La course d'Action Contre la Faim en 2014 - Defense-92.fr
Pour la huitième année consécutive, l’association Action Contre la Faim organise sur le Parvis de La Défense sa course solidaire interentreprises « Challenge Contre la Faim » le vendredi 12 juin 2015. Cette année encore deux départs seront donnés : un premier à 13h et un second à 15h15.
Le principe ne change pas : une boucle d’un kilomètre est tracée sur le parvis de La Défense autour de l’Arche de La Défense. Pour chaque kilomètre parcouru par les salariés, son entreprise s’engage à reverser 15 € à Action contre la Faim. Par exemple, en parcourant 5 km, l’entreprise s’engage à reverser 75 € à Action Contre la Faim. Et comme l’année dernière, ceux qui ne sont pas sportifs pourront toujours danser de la zumba. Pour 6 minutes de danse, l’entreprise s’engage à verser également 15 € à ACF.
Le vendredi 13 juin 2014, 3 421 salariés de 112 entreprises dont HSBC, KPMG, GE, GDF Suez, BT, BNP Paribas, Amundi ou encore Saint-Gobain avaient participé au Challenge contre la Faim (2 663 personnes pour la course et 863 pour la zumba). Ensemble, ils avaient parcouru 30 228 kilomètres et 9 962 périodes de 6 min de Zumba. 646 130 € avaient ainsi été collectés par l’association humanitaire.
En 2015, Action Contre la Faim affectera 75% des dons issus des courses Challenge Contre la Faim (La Défense, Lyon, Strasbourg, Rouen et Annemasse) à ses programmes en Afghanistan et Birmanie. L’association affectera les dons restants en fonction des urgences ou des besoins qu’elle rencontrera.
Pour vous inscrire au Challenge Contre la Faim vous avez jusqu’au 8 juin prochain et vous devez vous rapprocher de votre entreprise (service du personnel, service communication, CE,…). Si votre entreprise n’est pas inscrite à la course vous pouvez contacter Carole Saubert au 01 70 84 72 25 ou bien remplir un formulaire en cliquant sur cette page.
Les manifestants d'Itron à La Défense le 16 avril 2015 - Defense-92.fr
Tous vêtus d’un tee-shirt vert pomme, environ une cinquantaine de salariés d’Itron, société spécialisée dans la fabrication de compteurs, se sont rassemblés sur la place de La Défense ce jeudi 16 avril entre 10h et 14h. Venus de Poitiers, les manifestants entendaient protester contre un plan social mis en place par la direction de leur entreprise. La société américaine compte supprimer 681 postes dans le monde dont 465 en zone EMEA (Europe, Afrique et Moyen-Orient) sur les 8 000 emplois. En France, le plan prévoit la suppression de 137 postes sur les sites de Chasseneuil-du-Poitou, Issy-les-Moulineaux, Mâcon, Massy et Reims dont 124 sur le site de Chasseneuil-du-Poitou, qui conçoit et produit des compteurs électriques et logiciels associés.
Ce plan prévoit la délocalisation des lignes de production de la gamme Commercial & Industriel (compteurs haut de gamme à forte marge), aujourd’hui part importante du chiffre d’affaires du site, vers le site Itron de Gödöllö en Hongrie ainsi que la fermeture de son laboratoire accrédité. « Ce plan est remarquable par le fait qu’il touche essentiellement des fonctions cadres et ingénieurs et va de ce fait entraîner la perte d’un savoir-faire clé pour la filière industrielle française des réseaux intelligents, dits Smart Grid » explique l’intersyndicale dans un communiqué.
Parmi les arguments avancés pour cette restructuration qui fait suite à deux autres en 2011 et 2013, la Direction de l’entreprise avance la baisse du chiffre d’affaires dans le segment électricité de 400 millions de dollars entre 2011 et 2013. Une diminution du chiffre d’affaires que reconnaît l’intersyndicale mais qui précise que « Ce sont 339 millions de dollars qui ont été perdus en Amérique du Nord » et ajoute que le chiffre d’affaires « a cru de 25 millions de dollars en zone EMEA, zone la plus touchée par le plan de 2015 ».
Les salariés comprennent d’autant moins ce plan social que leur groupe a remporté 40 % du marché de la fabrication de Linky, le nouveau compteur communiquant destiné à ERDF soit un volume d’1,2 millions d’appareils, alors même qu’il ne s’agit que de la première phase du projet, pour lequel est prévu le déploiement de 35 millions de compteurs d’ici à 2021. « Ce contrat record a valu aux employés du site d’être chaudement félicités par leurs directions locale et globale ainsi que par le client » précise l’intersyndicale.
