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mercredi 18 juin 2025
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Coronavirus : le Marché de Noël de La Défense aura-t-il lieu cette année ?

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Jean-Claude Meritte le fondateur de Codecom espère encore pouvoir organiser la 26ème édition du Marché de Noël sur le parvis de La Défense - Defense-92.fr

La mauvaise météo régulière, les différentes grèves, la crise des Gilets jaunes ou la menace terroriste n’auront jamais eu la peau du Marché de Noël de La Défense depuis sa création en 1995. Mais cette année c’est bien le Coronavirus qui pourrait l’avoir. La vingt-sixième édition du village de Noël qui doit se tenir du 25 novembre au 27 décembre semble en effet de plus en plus compromise, d’autant plus après les annonces ce mercredi soir du ministre de la Santé, Oliver Véran. Le gouvernement qui a placé Paris et sa petite couronne en « Zone alerte renforcée » entraine pour les quinze prochains jours au minimum l’interdiction des grands événements déclarés et limite les rassemblements à moins de mille personnes.

Pourtant malgré une perspective bien sombre, Jean-Claude Meritte, le fondateur de Codecom, l’organisateur historique de cet événement veut encore y croire et espère toujours monter ses petits chalets en bois au cœur du parvis. « Notre politique est bien évidement que ce marché de Noël ait lieu à La Défense », confie très optimiste, Jean-Claude Meritte qui cependant a dû fortement revoir ses plans pour espérer un feu vert des autorités. Cela passerait par une forte réduction de la manifestation qui passerait de 13 500 à 7 500 mètres carrés. Le nombre d’exposants serait alors réduit à 160 contre 274 habituellement.

« Nous mettons tout en œuvre pour que le Marché de Noel se réalise dans de bonnes conditions », poursuit Jean-Claude Meritte. Pour l’instant son entreprise s’est fixée la date du 15 octobre, -soit une dizaine de jours avant le supposé début du montage- pour prendre une décision finale. Sauf que le véritable « go » viendra de la préfecture qui devrait trancher d’ici à la mi-octobre. Un feu vert qui cependant est très loin d’être acquis pour le Marché de Noël cette année. Et si Codecom venait à recevoir le feu vert, pas sûr qu’il puisse organiser son village dans des conditions optimales. Une jauge pourrait alors être fixée par les autorités. « En-dessous de 5 000 personnes on ne fera pas le Marché de Noël », avertit cependant Jean-Claude Meritte pour qui l’opération ne pourra pas être rentable pour les commerçants.

« S’il n’a pas lieu c’est une catastrophe »

Même si le maintien de cette édition 2020 est plus qu’incertain, les commerçants eux aussi croisent les doigts pour pouvoir venir. Selon Codecom, 80 % des espaces sont déjà pré-commercialisés. Car privés de toutes les foires depuis mars dernier, beaucoup d’entre eux ont vu leurs activités s’arrêter brutalement. Le maintien du Marché de Noël de La Défense cette année serait alors une petite bouffée d’oxygène. A contrario l’annulation serait un nouveau coup très dur porté à leurs affaires. « Ça fait vingt-cinq ans que je fais le Marché de Noël. S’il n’a pas lieu c’est une catastrophe », soupire Laurent Bouchoux, le gérant du restaurant Créole et Corse dans le marché.

Mais pour Codecom comme pour les exposants le plus gros risque serait que les autorités donnent une autorisation d’ouvrir et reviennent dessus en plein pendant le montage ou durant les dates d’ouvertures. Sur ce point l’organisateur entend rassurer ses commerçants. « Si les normes gouvernementales en vigueur ne nous permettent plus de rester ouvert , les sommes versées seront remboursées au prorata des jours d’ouverture », promet Jean-Claude Meritte.

Reste que ce scénario très sombre pourrait alors être un coup fatal pour les salariés de la petite PME. Car les coûts d’organisation très élevés seraient à sa charge. Pour limiter au maximum le risque d’impact financier et réduire ses dépenses en cas de maintien du village, Codecom espère négocier avec Paris La Défense, l’établissement d’aménagement et de gestion du quartier d’affaires une baisse de la redevance d’environ 430 000 euros, à verser pour l’occupation du terrain dans le cadre de l’appel d’offres remporté en 2018.

