy »

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Jean Sarkozy au conseil général le 23 novembre 2009 - Defense-92.fr

L’Epad, ce sigle presque tout le monde le connaît aujourd’hui. Mais avant octobre 2009, cet établissement de l’ouest parisien en charge de l’aménagement de La Défense était quasi inconnu des français et encore plus du monde. Cette notoriété fulgurante on la doit à un certain Jean Sarkozy.

C’était il y a tout juste dix ans, le 7 octobre 2009 le magazine Le Point révélait dans un court article que le fils cadet de Nicolas Sarkozy, alors président de la république était pressenti pour prendre la présidence de l’Epad (une fonction qui n’est pas rémunérée) tout comme son père l’avait été entre 2005 et 2006. Une fonction qui était alors jusque-là assurée par Patrick Devedjian. Mais atteint par la limite d’âge (65 ans) celui qui était aussi président du conseil départemental des Hauts-de-Seine devait raccrocher de cette présidence.

Une occasion en or pour le jeune conseiller départemental aux grandes ambitions politiques tout comme son père à son âge. Pour prendre la présidence de l’établissement en charge du quartier d’affaires créé en 1958, Jean Sarkozy doit toutefois être nommé représentant du conseil départemental des Hauts-de-Seine au conseil d’administration de l’Epad puis élu par les autres membres. Une étape qui aurait pu être une simple formalité tant le département que l’établissement étaient aux mains de la droite.

Mais cette nomination ne passe pas du tout. Très vite une vive polémique éclate et ça devient « l’affaire Jean Sarkozy ». L’opposition est vent debout, l’opinion publique est en grande majorité choquée de cette nomination et la presse fait ses choux gras de cette affaire qui prend vite une résonance internationale.

Des critiques de toutes parts

Si Jean Sarkozy « ne portait pas le nom qu’il porte, est-ce qu’il serait à la place à laquelle il est aujourd’hui ? », s’interroge Ségolène Royal. Même tonalité dans les critiques de Cécile Duflot. « Dès qu’on sort des limites de l’Hexagone, les gens trouvent ça juste invraisemblable, inouï », s’agace la secrétaire nationale des Verts. Quant à Laurent Fabius, il manie l’ironie sur France Inter : « Il nous faut un juriste, il est en deuxième année de droit ; il faut quelqu’un qui connaît bien les affaires, je suis sûr qu’il a des prédispositions ; et puis Martin Hirsch a présenté un plan de promotion des jeunes, Jean Sarkozy rentre dans ce cadre ».

La majorité de droite tente tant bien que mal d’éteindre l’incendie qui devient un brasier. Hervé Novelli dénonce comme « médiocres » les critiques de Ségolène Royal. Le secrétaire d’État au Commerce estime que le fils du chef de l’Etat « a le droit de tenter et de réussir sa carrière ». Frédérique Lefebvre, alors porte-parole de l’UMP parle de « stupidité », « bête » et « indigne ».

Le principal intéressé se défend. « Je suis président de la majorité départementale depuis maintenant près de deux ans et, à ce titre, j’ai eu à connaître de tous les dossiers qui intéressent le département, explique t-il alors sur France Inter. Je demande à être jugé non pas sur l’état civil mais sur les actes et sur les résultats ».

À la tête de la fronde, on retrouve notamment Christophe Grébert, élu MoDem d’opposition à Puteaux. Le journaliste et homme politique lance dès le lendemain de l’annonce une pétition très largement signée (plus de 93 000 signatures) par les internautes pour demander à Jean Sarkozy de renoncer à ses ambitions.

Le forum internet du site de l’EPGD (l’autre établissement publique de La Défense nouvellement créé qui était en charge à cette époque de la gestion du quartier) est envahi par des dizaines d’annonce ironiques.

Une candidature de Patrick Jarry pour contrer celle de jean Sarkozy

Le lundi suivant la polémique enfle sur les réseaux sociaux notamment à travers le #jeansarkozypartout. « Népotisme », « République bananière », « Il ose tout » peut-on lire.

Le mercredi 14 octobre, Patrick Jarry, maire PCF de Nanterre décide de contrer Jean Sarkozy en se présentant également à la présidence de l’EPAD et estime ne pas être « moins légitime que Jean Sarkozy ». « Il ne s’agit pas d’une nomination, mais d’une élection », se défend avec assurance le jeune élu de 23 ans.

Le lendemain dans une interview donnée au Figaro le chef d’Etat sort du silence et prend la parole. « Ce n’est pas mon fils qui est visé, c’est moi », s’agace Nicolas Sarkozy.

Le vendredi 15 octobre un sondage CSA révèle que 64 % des Français, dont 51 % des sympathisants de droite, sont opposés et jugent « plutôt une mauvaise chose » la probable arrivée du fils cadet du président à la présidence de l’établissement public.

