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mercredi 18 juin 2025
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CGR ouvre enfin son multiplexe de dix salles à Nanterre Cœur Université

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Le cinéma CGR de Nanterre-Université a ouvert ce vendredi 28 février - Defense-92.fr

Un nouveau cinéma vient de naitre du côté de La Défense, ou plutôt à Nanterre. Après des années de travaux, l’immense projet « Cœur Université » à Nanterre porté par le promoteur Bouygues Immobilier touche à sa fin et son lot de premiers commerces arrive. Après quelques semaines de retard liées à des difficultés d’ouverture, le CGR de Nanterre Université a enfin ouvert ses portes ce vendredi 28 février et accueilli ses premiers spectateurs.

Le grand hall d’entrée du CGR dispose de plusieurs bornes d’achat – Defense-92.fr

Situé à deux pas de l’université Paris X et de la gare de Nanterre Université, au pied de l’un des nouveaux immeubles de bureaux du quartier, ce grand cinéma compte dix salles pour 1 448 fauteuils répartis sur trois étages. Dès l’entrée les spectateurs pénètrent dans un hall spacieux où sont disposés neuf bornes d’achats de billets. Les plus réfractaires aux bornes -ou ceux qui doivent payer en espèce et/ou présenter un justificatif- peuvent se diriger vers les caisses traditionnelles. Juste à côté prend place un vaste comptoir à confiseries où sont vendus les traditionnels popcorns, sodas, gâteaux et autres bonbons. Et pour aller plus vite des bornes permettent de commander les achats à l’avance.

Un grand comptoir de confiserie propose popcorns, sodas, gâteaux et bonbons – Defense-92.fr

Une fois leurs places achetées et le plein de victuailles fait, les spectateurs doivent se diriger vers l’une des dix salles. Et là c’est une première en France. Pour le contrôle des tickets CGR a misé sur l’installation de portiques de contrôle, un peu comme dans le métro.

Le contrôle des tickets se fait à l’aide de portillons automatiques- Defense-92.fr

La plus petite des salles comporte une soixantaine de fauteuils tandis que la plus grande en totalise 390 et est équipée d’un écran d’une base de dix-huit mètres. Toutes les salles proposent également quelques fauteuils « duo ». Parmi cette dizaine de salles, quatre sont équipés de projecteurs laser 4K et les six autres de projecteurs laser HFR. Une se distingue particulièrement : c’est la 4 avec son concept « ICE » pour « Immersive Cinéma Expérience ». Développé spécialement par le groupe rochelais CGR, le concept ICE est déjà déployé dans trente-cinq salles en France (dont une aux États-Unis) et le sera bientôt au Emirat Arabe Unis. Contrairement aux salles de Gaumont et Pathé avec leurs fauteuils dynamiques, CGR mise sur le confort de ses spectateurs.

La salle 1, est avec ses 390 fauteuils la plus grande du complexe CGR de Nanterre – Defense-92.fr

Cette salle premium de 90 places se veut être la « définition même de l’excellence technologique et de confort » avec un projecteur laser 4K, la version « studio » du son Dolby Atmos et des fauteuils « club » inclinables dotés de prises USB et de chargeurs de smartphone à induction. Mais c’est avec ces panneaux lumineux latéraux que CGR fait la différence. Fonctionnement sur le principe de la technologie « Ambilight » de Philips, CGR a disposé des panneaux lumineux latéraux « LightVibes », développés par la société de technologie néerlandaise. Ces écrans verticaux placés des deux côtés de l’écran d’une base de dix mètres promettent d’offrir un prolongement de l’image, ou plutôt une meilleure immersion lumineuse.

La salle « ICE » du CGR de Nanterre – Defense-92.fr

Grace à la numérotation des fauteuils, les spectateurs peuvent réserver la place de leur choix en ligne sur le site web de CGR, l’application mobile ou directement au cinéma. Avec sa salle ICE, CGR fait aussi revivre le métier d’ouvreur. A l’entrée les spectateurs sont accueillis par un membre du cinéma qui va alors les placer. « A l’intérieur on retrouve des bandes annonces exclusives aux formats ICE Immersive », explique Guillaume Ligneron, le directeur du CGR de Nanterre. Si cette salle est destinée avant tout aux grands blockbusters, toutes les productions Disney (Star Wars, Marvel,…) ne sont pas compatibles avec le système « LightVibes ». « Les spectateurs peuvent quand même profiter de tous les autres services », tempère Guillaume Ligneron. Mais pour accéder à la salle ICE il faut mettre la main à la poche et débourser 16 euros, contre 10,50 euros pour une place au tarif normal.

Les fauteuils de la salle « ICE » sont tous inclinables et dotés de prise USB et de chargeur à induction – Defense-92.fr

L’ouverture du CGR de Nanterre s’est accompagnée de la création d’une quinzaine d’emplois -qui pourront augmenter durant les vacances scolaires- chapeautés par trois directeurs. A cela s’ajoutent ceux des prestataires pour la sécurité et le ménage.

