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Au pied des tours on peut aussi faire du yoga

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Yoga Loft a ouvert dans le quartier Boieldieu à l'été 2017 - Defense-92.fr

Le plus grand quartier d’affaires d’Europe a enfin le droit à son espace de yoga. Depuis l’été dernier Yoga Loft est le premier studio entièrement consacré au yoga à La Défense qui réunit sur 250 mètres carrés des cours de « hot yoga » (dans une salle chauffée à 35-40°C) et de yoga classique (dans une salle à température ambiante) déclinés en plusieurs styles.

Lancé par Olga et Olga, deux copines rencontrées à la fac de Nanterre en 2008, Yoga Loft se veut espace « convivial » ouvert à tous. De multiples cours de yoga, allant des plus modernes aux traditionnels, des plus dynamiques aux plus relaxants, vous sont proposés par plusieurs professeurs diplômés.

« J’ai découvert le yoga Bikram (yoga chaud) en 2013 et suis tombée amoureuse de la pratique. J’ai suivi la formation de l’école prestigieuse de la Fédération Française de Yoga créée par Gérard Arnaud, figure emblématique du yoga en France. Depuis mai 2015, je donne des cours particuliers et en entreprise » explique Olga, dit « la blonde ».

« Le choix de l’emplacement, le quartier d’affaires de La Défense, nous semblait idéal pour offrir aux salariés toujours pressés et stressés un havre de paix où ils pourront se ressourcer, retrouver la forme et se détendre » confie pour sa part l’autre Olga, « la brune ».

Pour les curieux, Yoga Loft propose une offre découverte incluant dix jours d’accès illimité aux cours à 35 euros. Pour les tarifs plusieurs offres sont disponibles allant des cours à l’unité à 20 euros l’heure jusqu’à l’année à 1 850 euros.

Implanté au 57, Jardin Boieldieu à Puteaux à deux pas du centre commercial des 4 Temps, Yoga Loft propose des cours tout au long de la journée du lundi au vendredi de 7h30 à 21h30 mais aussi le weekend.Infos : Yogaloft.club

Les deux fondatrices de Yoga Loft, Olga et Olga – DR

L’IESEG s’offre un nouveau campus face à la U Arena

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Le nouveau bâtiment de l'IESEG a été construit à deux pas du campus de la Grande Arche, le long de la Promenade de l'Arche - Defense-92.fr

Huit ans après l’implantation de son campus parisien, dans le socle de la Grande Arche, l’IESEG School of Management a ouvert en septembre dernier sa nouvelle extension le long des jardins de l’Arche. Trop à l’étroit avec ses 2 300 étudiants dans son campus parisien ouvert dans l’Arche en septembre 2009 (6 000 mètres carrés) l’école lilloise s’est désormais dotée d’un bâtiment de 8 000 mètres carrés construit sous les plans de Franklin Azzi à mi-chemin entre la nouvelle U Arena et la Grande Arche.

Edifié au pied de la résidence Skylight le bâtiment de sept niveaux propose deux amphithéâtres de 280 et 88 places, deux salles de théâtres, une bibliothèque, trente-deux salles de cours, six salles de formation pour l’ « Exécutive Education », une salle de marchés fictive, des salles de réunion, une salle informatique, une cafétéria ainsi que de nombreux bureaux pour les encadrants et enseignants.

« Comme la croissance de l’école était au rendez-vous mais plus forte que prévu à l’origine, on a été amenés assez rapidement, dès septembre 2011 à ouvrir un deuxième bâtiment en location dans les Collines de l’Arche » explique Guillaume de Rendinger, le directeur du campus parisien qui s’était également étendu temporairement dans la tour PB5 en 2014 et un an plus tard dans le Pôle Universitaire Léonard de Vinci. Trois adresses désormais libérées par l’école qui n’occupe plus que pour son campus parisien la Grande Arche et ce nouveau bâtiment.

« Le projet de ce nouveau bâtiment est né d’une rencontre il y a un plus de deux ans avec le promoteur Nexity », confie Guillaume de Rendinger. Son école a signé avec Nexity un Vefa le 5 octobre 2015 grâce à un crédit-bail de moins de douze ans avec ses trois partenaires bancaires historiques. Un investissement d’environ 50 millions d’euros pour l’immeuble et les équipements, précise t-il.