Une flashmob « Banana République » sur le Parvis contre la nomination de Jean Sarkozy à l’Epad le 22 octobre 2009 – Defense-92.fr

Luc Chatel, porte-parole du gouvernement tente à son tour d’apaiser la polémique en proposant que les représentants de l’Etat au conseil d’administration (9 sur les 18 membres du CA) de l’EPAD ne participent pas à l’élection de Jean Sarkozy. Mais rien n’y fait. L’opposition continue de dénoncer cette candidature et le socialiste Arnaud Montebourg déclare « qu’une chèvre pourrait être élue avec l’investiture UMP à Neuilly ».

À la veille de l’assemblée du département qui doit nommer Jean Sarkozy administrateur de l’Epad une flashmob est organisée sur le Parvis de La Défense. Quelques dizaines de participants se réunissent bananes à la main pour dénoncer une « république bananière ». Certains, moqueurs miment des appels à l’Elysée pour demander des postes.

Le soir et à la surprise générale le jeune élu se ravise. Dans une interview donnée au journal de 20 heures de France 2 il annonce renoncer à ses ambitions et se justifie. « Depuis plusieurs jours il y a beaucoup de choses qui ont été dites, beaucoup d’excès, beaucoup de caricatures et d’outrances. Puis il y a du vrai. J’ai beaucoup écouté et réfléchi et je ne veux pas d’une victoire qui porte le poids d’un tel soupçon, explique Jean Sarkozy à David Pujadas. C’est une décision que je prends en mon âme et conscience, qui est difficile mais en tout cas je n’accepte pas que ce soupçon de favoritisme puisse peser. Pendant quinze jours ont a assisté à une campagne de manipulation et de désinformation ».

Des dizaines de journalistes pour assister au sacre avorté du fils du chef de l’État

Le lendemain dans un hôtel du département surprotégé des manifestants par la police, une horde de journalistes a investi les lieux pour assister au sacre avorté du fils cadet du chef d’État. Jean Sarkozy est finalement bien nommé administrateur de l’Epad pour représenter le département.

Peu de temps après la violente polémique, Nicolas Sarkozy tente de redorer son image et effacer cette affaire qui est devenue une épine dans son pied et l’est restée durant tout son quinquennat. « A partir du moment où il y a eu une polémique » autour de la candidature du jeune homme, le chef de l’Etat a reconnu que « c’était sans doute une erreur », déclare l’Elysée à l’Obs. Selon la même source, Nicolas Sarkozy ne s’était pas opposé à la candidature de son fils cadet parce qu’il ne s’agissait pas d’une fonction « rémunérée ». « Le président de l’Epad n’a pas de salaire, pas de bureau, pas de secrétaire, pas de voiture, pas de chauffeur », ajoute l’Elysée.

Quelques semaines plus tard, le 4 décembre 2009 c’est la maire de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud qui est élue présidente de l’établissement face à son homologue Patrick Jarry. Ce dernier prendra finalement en 2013 les reines de l’Epadesa, issu de la fusion entre l’Epad et l’Epasa en 2010. Depuis janvier 2018 l’Epadesa et Defacto (ex EPGD) ont fusionner pour former l’établissement Paris La Défense.

Il faudra finalement attendre une interview dans le Supplément de Canal + en décembre 2014 pour que Jean Sarkozy reconnaisse « une erreur ». « Ça a été un événement marquant, et ça a été une erreur bien sûr, une erreur et une blessure. Une erreur parce que je ne savais pas à l’époque, peut-être, la valeur des symboles. Je ne me percevais pas à l’époque comme pouvant être instrumentalisé comme ça. C’est peut-être une évidence pour vous, aujourd’hui avec le recul mais à 22 ans je n’avais pas ce regard en trois dimensions », dit-il devant les caméras de la chaine cryptée.

Viva l’Opéra : « Les Indes Galantes » en direct depuis l’Opéra Bastille ce jeudi à l’UGC

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L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2019 - 2020 - DR

Cette fois-ci il sera bien direct. Un peu plus de quinze jours après la projection en direct manqué de l’opéra La Traviata suite à une grève contre la réforme des retraites, la projection de Viva l’Opéra cette semaine sera bien en live. Pour ce troisième rendez-vous de la saison 2019-2020 de Viva l’Opéra l’UGC du Westfield Les 4 Temps diffusera ce jeudi 10 octobre à 19h30 et en direct depuis l’Opéra Bastille « Les Indes Galantes » de Jean-Philippe Rameau.