Avec son nouveau temple consacré au septième art, CGR ambitionne désormais de se faire une place dans une ville de Nanterre en pleine mutation et surtout grappiller des parts de marché à son rival, l’UGC Ciné Cité du Westfield Les 4 Temps ouvert en avril 2006. « On n’arrive pas pour les concurrencer mais on va y être obligés, admet Guillaume Ligneron. Je pense qu’il y a la place pour deux multiplexes. On peut cohabiter ».

« L’objectif annuel de fréquentation sur ce cinéma est de 450 000 spectateurs », ambitionne l’exploitant qui a investi près de huit millions d’euros sur ce projet initié à l’origine par Cap’Cinéma, groupe racheté en 2017 par CGR.

Le CGR de Nanterre est dirigé par Guillaume Ligneron – Defense-92.fr

Pour se distinguer du mastodonte UGC du quartier d’affaires, le rochelais CGR entend miser sur une clientèle d’étudiants et familiale en proposant des séances spéciales avec des ciné-débats par exemple. Alors qu’UGC mise essentiellement sur des diffusions en Version Originale (VO) pour ses films, CGR va proposer des films aussi bien en VO qu’en Version Française (VF) tout au long de la journée.

Le CGR de Nanterre est ouvert tous les jours et les premières séances débutent dès 9h30 le matin. Côté tarifs, la grille est plutôt étoffée avec des offres pour les moins de 16 ans à 5,40 euros la place, pour les étudiants et moins de 26 ans à 6,90 euros ou encore pour les séances avant midi à 6,90 euros. Le tarif normal d’une place est à 10,50 euros. Si CGR ne propose pas de carte de cinéma illimité, il est possible d’acheter des cartes de cinq, dix ou quinze places. La programmation est à retrouver sur le site internet de CGR.

La salle 4 avec sa soixantaine de places est la plus petite du complexe CGR de Nanterre – Defense-92.fr

Saint-Gobain investit sa nouvelle tour vitrine

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La tour Saint-Gobain abrite 2 700 collaborateurs du groupe - Saint-Gobain / Laurent Kronental

Elle est le nouvel emblème de l’entreprise. Après quatre années de travaux, l’édification de la tour Saint-Gobain vient de toucher à sa fin. « Le projet a pris naissance lorsque nous avons fêté nos 350 ans en 2015. A ce moment-là (le projet est réellement né quelques années plus tôt, en 2013, ndlr) ; on s’est dit qu’il fallait se projeter vers le futur et se donner 350 bonnes idées pour l’avenir », confie Régis Blugeon, directeur des ressources humaines France de Saint-Gobain. Parmi tous ces projets s’est alors rapidement imposé celui des plus iconiques : un nouveau siège social.

« Nous étions dans un immeuble vieillissant des années 80 avec des matériaux de l’époque et qui ne correspondait plus tout à fait à notre positionnement d’acteur majeur de la construction durable et à notre style de management, qui est collaboratif et bienveillant », explique Régis Blugeon.

Le grand hall d’accueil de la tour Saint-Gobain – Defense-92.fr

Car pour l’entreprise française née en 1665 sous le règne de Louis XIV spécialisée dans la production, la transformation et la distribution de matériaux, son immeuble des Miroirs, viellisant n’était clairement plus digne d’être sa vitrine.

Une architecture confiée au cabinet Valode et Pistre

De là et voulant rester présent dans le quartier d’affaires est partie l’idée de se faire construire une tour sur-mesure. Pour trouver un terrain disponible Saint-Gobain n’a pas eu à aller chercher bien loin. Juste en face de ses fenêtres, de l’autre côté du boulevard circulaire, le groupe a alors conclu un deal avec l’assureur italien Generali qui avait tenté, sans succès de mener dans le milieu des années 2000 un projet de tour. Si Generali est reparti de zéro pour sa tour, l’assureur a conservé le même architecte, le cabinet Valode et Pistre.

Le cabinet parisien conçoit la tour comme « une architecture cristalline », symbolisant le métier historique de Saint-Gobain, le verre. La tour entend jouer avec la lumière, qui en devient le matériau principal. Constitué d’un assemblage de « cristaux », le jeu des faces, des angles et de la nature du verre fabrique alternativement de la transparence ou de la réflexion. L’objectif est de donner à l’édifice une dimension magique qui change avec les heures et l’endroit depuis lequel on l’observe. La tour s’illustre particulièrement avec son grand cube de verre au sommet, où prennent place des salles de réunion ainsi qu’un jardin suspendu.