Créé sous l’impulsion de Michel Falise en 1964 l’IESEG propose de nombreuses formations dans ses campus de La Défense et de Lille avec un cycle Bachelor et un cycle Master comprenant de l’audit & control, de l’économie, des affaires internationales, de la finance, du management des ressources humaines, du marketing ou encore de la négociation internationale et management des ventes.

Le Galaxy Note 8 s’affiche en très grand sur le Cnit

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La publicité pour le Galaxy Note 8 de Samsung sur le Cnit en octobre 2017 - Defense-92.fr

Samsung est de retour sur le Cnit. Presqu’un an après sa pub ratée pour le défunt Galaxy Note 7, le géant de l’électronique sud-coréen fait la promotion en format géant de son successeur, le Galaxy Note 8. Durant tout le mois d’octobre la marque d’électronique affiche sur les 3 000 mètres carrés de l’immense façade vitrée du Cnit une publicité géante pour son nouveau-né. Cette réclame hors-normes « Do bigger things » (« faire des choses plus grandes ») est une déclinaison de l’actuelle campagne mondiale opérée par Samsung.

Ce support géant pelliculé sur le plus vieux bâtiment du quartier d’affaires tout comme celui de la façade des 4 Temps est commercialisé par Athem & Skertzò pour le compte d’Unibail-Rodamco le propriétaire des deux centres. Outre les nombreuses campagnes que s’est offert Samsung ces dernières années, plusieurs marques se sont succédées sur le Cnit depuis la commercialisation de ce support , comme Sonos, Renault, Aviva, Orange, Qatar Airways, Nike, Audi ou encore Leff.

Les chineurs à l’affut des bonnes affaires à la brocante du Faubourg de l’Arche

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La brocante du Faubourg de l'Arche en octobre 2017 - Defense-92.fr

Les gros nuages dans le ciel de La Défense n’étaient finalement que de passage ce dimanche et hormis quelques gouttes en fin de journée la brocante du Faubourg de l’Arche n’a pas été gâchée. Pour sa treizième édition le vide-grenier du plus récent quartier de Courbevoie, existant depuis les années 90-2000, a une nouvelle fois fait le plein de chineurs à la recherche de bonnes affaires.

Cette année la brocante était pourtant marquée d’une évolution puisque son périmètre a été complètement modifié. Habituellement organisée le long de l’avenue Léonard de Vinci et dans quelques rues adjacentes, la brocante a dû s’adapter cette année à la demande de la police municipale de Courbevoie par crainte de la menace terroriste. Les vendeurs étaient tous installés dans les allées du quartier et près du parc du Millénaire.

« La nouvelle configuration a l’air de convenir, finalement c’est positif, explique Michèle Tellier, de l’association Passé Présent, l’organisatrice de la manifestation. Un remaniement de la brocante qui a tout de même entrainé une réduction du nombre de stands à 250 contre 300 auparavant.

« On est venus vendre des choses que l’on ne veut plus, confie Francine, une habituée de la brocante depuis dix ans qui ne voit pas cette nouvelle formule d’un mauvais œil. J’aime bien, cet emplacement me plait bien ». Un avis partagé par Thierry qui expose pour la seconde année dans son quartier : « Pour la sécurité c’est beaucoup mieux », pense-t-il. Côté ventes il se dit plutôt satisfait : « Il y avait beaucoup de monde le matin puis dans l’après-midi » poursuit-il.

Du côté des promeneurs c’est la course aux bonnes affaires. Un moment apprécié par Sabah, une habitante de Courbevoie : « Je suis venue me promener et faire de bonnes affaires ». Marie-Jeanne tracte un caddie rempli de victuailles. « C’est tout pour les enfants et puis çà me permet de me faire plaisir à petit prix » lâche cette habitante de Nanterre.

