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samedi 21 juin 2025
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Le premier volet de Very Bad Trip à revoir ce jeudi à l’UGC des 4 Temps

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Le film Very Bad trip sera projeté ce jeudi à l'UGC des 4 Temps - DR

Pour sa nouvelle « Séance culte », l’UGC des 4 Temps projettera ce jeudi 21 mars à 20 heures, le film de Todd Phillips, « Very Bad Trip ». Sortie il y a dix ans en juin 2009, cette comédie délirante met à l’affiche Bradley Cooper, Ed Helms, Zach Galifianakis, Justin Bartha et Heather Graham.

Ce film qui a donné lieu à deux suites, raconte le réveil difficile d’un enterrement de vie de garçon bien arrosé. Les trois amis du fiancé se rendent compte qu’il a disparu, 40 heures avant la cérémonie de mariage. Ils vont alors devoir faire fi de leur gueule de bois et rassembler leurs bribes de souvenirs pour comprendre ce qui s’est passé.

Les places pour cette séance en VOSTF sont vendues au tarif normal. Les réservations peuvent se faire sur le site Ugc.fr, l’appli Ugc Direct ou les places peuvent être achetées directement aux caisses du cinéma.

Climat : une centaine de jeunes envahissent le siège de la Société Générale

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Une centaine d’étudiants et lycéens ont bloqué ce vendredi matin l’entrée du siège de la Société générale à La Défense pour dénoncer les financements de la banque dans des programmes nocifs au climat - DR

Symbole du capitalisme, La Défense a été ciblée ce vendredi matin par le collectif Youth for Climate qui a investi pendant plusieurs heures le siège de la Société Générale. Vers 9 heures une centaine de lycéens et étudiants ont envahi le hall des tours bloquant l’accès du personnel et des visiteurs, en pleine heure de pointe.

Tous entendaient dénoncer les financements de la banque dans des programmes jugés « nocifs pour le climat ». Pendant près de trois heures certains étaient debout, bras entrelacés, chantant « on est plus chauds que le climat » ou « ne nous regardez pas, rejoignez-vous » tandis que d’autres expliquaient aux personnes bloquées les raisons de leur action. Si le rassemblement s’est déroulé dans le calme et qu’aucune dégradation n’a été commise, les portes d’entrées et l’enseigne de l’entreprise ont été placardées par des dizaines d’autocollants.

« Plus de double discours : nous demandons aux banques de stopper l’expansion des énergies fossiles », a expliqué à l’AFP la coordinatrice de Youth For Climate Paris, Claire Renauld.

« Les banques, entre 2016 et 2017, ont financé à hauteur de plus de 40 milliards d’euros les énergies fossiles, quand la science alerte et alerte à nouveau sur le fait que les énergies fossiles doivent rester dans le sol », a confié Lorette Philippot, des Amis de la Terre.

Si l’ONG a ciblé la Société Générale c’est qu’elle l’accuse de soutenir «massivement les industries fossiles» et d’être « la première banque au monde à financer l’exportation du gaz de schiste américain ».

Dans un communiqué la banque a réagi : « Nous regrettons que l’action dans nos locaux ne tienne pas en compte les engagements et actions accomplies ces dernières années en matière de lutte contre le réchauffement climatique », assurant avoir « pris des mesures concrètes dès 2015 ».

« Nous finançons massivement les énergies renouvelables, avec 100 milliards mobilisés entre 2016 et 2020 dans la transition énergétique. Nous avons arrêté tout financement dédié au charbon, au pétrole issu des sables bitumineux ou extrait en Arctique », ajoute-t-elle.

Dix ans après (presque) plus personne ne croit aux tours Hermitage

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Le projet des tours Hermitage Plaza - DR

C’était il y a tout juste dix ans, le 11 mars 2009. Quasiment totalement inconnu des professionnels de l’immobilier, Emin Iskenderov dévoilait fièrement -et en grande pompe-, en marge du Mipim à Cannes, son méga-projet des tours jumelles Hermitage Plaza, conçu par l’architecte britannique, Norman Foster. Promis pour voir le jour à l’horizon 2016 le projet chiffré dans les 3 milliards d’euros n’a cessé d’être repoussé, la faute d’une part à une intense bataille judiciaire menée par ses nombreux opposants mais aussi par un contexte économique peu favorable.