En tout, la tour vitrine abritera quelques 2 700 collaborateurs du groupe issus des différentes filiales – Defense-92.fr

Cette tour de 49 000 mètres carrés, haute de 165 mètres pour quarante-quatre niveaux a pour ambition de représenter tout le savoir-faire de Saint-Gobain. Et quoi de mieux qu’utiliser ses propres matériaux pour son nouveau chez-soi. « On a déployé dans la tour plus de quatre-vingt solutions de Saint-Gobain », affirme Régis Blugeon listant les verres de la façade, le verre électrochrome de la tête de la tour, les solutions acoustiques, de plâtre ou encore de plafond chauffant et refroidissant. Tous les métiers où presque du groupe ont ainsi été mis à l’honneur dans ce gratte-ciel.

En plus d’être une tour vitrine, le building abrite en son socle, aux côtés de son hall magistral tout de verre, un grand showroom de 300 mètres carrés en cours de finition. Accessible au grand public depuis la place de l’Iris tous les jours de la semaine, ce showroom dévoilera ses innovations. « On envisage aussi d’avoir des parcours de visites  qui commencent au showroom et intègrent la tour elle-même qui deviendra une vitrine des meilleures solutions du groupe Saint-Gobain », assure Régis Blugeon.

2 700 collaborateurs venus de divers sites franciliens et de La Défense

Si les travaux ne sont pas encore totalement terminés et que les ouvriers s’affairent toujours sur les finitions, les premiers salariés du groupe ont commencé à investir la tour depuis la mi-février. En tout, la tour vitrine abritera quelques 2 700 collaborateurs du groupe issus des différentes filiales (La Compagnie de Saint-Gobain, Saint-Gobain Distribution France, Isover, Placo, Saint-Gobain Glass …) qui étaient jusqu’à présent installés à Paris, Suresnes mais aussi disséminés à divers endroit de La Défense en plus de l’immeuble des Miroirs. A raison de deux vagues d’emménagement par semaine, l’ensemble des troupes du groupe aurait dû prendre possession de l’édifice fin avril. Mais en raison du confinement lié au Coronavirus (Covid-19) l’emménagement a été suspendu et va donc prendre du retard.

Cette nouvelle tour a aussi été l’occasion pour Saint-Gobain de repenser ses espaces de travail en optant pour le passage de tous ses collaborateurs en open space et surtout en flex office. Pour faire face aux quelques inquiétudes, Saint-Gobain dit avoir organisé un travail collaboratif. « Nous avons  mis en place un groupe de travail  avec les partenaires sociaux qui s’est réuni plus de douze fois. Ce groupe a suivi avec précision l’avancée des travaux. Il a également contribué au micro-zoning, au choix des mobiliers et aux aménagements, et a émis des avis et des sugggestions sur la volonté d’être par exemple à zéro papier, commente Régis Blugeon. C’était un travail très partagé ».

L’espace de reception « Plein Ciel » prend place dans le grand cube en verre au sommet de la tour – Defense-92.fr

Pour aménager les espaces de travail, Saint-Gobain s’est entouré de l’agence spécialiste en la matière : Kardham (ex : Mobilitis). Mais les salariés ont eu leur mot à dire au travers des groupes de travail. « Kardham nous a apporté une méthode et des idées d’aménagements. Les salariés pouvaient ensuite voter sur le mobilier », détaille Régis Blugeon.

La vie au quotidien des usagers de la tour a, elle aussi, été simplifiée avec une nouvelle application mobile dédiée. Chacun des salariés peut retrouver au bout de ses doigts sur son smartphone les menus des différents restaurants et son solde restant pour la restauration, le service de conciergerie, la possibilité de gérer les stores, la clim ou les lumières mais aussi réserver une salle de réunion.

Des terrasses et loggias végétalisées

En plus d’être une tour vitrine, le nouveau siège de Saint-Gobain se veut aussi être un lieu de bien-être pour ses salariés. A chacun des étages les salariés de la firme peuvent jouir de terrasses ou loggias ouvertes sur l’extérieur et donnant plein sud. Ces espaces extérieurs végétalisés devenus un standard dans les nouveaux gratte-ciels de La Défense qui sont situés dans la continuité des petites cafétérias, permettront aux occupants durant les beaux jours -ou pas- de profiter de la vue sur le Mont Valérien en sirotant leur café.

Le groupe a aussi mis le paquet sur les services internes du bâtiment avec une demi-dizaine de restaurants thématisés, un espace de coiffure, un espace de massage et esthétique, un business center, un « Genius bar », une conciergerie mais aussi une salle de fitness (elle aussi accessible au grand public via un abonnement). A cela s’ajoute un grand auditorium de 250 places.

Quant à l’actuel immeuble des Miroirs qui sera définitivement libéré par Saint-Gobain dans quelques semaines après des décennies d’utilisation il pourrait faire l’objet d’un vaste projet immobilier de demolition-reconstruction. En prévision de son projet de nouvelle tour, Saint-Gobain avait cédé en 2014 la partie A et B du bâtiment qu’il occupait au fonds Perella Weinberg Real Estate Fund II.

