Le film Grease sera projeté à l'UGC des 4 Temps ce 2 août 2018 - DR
« You’re the one that I want. You are the one i want, o,o, oo, honey… ». Pour sa nouvelle « Séance culte » l’UGC des 4 Temps projettera ce jeudi 2 août à 20 heures, le film mythique de Randal Kleiser, Grease. Sortie il y a tout juste quarante ans, en 1978, cette comédie musicale met à l’affiche John Travolta, Olivia Newton-John, Stockard Channing, Jeff Conaway et Barry Pearl.
Durant l’été 1958, Sandy Olsson (Olivia Newton-John), une lycéenne australienne en vacances aux États-Unis, rencontre Danny Zuko (John Travolta), le chef de la bande des T-Birds. Leur amour est cependant interrompu par la fin des vacances car Sandy doit retourner en Australie. Toutefois, le hasard fait que Sandy reste en Amérique et qu’elle intègre en dernière année Rydell High, le même établissement que celui où étudie Danny. Elle y rencontre un groupe de filles, les « Pink Ladies », mené par Betty Rizzo. Sans savoir qu’ils sont tout proches, Danny et Sandy racontent, chacun de leur côté, à leurs amis leur amour de vacances. Danny et Sandy finissent par se rencontrer et décident de reprendre leur relation bien que tout les oppose à l’école… En parallèle, se joue la rivalité entre le gang de Danny les « T-Birds » et le gang des « Scorpions ». La course de voitures dans laquelle ils s’affrontent sera déterminante.
Les places pour cette séance de 1h50 en VOSTF sont vendues au tarif normal. Les réservations peuvent se faire sur le site Ugc.fr, l’appli Ugc Direct ou les places peuvent être achetées directement aux caisses du cinéma.
Nouvelle avancée pour le groupe Hermitage. Le Conseil d’Etat a rejeté ce jeudi 26 juillet les recours des groupes Axa et Allianz visant les trois permis de construire des Tours Hermitage, a annoncé son promoteur immobilier vendredi. Les deux géants de l’assurance contestaient les permis de construire de ce vaste projet immobilier qui prévoit l’édification des deux tours jumelles de 323 mètres.
« La décision du Conseil d’État est une étape très importante qui confirme notre planning », indique dans un communiqué Emin Iskenderov, le président d’Hermitage qui promet une livraison de son méga-projet pour les Jeux olympiques d’été de 2024 à Paris.
Les partenaires financiers du projet dévoilé à la rentrée
Après avoir annoncé durant ces dix dernières années à maintes reprises le démarrage des travaux et le bouclage financier de son projet chiffré entre 2,5 et 3 milliards d’euros, le groupe Hermitage affirme avoir enfin conclu un accord avec ses partenaires financiers le 13 juillet dernier. Un tour de table incluant le constructeur Bouygues, partenaire minoritaire du projet qui devrait selon le promoteur russe être dévoilé à la rentrée lors d’une conférence de presse.
Emin Iskenderov peut également se féliciter de recevoir le soutien du maire de Courbevoie, ville d’implantation de son projet qui début juillet avait soutenu ce « grand projet architectural, vecteur d’attractivité pour le quartier de La Défense ». Jacques Kossowski (LR) s’était toutefois inquiété d’un « risque d’enlisement » de la construction des tours.
Reste que le promoteur va devoir passer à la caisse. L’établissement public Paris La Défense (PLD) en charge de l’aménagement et la gestion du quartier d’affaires attend toujours qu’Hermitage lui verse les 30 millions d’euros, montant correspondant à des accords successifs, s’ajoutant aux « droits à construire ». Une somme que le promoteur n’a jamais versée à PLD qui s’impatiente. De son côté Hermitage affirme que c’est à la signature de l’acte de vente des droits à construire que l’indemnisation sera versée. Cependant se disant dans un « esprit constructif » Emin Iskenderov dit avoir proposé à PLD de mettre ces 30 millions d’euros sous séquestre jusqu’à la signature de la vente.