Cojean ouvre un quatrième restaurant dans le quartier d’affaires

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Cojean a ouvert son quatrième restaurant au pied de l'immeuble du Carré Michelet - Defense-92.fr

Cojean continue de tisser son réseau à La Défense. La chaine française de restauration rapide haut-de-gamme née en 2001 sous l’impulsion d’Alain Cojean vient d’ouvrir courant septembre son quatrième restaurant à La Défense. Dix ans après être arrivée à La Défense en ouvrant son premier restaurant au cœur du Cnit, puis deux ans plus tard un second, place de La Défense et enfin l’année dernière un troisième dans le quartier Valmy, la petite chaîne parisienne s’est établie dans le quartier Michelet.

Implanté au pied du nouvel immeuble Carré Michelet -qui héberge notamment les entreprises MSD, Novo Nordisk et Wano-, juste à côté du DS Café, ce restaurant s’étend sur 120 mètres carrés et dispose d’une cinquantaine de places assises auxquelles s’ajoute une quarantaine en terrasse.

A la carte de ce Cojean on retrouve des produits de saisons avec tous les sandwiches, des salades, des plats chauds ou encore des pastas ainsi que de nombreux jus.

Les salariés de Suez toujours vent debout contre le projet d’OPA de Veolia

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Près de 400 salariés de Suez ont manifesté ce mardi devant le siège d'Engie pour s'opposer au projet d'OPA de Veolia - Defense-92.fr

Cols blancs et cols bleus réunis ensemble pour une manifestation, c’est une scène plutôt rare au pied des tours de La Défense. Ce mardi était une nouvelle journée de mobilisation générale pour les salariés de Suez qui s’opposent toujours fermement au projet de rachat formulé par Veolia, leur grand rival. En fin de matinée, les salariés du siège et employés des différentes entités du groupe sont partis de leur tour CB21 pour se diriger vers celle d’Engie, le principal actionnaire de Suez. Au pied du building T1 ils étaient près de 400 personnes selon une source policière à tenter de faire pression sur Engie et son « odieux patron » pour qu’il ne cède pas ses 33,55 % de parts dans Suez à Veolia.

Car si avec cette OPA Veolia ambitionne de devenir un géant mondial de la gestion de l’eau et des déchets, l’idée angoisse au plus haut point chez Suez. Comme souvent, qui dit fusion, dit postes en doublons et donc licenciements. Direction de Suez et syndicats s’entendent sur un même chiffre : si l’OPA de Veolia se concrétise elle entrainerait à terme la suppression de 4 300 emplois en France et de 6 000 à l’international. Des chiffres que contestent en revanche Veolia et Meridiam, un fonds spécialisé dans les infrastructures qui reprendraient la branche eau de Suez afin de respecter les règles de concurrence.

« On est tous dans le même bateau »

« Si l’OPA aboutit il y aura une perte d’emplois, s’offusque Benjamin, un égoutier de Suez. On ne sait pas à quelle sauce on va être mangés ». Un avis que partage Eric, salarié au siège pour qui, ce mariage forcé équivaudrait au « démantèlement d’un fleuron de l’industrie française ». Et cette mobilisation inédite mélangeant direction de l’entreprise et ouvriers semble motiver les troupes. « Ça me touche de voir tout le monde. On est tous concernés, on est tous dans le même bateau », estime pour sa part Philippe, informaticien chez Suez.

Outre l’aspect social, pour beaucoup cette OPA aurait de lourdes conséquences sur la concurrence. « Ça va réduire la concurrence en France », estime Isabelle, employée au siège de Suez. « Dans nos collectivités locales, dans nos villes et intercommunalités tout ça aura un impact puisque les élus locaux seront privés de choix si cette OPA a lieu », s’alarme la conseillère régionale (Génération·s) Hella Kribi-Romdhane venue en soutient avec le secrétaire national du PCF, Fabien Roussel et le député européen LFI Manuel Bompard.