La tour bénéficie également d’un grand jardin dans le cube de verre – Defense-92.fr

Groupama donne le coup d’envoi du chantier « The Link », le futur siège géant de Total

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Le projet The Link abritera au second semestre 2025 le nouveau siège de Total - Artefactory pour PCA Stream

Alors que l’avenir semble être au télétravail et que pour certains l’heure de la fin a sonné pour La Défense, c’est une très bonne nouvelle qui arrive pour le plus grand quartier d’affaires d’Europe mais aussi pour les entreprises de BTP. Groupama et Total ont annoncé ce jeudi avoir signé le 14 mars dernier un Bail en État Futur d’Achèvement (Befa) pour la construction du projet « The Link », le futur siège mondial de l’entreprise pétrolière et gazière.

Développé en toute discrétion par l’assureur Groupama à partir de l’automne 2016 avant d’être dévoilé au printemps 2017, le projet The Link imaginé par l’architecte Philippe Chiambaretta (PCA-Stream) avait concouru en 2017 pour accueillir le nouveau siège de Total. Face au projet de l’assureur, le géant de l’énergie avait également regardé de près les tours Sisters d’Unibail-Rodamco-Westfield (URW) et un campus en bois du côté de Nanterre porté par woodeum et BNP Paribas Real Estate. Et c’est finalement sur The Link que s’était porté le choix de Total à l’issue d’une large consultation menée auprès des salariés de l’entreprise.

The Link abritera environ 6 500 salariés de Total – Artefactory / PCA Stream

Bâti dans le quartier Michelet, sur le territoire de Puteaux, The Link va venir remplacer un ensemble de bureaux vieillissant, autrefois occupé par Groupama. Le complexe qui reposera sur un socle commun de trois niveaux comprendra deux tours siamoises reliées l’une à l’autre sur trente niveaux par des passerelles végétalisées baptisées les « links ». L’aile « Arche » s’élèvera à 241 mètres et comptera cinquante étages tandis que l’aile « Seine » culminera à 178 mètres et disposera de trente-cinq étages. Le gratte-ciel totalisera de nombreux records en devenant le plus haut de France, juste devant la tour First mais aussi l’un des plus vastes du pays avec ses 135 000 mètres carrés de bureaux, de restauration et de services.

Le nouveau siège de Total disposera de 100 000 mètres carrés de surface de bureaux – PCA Stream

Au 100 000 mètres carrés de bureaux s’ajouteront 35 000 mètres carrés de services, soit l’équivalent d’une tour moyenne de La Défense. Le building proposera ainsi dans ses trois niveaux inférieurs, pas moins de soixante-dix salles de réunion, deux auditoriums de 150 et 250 places ou encore un incubateur interne. Au‑dessus, cinq espaces de restauration, un coworking‑café ou de grands restaurants avec terrasse vont être aménagés. Le quatrième étage sera lui équipé d’une immense salle de sports de 1 400 mètres carrés, soit l’équivalent d’un étage entier dans une tour classique.

Avec ses quelques 2 800 mètres carrés terrasses ornés de végétation, The Link sera surtout ouvert sur l’extérieur. Les plus grandes prendront place au pied de l’édifice et offriront de 40 jusqu’à 150 mètres carrés de verdure. Au sommet de l’Aile Seine c’est un jardin de 600 mètres carrés qui sera accessible à tous les collaborateurs de Total. On y trouvera également un rooftop accolé à une salle multimodale de 300 mètres carrés et une brasserie panoramique. Le sommet de l’Aile Arche sera lui aussi doté d’un jardin ouvert sur la capitale.

La tour The Link proposera 135 000 mètres carrés de bureaux, services et jardins – Artefactory / PCA Stream

Groupama ambitionne également de faire avec The Link une « transition énergétique ». « The Link permettra à Total de réduire sa consommation d’énergie de 50 % par rapport à ses tours actuelles », assure Groupama. Pour ce faire 4 200 mètres carrés de panneaux solaires seront déployés sur la façade vitrée en double-peau, de quoi produire l’équivalent de 20 % de l’énergie consommée pour éclairer la tour. « The Link sera doté de la plus haute certification environnementale (HQE Exceptionnel), garantissant les meilleurs standards tant en termes d’efficacité énergétique, que de confort thermique et acoustique », avance Groupama qui indique que 100 % des postes de travail seront en premier jour.

« Le projet The Link a été conçu sur-mesure pour répondre aux besoins de Total. Nous souhaitons construire avec Vinci une tour de nouvelle génération avec ses deux bâtiments reliés par des passerelles : les links », se réjouit le DG de Groupama, Thierry Martel.

Le projet The Link sera l’occasion pour Paris La Défense de réaménager le quartier Michelet datant des années 80 – Autre Image / PCA Stream

Le projet qui se veut « ouvert sur la ville » sera aussi l’occasion pour Paris La Défense, l’aménageur du quartier de procéder à la refonte du secteur Michelet et d’entamer avec le département des Hauts-de-Seine la reconfiguration du boulevard circulaire sud. Véritable frontière entre Puteaux et La Défense, les accès piétons seront ainsi grandement améliorés avec The Link.