Durant près d’une décennie le promoteur russe a à maintes et maintes reprises rassuré sur l’avenir de son projet repoussant une multitude de fois l’inauguration, désormais fixé à 2024, juste avant les Jeux Olympiques. Mais un an après cette énième promesse, lâchée lors d’une énième conférence de presse, là aussi au Mipim de Cannes, plus rien, plus d’infos. Alors que l’année dernière le promoteur promettait de dévoiler son financement à l’été (de 2018) lors d’une conférence de presse, cette dernière a toujours été repoussée (tout comme le lancement des travaux) : à la rentrée, puis à décembre, janvier, février,…

Emin Iskenderov grand absent du Mipim

Et désormais chez Hermitage c’est « no comment ». Alors que le Mipim était pour Emin Iskenderov, sa grand-messe annuelle où il présentait bravement la maquette de ses tours, cette année sur le stand de Paris La Défense, il a marqué par son absence. Seul son bras droit, Gilles Soulié a fait le déplacement sur la croisette, histoire de rassurer ceux qui croient encore au projet. « Les conditions suspensives ne sont pas levées. On ne peut plus communiquer, nous avons des accords de confidentialité », lâche-t-il laconiquement.

Car en fait plus grand monde ne semble croire qu’un jour ces deux tours de deux fois 320 mètres perceront la skyline du quartier d’affaires. A tel point que sur les brochures de l’établissement Paris La Défense plus aucunes dates n’est donné au projet qui n’était même pas mentionné sur la grande maquette du territoire. Le site internet d’Hermitage est lui « en construction » (contrairement à ses tours) depuis des mois et le blog et les comptes des réseaux sociaux du groupe sont inactifs depuis aussi un long moment.

Si jusqu’alors le promoteur pouvait expliquer qu’il était bloqué par les innombrables recours, aujourd’hui l’horizon judiciaire s’est presque totalement dégagé en sa faveur. Et désormais c’est bien la question du financement qui pose problème. Le promoteur russe semble incapable de mener à bien son projet pharaonique. La preuve en est : en juin dernier, l’établissement public Paris La Défense réclamait au promoteur 30 millions d’euros. Une somme qui résultait d’accords successifs entre Hermitage et l’établissement public (alors Epadesa à ce moment) et dont l’échéancier expirait le 30 juin 2018. Pire, en mars 2018 Le Journal du Dimanche révélait qu’Hermitage s’était fait saisir une partie des lots dont il propriétaire car il n’avait pas pu rembourser un prêt de 8,5 millions d’euros qu’il avait contracté auprès d’une société panaméenne. Une information qu’il a toujours balayée d’un revers de main, sans jamais la démentir. De plus son partenaire Bouygues Construction qui avait pris en 2015 dans le projet une participation minoritaire aurait d’après certains jeté l’éponge. Une information que l’entreprise de BTP n’a cependant pas confirmée disant ne pas avoir « de nouveaux éléments à l’heure actuelle » a fournir.

« On ne peut plus laisser les choses comme ça »

Interrogé durant le Mipim, le sujet Hermitage semble passablement agacer le patron des Hauts-de-Seine et de La Défense, Patrick Devedjian qui s’est refusé à nous faire le moindre commentaire. Mais en coulisse à Paris La Défense on pense déjà à l’après. Du moins à maintenant. Car depuis plusieurs années le quartier des Saisons tombe en déshérence. Vidé peu à peu par leurs habitants, les Damiers, Bretagne, Anjou et Infra promis à la destruction pour faire la place aux tours Hermitage dépérissent.