Mais cette OPA ne crispe pas uniquement les salariés de Suez. Elle inquiète aussi à Engie. « On assiste à un démentellement du groupe Engie au travers du groupe Suez », s’agace Yoan Thiebaux, coordinateur CGT d’Engie.

Vendredi sera une journée d’hommage à Patrick Devedjian

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Patrick Devedjian en juin 2018 - Defense-92.fr

Une journée marathon d’hommage pour Patrick Devedjian. Un peu moins de six mois après son décès le département va rendre ce vendredi un hommage à son ancien président touché du covid-19.

La journée débutera le matin avec une messe de requiem organisée par la famille de l’ancien président des Hauts-de-Seine et de Paris La Défense. La cérémonie sera cocélébrée par Monseigneur Mathieu Rougé, évêque de Nanterre, et Monseigneur Elie Yeghiayan, évêque des arméniens catholiques de France, selon la liturgie arménienne, à la Cathédrale de Nanterre.

En début d’après-midi, un hommage par les agents du département des Hauts-de-Seine et de l’établissement Paris La Défense sera rendu sur le parvis de la Paris La Défense Arena, l’enceinte qui a vu le jour en partie grâce à lui.

Puis en fin d’après-midi, son sucesseur Georges Siffredi signera l’acte de donation de la collection de Pierre Rosenberg au Département des Hauts-de-Seine destinée à être exposée au musée du Grand Siècle, avec Pierre Rosenberg, à La Seine Musicale à Boulogne-Billancourt.

Pour finir une soirée hommage à Patrick Devedjian sera organisée, avec des témoignages et temps musicaux, à La Seine Musicale de Boulogne-Billancourt avec la participation d’Insula Orchestra (Laurence Equilbey), de l’Académie Musicale Philippe Jaroussky, et de la Maîtrise des Hauts-de-Seine, animée par Eve Ruggieri. Cette soirée hommage sera retransmise en Facebook Live sur la page.

Mais Coronavirus oblige cette journée d’hommage qui ne pourra pas se faire en public sera uniquement sur invitation.

Et ce n’est pas tout puisque le boulevard circulaire qui encercle La Défense devrait être rebaptisé au nom de l’ancien président de Paris La Défense et des Hauts-de-Seine d’ici quelques mois.

La santé au travail, et si vous veniez en parler ?

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L’ACMS et le CIAMT organiseront ce jeudi un village pour discuter de la santé au travail - Defense-92.fr

La santé au travail, voilà le thème qui sera abordé ce jeudi par l’ACMS et le CIAMT, deux services de santé au travail interentreprises d’Île-de-France. Implantés au pied de l’Arche de La Défense, l’ACMS et le CIAMT proposeront de découvrir leur village dans lequel s’articuleront six grands ateliers thématiques qui permettront aux visiteurs de découvrir et de se familiariser avec notamment le service social des services de santé au travail avec le « Jeu de l’oie géant » ; le risque Routier dans le cadre professionnel, à travers un simulateur de conduite grandeur nature ou encore les risques psycho-sociaux, au moyen de conseils et de quizz.

Dans la grande tente centrale du village, les visiteurs pourront également participer à un Escape game sur le thème de la santé au travail et aussi à des « expériences sensorielles » et des « relaxations Innovantes ».

Le village de l’ACMS et du CIAMT sera à découvrir ce jeudi 24 septembre entre 9 heures et 18 heures.

Le vélotaf à l’honneur cette semaine avec « Bike to Work »

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Paris La Défense met le vélotaf sur le devant de la scène durant deux jours - Defense-92.fr

Banni de la dalle de La Défense il y a encore dix ans, le vélo est désormais presque une star dans le quartier d’affaires. Alors que depuis pas mal d’années de plus en plus de salariés se rendent au travail en vélo, le déconfinement a boosté ce mode de déplacement doux.

L’usage des transports en commun reste cependant toujours favorisé des salariés. Pour convaincre plus d’adeptes de succomber à la petite reine, l’établissement public Paris La Défense va organiser ce mercredi 23 et jeudi 24 septembre « Bike to work », un événement mettant à l’honneur le vélotaf.