Trois ans plus tard, après quelques péripétie avec le préfet et un an après décroché son permis de construire, Groupama vient donc enfin de donner le coup d’envoi à ce mégaprojet chiffré à plus d’un milliard d’euros, dont 850 millions seront consacrés à la construction. Cet énorme chantier lancé au lendemain du déconfinement, c’est le groupe Vinci Construction via sa filiale Bateg qui le réalisera. Mais avant de sortir de terre, le géant du BTP va s’atteler à détruire l’immeuble existant. Un fois rasé s’en suivra l’année prochaine une longue étape, celle de réalisation des fondations. Dès 2022 c’est le socle qui sera édifié. Suivra ensuite entre 2023 et 2025 la construction du building à raison d’un étage par semaine. Et c’est au second semestre 2025, à l’issue des ultimes travaux d’aménagement que Total prendra possession de The Link pour douze ans renouvelables.

Avec ses 241 mètres, The Link sera le plus complexe de bureaux en France – Artefactory / PCA Stream

Le groupe français y réunira ses 6 500 salariés actuellement disséminés un peu partout à La Défense notamment dans ses tours Coupole et Michelet ainsi que de l’immeuble Newton. Ces trois bâtiments seront alors vendus par Total qui pourrait cependant conserver le Spazio à Nanterre.

L’annonce du lancement de ce projet que d’aucuns donnaient encore il y peu de temps pour mort ,est donc perçu comme une très bonne nouvelle pour La Défense. « Le maintien de ce projet dans la période inédite que nous connaissons constitue un choix fort de confiance en l’avenir », se félicite Thierry Martel. Georges Siffredi, le nouveau président des Hauts-de-Seine et de Paris La Défense estime pour sa part que The Link viendra « enrichir la skyline de La Défense » et voit lui aussi d’un très bon œil l’aboutissement de ce projet « dans un contexte si particulier de la crise sanitaire actuelle ».

L’immeuble Michelet va être rasé pour permettre la construction de The Link – Defense-92.fr

Le Coronavirus fait plonger les transactions immobilières de La Défense au plus bas

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Les commercialisations de bureaux ont été très calme à La Défense lors de ce premier semestre. La faute à la crise du Coronavirus - Defense-92.fr

L’année 2020 devrait être marquée par deux records à La Défense. Le premier c’est celui de la plus importante transaction enregistrée depuis une grosse décennie pour le quartier d’affaires. Et paradoxalement le second pourrait bien être celui de l’année la plus calme en volume de transactions.

Avec un peu plus de 156 000 mètres carrés de bureaux loués rien qu’au premier semestre, La Défense vient de réaliser sa meilleure performance depuis belle lurette. Mais cet exploit a en réalité été rendu possible grâce à la concrétisation du projet de Total dans « The Link ». L’entreprise pétrolière et gazière française a en effet signé au début de l’année un futur bail portant sur les 126 000 mètres carrés de ces deux tours siamoises.

Mais si on enlève cet énorme deal qui était connu et attendu depuis bientôt trois ans, l’année a très mal commencé et la crise du Coronavirus n’a rien arrangé du tout. Entre janvier et juin, ce sont seulement 30 000 mètres carrés de bureaux qui ont trouvé preneur dans les tours du quartier d’affaires. Le confinement a presque complètement bloqué tous les projets de transactions et il n’y a eu que 11 000 mètres carrés de bureaux loués au second trimestre.

Sur les vingt-cinq signatures enregistrées dans le quartier d’affaires au cours du semestre écoulé, la plus importante hormis Total, aura été celle de KPMG qui a pris en début d’année un peu plus de 5 000 mètres carrés d’espaces supplémentaires dans la tour Europlaza. Parmi les autres transactions on retrouve notamment l’assureur américain AIG qui a pris 3 900 mètres carrés dans la tour CBX, l’assureur français SPB qui s’installera prochainement dans 1 200 mètres carrés de l’immeuble le Colisée Garden ou encore le groupe agro-industriel Avril qui a contracté un bail de 3 100 mètres carrés dans Défense Plaza.

La demande placée à La Défense – Immostat / Cushman & Wakefield

Le créneau des surfaces de taille intermédiaire et inférieures à un millier de mètres carrés décroche donc brutalement (respectivement -40 % et -50 % en un an), sans néanmoins enfoncer leurs plus bas historiques. Pour les surfaces supérieures à 5 000 mètres carrés mis à part Total et KPMG ça été le calme plat.

« Les loyers moyens de transaction des surfaces de première et de seconde main sont pour l’heure maintenus (respectivement 480 euros/mètres carrés/an et 460 euros/mètres carrés/an). L’essentiel des loyers de présentation sont également restés stables dans leur grande majorité, note la dernière étude de Cushman & Wakefield. Les exceptionnelles corrections de ces valeurs pourraient cependant ouvrir la voie à un recalibrage des loyers si le rythme transactionnel faible devait se prolonger et la vacance augmenter. Pour le moment, les mesures d’accompagnement garantissent le statu quo des valeurs locatives ».