Le journaliste américain Jake Adelstein en dédicace ce mardi à la Fnac

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Le journaliste américain Jake Adelstein - Michael Lionstar

Jake Adelstein sera de passage à La Défense. Ce mardi 10 octobre à partir de 12h30 la Fnac de La Défense installée dans le Cnit recevra le journaliste américain d’investigation qui dédicacera pour l’occasion ses deux livres « Tokyo Vice », et  « Le dernier des yakusas » parus respectivement en février 2016 et octobre 2017.

Agé de 48 ans et né à Columbia dans le Missouri, Jake Adelstein a consacré l’essentiel de sa carrière à couvrir le trafic d’êtres humains et le crime organisé au Japon. Ses deux ouvrages sont consacrés aux pays du soleil levant.

Dans Tokyo Vice, Jake Adelstein, alors âgé de 24 ans intègre le service police et justice du « Yomiuri Shimbun », le plus grand quotidien japonais. Il collabore au travail de la police de Tokyo, avant d’être contacté par la mafia. Il devient interlocuteur des yakusas tout en restant informateur de la police. Mais cette position ambivalente n’est pas sans danger. Cette enquête journalistique au cœur de la pègre japonaise est une curiosité à lire absolument ! L’auteur sonde les modèles culturels tout autant que les croyances morales autour d’intrigues dignes de vrais polars, observant avec humour les convenances clandestines auprès de yakuzas, de policiers ou de prostituées. Entre polar journalistique et essai sociologique, une descente passionnante dans les bas-fonds tokyoÏtes où se croisent Yakuzas, dealers et prostituées. Adelstein nous envoie un premier coup de maitre, débordant d’énergie et d’humour.

Dans son second roman Jake Adelstein en a bien conscience : il ne s’en sortira pas vivant sans aide. Après avoir écrit un article sur Tadamasa Goto, il a tout le Yamaguchi-gumi à ses trousses. Partant du vieux principe selon lequel « les ennemis de mes ennemis sont mes amis », Jake Adelstein engage un ancien yakuza, Saigo, qui appartenait à la branche ennemie de Goto. En échange ? Jake doit écrire la biographie de son protecteur. À partir de la vie de cet homme qui a connu l’âge d’or des yakuzas, Jake Adelstein dresse une fresque épique de la mafia japonaise, des années 1960 à nos jours. C’est Le Parrain au pays du Soleil-Levant, cela commence sur fond de tatouages sophistiqués et se termine dans les milieux de la finance. Entre-temps, les yakuzas ont perdu leur sens de l’honneur.

Basma Taieb prend la direction du MBA Digital Marketing Strategy de l’EMLV

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Basma Taieb vient de prendre la direction du MBA Digital Marketing Strategy de l'EMLV - Letitbe

Intégrée au Pôle universitaire Léonard de Vinci, l’Ecole de Management Léonard de Vinci (EMLV), vient de confier à l’enseignant-chercheur en marketing digital Basma Taieb, les rênes du MBA Digital Marketing Strategy et de la Majeure Digital Marketing et Data Analytics du programme grande école.

Le MBA Digital Marketing Strategy de l’EMLV a pour vocation de former les futurs managers en marketing digital. Cette formation -tout en anglais- est réalisée en partenariat avec des entreprises. Elle s’attache à transmettre aux étudiants les recettes de succès d’une stratégie de Marketing digital et e-business, avec un accent particulier sur les objets connectés, ultra porteurs en termes de recrutements.

Le programme Digital Marketing & Data Analytics est une formation bi-diplômante Bac+5 EMLV/IIM, unique sur le marché, pour former en alternance ou en initial, les Marketeurs de demain, dotés de compétences fortes dans l’élaboration de stratégies digitales, mais aussi de solides bases de développement. A l’issue, les étudiants obtiennent le titre RNCP niveau I de « Manager de la Communication numérique » de l’IIM (Institut de l’Internet et du Multimédia) ainsi que le diplôme de l’EMLV, visée Bac+5 grade de Master.

