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vendredi 27 juin 2025
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Le promoteur de l’Arena 92 toujours face à un recours

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Le stade Arena 92 - ©Christian de Portzamparc

Dans les prochaines semaines il ne devrait en rester plus qu’un. L’association Acri-Liberté qui avait déposé un recours visant à faire annuler le permis de construire de l’Arena 92 devrait le retirer dans les prochains jours ou semaines. Parmi les exigence d’Acri-Liberté pour motiver son recours : la mise en double sens de la RD 914 du pont de la D 131 jusqu’au boulevard circulaire et le maintien du parc des jardins de l’Arche. Deux exigences que l’association à réussi à obtenir auprès du département, de la ville de Nanterre et de l’EPADESA. Le département devrait ainsi mettre à double sens ce tronçon de départementale en élargissant la chaussée sur les voies de la SNCF, décalant ainsi la gare de Nanterre La Folie d’Eole de quelques mètres.

« Pour lever notre recours nous attendons que les trois engagements actés de l’EPADESA, de la mairie de Nanterre et du département, nous reviennent » explique Bernard Peraudin le président d’Acri-Liberté qui se dit satisfait des avancées. Les trois documents devraient être validés et présentés à l’association rapidement.

Une bonne nouvelle pour le Racing, mais reste une autre épine dans le pied pour le club de rugby des Hauts-de-Seine. L’autre association, « GAP » (Groupe d’action et de proposition pour l’aménagement de Nanterre) dépositaire d’un recours gracieux en mai dernier a annoncé que suite à son rejet par la préfecture des Hauts-de-Seine elle venait de déposer un recours contentieux auprès du Tribunal Administratif de Cergy-Pontoise.

GAP qui ne s’oppose pas au projet en lui-même ni à son aménagement s’inquiète toujours pour le bruit qui sera engendré pendant l’exploitation du complexe. L’association de Nanterre exige pour lever son recours la présentation d’une étude complète et détaillée sur le bruit prévisible pendant les rencontres sportives, concerts et autres événements dans le complexe et surtout à l’extérieur sur le parvis. En fonction des résultats de l’étude qu’elle exige l’association déclare qu’elle lèvera ou non son recours contentieux.

« On leur a donné tous ce qu’ils demandaient, on leur a expliqué des choses » explique Pascal Simonin qui relativise « c’est clair que s’ il y a 30 000 spectateurs on ne va pas mettre une bulle ». Le responsable du projet pour le Racing déclare toutefois continuer les discussions avec l’association GAP en espèrant trouver rapidement un terrain d’entente.

« Le bruit engendré par les spectateurs à l’extérieur de l’Arena, seront ceux d’une foule rassemblée pour tout événement de ce type. Je pense notamment à Parades, à la Ferme Géante ou à la fête de la musique, qui réunissent chaque année des dizaines de milliers de personnes dans les rues de Nanterre, et je suis certain qu’il ne vous viendrait pas à l’idée de demander l’interdiction de ces événements au motif qu’ils feraient trop de bruit » déclare le maire de Nanterre, Patrick Jarry qui défend le projet de l’Arena 92 dans un courrier adressé à l’association GAP.

Le projet qui buttait aussi sur d’autres recours déposés par Unibail-Rodamco devrait être régle dans les prochains jours. Le propriétaire des Quatre Temps et du CNIT demandait au Racing que ses parkings ne soient pas exploités par les spectateurs les jours d’événements et de matchs. Les spectateurs devront finalement se garer dans les autres parkings de La Défense comme celui de la Coupole et du Centre.

Pascal Simonin maintient cependant qu’il ne lancera aucun travaux tant que tous les recours n’auront pas été purgés, bien que ceux-ci ne soient pas suspensifs.

Les pompiers promettent de mettre le « feu » pour la fête nationale

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L'affiche du bal des pompiers 2012

Comme dans toute la France, cette année encore le parvis de La Défense se transformera le temps d’une soirée en dancefloor animé par les pompiers des casernes de Puteaux et Courbevoie pour célébrer le 14 juillet. L’ensemble des animations y compris le bal se dérouleront le vendredi 13 juillet 2012. Cette année, outre le bal, les soldats du feu présenteront de 14h à 18h différents ateliers répartis sur plusieurs emplacements à l’intérieur et à l’extérieur de l’enceinte dédiée au bal qui aura lieu le même soir de 18h à 2h du matin.