Les valeurs locatives à La Défense – Immostat / Cushman & Wakefield

Le taux de vacance de La Défense, établi à la fin juin à 5,8 % (après 4,9% fin 2019) reste pour le moment toujours très bas. Globalement ce sont à cette date 192 000 mètres carrés de bureaux qui sont libres dans les tours du quartier d’affaires (Coeur Défense, Carré Michelet, Kupka,…). Mais si l’année 2020 terminera en termes de surface commercialisées au-dessus des trois précédentes (2017, 2018 et 2019), tout cela n’est qu’un trompe l’ œil. Car désormais ce sont des dizaines de nouveaux milliers de mètres carrés qui sont disponibles avec les livraisons dans les tous prochains mois des tours Trinity (49 000 mètres carrés), Alto (51 000 mètres carrés) ou encore Landscape (68 000 mètres carrés), sans compter les nombreux autres projets plus modestes qui seront également disponibles avant la fin de l’année. En tout d’ici à 2023 ce sont près de 500 000 mètres carrés de bureaux qui vont arriver sur le marché, dans un contexte difficile où certaines entreprises revoient leur stratégie immobilière après la pandémie du Covid-19.

Le taux de vacance de La Défense – Immostat / Cushman & Wakefield

Tous ces nouveaux mètres carrés livrés presque d’un seul coup vont donc forcément faire exploser le taux de vacance du quartier d’affaires de l’Ouest parisien actuellement très bas. Toutefois, comme toujours La Défense a plus d’une tour dans son sac et n’a pas dit son dernier mot. Depuis quelques temps déjà plusieurs rumeurs circulent sur plusieurs transactions qui porteraient sur des surfaces de 15 000 mètres carrés. Une autre, de 50 000 mètres carrés est évoquée et elle pourrait concerner l’une des toutes nouvelles tours de La Défense. Si cette dernière venait à se confirmer, ce serait alors un bon signal pour le quartier d’affaires. Reste donc à voir si les rumeurs se concrétisent…

Les disponibilités de bureaux à La Défense – Immostat / Cushman & Wakefield

Déserté par les touristes à cause du Coronavirus, le Toit de la Grande Arche referme

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Le Toit de la Grande Arche va fermer ce 1er octobre en raison de l'effondrement de la fréquentation des touristes - Defense-92.fr

La baisse est vertigineuse. Déserté par les touristes à cause du Coronavirus, le groupe City One, l’exploitant du Toit de l’Arche a décidé de refermer son rooftop dès le 1er octobre pour une durée indéterminée. « Nous ne fermons pas, mais nous mettons nos activités en sommeil », nuance Corinne de Conti, la présidente de City One 111, la société 100 % privée en charge d’exploiter le Toit. Un nouveau coup dur pour l’opérateur qui avait déjà été contraint de suspendre son activité avant le début du confinement avant de rouvrir timidement le 8 juin dernier.

Pour retrouver ses visiteurs le Toit avait mis en place un maximum de précautions avec des réservations obligatoires, la prise de température systématique avant de monter, la limitation à deux personnes dans les ascenseurs et bien évidemment le port du masque obligatoire tout au long de la visite. Mais cela n’a pas suffit.

« Depuis la crise du Covid, les événements s’annulent, les rassemblements ne sont plus autorisés. La venue du public est soumise à des conditions toujours plus contraignantes, qu’il n’est plus possible d’assumer sur la durée. La fréquentation de l’espace culturel est en chute libre, souffrant du peu de volontaires pour visiter un musée actuellement et de l’absence des touristes, autant français qu’étrangers », indique le Toit de l’Arche qui estime la baisse de fréquentation à près de 80 % alors qu’il avait accueilli en 2019 quelques 150 000 visiteurs. Durant les premiers jours de la réouverture, du 8 au 14 juin le Toit n’a accueilli que 15 % de visiteurs par rapport à la même période en 2019.

« Personne n’a de visibilité à ce stade sur les trois mois à venir »

Mais il n’y a pas que les touristes qui ont déserté le monument du quartier d’affaires. Les entreprises aussi. Car le business modèle du Toit de l’Arche c’est aussi d’accueillir des événements privés pour les sociétés comme des séminaires, conventions, réunions d’actionnaires,… Et là aussi c’est la chute libre. « Les annulations s’accumulent depuis le début du mois de septembre. Il n’y a aucun événement prévu jusqu’à fin novembre et pour le reste ce ne sont que des options posées qui ne se confirmeront ou ne s’annuleront qu’au regard de l’évolution de la situation sanitaire, regrette Corinne de Conti. Personne n’a de visibilité à ce stade sur les trois mois à venir ».