« On ne peut plus laisser les choses comme ça », glisse-t-on à Paris La Défense. Ne voyant plus le bout du tunnel, l’établissement souhaite désormais trouver une solution transitoire pour réaménager le secteur avec une requalification temporaire des cheminements qui mènent vers différentes tours de bureaux comme Allianz (Neptune), Canopy et WorkStation en bordure de Seine.

Les dernières procédures d’expulsions rejetées

Dans les mains du bailleur social RATP Habitat (ex Logis Transport), les trois bâtiments des Damiers n’ont toujours pas été cédés à Hermitage. L’année dernière Emin Iskenderov se targuait d’avoir obtenu en sa faveur une importante décision de justice. Celle de l’expulsion des derniers résidents du Damier Bretagne, soit neuf familles. Mais alors qu’il espérait que la justice prenne la même décision pour ceux de l’Anjou, la douche a dû être froide pour l’homme d’affaires et l’ex-Logis Transport. La Cour d’appel de Versailles a rejeté le 27 février dernier la demande du bailleur social d’expulser les huit derniers locataires de l’Anjou. Contacté, le RATP Habitat n’a pas répondu à nos sollicitations.

Alors que vont devenir les trois Damiers ? Seront-ils un jour (enfin) détruits pour laisser la place aux tours Hermitage ? l’idée semble s’éloigner de plus en plus. Celle d’un autre projet, bien plus modeste mené par Hermitage ou un autre investisseur-promoteur parait désormais plus crédible. Et encore plus crédible le projet d’une rénovation de l’ensemble des Damiers qui seraient alors revendus comme un programme classique de logement. Cette seconde solution qui pour une ancienne habitante expulsée de son logement l’été dernier est loin d’être nouvelle. Car selon elle, une de ses voisines lui aurait rapporté qu’en avril 2014 lors d’une réunion entre Hermitage et quelques habitants, le promoteur aurait annoncé : « Le projet des tours est obsolète. Ce que l’on veut c’est récupérer vos immeubles, les rénover. C’est pour ça que l’on veut vous faire partir ! ». Mais alors que le projet titanesque continue sa lente agonie, il aura laissé des traces. « Des vies ont été foutues en l’air », se désole cette habitante.

Affaire à suivre au prochain épisode !

Le futur siège des Parfums Christian Dior à Neuilly salué d’un Mipim Awards

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L'immeuble Kosmo hébergera le siège de Parfums Christian Dior d'ici la rentrée de septembre - Defense-92.fr

A défaut de ne plus avoir eu de Mpim Awards depuis celui de la tour First en 2011, le quartier d’affaires de La Défense va pouvoir quand même se féliciter de celui qu’a reçu ce jeudi soir l’immeuble Kosmo à Neuilly. Le futur nouveau siège des Parfums Christian Dior implanté, en bordure de Seine, face à La Défense a été salué d’un Mipim Awards dans la catégorie « Meilleur immeuble rénové ». Présenté par son promoteur Altarea Cogedim et son architecte Ateliers 2/3/4 l’immeuble propriété de Sogecap, filiale de la Société Générale Insurancequi a été complètement métamorphosé faisait place à « Cedet », un projet polonais ; « Shift 54 Londres », à Paris et « Torre Europa » à Madrid

Les gagnants des onze catégories ont été sélectionnés à la fois par les participants qui pouvaient voter à Cannes pour les projets de leur choix, mais également par les membres du jury. Le choix du jury a pesé à 50 % dans la sélection des vainqueurs, à égalité avec le vote des participants.

« Cette récompense est le fruit d’un travail et d’une réflexion menée depuis de nombreuses années sur notre vision de l’immobilier d’entreprise. KOSMO représente en tout point nos convictions : un emplacement prime, une exigence architecturale forte, une ouverture sur la ville, l’intégration des nouveaux usages tant dans les espaces extérieurs qu’intérieurs », s’est réjoui Jean-Frédéric Heinry, le président de Cogedim Entreprise.