Trois ateliers seront proposés au public : Entre 14h et 18h sur la place de La Défense, la grande échelle sera déployée. Accompagné d’un sapeur-pompier, vous pourrez gravir les barreaux de l’échelle qui peut atteindre 30 mètres.

Au pied de l’Arche, entre 16h et 18h les pompiers réaliseront des démonstrations de désincarcération d’un véhicule avec la présentation des phases successives de l’opération, de l’approche de la victime, à la protection incendie, au balisage de l’intervention et à la découpe du véhicule pour effectuer la « cueillette » en toute sécurité du conducteur blessé..

Dans l’enceinte du bal, qui se situera au centre du parvis, entre 14h et 18h les deux brigades de Puteaux et Courbevoie exposeront leurs matériels utilisés quotidiennement dans la lutte contre les sinistres, pour l’assistance et le secours aux personnes.

Dès 18h, les festivités pourront commencer, elles dureront jusqu’à 2h du matin. Le bal populaire sera animé cette année par DJ Andreas. Cette manifestation est organisée en partenariat avec Defacto, le Conseil Général des Hauts-de-Seine et la ville de Puteaux et elle est financée par la vente des tickets de tombola. L’entrée est gratuite mais un « tonneau » est disponible à l’entrée pour les personnes souhaitant soutenir l’œuvre sociale des sapeurs-pompiers de Paris. Des stands de vente de boissons et de restauration seront également présents à l’intérieur de l’enceinte du bal.

Le fonctionnement de l’EPADESA dénoncé par un rapport de l’IGF

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L’EPAEDESA se serait bien passé d’être à nouveau à la une de la presse. Dans son édition du mercredi 4 juillet, en page 3, le Canard Enchainé qui s’est procuré le rapport confidentiel de l’inspection générale des finances (IGF) dénonce les dépenses de l’EPADESA. Le rapport d’une dizaine de pages pointe du doigt les nombreuses dépenses de l’établissement liées à différents salons, déplacements et frais de restaurant.

Frais de réception, hotel, salons, déplacements,… le journal satirique épingle Philippe Chaix le directeur de l’EPADESA. Le Canard prend ainsi de nombreux exemples comme un déplacement à Venise lors de la Biennale de l’architecture en 2010 qui aurait couté 260 000 € dont plus de 50 000 € de frais de mission et d’hébergement ainsi que 6 000 € de frais de restaurant et 3 500 € de bateau-taxi. Le journal indique que les participants couchaient dans un hôtel sur le Grand Canal à 270 € la nuit. Pour le Canard, Patrick Jarry, le maire de Nanterre était du voyage. En réalité, le maire est parti le matin, puis il est revenu le lendemain matin. Le maire n’a pas tardé à réagir et indique que son voyage était réservé par l’EPADESA et qu’il en ignorait le prix. Il justifie sa présence du fait qu’un architecte-urbaniste-photographe (Alex Mac Lean) exposait un travail sur Nanterre « Le maire de Nanterre n’a participé à aucun autre voyage à l’étranger organisé par l’EPADESA » déclare la mairie de Nanterre.

Pour l’EPADESA la participation à cette Biennale a permis de « valoriser l’architecture de La Défense, et celle plus récente du Plan de renouveau ».

« L’EPADESA (alors EPAD) a géré, comme c’est normal, l’ensemble de l’exposition et des frais afférents explique Dominique Boré, la directrice de cabinet de l’établissement. L’hébergement de la direction générale et des administrateurs se situait à l’hôtel Monaco, un hôtel 4 étoiles. Celui de l’équipe de montage et de l’EPAD en charge du dossier dans des hôtels 3 étoiles ou dans les 3 chambres de la Ca’Asi. Ainsi, l’ensemble les frais pour 14 personnes (dont 6 en charge du gardiennage les week-end) se montent à 11 867,75 € pour des vols sur Air France ou Easy Jet, et à 9 790 € pour l’hébergement. Les frais de déplacement sur place concernent les bateaux-taxis pour les transferts de l’aéroport à Venise et inversement; et les déplacements en vaporetto » décrit-elle.

Autre déplacement pointé par l’IGF : le MIPIM 2010. Le déplacement à Cannes aurait couté 800 000 €. Face à l’accusation, l’EPADESA se défend : « Les salons sont une activité complémentaire de notre cœur de métier. Le SIMI à Paris, Expo Real à Munich, et le MIPIM à Cannes sont des incontournables pour les aménageurs qu’ils soient publics d’Etat ou locaux comme les Communautés d’agglomérations, les villes, les SEM ou les SPLA. Ils sont là aux côtés des pays et structures du monde entier » et souligne que la participation ne lui a couté que 434 327 €, le reste étant payé par les partenaires de son développement dixit : les promoteurs et investisseurs.