Pour gérer ses programmes stratégiques pour l’EMLV, Sébastien Tran, directeur de l’école post bac du Groupe Léonard de Vinci a recruté Basma Taieb. « Cette enseignant chercheur en marketing digital aura la mission d’assurer le bon déroulement des deux formations ainsi que l’enseignement de cours sur les sujets qui lui sont chers.
 Côté recherche, Basma fourmille de projets de recherche dans le commerce mobile (smartphone et tablettes) au niveau design pour la conception de sites adaptés au mode d’utilisation (usage interne/externe). Elle étudie l’ergonomie et le comportement du consommateur. Ses recherches futures s’axeront sur le marketing et l’IOT (Internet Of Things) de la maison connectée. Elle envisage d’étudier la segmentation des consommateurs en fonction de leurs besoins » explique l’école de mangement dans un communiqué.

Titulaire d’un Doctorat en Sciences de Gestion option marketing obtenu à l’IAE d’Aix-en-Provence, Basma Taieb a débuté sa carrière d’enseignante en tant qu’Attaché Temporaire de l’Enseignement et de la Recherche (ATER) à l’Université Paris 11 puis à l’Université Claude Bernard de Lyon. Elle a ensuite exercé le métier d’enseignant chercheur en Marketing Digital à l’EM Normandie, chez PSB, à l’ISC Paris, puis à l’Université de Cergy Pontoise, avant de rejoindre l’EMLV.

Ronald, le clown de Mc Do ce mercredi à La Défense

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Ronald devant le McDonald's des 4 Temps - Defense-92.fr

Il est de retour. Après un premier passage fin février, Ronald, le célèbre clown de Mc Donald’s va revenir rencontrer les enfants à La Défense. Le Mc Do des 4 Temps recevra ce mercredi 11 octobre à partir de 15h30 heures la mascotte de la chaine de fastfood américaine remplacé en France depuis 2009 par « Happy ».

Réputé pour ses habits bariolés de jaune, rouge et blanc, -les couleurs d’origine de la marque- le clown proposera gratuitement durant une heure, aux enfants d’assister dans la joie et la bonne humeur à son spectacle « La magie de l’écologie ». Bonbons et ballons seront également distribués par Ronald.

Le vide-dressing est de retour aux 4 Temps pour dix jours

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L'opération Dress in the City se déroule du 6 au 15 octobre 2017 aux 4 Temps - Defense-92.fr

C’est reparti pour le grand vide-dressing aux 4 Temps. Pendant une dizaine de jours, du vendredi 6 au dimanche 15 octobre prochain le centre commercial des 4 Temps accueille Dress in the City. Pour cette nouvelle édition après celle de septembre dernier la boutique éphémère implantée en Clairière propose aux clientes du centre, d’acquérir des vêtements, chaussures et sacs d’occasion déposés par d’autres personnes ces derniers jours.

Dress in the City s’occupe de tout

Les vendeuses qui fixent elles-mêmes le prix des articles qu’elles souhaitent vendre dans la boutique éphémère n’ont alors pas à se soucier du troc et sont payées directement en cas de vente par Dress in the City qui prend une commission. Si les produits déposés ne sont pas vendus, l’organisateur les conserve pour les proposer à la vente via son application mobile sur internet et à ses prochains vide-dressings. En revanche si les biens n’ont pas trouvé preneuse au bout de quatre mois, les vendeuses peuvent aller les récupérer chez Dress in the City moyennant deux euros par article pour les frais de logistique ou bien en faire don à une association.

A La Défense Orange mène une cyberguerre dans les profondeurs d’internet

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C'est dans l'immeuble Village 3 qu'Orange Cyberdéfense a choisis de s'installer depuis septembre dernier - Defense-92.fr

A quelques pas de la Grande Arche il se mène une guerre perpétuelle et secrète. Mais dans cette bataille les armes ne sont pas des fusils mais des claviers et des souris. Depuis septembre dernier l’opérateur Orange a installé dans le quartier Valmy, au sein de l’immeuble Village 3 (propriété d’Unibail-Rodamco) sa filiale Orange Cyberdefense, dédiée à la sécurité des entreprises. L’entité du géant des télécom auparavant disséminée sur six sites franciliens s’établit désormais face à la nouvelle U Arena, sur un campus de 6 800 mètres carrés répartis sur douze niveaux hébergeant près de 500 collaborateurs sur les 1 200 que compte la structure. Des bureaux flambant neuf qui ont été inaugurés ce jeudi 5 octobre en présence du secrétaire d’Etat, Mounir Mahjoubi et de Patrick Devedjian, le président des Huats-de-Seine.