Derrière l’Arche, sur le cours Valmy, un village des mobilités accueillera une trentaine d’exposants qui présenteront des produits et services autour du vélo. On y retrouvera notamment une bourse aux vélos et un module de prévention routière animé par Allianz. Les deux jours s’ouvriront avec une table ronde accueillant des représentants des gestionnaires des quartiers d’affaires européens et mondiaux (en ligne & présentiel). Des circuits découvertes seront aussi proposés aux -nouveaux- vélotafeurs les deux jours pour identifier tous les accès vélos à La Défense, les différents itinéraires, mais aussi les nouveaux services comme les parkings sécurisés et le local de réparation pour les vélos.

Le programme complet des deux journées est à retrouver ici

La Défense a retrouvé une grande partie de ses salariés

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Pour Paris La Défense, 60 % des salariés du quartier d’affaires sont revenus aux bureaux - Defense-92.fr

Alors qu’à Londres les banquiers de la City peinent à revenir au bureau, à La Défense le retour est bien plus marquant. « Malgré un contexte sanitaire encore mouvant, l’activité du quartier d’affaires a repris très nettement depuis la rentrée », affirme Paris La Défense. Pour l’établissement public ce sont près de 60 % des salariés qui ont retrouvé les tours du quartier d’affaires.

L’établissement estime que la fréquentation dans les transports en commun est désormais de 58 % du trafic habituel (+ 6 % par rapport à la semaine précédente). Les parkings de La Défense auraient eux retrouvé 90 % de leurs usagers. Côté mode de transports alternatifs, le vélo est le grand gagnant. Avec les Coronapistes, beaucoup de salariés ont opté pour la petite reine.

« Depuis la fin des vacances scolaires, l’activité de Paris La Défense a repris de manière très nette. Les entreprises et leurs salariés ont repris une activité plus proche du rythme habituel du quartier d’affaires, estime l’établissement. Entre volonté des salariés de reprendre une vie normale et besoin des entreprises de maintenir cohésion et engagement de leurs équipes, le retour au bureau s’est fait progressivement afin de permettre aux organisations de s’adapter aux nouveaux impératifs sanitaires ».

Encore beaucoup d’incitation ou d’obligation au télétravail

Alors certes l’activité de La Défense est bien repartie mais tout n’est pas encore comme avant. Beaucoup d’entreprises du quartier incitent, voire obligent leurs collaborateurs à poursuivre le télétravail en ne venant au bureau qu’un à deux jours par semaine. L’objectif est de laisser un poste de travail sur deux vacant, réduisant donc de moitié les effectifs présents simultanément.

« Je ne viens qu’un jour par semaine depuis la fin du confinement alors qu’avant je venais tous les jours », confie Romain, un jeune salarié de la banque HSBC. Et pour lui le quartier n’est plus comme avant. « Il y a moins de monde. On se croirait au mois d’août », poursuit-il. Un peu plus loin sur l’esplanade Carole et Florence, deux salariés de Mercer, un cabinet de conseil en ressources humaines discutent au pied de leur tour. Elles aussi constatent que la reprise n’est pas encore totale. « On a que 40 % des effectifs qui sont autorisés à venir sur le site », confie Carole qui se rappelle encore de son retour au bureau en mai dernier : « Le premier jour du déconfinement j’étais seule sur l’esplanade, c’était lunaire ». Une situation qui désespère Florence pour qui la situation entraine « un manque de lien social ».

« La reprise de l’activité du quartier d’affaires montre que l’entreprise est un lieu de production, mais aussi et surtout un lieu de socialisation », estime Georges Siffredi, le président des Hauts-de-Seine et de Paris La Défense. Les rapports humains sont essentiels pour créer, innover et donner un esprit collectif ». Et le successeur de Patrick Devedjian se veut rassurant pour l’avenir du quartier d’affaires : « Le télétravail continuera de progresser dans les organisations, mais il ne peut pas devenir la norme et l’unique modèle de fonctionnement des entreprises ».