Les frais de bouche du directeur Philippe Chaix sont également dénoncés « Ce protégé de Nicolas Sarkozy a ainsi présenté 265 notes de restaurant, d’un montant total de 28 564 € pour les 269 premiers jours de l’année 2010, dimanches et vacances compris » explique l’hebdomadaire qui précise que ces repas « n’étaient pas destinés à régaler les promoteurs et investisseurs mais de simple fonctionnaires, des conseillers ministériels ou la présidente de l’EPADESA, Joelle Céccaldi Raynaud, maire de Puteaux ».

Là encore l’établissement défend son directeur « Le directeur général d’un des plus grands quartiers d’affaires européens et classé dans les 10 quartiers d’affaires mondiaux a des obligations de représentation et de relations professionnelles avec les partenaires du développement qu’ils soient publics ou privés. Ces relations doivent être maitrisées par lui et non par ceux qui ont un intérêt dans le développement du quartier d’affaires. C’est pourquoi, la déontologie de l’établissement fait qu’il peut refuser les invitations, et que celles-ci sont à l’initiative de l’établissement. Ces relations peuvent se dérouler les midis et les soirs de semaines, et dans des cas particuliers le week-end, notamment quand ils sont étrangers et plus particulièrement originaires des pays moyens-orientaux qui ne travaillent pas le vendredi mais les samedis et dimanches. Le directeur général doit, dans ce cas, s’adapter à leur emploi du temps ».

Dans l’article le Canard Enchainé explique que les dépenses de communication de l’EPADESA en 2010 se sont « emballées pour atteindre 2 M€ ». Un montant que l’établissement ne dément pas, mais une nouvelle fois explique : « Le budget de la communication est bien de 2 millions d’€. Mais il ne s’est pas envolé comme il est dit. Car en effet, à partir de 2010, ce budget agrège celui de l’EPAD à celui de l’EPASA du fait de la fusion de deux établissements publics, ainsi que l’extension à la ZAC des Champs Philippe de la Garenne Colombes ». Dominique Boré justifie ce montant de dépenses « exceptionnelles » pour permettre la réalisation d’une nouvelle maquette du territoire, d’une nouvelle chartre graphique, de papeterie et de documents à mettre à jour.

Dernier point relaté dans le Canard, les frais importants pour l’éviction des commerçants de la Coupole qui s’élève à 16 M€ et qui aurait dû incomber au promoteur du projet Pélican. Il s’agit du centre commercial de La Coupole fermé en janvier 2011, dont le conseil d’administration de l’EPADESA du 13 avril 2012 a approuvé les conditions de la promesse de vente à la Financière Immobilière Bordelaise pour la réalisation de 23 000 m² de commerces et d’activités de loisirs. L’EPADESA explique avoir pris en charge ces frais dans la mesure où le promoteur n’a « pas fait preuve de sa capacité à régler les problèmes d’indemnisation ». L’EPADESA rassure « Ces 16 millions d’€ seront remboursés (ndlr : par Pélican) dans le cadre de l’acte de vente à venir ». Cette avance de l’établissement faisait suite à la demande du conseil d’administration de l’établissement du 2 décembre 2011 afin d’accélérer les indemnisations pour les commerçants et propriétaires de l’ancien centre commercial.

Après la tumultueuse affaire de Jean Sarkozy en octobre 2009, l’aménageur de La Défense Seine-Arche est de nouveau au centre des attentions. Patrick Jarry a même déclaré lors du dernier conseil municipal qu’il souhaitait la dissolution de l’EPADESA et par ce fait le départ de son directeur général, Philippe Chaix.

« Le rapport de l’IGF doit être rendu public dans sa totalité, tout comme les autres études sur les finances de l’EPADESA. Ces rapports permettront aux habitants de mesurer les fautes lourdes de gestion des équipes qui ont dirigé l’EPAD puis l’EPADESA ces dernières années. Ils ont reçu l’argent des promoteurs sans entretenir pendant plusieurs dizaines d’années le patrimoine de La Défense » déclare pour sa part Jean-André Lasserre, conseiller munical de Courbevoie et des Hauts-de-Seine.

L’EPADESA n’aidera pas Pompéi

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Pompéi - ©kampanien, Wikipedia

Les Italiens attendaient avec impatience entre 5 M€ et 10 M€ par an de l’Etablissement public d’aménagement de La Défense Seine-Arche pour la restauration de Pompéi. La promesse de l’établissement, mal comprise, ne verra pas le jour.

