Un food-truck sur la place de La Défense en août 2016 - Defense-92.fr
Ils sont bientôt de retour. Après avoir nourri les défensiens l’année dernière les food-trucks vont revenir dans le quartier d’affaires à partir du 27 mars prochain jusqu’à la fin novembre. Defacto, l’établissement de gestion de La Défense a lancé un appel à candidatures pour trouver une vingtaine de restaurateurs qui sillonneront le quartier avec leurs camions pendant huit mois.
Comme en 2016 les food-trucks alterneront leurs présences dans le quartier à travers cinq sites : le cours Valmy (deux emplacements), le Faubourg de l’Arche (un emplacement), le Bassin Takis (deux emplacements), la place de La Défense (un emplacement et quatre pendant l’été Defacto du 1er juillet au 15 août) et la place des Saisons (un emplacement). Le service sera assuré du lundi au vendredi de 11h30 à 14h30.
Les coffee-trucks vont également s’inviter sur la dalle
Et pour cette seconde édition des coffee-trucks vont s’inviter tous les matins au cours Valmy et sur la place de La Défense. Entre 7 heures et 10h30 les camionnettes proposeront une offre de petits déjeuners avec boissons chaudes et autres viennoiseries.
Pour sélectionner les restaurateurs, Defacto se basera sur plusieurs critères comme l’offre proposée, le prix, la place faite aux produits frais mais aussi l’aspect du véhicule, puis un jury composé notamment d’utilisateurs aura le dernier mot.
Avec une moyenne de 80 repas servis par food-trucks et par jour, ce sont quelques 90 000 couverts qui ont été servis l’année dernière se réjouit Defacto qui s’attend à recevoir beaucoup de candidatures comme en 2016 où une centaine de restaurateurs avaient candidaté.
Les postulants pour cet appel à candidature ont jusqu’au 1er février pour répondre.
La Rose de Cherbourg le 16 janvier 2017 - Defense-92.fr
Depuis plus d’un an l’échangeur de la Rose de Cherbourg a entamé sa longue mue. L’Epadesa, qui ambitionne de redonner une nouvelle vie à ce grand échangeur routier avec plusieurs projets immobiliers dont la tour de bureaux Hekla et la résidence étudiante Campuséa, a entrepris d’importants travaux pour préparer le terrain.
Après avoir fermé une grande partie de l’échangeur de la Rose il y a déjà quelques années, l’aménageur de La Défense a complètement modifié la circulation des véhicules et les cheminements routiers.
La construction de la résidence Campuséa va nécessiter plusieurs déviations piétonnes prévues jusqu’à mi-2018 (voir plan ci-dessous). Les travaux préparatoires au démarrage de la tour Hekla, nécessiteront eux la neutralisation d’un trottoir au nord de l’avenue du Général de Gaulle. Des travaux se dérouleront de nuit du lundi 16 au jeudi 19 janvier 2017 et du lundi 23 au jeudi 26 janvier.
Une nouvelle Rose de Cherbourg pour la prochaine décennie
Ces travaux, « peu bruyants » promet l’Epadesa, consisteront à réaliser une rampe nécessaire au maintien et à l’amélioration du cheminement piéton à proximité de l’arrêt de bus « Les Bouvets » en direction de Saint-Germain. La méthodologie de travaux permettra le maintien du cheminement sur le trottoir en journée, assure l’aménageur.
D’ici à 2021 le secteur de la Rose de Cherbourg avec son grand échangeur en béton pour le boulevard circulaire sera complètement métamorphosé. Le point d’orgue du projet sera la construction de la tour Hekla de l’architecte Jean Nouvel, développée par Hines et AG Real Estate. Son chantier pourrait débuter à la fin de l’année et s’achever en 2021. A son pied sera érigé par Gecina la résidence étudiante Campuséa avec ses 400 chambres. La fin des travaux qui ont débuté il y a quelques semaines est prévue pour 2018. Une autre résidence étudiante doit également être bâtie face à Campuséa. Enfin une grande partie de l’échangeur sera transformé par l’Epadesa en promenade urbaine à l’image de ce qui a été fait à New York avec la High Line. Le carrefour sera lui réaménagé en laissant plus de place aux circulations douces.