Et contrairement à la plupart des manifestations où sont brandis les logos des organisations syndicales, les salariés d’Itron ont préféré mettre en avant leur mascotte: un âne… Ils ont réalisé un baudet (une espèce d’âne de la région du Poitou) en taille réelle, fabriqué en styrodur pour exprimer leur refus à ce plan social. « Contrairement à certaines représentations issues de la culture populaire, l’âne, et plus particulièrement le baudet du Poitou, est un animal très intelligent. C’est un animal qui travaille dur mais qu’il est difficile d’emmener là où il n’estime pas devoir aller. Sa force de caractère, son humilité et sa patience représentent notre combat » explique les salariés.
Les manifestants venus avec deux cars ont débuté leur journée par un rassemblement devant l’Assemblée Nationale avant de se rendre à La Défense, lieu où plusieurs entreprises clientes d’Itron ont leurs bureaux dont EDF, ERDF et GDF Suez. Le groupe a poursuivi sa journée en se rendant devant le siège français d’Itron à Issy-les-Moulineaux (Où a été reçu une délégation) puis l’a terminée devant le Senat.
Le quartier de La Défense depuis le Pont de Neuilly en juin 2014 - Defense-92.fr
Pour Manuel Valls La Défense est « confrontée aujourd’hui à une crise de son modèle économique qui met en cause son avenir ». Le premier ministre français a évoqué lors de son discours devant les maires d’Île-de-France le mardi 14 avril 2005 le quartier d’affaires de l’ouest parisien. « Le moment est venu de réexaminer son développement et sa gouvernance pour lui donner les moyens de conforter sa position, en lien avec les autres quartiers d’affaires du Grand Paris » a t-il également déclaré devant les élus. Le premier ministre a demandé un rapport au préfet de la région Île-de-France qui devra lui être transmis dans les trois mois.
Deux établissements publics existent à La Défense. L’Epadesa qui est l’aménageur de La Défense, mais aussi de Seine-Arche, a pour rôle l’aménagement des espaces publics; il se finance uniquement en vendant des « droits à construire » aux investisseurs et promoteurs. Defacto, l’établissement de gestion de La Défense qui gère et anime le quartier depuis 2009 est financé par le conseil départemental des Hauts-de-Seine, les villes de Puteaux et Courbevoie mais aussi par la redevance des parkings et des locations d’espaces sur la dalle pour des animations publicitaires.
1 700 dons de sang sont nécessaires chaque jour, en Ile de France, pour sauver des vies - Defense-92.fr
Envie de faire une bonne action en donnant un peu de votre personne ? L’établissement Français du Sang (EFS) revient à La Défense pour une nouvelle collecte de sang en ce printemps 2015, l’occasion de participer à soigner 1 million de malades par ans en France.
Installé au pied de la Grande Arche, le chapiteau est ouvert du mardi 14 avril au jeudi 23 avril de 12h à 18h et le vendredi 24 avril de 10h à 15h30 (pas de collecte le samedi 18 et dimanche 19 avril).
1 700 dons de sang sont nécessaires chaque jour, en Ile-de-France, pour sauver des vies. Le don du sang est ouvert à toutes les personnes âgées de 18 à 70 ans, en bonne santé et pesant plus de 50 kg. Pour donner, contrairement aux idées reçues, pas besoin d’être à jeun; au contraire mieux vaut avoir mangé avant. Une collation est en revanche offerte sur place aux donateurs. Attention, pour votre premier don vous devez vous munir d’une pièce d’identité.
Un cycliste sur le Parvis de La Défense - Defense-92.fr
Officiellement bannis de la dalle, les vélos peuvent désormais revenir à La Défense. Defacto vient de lancer ce lundi 13 avril une expérimentation de cinq mois pour autoriser les vélos à circuler dans le quartier. Car tout le monde ne le sais pas, mais les vélos n’étaient plus les bienvenus sur toutes les dalles du quartier.