Culminant à 323 mètres, les tours Hermitage Plaza situées à Courbevoie en bordure de Seine seront les plus hauts buildings jamais construits en Europe, taillant de six mètres le record de The Shard à Londres. Dessiné par l’architecte anglais Norman Foster le projet promet d’offrir « une mixité d’usages inédite à Paris ». Composé de deux tours, l’une de 86 étages et la seconde de 85 étages ainsi que de quatre plus petits bâtiments, le projet de 260 000 mètres carrés intégrera 160 000 mètres carrés de logements soit 540 appartements et penthouses (de 180 mètres carrés en moyenne), un hôtel de cinq étoiles de 40 000 mètres carrés, un restaurant et un bar panoramiques, le premier centre de thalasso panoramique en France, deux piscines, 37 000 mètres carrés de bureaux mais aussi 30 000 mètres de commerces, des équipements culturels ou encore une galerie d’art au pied des deux édifices. Au pied de cet immense ensemble, doit voir le jour une grande dalle piétonne qui surplombera la Seine et viendra recouvrir le quai du Président Paul Doumer.
L'Hippopotamus des 4 Temps va rester fermé jusqu'à la fin août - Defense-92.fr
Changement en cours pour l’Hippopotamus des 4 Temps. Ouvert en avril 2006, en même temps que l’agrandissement du centre commercial, l’Hippopotamus implanté au Dôme du mall a fermé ses portes à la mi-juillet pour subir un gros lifting. L’enseigne de restauration rachetée l’an dernier par le Groupe Bertrand s’est lancé pour ses cinquante ans dans une grande transformation désormais axée sur l’esprit steak-house.
“Hippopotamus s’inscrit dans la démarche de recréer un véritable steak-house à la française, en innovant avec un nouveau mode de cuisson à la braise. Un réel travail de fond sur l’assiette et sur la carte a été mis en œuvre révélant toute l’expertise et le savoir-faire de l’enseigne, sur la viande”, indique le réseau né en 1968.
Le restaurant des 4 Temps avec sa surface d’environ 500 mètres carrés (cuisine comprise) et sa terrasse de 90 mètres carrés abordera désormais ce concept mélangeant des matériaux bruts avec du bois, du cuir ou des murs de brique rouge.
En attendant la réouverture de l’Hippopotamus des 4 Temps à la rentrée, les clients de la chaine peuvent se diriger vers le Red d’Hippo du Cnit (ouvert du lundi au samedi de 11 heures à 17 heures), un concept dérivé de la chaine.
Depuis ce mardi les utilisateurs des vélos en free-floating Ofo ne peuvent restituer les bicyclettes à La Défense - Defense-92.fr
Les vélos jaunes d’Ofo ne sont plus les bienvenus à La Défense. Le service de bicyclettes en free-floating Ofo lancé en décembre dernier à Paris vient de revoir sa zone d’utilisation depuis ce mardi. « Certaines zones sont peu fréquentées par nos utilisateurs et malheureusement plus compliquées à gérer par nos équipes. C’est pourquoi nous avons pris la décision d’enlever temporairement le Bois de Vincennes et Paris La Défense », explique Ofo qui se dit « désolé pour les irréductibles utilisateurs de ces deux zones ». Ce nouveau zonage doit permettre selon l’entreprise chinoise, qui rencontre des difficultés à accéder à la dalle de La Défense, « d’offrir une densité de vélos plus importante et un meilleur service » dans Paris. En plus d’englober la capitale, la zone d’Ofo intègre les villes de Levallois-Perret, Neuilly-sur-Seine et Boulogne-Billancourt.
Et attention aux utilisateurs qui ne respecteraient pas cette zone. En cas de restitution, en dehors de la zone, des frais de 10 euros seront facturés par Ofo, contre 5 euros auparavant.
Le service d’Ofo tout comme celui de Mobike (également indisponible à La Défense) permet aux utilisateurs de louer des vélos pour une courte durée. Le principe du système est simple : à partir de l’application, une carte permet de détecter les vélos disponibles et de les déverrouiller en scannant un QR code. La restitution du vélo peut alors se faire n’importe où sans système de borne. Les trajets sont facturés 50 centimes les 20 minutes. Des pass à la journée (2,90 euros), pour sept jours (6,90 euros) et pour 30 jours (9,90 euros) dont également disponibles. Depuis son lancement il y a environ huit mois Ofo qui dispose d’une flotte de 2 500 vélos a revendiqué plus de 500 000 trajets.