Le multiplexe de La Défense diffusera dans la salle 16, la plus grande du complexe, cette œuvre de 3h40 coupée d’un entracte de trente minutes. Assuré par Leonardo García Alarcón pour la direction musicale et Clément Cogitore pour la mise en scène, cet opéra dont les costumes ont été réalisés par Wojciech Dziedzic met à l’affiche Sabine Devieilhe (dans le rôle d’Hébé), Florian Sempey (Bellone), Jodie Devos (l’Amour), Edwin Crossley-Mercer (Osman), Julie Fuchs (Émilie), Mathias Vidal (Valere), Alexandre Duhamel (Huascar), Sabine Devieilhe (Phani), Stanislas de Barbeyrac (Don Carlos),  Mathias Vidal (Tacmas), Edwin Crossley-Mercer (Ali), Jodie Devos (Zaïre), Julie Fuchs (Fatime), Florian Sempey (Adario), Stanislas de Barbeyrac (Damon), Alexandre Duhamel (Don Alvar) et Sabine Devieilhe (Zima). Le chef des cœurs sera assuré Thibault Lenaerts, la dramaturgie par Simon Hatab, les corégraphies par Bintou Dembélé, la dramaturgie musicale par Katherina Lindekens, les costumes Wojciech Dziedzic et l’orchestre sera assuré par l’Orchestre Cappella Mediterranea, le Chœur de chambre de Namur, la Maîtrise des Hauts-de-Seine et le Chœur d’enfants de l’Opéra national de Paris.

Les projections sont proposées au tarif de 10 euros pour les moins de 26 ans, 25 euros avec la carte UGC Illimité et 30 euros au plein tarif, avec toujours la possibilité de souscrire un abonnement pour cinq opéras et ballets à 130 euros en plein tarif ou pour la saison complète à 240 euros.

Pour la suite du programme, l’UGC Westfield des 4 Temps proposera « Roméo et Juliette », le 17 octobre, « Tosca », le 14 novembre, « l’italienne à Alger », le 12 décembre et « Le Prince Igor » le 17 décembre.

Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places en ligne sur Vivalopera.fr.

La Défense, c’est le moment de dire ce que vous en pensez vraiment

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BVA et Paris La Défense réalise jusqu’au 13 octobre prochain une grande enquête auprès des utilisateurs du quartier d’affaires - Defense-92.fr

La Défense vous l’aimez, vous la détestez ? Pendant une dizaine de jours les enquêteurs de l’institut BVA vont arpenter le quartier d’affaires pour sonder les passants. Depuis ce mardi et jusqu’au 13 octobre prochain l’établissement public Paris La Défense (PLD) va mener la septième édition de son baromètre annuel qui vise à interroger les salariés, habitants, touristes et étudiants de La Défense sur le cadre de vie, la sécurité, l’animation, les transports ou encore le rayonnement du quartier à l’international.

Comme pour les précédentes éditions cette nouvelle enquête a été confiée à l’institut BVA. Pendant cette période, les enquêteurs vêtus d’un kway orange parcourront la dalle pour interroger les différentes catégories de la population. Et comme pour l’année dernière il est aussi possible de répondre à l’enquête sur internet en se rendant ici.

Lors de son dernier baromètre annuel publié au début de l’année, l’enquête avait révélé que 88 % des salariés estimaient que La Défense était un quartier où « il fait bon travailler ».

Les résultats de l’enquête devraient être dévoilés en fin d’année ou en tout début d’année prochaine par Paris La Défense.

Concert de Céline Dion : les 25 000 places en prévente s’arrachent en deux heures

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Celine Dion donnera quatre concert l'été prochain à la Paris La Défense Arena - DR

Pour avoir sa place il fallait aller vite. Très vite. Les 25 000 préventes proposées ce vendredi par Veepee Entertainment (le site Venteprivé.com) pour les quatre concerts de Céline Dion l’été prochain à la Paris La Défense Arena sont parties en moins de deux heures a fait savoir le site marchand. Une nouvelle prévente est organisée par Carrefour. Elle aura lieu lundi 7 octobre, dès 10 heures. Là encore, il faudra une nouvelle fois être très réactif…

Mais que les fans qui n’ont pas eu la chance d’acquérir leurs places se rassurent : le gros de la billetterie sera ouvert ce lundi 6 octobre dès 10 heures. Les places devraient être proposées à partir de 73 euros. Mais attention cette fois-ci encore il faudra aller très vite car nul doute que les places restent en vente que très peu de temps, tant les fans de la star québecquoise l’attendent.

Une réunion pour vous informer des chantiers de la tour Trinity et de l’immeuble Latitude

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Le chantier de l'immeuble Latitude en octobre 2019 - Defense-92.fr

Alors que le chantier de la tour Trinity touche à sa fin pour le plus grand soulagement des riverains et que la rénovation de l’immeuble Latitude avance à bon rythme, Paris La Défense organisera ce mardi 8 octobre un comité de suivi des chantiers pour le secteur Défense Nord.

Ce comité s’adresse principalement aux habitants du quartier Coupole-Regnault très peuplé avec ses résidences des Dauphins et Leclerc et sa tour d’habitation Gambetta. Durant plus d’une heure les équipes de Vinci Construction qui mène le chantier de la tour Trinity et celle de Bouygues pour le chantier de Latitude feront le point sur les travaux et pourront répondre aux questions et remarques des habitants.

La réunion ouverte à tous se déroulera dans les locaux de l’établissement public, au 18ème étage de l’ensemble Cœur Défense ce mardi 8 Octobre à 19 heures.