La présidente du conseil d’administration, Joëlle Ceccaldi-Raynaud, l’a confirmé le 12 mars dernier, mettant fin à plusieurs mois de négociations et d’attentes. Ce qui n’a pas manqué de faire réagir la presse italienne, déçue d’une « terrible volte-face »française, relate Courrier International. Le quotidien italien Il Corriere della Serra s’est insurgé, estimant que « les Français ne nous respectent pas » ; La Repubblica a pour sa part dénoncé une France qui « se défile » derrière ses promesses.

En fait l’EPADESA ne souhaitait pas financer directement la restructuration du site de Pompéi mais de mobiliser, via les entreprises adhérentes de l’association de l' »AUDE », des fonds pour le site classé par l’Unesco au patrimoine mondial en 1997.

« Nous allons essayer de réunir 5 à 10 millions d’euros par an pour la préservation du lieu. Il nous apparaît tout à fait judicieux que La Défense (…) tende la main à la cité antique de Pompéi, qui souffre » avait annoncé Philippe Chaix le 29 novembre 2011 sans toutefois évoquer le financement direct de la part de son établissement.

« Nos statuts nous l’interdisent, il est impensable d’aller donner de l’argent à l’étranger ! » réagit Dominique Boré, directrice de cabinet et de la communication à l’Epadesa au journal Le Monde. « L’Epadesa n’est pas riche, et nous n’avons aucune légitimité pour demander de l’argent aux entreprises. Tout ce que nous avons fait, c’est de proposer aux entreprises de soutenir le projet », se défend-elle. L’EPADESA qui peine déjà à financer ses propre projets ne versera donc pas un centime pour le site historique. Ce quiproquo est semble t-il dû à un problème de traduction des Italiens.

L’EPADESA fait le point sur les chantiers de La Défense à la presse

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L'EPADESA fait le point sur les chantiers de La Défense à la presse

L’établissement public d’aménagement de La Défense, l’EPADESA a présenté mardi 3 juillet à la presse les chantiers de La Défense et de Seine-Arche. Par le biais de ses responsables et directeurs de services, l’aménageur a fait le point sur les chantiers en cours à La Défense Seine-Arche. Les travaux des tours Majunga, D2, Carpe-Diem, Eqho, Mélia ont été présentés pour la partie Défense et les Terrasses, l’Aréna 92, la gare multimodale de Nanterre Université, Coeur de quartier et l’Eco-quartier Hoche pour la partie Seine-Arche à Nanterre.

Pour faciliter les livraisons des chantiers de La Défense, l’EPADESA a mis en place une aire de chantier le long du boulevard circulaire sud sur 500 mètre. Cette aire, ouverte début 2012, destinée à accueillir les camions livrant les chantiers a reçu plus de 6 000 camions depuis son ouverture soit plus de 1 500 par mois.

Selon Philippe Chaix, le directeur de l’EPADESA le projet de la tour Generali n’est pas mort. Il a déclaré que selon lui il y avait de grande chances pour que le projet soit repris par un nouvelle investisseur auprès de l’assureur Generali.

Le directeur de l’EPADESA a également annoncé le lancement de la rénovation de la tour Athéna propriété de Allianz dans les tous prochains jours.

Tous ces projets sont issus du Plan de Renouveau initié par Nicolas Sarkozy en 2006 alors président de l’EPAD. Ce plan consiste à rénover et construire plus de 300 000 m² de bureaux neufs et de 100 000 m² de logement.

 

Shampoo réouvre ses portes dans les Quatre Temps

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Shampoo réouvre ses portes dans les Quatre Temps - ©Defense-92.fr

Fermé depuis octobre 2011 le salon de coiffure Shampoo des Quatre Temps a réouvert ses portes le 6 juin dernier. Détenu jusqu’alors directement par la chaine du groupe de Michel Dervyn, le salon avait fermé durant plusieurs mois. La raison : le souhait du groupe de céder en franchise plusieurs de ses salons dont celui de La Défense.

Ce Shampoo installé au niveau 0, puits Mandarine devant l’entrée du Auchan a tout de même perdu en surface; il passe de 76 m² à 56 m² pour laisser place aux réserves du future Pixmania qui s’installera prochainement dans le centre. Le distributeur de vente sur internet ouvrira un espace de retrait et de vente en face du Shampoo à côté de la boutique Montre Service.