C’est à la suite de plusieurs accidents dont un grave survenu dans les années 90 que les vélos n’étaient plus autorisés à circuler sur l’ensemble de la dalle de La Défense. Une interdiction venant des deux communes sur laquelle est implantée La Défense. Deux arrêtés municipaux avaient été pris, le 4 avril 1996 par la mairie de Puteaux et le 22 juillet 1999 par la mairie de Courbevoie. Depuis, malgré cette interdiction ignorée par certains et largement bafouée par les autres, les cyclistes continuaient à pédaler, souvent à grande vitesse sur l’Esplanade de La Défense. Une vitesse qui est à l’origine des accidents. D’une part en raison de collisions avec des piétons, car oui, La Défense est une zone entièrement piétonne et de ce fait les passants sont moins attentifs à l’environnement du fait notamment de l’absence de voitures. Mais c’est surtout les matins, midis et soirs ou les dizaines de milliers de salariés déambulent dans le quartier que les vélos slaloment, parfois dangereusement entre les piétons. Et parfois, ça cogne ! La seconde raison est plus technique et a causé le dernier grave accident en date. Le 5 juillet 2007, un cycliste s’est grièvement blessé après une chute, la roue avant de son vélo s’étant coincée entre deux dalles du parvis, provoquant un vol-plané. Les dalles du parvis ne sont en effet pas collées les unes aux autres, mais séparées par des interstices pouvant atteindre parfois 2,5 cm, soit le diamètre de certaine roues de vélo.
Malgré ces deux arrêtés municipaux affichés un peu partout dans le quartier, les vélos continuaient depuis toujours à circuler à La Défense. Il faut dire que ni les policiers municipaux de Puteaux et Courbevoie ni la police nationale n’ont vraiment verbalisé les récalcitrants.
Face à ce constat, l’établissement de gestion de La Défense, Defacto a souhaité redonner une chance aux cyclistes avec cette expérimentation. Mais attention pas question de transformer La Défense en un vélodrome géant. La priorité est aux piétons. Les pilotes de bicyclettes doivent rouler au pas et ne pas utiliser les escalators et ascenseurs pour grimper sur la dalle. Il faut utiliser les escaliers classiques. Defacto qui recommande fortement le port du casque demande en outre aux cyclistes de se méfier de la topographie du site et des interstices entre les dalles.
L’expérience va-t-elle convaincre les cyclistes de ralentir et d’être plus prudents, Marie-Célie Guillaume, la directrice de Defacto veut y croire « Je ne sais pas se que ça va donner, mais je suis confiante » explique t-elle, en précisant que 66 % des piétons sont favorables à la circulation des vélos mais à condition d’une sensibilisation à la sécurité. « Il y a une attente des salariés et des entreprises » estime t-elle en jugeant que de nombreux vélos circulent parfois « trop vite » et admet qu’il y a une tolérance depuis des années.
Et les premiers concernés qu’en disent-ils ? Christophe Cavallier, président d’un club VTT à Courbevoie, qui habite à Nanterre et utilise son vélo tous les jours pour se rendre à son travail à Paris juge cette que expérimentation est « une bonne idée » et ne comprend pas vraiment l’interdiction. « Ce n’est pas parce qu’ il y a eu des accidents qu’il faut interdire les vélos » pense t-il. Et malgré son comportement qu’il estime « non dangereux » et son équipement (casque, lumières,…), ce passionné de vélo explique avoir été déjà arrêté trois fois par la police, pour se faire notifier l’interdiction, sans toutefois être verbalisé. Il admet en revanche que certains cyclistes ont un « comportement dangereux » sur la dalle de La Défense. « J’inculque aux 80 jeunes de mon club le bon comportement a adopter à vélo » poursuit-il en les obligeant notamment à porter le casque.
Fervent défenseur du vélo à La Défense depuis toujours, André Fessy, le président de l’association Village se félicite de cette nouvelle « C’est une bonne chose, c’est reconnaitre ce qui existe » estime t-il en ironisant « Les cyclistes n’ont pas attendu l’autorisation de l’usage du vélo, pour se rendre à La Défense. »
Pour David, un salarié de la Société-Générale cette expérimentation « Ce n’est pas trop tôt ». Ce cycliste qui fait quotidiennement le trajet de La Défense à Nation pour ensuite prendre le RER A afin de se rendre à son domicile à Marnes la Vallée –quand il fait beau, il explique même faire le trajet entièrement à vélo– trouve le boulevard circulaire « trop dangereux » plus particulièrement au niveau du Pont de Neuilly et préfère rouler sur la dalle en estimant être prudent et faire attention aux piétons. Le danger des interstices entre les dalles, il le connaît, et avoue avoir failli en être victime, mais il a surtout vu un de ses amis chuter lourdement après que sa roue se soit bloquée entre deux dalles.