Le restaurant "Le QG" a ouvert dans le quartier des Saisons début décembre 2016 - Defense-92.fr
Le quartier des Saisons compte un nouveau restaurant. Depuis le début décembre de l’année dernière une pizzeria a ouvert ses portes à proximité de la tour First au 37, place des Saisons. Baptisé « Le QG » l’établissement propose à sa carte des pizzas, des pâtes, des poissons, des viandes ou encore des salades avec des produits pour la plupart faits maison. Les pizzas sont d’ailleurs préparées et cuites directement dans la salle. « Les clients peuvent voir le pizzaiolo à l’œuvre » confie Youssef le responsable du restaurant.
En plus de proposer des ventes à emporter pour ses pizzas et pâtes, le restaurant dispose d’une cinquantaine de places assises auxquelles viendra s’ajouter une trentaine en terrasse lors des beaux jours.
« Le QG » est ouvert du lundi au vendredi de 11 heures à 22 heures et les samedis de 12 heures à 15 heures et de 18 heures à 22 heures.
L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2016-2017 - DR
La septième saison de Viva l’Opéra se poursuit et pour débuter l’année 2017 c’est l’opéra Alcina qui sera diffusé à l’UGC Ciné Cité des 4 Temps. Le multiplex projettera dans la salle 16, la plus grande du complexe cette œuvre de Georges Friedrich Haendel jouée à l’opéra de Vienne et mise en scène par Adrian Noble et dont la direction musicale a été assurée par Marc Minkowski. Côté distribution, les spectateurs pourront retrouver Anja Harteros (dans le rôle de Alcina), Vesselina Kasarova (Ruggiero), Veronica Cangemi (Morgana), Kristina Hammarström (Bradamante), Alois Mühlbacher (Oberto) et Adam Plachetka (Melisso). La pièce de 4h11 sera entrecoupée de deux entractes d’une vingtaine de minutes.
Les prochains rendez-vous de Viva l’Opéra sont programmés le 9 février avec Idéménée et le 16 février avec Così Fan Tutte qui sera joué en direct du Palais Garnier à Paris.
Les projections sont proposées au tarif de 15 euros pour les moins de 26 ans, 30 euros avec la carte UGC Illimité et 35 euros au plein tarif, avec toujours la possibilité de souscrire un abonnement pour cinq opéras et ballets à 130 euros en plein tarif.
Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places en ligne, en accès sur www.vivalopera.fr.
Un hélicoptère Bell 212 a hissé quarante à cinquante tonnes de matériel sur le toit de la tour Total ce samedi 14 janvier - Defense-92.fr
Les yeux étaient rivés vers le ciel de La Défense ce samedi. Durant plusieurs heures un hélicoptère Bell 212 a fait de nombreuses rotations dans l’espace aérien du quartier d’affaires pour acheminer au sommet de la tour Total Coupole de nombreux appareils de climatisation.
L’héliportage qui a débuté vers 10 heures du matin nécessitant un bouclage d’une partie du quartier aura en tout duré plusieurs heures pour s’achever vers 15 heures après une pause d’une heure. Ce Bell 212, modèle bien connu pour avoir participé à la guerre du Vietnam a pendant une quarantaine de rotations hissé et descendu avec un treuil d’une trentaine de mètres des charges d’environ chacune 1,5 tonne. « L’opération a consisté à remplacer des tours aéroréfrigérantes d’une quinzaine d’années » explique Manuel Soares, chef de département chez Spie, en charge des travaux. « L’opération technique n’était pas compliquée mais elle a demandé beaucoup d’organisation » poursuit-il indiquant qu’elle a nécessité la mobilisation d’une cinquantaine d’ouvriers Spie en plus de la demie douzaine de personnes de la société Héliconia en charge de l’héliportage. Ces anciens appareils vont être remplacés d’ici quelques semaines par des modèles « Dry » plus récents et moins énergivores.