L’opération Kosmo dont les travaux viennent de s’achever comprend deux immeubles distincts reliés par une rue intérieure permettant d’accéder aux espaces de services hébergés dans le socle. Au total, ce sont près de 27 000 mètres carrés qui ont été restructurés et qui accueilleront dès la rentrée de septembre les différents services de la maison Parfums Christian Dior. Le projet intègre 2 500 mètres carrés de balcons et terrasses végétalisés, des parois vitrées du sol au plafond pour bénéficier des vues à 360 degrés sur la ville, la Seine et La Défense.

La tour First reçoit un MIPIM Awards

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La tour First reçoit un MIPIM Awards - Defense-92.fr

Nominée dans la catégorie « Immeubles de bureaux rénovés », la tour First à été primée dans sa catégorie lors de la soirée de remise des MIPIM Awards, le jeudi 10 mars 2011. La tour First était face à deux autres programmes tous deux en Allemagne, le premier « JohannisContor » à Hambourg et le second « Schrödterhaus Leipzig » à Leipzig. First avait été nominée par un jury composé de 7 membres dont l’architecte Jacques Ferrier, mais ce sont les participants du MIPIM qui ont voté pour les MIPIM Awards. Ce MIPIM Awards est la seconde récompense pour First, puisqu’en février dernier la tour avait obtenu la « Pierre d’or » par Immo Week.

La tour First livrée en février 2011, culmine à 231 mètres et développe 86 707 m² SHOB. La rénovation de l’ex tour Axa, connue également sous le nom de CB31 a été menée par Bouygues Bâtiment pour le compte de Beacon Capital Partners et Axa Ream. Kohn Pedersen, Fox Associates et SRA Architectes étaient les architectes du projet et Altarea-Cogedim first la maitrise d’ouvrage. Ernst & Young est à ce jour l’unique futur locataire de la tour First : l’entreprise y réunira ses bureaux de Neuilly-sur-Seine et du Faubourg de l’Arche en y ayant pris 33 500 m² répartis sur 17 étages. A ce jour aucun nouveau locataire n’a signé pour rejoindre Ernst & Young dans First, mais Beacon Capital Partners serait en discussions avec des entreprises.

Des chefs étoilés pour les futurs restaurants de Table Square

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Table Square sera composé de trois pavillons dédiés à la restauration gastronomique - Banimmo / Enia Architectes / Paris La Défense

A La Défense on aura bientôt des étoiles plein les babines…  Annoncé à la fin de l’année 2015 pour venir remplacer l’ancien Bistrot à vin et la boutique Serap, Table Square dont le chantier a débuté fin 2017 se révèle. En marge du Mipim (Marché International des Professionnels de l’Immobilier) à Cannes, Urban Renaissance qui porte le projet dans le cadre d’une convention avec l’établissement public Paris La Défense a dévoilé le nom des restaurateurs qui installeront leur enseigne au sein de Table Square.

Ce projet imaginé par le cabinet ENIA Architectes viendra s’aligner le long de l’axe historique et s’implantera au cœur de l’esplanade face au Bassin Agam, au pied des tours Cœur Défense et EDF. Il se composera de trois pavillons offrant une surface totale de 4 500 mètres carrés avec 800 mètres carrés de terrasses disposés autour d’une grande place centrale de 800 mètres carrés où trône déjà la Statue de La Défense.

« Différents concepts vont se côtoyer pour offrir un espace de lieux animés et chaleureux avec des restaurants, des terrasses et une architecture singulière », confie Olivier Durand, le PDG d’Urban Renaissance.

Au pied du plus grand pavillon, prendront place quatre restaurants. Le premier sera « Daily Pic », une « cantine gourmande » avec la chef multi-étoilée, Anne Sophie Pic au commande. A son côté les salariés et visiteurs du quartier d’affaires pourront venir déguster les kebabs « de luxe » d’Hugo Desnoyer qui implantera son enseigne « Grillé ». Le chef Olivier Bellin, doublement étoilé proposera lui avec « Mersea » de la street food orientée autour du poisson avec au menu des fish’nchips, des burgers, plats, salades et soupes. Enfin la quatrième unité sera celle de l’enseigne « Koedo » proposant de la cuisine japonaise comme des bentō.