Lui est toute la journée sur son VTT. Mathieu qui est coursier à vélo pour la société Novéa depuis un an connaît bien La Défense qui est son secteur de travail. « Je fais attention aux piétons » assure t-il en estimant qu’il ne pédale pas à vive allure.
Pour accompagner cette expérimentation, Defacto a déployé un important dispositif de communication et de sensibilisation. Affichages, flyers accrochés sur les vélos,… le message de la prudence va être affiché un peu partout durant les cinq mois. Durant les premiers jours trois comédiens iront à la rencontre des piétons et cyclistes pour leur faire adopter les nouveaux comportements. « Ils ne pourront plus dire (ndlr, les cyclistes) qu’ils ne savent pas » affirme Marie-Célie Guillaume.
Durant cette expérimentation, les usagers peuvent signaler tout problème sur ce changement de règles d’usage : problèmes de comportements, accidentologie,… en se rendant sur cette page www.ladefense.fr/defacto-vu-formulaire ou en appelant ce numéro 0 811 389 292.
Afin de lever l’interdiction, les mairies de Puteaux et Courbevoie ont suspendu jusqu’au 13 septembre, date de la fin de l’expérimentation, leurs arrêtés respectifs. Si les cyclistes jouent le jeu, le vélo pourrait enfin être de nouveau admis « officiellement » et durablement à La Défense. Réponse en septembre prochain…
Le Casino Shop de la gare de La Défense - Defense-92.fr
Il est de nouveau possible de faire ses courses du quotidien dans la gare de La Défense. Depuis la fermeture du Monop’ (ouvert en 2006) à la mi décembre 2014, les voyageurs qui transitent par la gare de La Défense ne pouvaient plus faire leur courses de tous les jours, sauf à se rendre aux 4 Temps ou au Cnit (ou bien consommer « so british » avec le Mark & Spencer Food). Depuis quelques jours c’est l’enseigne Casino Shop qui a succédé au Monop’. Si les deux enseignes appartiennent au groupe Casino, le Monop’ était jusqu’à sa fermeture géré directement par le groupe de distribution alors que le Casino Shop est lui géré en franchise par le groupe Relay. Le groupe de presse, filiale de Lagardère Service détient plusieurs Relay dans la gare ainsi que d’autres enseignes mais aussi et surtout le Mark & Spencer Food qu’il a ouvert en juin 2014, également en franchise.
Avec une surface de 370 m2, dont 240 m2 de surface commerciale, la nouvelle superette qui reprend la même disposition que l’ancien Monop’, a été entièrement réaménagée et modernisée. L’échoppe qui dispose de sept caisses propose tous les produits du quotidien avec de l’alimentation, des boissons, de l’alcool, des produits ménagers et de soins du corps. Le snacking bénéficie d’un large rayon avec au menu : salades, sandwichs, pâtes, desserts,…
Pour faire tourner ce Casino Shop une vingtaine de salariés (équivalent temps plein) y ont été affectés.
Le Casino Shop situé dans la salle d’échanges proche de la gare du Transilien est ouvert du lundi au vendredi de 7h à 21h, le samedi de 8h à 21h et le dimanche de 10h à 19h.
Au quartier Michelet les amateurs de sushis vont rester sur leur faim. Le restaurant Planet Sushi ouvert il y a un peu plus de trois ans a déjà baissé son rideau le vendredi 3 avril. Pour remplacer l’ancien restaurant de sushi, c’est le gérant du bistro Story Place qui a repris l’emplacement du 43 cours Michelet pour y ouvrir un restaurant italien. Et il n’a pas perdu de temps, cinq jours à peine après la disparition du Planet Sushi, son nouveau restaurant « Andrea » a débuté ses premiers services. Avec 140 places assises, Andrea propose des pizzas, des pâtes ainsi que des risottos.
En 2014, un autre restaurant de Sushis, proposant des produits casher « Sushi West » avait quitté le cours Michelet après seulement deux ans d’existence.
Le restaurant Andrea est ouvert du lundi au vendredi de 12h à 15h.
En ce mois d’avril c’est l’opéra Don Pasquale de Gaetano Donizetti, livret par Giovanni Ruffini qui sera diffusé à l’UGC de La Défense. Le jeudi 16 avril à 19h30 le cinéma des 4 Temps projettera dans la salle 16, la plus grande du complexe, cette œuvre jouée par l’opéra de Zurich.
Les prochains opéras diffusés seront « L’histoire de Manon » le 19 mai en direct, « Anna Bolena » le 28 mai et « Le lac des cygnes » le 11 juin prochain.