Un Super Puma pour achever l’opération le 4 février prochain
Mais avant le prochain héliportage programmé le 4 février prochain -sauf si la météo ne le permet pas- il a fallu préparer le terrain en installant une nouvelle charpente métallique impossible à hisser par les ascenseurs de l’édifice. Elle est destinée à recevoir les trois Dry au sommet de la tour à environ 200 mètres de hauteur. Cette fois-ci c’est un Super Puma qui se chargera de cette mission.
« Cela s’est parfaitement bien passé. On est habitués à ce genre de travail » confie Xavier Decroux, le responsable héliportage chez Heliconia. Sa société qui a été en charge de ce chantier périlleux est le leader dans ce genre d’opération en milieu urbain. Elle a dernièrement réalisé l’héliportage d’appareils de climatisation au sommet de la tour PB5. Et début avril elle devrait se charger de remplacer la nacelle de nettoyage de la tour Eqho.
La publicité pour "Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire" de Netflix sur un écran publicitaire Clear Channel des 4 Temps - Defense-92.fr
Les orphelins Baudelaire s’invitent aux 4 Temps. Pour accompagner le lancement de sa nouvelle série « Les désastreuses aventures des orphelins Baudelaire », Netflix est de retour dans le centre commercial de La Défense avec une animation publicitaire inédite après avoir animé le Digital Dream pour ses autres séries « Orange is the new black » et « Daredevil« .
Pendant une semaine, jusqu’au jeudi 19 janvier, la plateforme américaine invite les visiteurs des 4 Temps à découvrir sa nouvelle création à travers une boite mystérieuse. Les clients du centre doivent braver l’interdit qui déconseille de regarder à travers deux judas, un pour les grands et un pour les petits. Ils pourront alors découvrir la bande annonce de la série présentée par le comte Olaf son personnage principal à travers l’écran d’un totem digital de Clear Channel. L’animation qui a été montée avec l’agence Monstre est installée à deux endroits du centre : au Dôme et au second niveau de la Clairière. Elle est également visible dans les centres de Velizy 2, du Forum des Halles, de Créteil Soleil, de Belle Epine et de La Part Dieu à Lyon.
Le chantier d'Eole le long de l'avenue Gambetta à Courbevoie le 13 janvier 2017 - Defense-92.fr
C’est un chantier colossal qui a été lancé il y a quelques mois dans le quartier de La Défense. Depuis plusieurs mois le chantier du prolongement d’Eole se concrétise dans le quartier d’affaires notamment le long de l’avenue Gambetta d’où partira le tunnelier qui filera vers Paris Saint-Lazare, l’actuel terminus de la ligne E du RER. C’est également depuis ce site que sera évacuée une partie de la terre de la gare de La Défense qui sera construite sous le Cnit. Les terres du tunnelier seront elles évacuées également à Courbevoie mais par voie fluviale au niveau du quai du président Paul Doumer.
Un chantier qui doit s’achever à l’horizon 2022
Face à ces travaux qui doivent s’achever à l’horizon de 2022, la Sncf Réseau va organiser tout au long du projet plusieurs réunions publiques dans les différentes villes concernées. La prochaine se déroulera à Courbevoie, plus précisément dans la marie dans la salle Marius-Guerre, entrée par le 1, rue Albert-Simonin le lundi 16 janvier à 20 heures.
La démolition du podium dans le quartier du Faubourg de l'Arche le 12 janvier 2017 - Defense-92.fr
Il est encerclé par les barrières depuis des années. Le podium du Faubourg de l’Arche condamné aux piétons depuis des années en raison d’un risque d’effondrement du plancher en bois va finalement complètement disparaitre. La ville de Courbevoie vient de lancer depuis le 9 janvier dernier la démolition des deux podiums implantés le long de l’allée de l’Arche et de l’esplanade Mona Lisa au pied de la tour Technip et du Pôle universitaire Léonard de Vinci. Ces travaux vont également entrainer l’abattage de la trentaine d’arbres qui y étaient plantés.