Pouvant accueillir jusqu’à 600 personnes le siège d’Orange Cyberdéfense accueille entre autres les services spécifiques à la cyber sécurité avec une salle de crise, un Computer Emergency Response Team (CERT) et le Cyber Security Operation Center (CyberSOC) mais aussi un laboratoire d’épidémiologie où des experts testent la vulnérabilité des appareils informatiques et autres objets connectés de ses quelques 700 clients dont de nombreuses entreprises du CAC 40. De là les spécialistes d’Orange traquent sans relâche 24h/24 toute l’année, les virus, tentatives d’intrusion sur les systèmes ou actes de phishing dont ses clients sont victimes.

Le Cyber Security Operation Center (CyberSOC) d’Orange Cyberdefense – Orange/Sipa/A.Huot

Des locaux au look futuriste et geek

Conçu par l’agence Proejctive, ce QG flambant neuf adopte une déco futuriste et de nombreuses références à la culture geek et cinématographique. Car chez Orange les soldats qui mènent la cyber guerre ont une moyenne d’âge de seulement 29 ans. « Le site a été complètement conçu avec les salariés » explique Michel Van Den Berghe, directeur général d’Orange Cyberdefense. Avec cette réunification les salariés de l’entreprise ont pu choisir leur espace, leur ambiance et leurs mobiliers par étage. Ils profitent de vingt-deux espaces de travail confidentiel, onze salles de réunion, trente-trois box de réunion, trente espaces téléphone, le tout avec du mobilier « comme à la maison », décrit Orange. Pour la détente le demi-millier de collaborateurs peuvent jouir d’un vaste espace de vie avec babyfoot, bornes d’arcades et consoles de jeux vidéo « pour favoriser les échanges entre collègues » ainsi qu’un espace zen pour se détendre et se reposer. Et pour recevoir ses clients Orange Cyberdéfense s’est offert un « vortex numérique » où plusieurs écrans numériques présentent l’entité.

Une Cyberdéfense Academy pour dénicher les nouveaux talents

Mais malgré ces conditions de travail et des salaires attrayants les candidats ne se bousculent pas pour intégrer les équipes de ces cyber guerriers. « L’an dernier, nous cherchions une centaine d’ingénieurs et nous en avons péniblement recruté vingt » regrette Michel Van Den Berghe qui ambitionne tout de même d’intégrer d’ici 2020 un millier de nouveaux soldats du net. Pour Michel Van Den Berghe les difficultés de recrutement pouvaient s’expliquer par l’éclatement des sites en Ile-de-France, et surtout par le manque de formation destinée à ces nouveaux métiers apparus il y a quelques années. C’est donc pour cela qu’Orange va ouvrir dans le quartier d’affaires l’année prochaine sa Cyberdéfense Academy avec des formations Bac + 2/3 en alternance dans l’espoir de trouver ses nouveaux talents.

Le « vortex numérique » pour présenter Orange Cyberdéfense – Orange/Sipa/A.Huot

Les chaussures UGG vont passer l’hiver à La Défense

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Le pop-up store UGG restera ouvert aux 4 Temps jusqu'à la fin février 2018 - Defense-92.fr

Les emblématiques chaussures d’UGG s’invitent à La Défense. Le centre commercial des 4 Temps accueille jusqu’à la fin février 2018, le pop-up d’UGG la marque née en Australie en 1971 sous l’impulsion du surfer Shane Stedman puis devenue américaine en 1995 après son rachat par Deckers Outdoor Corp. Si UGG est avant tout connue pour ses célèbres bottes en peau de mouton, la gamme comprend également des chaussures, sandales, chaussures à semelles compensées, chaussons, tricots, vêtements et sacs à main

Sur une petite vingtaine de mètres carrés le commerce éphémère installé au second niveau du centre, dans l’allée des Arcades propose uniquement sa gamme de bottes destinées principalement aux femmes mais aussi aux hommes et enfants. Sept vendeurs ont été recrutés par la marque pour cette boutique.

Le pop-up store UGG est ouvert tous les jours de 10 heures à 20 heures.