Shampoo se positionne sur une clientèle « populaire » en offrant des prestations à des prix inférieurs par rapport aux autres grandes chaines.

Jusqu’au 25 aout 2012, le salon propose des promotions avec entre autres un forfait coupe homme à 19 € contre 23 €, un forfait coupe femme à 27 € contre 33 €.

Le salon est donc détenu aujourd’hui par un franchisé qui a récupéré une partie des coiffeuses du salon. Le gérant souhaite renforcer son équipe en recrutant coiffeuses et apprentis. Les personnes intéressées peuvent appeler Ferhi Salim au 06 05 05 05 15 ou au 01 71 01 26 60 .

Shampoo est ouvert du lundi au samedi de 10h à 20h.

Métro, boulot,… after ! à l’Hilton

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L'hôtel Hilton - ©Defense-92.fr

Très en vogue et prisé par les salariés depuis quelques années, les bars et cafés proposant des afterworks se multiplient à La Défense. L’hôtel Hilton, installé dans le CNIT a lancé depuis septembre 2011 ses propres soirées afterworks. C’est au sein de son bar, le « Tangine Bar » que tous les premiers et derniers jeudis du mois sont organisées les soirées ouvertes principalement aux salariés du quartier mais aussi aux clients de l’hotel 4*.

Dès 18h00, les participants peuvent profiter de l’open-bar « fines bulles » pour trinquer avec leurs collègues et amis autour d’un buffet salé et sucré. Pour accompagner les discussions, un DJ propose une playlist lounge jusqu’à 20h. Passé 20h, et ce jusqu’à 00h une partie du bar cède sa place à un dancefloor.

Ce jeudi 28 juin, Monique qui travaille non loin de l’hôtel, à la SNCF dans le CNIT n’est pas venue seule; elle est accompagnée d’un groupe d’une quarantaine de personnes qui travaillent aussi dans son entreprise et qui sont en déplacement dans le quartier. « Cela nous permet de nous détendre, le cadre est très reposant, on est très bien reçus » déclare Monique qui explique fréquenter les afterworks depuis son lancement.

Le prix d’entrée de ces afterworks ouvert à tous est de 20 € par personne.

L’hôtel Hilton est composé de 153 chambres et 4 suites refaites à neuf. Côté équipement en plus du Tangine Bar, l’hôtel abrite un restaurant « Côté Parvis » ainsi que des salles de réunions.

Le Virgin Mégastore des Quatre Temps va réduire sa surface de 1 000 m²

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L'enseigne Virgin du Mégastore des Quatre Temps - ©Defense-92.fr

Les temps sont durs pour les magasins Virgin Mégastore. Anciennement Extrapole, le Virgin Mégastore des Quatre Temps situé au niveau 0 du centre commercial s’étendant sur près de 3 500 m² va voir sa surface réduite de 1 000 m² pour atteindre les 2 500 m². La transformation devrait se faire vers la rentrée, courant septembre. C’est la partie à droite en rentrant dans le magasin qui sera réduite, selon nos informations. Le millier de m² cédé par Virgin accueillera début 2013 une nouvelle enseigne dont la direction du centre des Quatre Temps ne souhaite pas communiquer le nom. L’autre Virgin Mégastore situé à quelques pas dans la gare de RER de La Défense « Cœur Transport » ne verra pas son espace de vente impacté. Aucune suppression d’emplois n’est envisagée dans les deux enseignes de La Défense contrairement à d’autres points de ventes du distributeur.

Selon le Figaro Economie, une dizaine de points de vente fermeront leurs portes : trois en Ile-de-France à Charenton-le-Pont, Torcy et Claye-Souilly, ainsi que celui de Strasbourg. Six autres Virgin à Lyon, Bordeaux, Nice, Belle Épine, Montpellier et sur les Champs-Élysées devraient également baisser le rideau à une échéance plus lointaine. Les syndicats craignent la suppression d’au moins 300 postes pour les 4 magasins dont le sort serait déjà scellé. La nouvelle patronne a annoncé un plan de suppression de 80 postes, dont 46 dans les magasins de Metz et Toulouse, dont la fermeture est confirmée.

La RATP acquiert 70 éléments MI09 supplémentaires pour la ligne A du RER

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Une rame MI09 en gare de Boissy Saint-Legers - ©Defense-92.fr

Le conseil d’administration de la RATP réuni vendredi 29 juillet 2012 a annoncé à l’issue de son conseil, l’acquisition de la tranche optionnelle de 70 éléments MI09 pour la ligne A du RER. La première rame à deux-niveaux MI09 a été mise en service sur le RER A en décembre 2011 par l’ancien président de la république, Nicolas Sarkozy.