Le chantier mené par l’entreprise Colas doit se poursuivre jusqu’au 17 février prochain. La ville va profiter de la suppression de ce podium refaire l’étanchéité de la dalle. Contactée la municipalité explique que pour l’heure aucun projet n’est prévu pour remplacer l’équipement.
L'opération Dress in the city en janvier 2017 - Defense-92.fr
Les bonnes affaires ne passent pas que par les soldes. Un peu plus de deux mois après sa dernière venue, Dress in the city est de retour aux 4 Temps pour une nouvelle édition. Du mercredi 12 au lundi 23 janvier de 10 heures à 20 heures, Dress in the city propose avec le centre commercial son vide dressing. La boutique éphémère implantée en Clairière propose, pendant douze jours aux clientes du centre, d’acquérir des vêtements, chaussures et sacs d’occasion déposés par d’autres ces derniers jours.
Dress in the city s’occupe de tout
Les vendeuses qui fixent elles-mêmes le prix de leurs articles n’ont alors pas à se soucier du troc et sont payées directement en cas de vente par Dress in the city qui prend une commission. Si les produits déposés ne sont pas vendus l’organisateur les conserve pour les proposer à la vente via son application mobile, sur internet et à ses prochains vide- dressings. En revanche si les biens n’ont pas trouvé preneuse au bout de quatre mois, les vendeuses peuvent aller les récupérer chez Dress in the city moyennant deux euros par article pour les frais de logistique ou bien en faire don à une association.
Coloré, connecté, perché,… Une chose est sure le mobilier que vous verrez à La Défense, vous le verrez nul part ailleurs. Après plusieurs jours de montage tout était fin prêt ce jeudi 30 juin pour l’inauguration de la troisième édition de la biennale du mobilier urbain de La Défense « Forme Publique » qui a pour thème cette année « Village Global ». Pour cette troisième édition qui s’achèvera dans un an, en juin 2017, Defacto, le gestionnaire de La Défense et organisateur de l’événement a retenu par le biais de son jury cinq types de mobiliers qui ont été imaginés par huit designers de quatre nationalités différentes.
La Rue des Utopies :
Avec son parcours d’une soixante de mètres et ses deux cabanons en bois suspendus à deux mètres de hauteur, « La Rue des Utopies » qui encercle des tilleuls au pied de la tour CB21 est probablement le mobilier le plus surprenant de cette biennale pour son envergure. Imaginé par Florian Lopez et Constantinos Hoursoglou la structure mélange aluminium et de lames de bois.
Le mobilier « La rue des Utopies » – Defense-92.fr
Le mobilier « La rue des Utopies » – Defense-92.fr
Le mobilier « La rue des Utopies » – Defense-92.fr
Le mobilier « La rue des Utopies » – Defense-92.fr
Les Refuges de La Défense :
Implanté tout le long de l’axe historique, « Les Refuges de La Défense » désigné par Maia Tüur et Yoann Dupouy propose quatre mobiliers semi-mobiles tournant à 360 degrés permettant à ses utilisateurs d’optimiser leur positionnement face au soleil, à la pluie ou au vent. L’abri-refuge s’appuie sur deux pieds, l’un fixe avec une assise basse et l’autre équipé d’une tablette haute et d’une roue permettant de faire tourner l’ensemble. Conçus comme des kits démontables revêtus de bois à l’intérieur, et de métal à l’extérieur, les quatre Refuges de La Défense sont en outre des points d’orientation géographique. Ils permettent au public de situer les immeubles de La Défense ou d’ailleurs, à l’aide de leurs coordonnées géographiques et, au sol, grâce à un marquage des points cardinaux.