Si cet été City One espérait sauver la saison estivale, les espoirs ont été douchés par les différentes restrictions et fermetures de frontières des pays étrangers. « L’origine des pays est beaucoup moins importante que l’an passé où nous avions accueilli des visiteurs de plus de soixante pays dans le monde, note Corinne de Conti. Cet été, nous avons accueilli des visiteurs provenant principalement des pays de l´Union Européenne, en raison de la fermeture des frontières aériennes ».

Pour l’heure Corinne de Conti n’a pas encore fait les comptes de cette année catastrophique. « Ce n’est que lors de la reprise que nous pourrons chiffrer les pertes, ou à l’issue de la crise. Le moment n’est pas encore venu de faire ce calcul », estime-t-elle en indiquant que son « seul but est de préserver l’emploi à long terme » de la cinquantaine de salariés du Toit. Mais cette nouvelle fermeture était devenue inévitable en raison des importants coûts d’exploitation par rapport au peu de recettes.

Une date de réouverture incertaine

Pour la réouverture du Toit c’est l’inconnue. Peut-être au début de l’année prochaine ou au printemps. « Nous souhaitons réouvrir aussitôt que la situation sanitaire nous le permettra, que les interdits seront moins nombreux, lorsque nous pourrons accueillir convenablement nos visiteurs, nos amis, nos clients et nos followers », promet Corinne de Conti, très émue par la situation.

Mais elle l’assure : « Nous nous battons pour la survie du projet, auquel les équipes se sont consacrées sans relâche depuis près de cinq ans ». L’histoire du Toit de la Grande Arche a été mouvementée. Le rooftop de La Défense avait vécu une très longue fermeture entre 2009 et 2017, suite à un litige entre l’ancien exploitant et le ministère de l’Environnement propriétaire des lieux. Après de lourds travaux il avait réourvert en juin 2017. Entièrement réaménagé le toit abrite un espace culturel, un restaurant et une promenade s’ajoutant au rooftop panoramique.

Quand la Paris La Défense Arena passe de la boxe au rugby en moins de douze heures

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La Paris La Défense Arena est passée d’un événement de boxe à un match de rugby en à peine douze heures - DR

La transformation a été rapide. Alors que ce vendredi soir se tenait la rencontre de boxe entre Tony Yoka et Johann Duhaupas, la Paris La Défense Arena a retrouvé ce samedi midi sa pelouse synthétique pour le match de rugby qui a vu s’affronter le Racing 92 et le Saracens. Une transition d’à peine douze heures faite en un temps record par les équipes de l’arena.

Dès la fin du combat de boxe peu avant 23 heures, le ring, les chaises qui l’entouraient et toute la décoration ont été démontés à la vitesse de l’éclair par une trentaine de personnes tout comme les milliers de plaques de protection de la pelouse synthétique. Il a fallu ensuite repasser la salle multimodale dans sa configuration rugby en ré-avançant une partie des tribunes basses, installant les poteaux ainsi que les panneaux publicitaires et divers accessoires utiles au match. Le temps était compté puisque le Racing 92 recevait ce samedi à 14 heures les anglais du Saracens pour jouer la demi-finale de la Champions Cup.

Un timing très serré qui était une première dans l’histoire de la Paris La Défense. « C’est une situation exceptionnelle. Mais le but de l’arena depuis son ouverture est précisément de pouvoir changer rapidement de forme pour accueillir ce genre d’événements », a confié à nos confrères de 20 minutes, Jean-Marc Poissenot, directeur d’exploitation de Paris La Défense Arena. Un travail rondement mené qui a demandé pas mal d’organisation. « Il y a beaucoup de communication en interne avec tous les acteurs de la société », rajoute Jean-Marc Poissenot.

Champions Cup : ce samedi le Racing 92 va tenter sa place en finale face au Saracens

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Quatre-vingt minutes pour tenter de décrocher le ticket de la finale. Au lendemain du match de boxe entre Tony Yoka et Johann Duhaupas, la Paris La Défense Arena retrouvera son club du Racing 92 ce samedi 26 septembre. Les Ciel & Blanc recevront ce samedi à 14 heures le club anglais du Saracens pour une demi-finale du Champions Cup après leur victoire le 19 septembre dernier face à l’ASM Clermont Auvergne au Stade Michelin.

Les places pour cette rencontre de demi-finale de Champions Cup sont limitées à cause de la situation sanitaire. Elles sont vendues directement sur le site la Paris La Défense Arena dès 50 euros.

Champions Cup : le Racing se qualifie difficilement pour la finale face au Saracens

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Le Racing 92 s’est qualifié pour la finale de la Champions Cup face ce samedi face au Saracens - Defense-92.fr

Que ce fût dur pour les Racingmen. Mais c’est bon, ils sont qualifiés pour la finale de la Champions Cup. La Paris La Défense Arena avait une drôle d’allure ce samedi. Contrainte de réduire fortement sa jauge, la grande arena de La Défense n’a pu réunir qu’un millier de supporteurs pour la demi-finale qui a opposé le Racing 92 aux joueurs anglais du Saracens.