Table Square doit ouvrir d’ici la fin de l’année – Banimmo / Enia Architectes / Paris La Défense

Une ouverte programmée pour la mi-novembre

Niché au premier niveau de ce pavillon, le chef étoilé Akrame Benallal proposera avec « The Table » une brasserie contemporaine « haut de gamme » avec de la cuisine française et européenne.

Le second bâtiment accueillera dans une ambiance italo-new-yorkaise sur environ 200 mètres carrés la chaine d’inspiration italienne « Il Trattoria ».

Une septième enseigne, dont l’exploitant n’a pour l’heure pas encore été sélectionné viendra s’ajouter dans le troisième pavillon. Et avec son millier de mètres carrés sous la dalle et ses 50 mètres carrés en surface il s’agira de la plus grosse enseigne du complexe.

Cette transformation initiée par Paris La Défense réjouit sa directrice, Marie-Célie Guillaume pour qui « le pari » est « en passe d’être gagné ». Car en plus de Table Square, un autre projet, celui d’Oxygène est entrain de s’achever à l’entrée du quartier. Surplombant le pont de Neuilly, Oxygène propose aussi une offre avec plusieurs restaurants dont bientôt celui du chef étoilé Michel Rostang ainsi que d’un espace de coworking.

Après avoir pris un (gros) retard le chantier mené par Bouygues Construction doit désormais s’achever à la fin de l’année avec une ouverture des enseignes pour la mi-novembre.

Sept restaurants composeront l’offre de Table Square – Banimmo / Enia Architectes / Paris La Défense

Les départements des Hauts-de-Seine et des Yvelines lancent la Journée de l’Innovation Collaborative

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Les logos des conseils départementaux des Hauts-de-Seine et des Yvelines - Defense-92.fr

Covoiturage, partage de logements, location de voitures entre particuliers, achat de produits d’occasions, partage de compétences, l’économie collaborative est désormais présente dans bon nombre de secteurs depuis ces dernières années. Ces initiatives qui permettent de lutter contre le gaspillage, de favoriser les échanges de proximité et de réaliser des économies feront l’objet d’une journée spéciale.

Les départements des Hauts-de-Seine et des Yvelines organisent ce mardi 19 mars à l’Alternatif la première édition de la Journée de l’Innovation Collaborative. Au programme de la journée, des tables rondes pour découvrir les témoignages de porteurs de projets collaboratifs, de consommateurs, de financeurs alternatifs et de travailleurs sociaux seront proposés. L’établissement public Paris La Défense qui participera à l’événement abordera notamment le sujet ProBono.

Des stands de porteurs d’initiatives collaboratives concernant des sujets tels que le travail partagé, les plateformes de financements collaboratifs, de partage et de troc, le covoiturage, le cohabitât, seront à découvrir. Cette première journée sera aussi l’occasion le lancement  du Curious Lab’ durant lequel les communes défient les étudiants des écoles supérieures des Hauts-de-Seine sur des problématiques locales mais aussi l’inauguration du WIC (Web des Initiatives Collaboratives), la nouvelle plateforme numérique départementale des initiatives collaboratives.

La participation à cette journée est libre mais nécessite une inscription ici.

Venez donner vos anciens vêtements ce samedi pour le Secours Populaire

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L'hypermarché Auchan des 4 Temps - Defense-92.fr

Donnez une seconde vie à vos vêtements. Après une première opération réussie le 26 janvier dernier où 1,1 tonne de vêtements avait été collectée, le Secours Populaire organise ce samedi 16 mars avec l’hypermarché Auchan des 4 Temps une nouvelle opération de reprise. Toute la journée entre 9 heures et 18 heures les clients de l’hypermarché pourront au niveau zéro du centre (l’étage des boissons), déposer à l’association leurs anciens vêtements en bon état pour qu’ils soient redistribués à des personnes dans le besoin.