Le mobilier « Les Refuges de La Défense » – Defense-92.fr
Le mobilier « Les Refuges de La Défense » – Defense-92.fr
Abris Basculés :
Avec leur « Abris Basculés » Aurélie Chapelle et David Machado proposent quatre mobiliers en bois installés aux pieds des tours Coeur Défense et EDF culminant à 3,50 mètres de hauteur environ. Les quatre micro-architectures deviennent successivement, garage à vélos, cabine-miroir, banc abrité et espace de cadrage sur l’installation Cheminée végétalisée (2003) d’Édouard François qui fait partie de la collection d’œuvres d’art à ciel ouvert de La Défense. Offrant une surface d’environ 5 m², chacun des Abris basculés se compose d’une structure identique en métal peint noir, et habillée de panneaux en stratifié compact haute pression. Tous les abris adoptent un même code couleur, entre l’intérieur gris, l’extérieur bleu et l’identification des quatre fonctions différentes en orange.
Le mobilier « Abris basculés » – Defense-92.fr
Le mobilier « Abris basculés » – Defense-92.fr
Le mobilier « Abris basculés » – Defense-92.fr
Big Board :
Déjà lauréat en 2014 avec Slides, gigantesque tapis de jeu ou « Playground » pour tous à l’échelle de la dalle de La Défense, le designer Alexandre Moronnoz revient cette année avec une immense table de meeting intitulée « Big Board » au beau milieu de l’esplanade. Repérable par sa couleur jaune, ce gigantesque cadran solaire de 13 mètres de diamètre pour 2,5 mètres de hauteur est protégé par une cloison pénétrable et transparente réalisée en lanières PVC, de type rideau industriel. Cette structure en métal et bois formant banc et table circulaires sur lesquels on peut grimper, accueille un arbre. Émergeant du podium central recouvert d’un sol souple, cet eucalyptus en pot renforce le changement d’échelle du global au local.
Le mobilier « Big Board » – Defense-92.fr
Le mobilier « Big Board » – Defense-92.fr
Le mobilier « Big Board » – Defense-92.fr
Plateformes de travail urbaines :
Enfin Pawel Grobelny propose un mobilier en bois venant s’insérer dans son élément. Implantées en trois endroits différents du quartier, une des plateformes est partiellement suspendue au-dessus du bassin de la place Henri Regnault en effleurant l’eau. Les deux autres plateformes situées sur l’axe historique bénéficient de perspectives inédites avec vue sur l’Arc de Triomphe. Connectés, ces mobiliers permettent aux utilisateurs d’y recharger leur téléphone ou de brancher leur ordinateur avec des prises électriques et USB.
Le mobilier « Plateformes de travail urbaines » – Defense-92.fr
Le mobilier « Plateformes de travail urbaines » – Defense-92.fr
Le mobilier « Plateformes de travail urbaines » – Defense-92.fr
Pour une meilleure visibilité de la biennale sur son vaste périmètre allant de l’Arche au Bassin de Takis, Defacto a demandé au designer Malte Martin, de créer une signalétique d’information qui soit aussi un geste artistiquement fort.
S’inspirant du nuage dans tous les sens du terme c’est-à-dire de celui de l’Arche comme du « Cloud » du « Village Global », un vocabulaire graphique accompagne donc les visiteurs de cette édition 2016 dans la découverte des différents mobiliers urbains. Des formes concentriques apparaissent comme des ondes au sol pour indiquer le chemin, signaler la proximité d’une installation puis s’évaporer.
Deux grands mâts d’information, des marquages directionnels, et des totems cartels présentant chacun des mobiliers, permettent ainsi au public de s’orienter et de mieux s’approprier les projets. Comme des balises sorties du Bassin de Takis, deux antennes se transforment en mâts d’information avec à leur pied, des cercles rayonnants intégrant un plan de La Défense et le repérage des installations à découvrir. Une douzaine de nuages se déposent près des projets alors que les totems cartels donnent le mode d’emploi des créations de Forme Publique 2016.
« Cloud »,
une signalétique artistique de Malte Martin – Defense-92.fr
Ces cinq projets lauréats complètent cette année le mobilier issu des biennales précédentes (la Grande Cantine, les Bancs Géométriques et le parcours sportif Bonjour !) conservés sur le site suite au plébiscite des utilisateurs.
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