La Paris La Défense Arena se pare de rouge pour mettre en lumière le drame que vit l’événementiel

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La Paris La Défense Arena s’est habillée de rouge pour alerter le Gouvernement sur les grandes difficultés que vivent les professionnels de l’événementiel - DR

Avec le tourisme, le secteur de l’événementiel est l’un des plus durement touchés par la crise du Coronavirus. Depuis mars dernier presque tous les grands événements en France, qu’il s’agisse des concerts, festivals ou salons ont été annulés mettant en grandes difficultés tout un pan de l’économie.

Aujourd’hui les professionnels de l’événementiel ne cachent plus leur vive inquiétude. « La France subit de plein fouet les conséquences du Covid-19 menaçant des secteurs d’activité entiers directement liés aux rassemblements de publics divers, au premier rang desquels l’évènementiel et le spectacle : premiers arrêtés, et derniers à pouvoir repartir, faute de la visibilité indispensable à la reprise », s’est exprimé le Syndicat Synpase qui a lancé du 14 au 18 septembre l’opération « Alerte rouge ».

Avec cette « Alerte Rouge », le secteur de l’événementiel entend « mettre en lumière » son savoir-faire et de sensibiliser le Gouvernement ainsi que les décideurs et élus des territoires au « drame économique et social qui s’annonce » et demande la mise en place d’un « plan de soutien spécifique aux TPE/PME de l’événementiel et du spectacle ».

Laissant craindre des faillites en cascade des sociétés de l’événementiel le Synpase prévient que sans ces entreprises techniques il n’y aura « point de concerts, de festivals, d’événements professionnels ».

Si la Paris La Défense Arena a retrouvé son premier match de rugby la semaine dernière en attendant la rencontre de boxe entre Tony Yoka et Johann Duhaupas la semaine prochaine, la grande enceinte a vu un paquet de ses événements annulés ou reportés la mettant elle aussi en difficultés. Comme d’autres nombreux bâtiments publics ou privés en France, les 600 écailles de l’arena se sont donc colorées de rouge.

Le jazz est de retour sur l’esplanade de La Défense

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La 43ème édition de La Défense Jazz Festival se déroulera du 21 au 27 septembre - Defense-92.fr

Le jazz aurait dû faire vibrer les tours de La Défense en juin. Finalement ce sera en septembre. Le Coronavirus n’aura finalement pas eu raison de ce grand rendez-vous musical annuel organisé par le département des Hauts-de-Seine. Cette année la 43ème édition de Jazz La Défense Festival se tiendra, comme toujours sur la place de La Défense mais du lundi 21 au dimanche 27 septembre. Pendant une semaine sur la grande scène en plein air de La Défense Jazz Festival le public pourra découvrir des artistes confirmés et émergents.

« Cette édition de La Défense Jazz Festival sera l’occasion pour certains artistes de renouer avec le public pour la première fois, après plusieurs mois sans concert suite à l’épidémie de la Covid-19. Ils ont mis à profit ce temps pour créer, et seront ainsi nombreux à présenter leurs titres en exclusivité, sur la scène installée à Paris La Défense », explique le département des Hauts-de-Seine.

Si l’édition 2020 de La Défense Jazz Festival a été maintenue, sa programmation a en revanche été largement revue. Les concerts du midi et les afterworks sont toujours prévus. En rvanche cette année il n’y aura pas les traditionnels concerts du samedi et dimanche soir, générateurs de trop grandes foules. Seuls deux concerts seront proposés en fin d’après-midi lors du week-end de clôture.