Et ce n’est pas tout ! l’hypermarché offrira 10 % de remise dès 100 euros d’achats sur présentation de la carte de fidélité du centre « Unexpected Pass ».

Nextdoor, le spécialiste du coworking se renomme Wojo

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L'espace Nextdoor de Cœur Défense a ouvert en septembre 2016 - Defense-92.fr

Nouveau départ pour Nextdoor. Après avoir donné naissance en 2015 à Nextdoor, Bouygues Immobilier et Accor viennent de renommer leur filiale consacrée au coworking « Wojo ». « Ce nom marchait très bien mais Nextdoor avait une difficulté de connotation à l’international même si c’est un nom anglais », explique Stéphane Bensimon, le président de Wojo. Ce changement a également été motivé par l’utilisation du nom Nextdoor par le site internet américain de réseautage social. « Ça posait quelques problèmes de confusion », concède Stéphane Bensimon.

Ce nom qui n’a pas de signification précise résulte de l’alliance entre les mots Work et Mojo. « Le logo, immédiatement reconnaissable par ses cercles et traits concentriques, suggère une communauté centrée sur un objectif commun : la force du collectif. Les nouveaux codes couleurs de la marque (gris et bleu électrique) s’afficheront dans l’ensemble des espaces du réseau, au fronton des centres, sur les murs intérieurs et les objets de décoration », détaille un communiqué de l’entreprise.

« Le site de La Défense se porte bien, les clients sont ravis »

Ce changement d’identité pour Wojo va aussi permettre de donner un nouveau coup d’accélérateur à la nouvelle marque. Avec dix sites actuellement (huit en région parisienne et deux à Lyon), Wojo ambitionne de compter d’ici à 2022 une cinquantaine d’adresses dans toute l’Europe. Mais les ambitions de Wojo ne vont pas s’arrêter là puisque l’entreprise souhaite ouvrir un millier de « Wojo Spots » dans des hôtels du groupe Accor, son co-actionnaire mais aussi dans des gares, des aéroports ou des centres commerciaux. Ces petits espaces de travail dont l’accès sera payant seront intégrés à des bars et des lobbys. A cela s’ajouteront des espaces plus grands baptisés « Wojo Corners » qui avec quelques centaines de mètres carrés en moyenne s’installeront là aussi dans des hôtels et lieux de transit. « C’est une offre qui n’existe nulle part ailleurs », assure Stéphane Bensimon.

Implanté dans le quartier d’affaires de La Défense depuis septembre 2016 Wojo propose dans l’ensemble Cœur Défense 8 700 mètres carrés d’espaces de coworking pour près de 900 postes de travail. L’espace qui enregistre un taux d’occupation de 70 % accueille aussi bien de petits entrepreneurs indépendants que d’importantes PME et même de grandes entreprises comme l’assureur Axa qui vient de prendre dernièrement un niveau entier.

« Le site de La Défense se porte bien, les clients sont ravis. La concurrence est arrivée en masse et en très peu de temps. Mais on observe une véritable appétence de nos clients à venir s’installer chez-nous », assure Stéphane Bensimon qui exclut cependant tout projet d’agrandissement du centre de La Défense –déjà agrandi en 2017 – ni même de création a court terme d’un nouvel espace Wojo dans l’une des tours du quartier d’affaires.

Le département des Hauts-de-Seine veut faire du boulevard circulaire de La Défense un lab d’expérimentation

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Le boulevard circulaire sud en juin 2018 - Defense-92.fr

Faire du boulevard circulaire de La Défense un terrain d’expérimentation. Le département des Hauts-de-Seine qui a récupéré en 2017 auprès de l’État la gestion du boulevard circulaire et l’établissement Paris La Défense viennent de lancer ce mardi, en marge du Mipim (Le Marché international des professionnels de l’immobilier) à Cannes « RD993 Lab« .