Le parking Corolles en juillet 2018 - Defense-92.fr
Si l’idée de prendre cet été les transports en commun avec leurs nombreux travaux dont ceux du RER A ne vous emballe pas, vous allez pouvoir vous garer pour pas trop cher dans le quartier. A l’occasion des travaux de fermeture du RER A du 28 juillet au 26 août entre La Défense et Nation, Indigo le délégataire des parkings de La Défense pour Paris La Défense propose pour la quatrième année, son « Pass été ».
Une offre d’une semaine à quatre semaines
Ce Pass multi-parc, qui permet aux utilisateurs de stationner dans tous les parkings de La Défense (hors les parkings du Cnit, Valmy, Tour Egée, Tour Cœur Défense et Jacques Cartier) est disponible à 20 euros pour une semaine, 40 euros pour deux semaines, 60 euros pour trois semaines et 80 euros pour un mois (contre une trentaine d’euros par jour, selon les parkings et 172 euros pour une offre classique « multi-parc » au mois).
Cette offre de stationnement est disponible du 30 juillet au 2 septembre prochain. La souscription se fait uniquement par le biais du site OPnGO ou de l’application disponible sur l’App Store et sur Google Play. Il est toutefois possible de se renseigner à la boutique Indigo du parking Centre Grande Arche qui est ouverte cet été du lundi au jeudi de 9 heures à 12h30 et de 13h30 à 17 heures.
Otis installera son nouveau siège France et EMEA d'ici la fin de l'année dans la tour Défense Plaza - Defense-92.fr
Pour son nouveau siège Otis avait un impératif primordial : un bâtiment équipé de ses propres ascenseurs. Une exigence somme toute logique pour le numéro un mondial des ascenseurs, car il aurait été inconcevable pour lui d’utiliser au quotidien des appareils d’un concurrent.
Après avoir écarté les bâtiments non éligibles, Otis a finalement porté son choix pour la tour Défense Plaza, sur le territoire de Puteaux. La firme américaine filiale d’United Technologies, a selon nos informations, pris en location pour un bail longue durée environ 8 100 mètres carrés dans ce building construit en 2004 qui fait 31 000 mètres carrés.
Otis y occupera dès la fin de l’année, les trois derniers niveaux de la tour (10e, 11e et 12e niveaux) ainsi qu’une partie du rez-de-chaussée pour loger son nouveau siège France et EMEA (Europe, Moyen-Orient (Middle East) et Afrique), actuellement basé à Bruxelles en Belgique. Ce nouveau siège qui regroupera les nombreuses implantations franciliennes d’Otis, comptera désormais 500 à 600 collaborateurs contre les 150 actuellement basés à La Défense dans l’immeuble Île-de-France.
Dans cette transaction, Cushman and Wakefield est intervenu en tant que conseil d’Otis tandis que BNP Paribas Real Estate et Strategies and Corp ont conseillé Northwood, le propriétaire de la tour.
La tour Défense Plaza qui affiche désormais un taux d’occupation de 88 % héberge les sociétés Vinci Energies, Avril Services, Eiffage Construction, PMF, State Street Bank et CIC. Le building dispose d’un grand auditorium de 134 places, d’une salle de fitness et également d’un jardin avec potager.
Philippe Gambini et sa voisine Emilie se plaignent depuis des années du bruit des tours aéroréfrigérantes de la tour Marchand - Defense-92.fr
Voilà plus de deux ans que le bourdonnement des tours aéroréfrigérantes de la tour Marchand leur fait passer des nuits blanches. A Courbevoie, au sein du quartier du Faubourg de l’Arche, la tour Marchand qui héberge les bureaux de RTE s’est attiré les foudres de ses voisins à cause de ses bruits permanents… Des nuisances sonores qui émanent des trois tours aéroréfrigérantes nichés sur le toit de ce petit building construit fin 80 et rénové entre 2005 et 2007. Des habitants des 32, 42 et 52, avenue de l’Arche ainsi que du 5, place des 3 Frères Lebeuf ont récemment signé une pétition en ligne, réunissant 108 noms sur Change.org pour faire stopper ces nuisances.