Une victoire (19 à 15) qui fût compliquée pour les Ciel & Blanc. Cette rencontre aura été marquée par une succession de pénalités aussi bien pour les franciliens que pour les anglais. Il y en aura neuf en tout : quatre pour le Racing 92 (T.Iribaren 11’, 32’ et 40’ et M.Machenaud 68’) et cinq pour le Saracens (A.Goode 24’, 30’, 43’, 47’ et 53’). Et c’est bien cette pénalité en plus pour le club anglais qui a failli priver de victoire les joueurs de Jacky Lorenzetti. Il aura fallu attendre la 76ème minute et l’unique essai de la rencontre de Juan Imhoff et la transformation réussie de Maxime Machenaud pour délivrer le club francilien et l’emmener en finale de Champions cup.

Après avoir échoué en 2016 et 2018 en finale de Champions Cup, le Racing 92 rêve désormais d’inscrire sa première victoire dans ce trophée européen tant convoité. Pour remporter cette finale qui se déroulera le 17 octobre prochain les Racingmen devront vaincre les joueurs anglais de l’Exeter Chief qui se sont qualifiés (28-18) face aux toulousains ce samedi soir.

Boxe : Tony Yoka met KO Johann Duhaupas en 87 secondes

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Tony Yoka a mis KO son compatriote Johann Duhaupas en 1 minute et 27 secondes - Defense-92.fr

Deux champions français qui s’affrontent, le combat était attendu toute la soirée. Et il aura été rapide. Très rapide. Tony Yoka, médaillé d’or aux Jeux de Rio en 2016 a mis KO son compatriote et champion WBA, Johann Duhaupas en 1 minute et 27 secondes lors de la soirée « La Conquête » organisée ce vendredi soir à la Paris La Défense Arena. Une soirée qui a pu réunir un peu moins de 5 000 spectateurs, alors même que la jauge du public pour les grands événements vient de passer ce samedi à seulement un millier de personnes.

« On a beaucoup travaillé et je ne sous-estime jamais mes adversaires, a confié Tony Yoka à l’issue de sa rencontre explosive. Je m’attendais à un combat très très dur, je sais qu’il a fait une très grosse préparation. Je ne m’attendais pas vraiment à gagner au premier round ».

La star de la soirée qui n’avait plus combattu depuis un an après son succès contre l’allemand Michael Wallisch, le 28 septembre 2019 est désormais invaincue en huit combats (dont sept victoires avant la limite).

Mais il n’y a pas que Tony Yoka et Johann Duhaupas qui se sont affrontés sur le ring monté pour l’occasion au cœur de l’arena. La femme de Tony Yoka, Estelle Mossely était aussi invitée à combattre dans l’arène de La Défense. La championne olympique a remporté son combat en huit rencontres face à Aurélie Froment.

Dans un autre combat en poids moyens toujours franco-français, Farrhad Saad a remporté le choc face à Diego Natchoo.

Cyclofix retenu pour exploiter le futur local de réparation de vélos

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Cyclofix ouvrira fin octobre un atelier de réparation vélos et trottinettes au pied de l’Arche - Defense-92.fr

Faire réparer son vélo en quelques minutes cela sera bientôt possible au pied de la Grande Arche. L’établissement public Paris La Défense qui avait lancé cet été un appel d’offres en vue de trouver l’exploitant du futur nouveau local de réparation de vélos vient de retenir la jeune start-up Cyclofix.

D’ici fin octobre l’entreprise prendra possession de ces deux anciens containers qui avaient, entre 2017 et 2019, servi de lieu de garage pour les navettes autonomes expérimentales du quartier. D’une cinquantaine de mètres carrés ce local sera notamment doté d’un espace atelier de vingt-trois mètres carrés et d’un espace accueil d’une dizaine de mètres carrés.

Pendant un an -le contrat sera renouvelable trois fois- Cyclofix proposera aux salariés, habitants, étudiants et visiteurs de La Défense de venir faire des réparations pour leur vélo -électrique ou non- et même de leur trottinette. L’atelier permettra également de trouver des petits accessoires comme des pompes, des pneus, … Mais ce n’est pas tout puisque l’exploitant promet d’organiser des ateliers de sensibilisation à l’auto-réparation par exemple et des ateliers pédagogiques autour de la mobilité active.

« Le quartier de La Défense est plus que jamais en mutation du point de vue des mobilités douces. Ce lieu iconique nous permettra de répondre à la demande de plus en plus forte de réparation de vélos et de trottinettes dans cette zone propice aux mobilités actives », se réjouit Stéphane Folliet, le directeur général de Cyclofix.

L’atelier de Cyclofix doit ouvrir d’ici la fin octobre au pied de la Grande Arche – DR