Déjà transformé à grand coups de travaux en boulevard urbain à deux reprises, entre 2001 et 2014 pour la partie nord (côté Courbevoie) et en attendant la transformation de la partie sud (côté Puteaux) dans les prochaines années, le département et Paris La Défense souhaitent faire de cet axe où circulent quelques 30 000 véhicules par jour un « support et un démonstrateur de l’innovation ».

Mise en service au début des années 70, cette boucle de 3,80 kilomètres qui encercle avec sa forme de poire le quartier d’affaires va continuer sa mutation en un véritable lieu de vie faisant oublier l’époque du tout-voiture. Si la fonction première du circulaire va perdurer, son usage pourrait évoluer pour favoriser la circulation douce des vélos ou trottinettes par exemple.

Huit thématiques retenues

« Nous voulons que ce boulevard circulaire qui est majeur dans l’attractivité de La Défense devienne quelque chose de parfaitement innovant et connecté et attractif par rapport à la dalle, ce qui n’est pas le cas aujourd’hui, s’est exprimé le patron des Hauts-de-Seine, Patrick Devedjian lors de la présentation. Même le GPS quand vous vous voulez entrer dans La Défense ne permet pas de trouver votre chemin ».

Pour cet appel à projet qui s’achèvera fin mai, huit thématiques ont été retenues avec en premier lieu l’amélioration des conduites et des mobilités innovantes, la valorisation énergétique, la facilitation de la maintenance et la gestion optimisée du patrimoine mais aussi « la nature en ville », « l’eau dans la ville durable » ou encore « la limitation des nuisances ».

« La conduite devra être adaptée au fait que l’on se situera non pas sur un circuit périphérique mais bien en ville », explique le département qui souhaite ainsi inciter les conducteurs à adopter une conduite adaptée. La signalétique pourrait ainsi être une nouvelle fois revue et devenir évolutive et informative en fonction des événements en cours. Le marquage au sol pourrait lui aussi devenir dynamique avec l’incrustation de leds au sol pour mieux marquer les passages piétons par exemple. Et une route solaire avec des panneaux photovoltaïques pourrait même venir alimenter le tout.

Côté environnement le département souhaite verdir encore plus l’axe avec la plantation de nombreuses essences « indigènes ». Et là encore les eaux de pluie pourraient, pourquoi pas, être récupérées pour arroser les diverses plantations.

Une mutation initiée en 2001

Lancée au tout début des années 2000, la mutation du boulevard circulaire s’était traduite en 2001 par une étape symbolique : la destruction du viaduc Gambetta. La disparition de cette infrastructure avait permis la création d’un carrefour urbain avec l’avenue Gambetta. Le réaménagement avait également permis l’aménagement d’une piste cyclable et de trottoir sur toute la partie nord du circulaire. Dix ans plus tard pour accompagner les constructions des tours Carpe Diem, Eqho, D2 ou encore First, le réaménagement s’était poursuivi avec cette fois-ci  l’amélioration des équipements.

Mais la partie sud du circulaire conserve aujourd’hui toujours les allures d’une autoroute. Une étude avait pourtant bien été lancée par l’architecte et urbaniste Rolland Castro en 2009 avec pour objectif de supprimer la cassure urbaine entre La Défense et le centre-ville de Puteaux, en remettant le boulevard -en viaduc sur son parcours sud- au niveau du sol. Sauf que face à un coût de plusieurs dizaines de millions d’euros le projet n’a jamais vu le jour. Vingt ans après les premiers travaux au nord, la partie sud devrait enfin connaitre le même sort. La construction de la tour Hekla permettra la transformation de l’ancien échangeur de la Rose de Cherbourg en promenade urbaine. Et un peu plus bas l’arrivée de The Link, le nouveau siège de Total, de nouveaux liens seront créés entre Puteaux et La Défense.

La désignation des lauréats du RD993 Lab devrait se faire pour le second semestre.