« Je suis arrivé en août 2015. Quand j’ai visité je me suis pas rendu compte tout de suite du bruit et il fallait faire une offre tout de suite car le marché immobilier est très tendu », explique Philippe Gambini, voisin direct de la tour Marchand et principal protestataire. « Je ne peux plus ouvrir ma fenêtre car le bruit nous empêche de dormir « . « Ça fait des années que l’on subit ces nuisances sonores et ce n’est pas normal », s’agace Emilie, sa voisine.
Deux études acoustiques ont été réalisées à la fin 2015
Après avoir fait appel à un avocat en octobre 2015 cet habitant dit avoir pris contact avec la mairie de Courbevoie. « Le problème date d’au moins 2014 (comme le prouve la vidéo ci-dessous, ndlr) et lorsque j’ai pris contact avec la mairie, ils étaient étonnés car ils pensaient que c’était déjà réglé », raconte Philippe Gambini. Egalement contacté par Philippe Gambini, RTE, l’occupant va le renvoyer vers le propriétaire de l’immeuble à ce moment-là représenté par BNP Paribas Real. Le propriétaire va alors dans un premier temps faire réaliser une étude acoustique en promettant à Philippe Gambini qu’en cas de non-respect de la loi, des travaux seraient menés.
Deux études acoustiques sont ainsi réalisées à la fin 2015 et aboutissent toutes les deux aux mêmes conclusions. La première dit que « Les émergences sonores spectrales et globales réglementaires ne sont pas respectées. L’installation est donc non conforme au décret (n°2006-1099) du 31 août 2006 relatif à la lutte contre les bruits de voisinage », tandis que la seconde parle d’ » une gêne certaine » sur la terrasse, ainsi que dans les chambres et le salon, « particulièrement en période nocturne, après 22 heures » de l’appartement de Philippe Gambini. Les études recommandent alors aux propriétaires l’installation d’écrans antibruit pour stopper les tracas pour les très nombreux riverains impactés.
Le nouveau propriétaire de la tour Marchand et son locataire se renvoient la balle
Mais depuis tout a été bloqué. Et pour cause, l’immeuble a changé de propriétaire à la mi-2016 et est désormais dans les mains de LBO, un fonds d’investissement. Les deux parties se renvoient la balle pour savoir qui doit payer les travaux d’insonorisation. Voyant les choses traîner Philippe Gambini va donc assigner en référé RTE, ainsi que l’actuel et l’ancien propriétaire de la tour.
Du côté du locataire, on explique attendre les résultats de la procédure judiciaire qui devra déterminer qui est le responsable. « Nous avons déjà mis en œuvre une solution pour réduire le bruit en alternant les trois groupes », confie RTE qui doit quitter son immeuble d’ici la fin de l’année pour s’établir dans l’immeuble Window. Mais l’entreprise ne quittera pas totalement les lieux puisqu’elle y conservera son data center jusqu’à la fin 2020. Contacté, le gestionnaire technique pour le compte de LBO indique quant à lui simplement « qu’une expertise est actuellement en cours ».
Alerté le maire de Courbevoie Jacques Kossowski (LR) a convoqué le 30 mars dernier le propriétaire et le locataire pour leur demander de se répartir les frais pour une énième étude. Parallèlement, la municipalité a mandaté un cabinet pour réaliser des mesures acoustiques. Ces mesures réalisées les 13 et 14 juin derniers ont elles aussi estimé que le bruit de la tour était trop important. Et sans attendre les conclusions de la justice, la mairie a tranché en sommant dans un arrêté municipal du 18 juillet RTE de réaliser des travaux d’insonorisation dans les cinq prochains mois.