Sur les 60 premiers éléments attendus d’ici janvier 2014 pour remplacer le MI84 (matériel le moins capacitaire), vingt sont à ce jour déployés sur le réseau – soit 10 trains. L’acquisition de ces 70 éléments supplémentaires va permettre, d’ici 2017, de remplacer le matériel MS61, le plus vieux matériel en service sur la ligne.

Le programme d’acquisition se porte maintenant sur 130 éléments MI09 représentant un coût total de plus de 2 Mds € (dont 1 Mds € pour la tranche conditionnelle). Ce programme est financé à hauteur de 1,350 Mds € par la RATP et pour 650 M€ par le STIF dans le cadre du plan quadriennal d’investissement.

La mise en service complète des 130 rames MI09 va accroître la capacité de transport de la ligne A de 30 %. Elle signifie en outre une standardisation du parc de la ligne, avec 100 % de matériels à deux niveaux, et une simplification de l’exploitation (formations du personnel simplifiées, diminution des contraintes de maintenance…).

Le MI09 à deux niveaux offre une capacité accrue de 50 % comparé au MI84 et de près de 40 % par rapport au MS61. Il offre des services supplémentaires (écrans d’affichage, vidéoprotection, 34 places dédiées par rame aux personnes à mobilité réduite…). Enfin, son exploitation va entraîner un gain en consommation d’énergie de 55 % comparé au MS61 et de 31 % comparé au MI84 (au voyageur transporté). Un train MI09, composé de 2 rames de 5 voitures, accueille ainsi 2600 voyageurs (dont 948 places assises), contre 1684 places pour le MI84, 2 rames de 4 voitures (dont 432 places assises).

A l’horizon 2017, les MI09 cohabiteront avec les 43 autres rames à deux niveaux, les MI2N.

D’après une étude réalisée par l’institut BVA en mai, révèle que les trains MI09 à deux niveaux remportent un franc succès auprès de la clientèle : 96 % des voyageurs en sont satisfaits ou très satisfaits (29%). Le nouveau matériel MI09 remporte l’adhésion des voyageurs selon cette étude, à commencer par l’aspect esthétique (allure extérieure, livrée et éclairage à bord) qui plaît à 95 %. Les innovations marquent positivement les esprits : l’aménagement à bord, la disposition des sièges et la facilité d’accès aux deux niveaux du train sont particulièrement appréciés, avec plus de 90 % de satisfaction exprimée. Les éléments de confort (places assises, espace, éléments de maintien, éclairage et climatisation) correspondent aussi aux attentes de manière quasi-unanime. En fin de compte, 88 % des clients estiment que le MI09 rend les trajets sur la ligne A plus agréables par rapport aux autres matériels.

Air France au CNIT, c’est fini !

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La boutique Air France du Cnit - ©Defense-92.fr

Prévue initialement pour 16 juin , la fermeture de la boutique Air France du CNIT aura finalement lieu 15 jours plus tard. C’est le vendredi 29 juin à 14h que la compagnie aura servi ses derniers clients dans la boutique du CNIT ouverte dans les années 90 à la fin de la première rénovation. L’agence Air France de La Défense ne sera pas la seule à baisser son rideau ; elle sera accompagnée par celles de Montpellier, d’Aix en Provence, de Nancy ainsi que des agences parisiennes d’Alésia et de Bastille. Cette série de fermeture de six agences n’a pas de rapport avec les actuelles difficultés de la compagnie déclare Air France qui explique un besoin de réorganisation de ses 25 agences françaises (hors aéroport) suite au développement d’Internet.

Les clients de la compagnie doivent désormais se diriger vers l’agence de la Porte-Maillot. « L’ensemble du personnel de l’agence sera reclassé dans d’autres agences de la région » promet Air France.

L’invitation à se rendre à la boutique du Palais des Congrès de la Porte Maillot ne fait pas forcément plaisirs aux clients de la compagnie française. Léon n’a pas l’air trop surpris « Il est vrai que l’on peut faire à 99% ses démarches sur internet » mais manque de chance pour le trentenaire son cas fait partie du 1% restant.

« C’est très ennuyeux, j’avais un billet à retirer 30h avant mon départ dans l’agence » s’agace Fouzia, elle aussi salariée du quartier. Pour elle pas le choix « Je vais devoir quitter mon travail une heure plus tôt lundi prochain pour aller à celle de Porte Maillot » regrette-elle.