Le prix d’un opéra au tarif normal est de 30€. Pour les abonnés UGC Illimité le prix est de 25€.
Pour réserver vos places, rendez-vous sur le site vivalopera.fr.
La tour T1 (à gauche, au centre de la photo) et la tour T2 (à droite, au centre de la photo) - Defense-92.fr
Partira, partira pas ? GDF Suez restera finalement à La Défense pour un bon bout de temps du moins pour les douze prochaines années. Trois ans à peine après son arrivée en 2010 dans le quartier d’affaires, le géant de l’énergie français envisageait déjà de transférer son siège implanté dans les tours T1 et T2, à Saint-Denis. Concessionnaire d’un site appartenant à la ville de Paris de treize hectares en face du Stade de France la firme avait pour projet d’y bâtir un méga campus de 300 000 m² pour y regrouper 11 000 de ses collaborateurs. Mais le projet aura finalement capoté: « la faute » aux autorités locales qui souhaitaient « mettre leur grain de sel » dans le projet de GDF Suez : voirie, équipements publics, logements,… des contraintes pour le gazier qui a fini par jeter l’éponge. Car à Saint-Denis il y a une règle pour les promoteurs: pour chaque nouveau mètre carré de bureau, il faut construire 1,60 m² de logement.
L’entreprise d’énergie avait signé un bail avec Ivanhoé Cambridge (ex STIQ) en 2008 à un montant record compris entre 550 et 600 €/m²/an pour prendre les 67 000 m² répartis sur 37 étages de la tour T1 et les 20 670 m² répartis sur 11 étages de la tour T2, avec respectivement leur 750 et 279 places de parkings. Ce bail ferme, déjà ancien de douze ans, contraignait GDF Suez à rester dans ses locaux de La Défense jusqu’en 2020. Mais ne voulant pas laisser filer cet unique locataire dans cinq ans, où les temps de reprise économique restent incertains et où les bureaux peinent toujours actuellement à se remplir à La Défense, Ivanhoé Cambridge a préférer renégocier un nouveau bail plus avantageux pour son locataire. C’est donc un nouveau bail de douze ans qui s’achèvera en 2027 qui lie les deux parties. Dans cette transaction, Ivanhoé Cambridge a été conseillée par CBRE France.
Environ 4 000 collaborateurs de GDF Suez dont la direction générale du groupe sont implantés dans les tours T1 et T2 qui ont été imaginées par le cabinet Valode et Pistre et construites entre 2006 et 2008. L’entreprise est également installée dans l’immeuble Voltaire, situé près des 4 Temps dans le quartier des Degrés.
Frédérique Scheurer et Séverine Mayer de l'émission Master Chef - Defense-92.fr
Les saveurs de la Charente Maritime étaient sur le Parvis de La Défense. Le conseil départemental et l’office du tourisme du département du sud ouest sont venus durant toute la journée du jeudi 9 avril faire découvrir les spécialités de leur terroir avec au menu tartare d’huîtres au chèvre, pets de nonnes aux escargots, râble de lapin farcis charentais ou encore grillons charentais le tout accompagné de dégustation d’un Pineau. Pour cuisiner et servir toutes ces saveurs qui font la fierté du département de la côte Atlantique, Frédérique Scheurer et Séverine Mayer, deux anciens candidats de la quatrième saison de l’émission MasterChef ont été appelés. A bord du food truck aux couleurs de l’émission de TF1 les deux cuisiniers ont régalé les très nombreux passants et ont également posé avec leurs fans pour de nombreuses. Et avec un temps ensoleillé et des températures dignes de l’été, la foule, ravie s’est rapidement massée toute la journée autour du camion pour savourer les petites bouchées offertes gratuitement.
Pour Séverine Mayer, venir cuisiner dans le quartier, c’est une première « C’est une découverte de La Défense » confie t-elle en expliquant avoir apprécié aller à la rencontre des passants « j’ai pu rencontrer des cadres, des touristes ou des femmes au foyer ». Quand à Frédérique Scheurer, bien qu’il soit Alsacien, il déclare « être fier de présenter la Charente Maritime et sa gastronomie ».
Derrière cette opération publicitaire la Charente Maritime souhaitait non seulement faire découvrir quelques unes de ses spécialités locales mais aussi faire la promotion de son territoire pour convaincre les touristes de venir y passer leurs vacances ou weekends.
Après avoir passé la journée du vendredi 10 avril à Paris, le food truck filera à Lille.
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