Des travaux seront réalisés durant la nuit de vendredi à samedi, rue du Général Audran à Courbevoie - Defense-92.fr
Une nuit de travaux. L’établissement public Paris La Défense (PLD), en charge de l’aménagement, la gestion et l’animation du quartier d’affaires réalisera durant la nuit du vendredi 27 au samedi 28 juillet des travaux rue du Général Audran, à Courbevoie. Ce chantier nocturne destiné à supprimer une ancienne zone logistique prévoit la démolition d’un îlot, un décroutage de la voirie et la réalisation d’un tapis d’enrobé.
Durant toute cette nuit la sortie du quai Paul Doumer donnant sur la rue du Général Audran sera ainsi fermée. Un balisage sera mis en place pour réorienter les automobilistes, assure PLD. « 0Ces travaux, prévus entre 21h30 et 5 heures, pourront générer quelques nuisances. Cependant, les travaux les plus gênants seront réalisés en soirée afin de limiter autant que possible les nuisances pour le voisinage », prévient l’établissement public.
L'édition 2018 des "Estivales de La Défense" s'est achevée ce dimanche - Defense-92.fr
Clap de fin pour « Les Estivales de La Défense ». L’animation estivale lancée le 2 juillet dernier sur le parvis de La Défense s’est achevé ce dimanche soir. Durant trois semaines ce village d’été organisé par Codecom, le même organisateur que le marché de Noël, a proposé aux passants du quartier d’affaires une offre de plusieurs restaurants et commerces. Pour cette troisième édition, Codecom revendique avoir attiré plus de 300 000 visiteurs avec un pic d’affluence ce samedi 21 Juillet où environ 30 000 personnes s’étaient réunies. « Nous avons bien fonctionné les midis et soirs, les week-ends c’était plus familial », explique Philippe Meritte, chef de projet à Codecom qui parle d’un bilan « positif ».
Chez les commerçants et restaurateurs on est plutôt positif. « Ça c’est très bien passé, j’ai eu ma clientèle, je suis très contente », confie Larysa qui proposait dans son petit kiosque vert de l’ambre de la Baltique. Patrick, à la tête de « La Petite Cabane à Sucre du Québec », un stand qui fait fureur durant le marché de Noël est lui plus nuancé sur son bilan : « On va payer nos frais mais ça aurait pu être mieux ». L’entrepreneur québécois voit un effet Coupe du Monde qui aurait fait baisser la fréquentation malgré le beau temps tout du long de l’animation.
Cette troisième édition des Estivales devrait être la dernière, du moins sous cette forme. Car l’emplacement qu’elle utilise depuis 2016 sur le parvis sera dès l’année prochaine le nouveau point de chute de « L’Eté Paris La Défense ». Cette autre animation estivale organisée par l’établissement public Paris La Défense, (qui vient de lancer un appel d’offres pour l’organisation des éditions 2019 à 2021) devra en effet quitter la place de La Défense, son lieu d’origine en raison des travaux de rénovation de l’espace.
Le village d'été "Les Estivales" se tient sur le parvis de La Défense jusqu'au 22 juillet prochain - Defense-92.fr
Un été et plein de choses à faire. Alors que Paris La Défense proposera du 12 juillet au 19 août prochain une nouvelle édition de son « Eté Paris La Défense » mais aussi le parcours artistique « Les Extatiques », une autre animation va investir la dalle du quartier d’affaires. Pour la troisième année consécutive, Codecom, l’organisateur du marché de Noël propose depuis ce lundi 2 juillet et jusqu’au dimanche 22 juillet sur le parvis de La Défense « Les Estivales », un village d’été qui regroupe commerces et restaurants.
Tous les jours les passants pourront retrouver entre 11 heures à 22 heures sur un espace de 6 000 mètres carrés 18 restaurants proposant des cuisines des quatre coins du monde (Brésil, Canada, Grèce, Créole, Inde, Maroc Sénégal,…) mais aussi du snack ainsi qu’une quarantaine de commerçants dont plusieurs artisans. Pendant trois semaines des concerts, des cours de fitness ou encore de yoga viendront animer les festivités.
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