Un événement gratuit mais avec une jauge de spectateurs

Les festivités s’ouvriront le lundi 21 septembre à 18 heures avec Jî Drû et Cheick Tidiane Seck. Le mardi à midi on retrouvera For a Word Gauthier Toux et Guillaume Perret puis Belmondo Quintet dès 18 heures. Le mercredi midi ce sont Ylian Cañizares et Sophie Alour & Abdallah Abozekry qui se produiront. Le jeudi dès midi, Nefertiti Quartet (lauréat 2019 de Jazz Migration) et Obradovic Tixier Duo (lauréat 2019 du Concours national de Jazz) monteront sur la scène du festival. Le vendredi midi ce seront Gystere et L’Eclair qui seront à découvrir puis Altin Gün dès 18 heures. Le samedi Koki Nakano et Ibrahim Maalouf en duo avec François Delporte feront vibrer la dalle entre 18 heures et 20 heures. Le festival s’achèvera le dimanche à partir de 18 heures avec Ezra Collective.

La programmation annoncée cet été a cependant évolué en raison des dernières mesures prises par la Grande-Bretagne et les Pays-Bas imposant une quatorzaine à toute personne venant de France. Les concerts d’Ebony Frainteso et Joel Culpepper (lundi 21 septembre entre 12 heures et 14 heures), Altin Gün (vendredi 25 septembre au soir) et Moses Boyd (dimanche 27 septembre au soir) sont donc annulés.

Par ailleurs les mercredis et jeudis soir, entre 18 heures et 20 heures, six groupes (trois par jour) tenteront de séduire le jury pour le concours « National Jazz à La Défense ». Le mercredi il y aura Hussam Aliwat (18 heures – 18h30) + Fuzekin (18h45-19h15) + Chrones (19h30-20 heures). Le jeudi ce sera Yessaï Karapetian (18 heures-18h30) + Go to the Dogs! (18h45-19h15) + Gabriel Goss « Lynx Trio » (19h30-20 heures). Organisé en marge du festival, ce concours permet d’accompagner le développement de carrière de tous les professionnels du Jazz. Il est ouvert aux groupes émergents de la scène du jazz, de tous âges, et de toutes nationalités, résidant en France. Les six groupes sélectionnés se produiront tour à tour sur la scène de La Défense Jazz Festival pour un concert de trente minutes chacun. Mais cette année, il n’y aura pas réellement de compétition. Un prix collectif sera remis à chacun des groupes de la sélection 2020, accompagné d’une aide professionnelle de 3 000 euros, afin de « les aider à faire face aux conséquences de la crise sanitaire ». Il n’y aura donc pas de lauréat (groupe et instrumentiste), la sélection 2020 dans son ensemble sera distinguée.

Coronavirus oblige, le fonctionnement de cette 43ème édition de La Défense Jazz Festival sera aussi bien différent. Certes, les concerts seront toujours gratuits et en plein air mais ils se dérouleront dans un périmètre fermé. Le département des Hauts-de-Seine qui indique mettre « tout en œuvre pour accueillir le public dans les meilleures conditions sanitaires possibles va installer cette année quelques 770 transats et chaises, « désinfectés entre chaque utilisation » afin de respecter les distanciations physiques. Le port du masque sera obligatoire dans l’enceinte du festival -il l’est d’ailleurs partout à La Défense- et du gel hydro-alcoolique sera mis à disposition du public.

Le programme complet est à retrouver ici

Noémie Saglio sera ce mardi à l’UGC de La Défense pour présenter son nouveau film « Parents d’élèves »

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Le film "Parents d'élèves" sera projeté en avant-première avec l'équipe du film ce mardi à l'UGC de La Défense - DR

Noémie Saglio et l’UGC vous invitent à vous faire une toile. La réalisatrice Noémie Saglio sera de passage à l’UGC du Westfield Les 4 Temps ce mardi 22 septembre pour y présenter en avant-première son film « Parents d’élèves » qui doit sortir en France le 7 octobre prochain. Elle sera accompagnée par Vincent Dedienne et Camélia Jordana, deux des acteurs du film. La projection débutera à 20h30.

Mettant en scène Vincent Dedienne, Camélia Jordana et Oscar Pauleau, cette comédie suit Vincent (Vincent Dedienne), trentenaire sans enfant qui va infiltrer une tribu aux codes et au langage mystérieux : les parents d’élèves. Il va alors se retrouver aux réunions parents-prof, aux sorties d’école et à la kermesse de fin d’année. Une présence étonante mais Vincent a une très bonne raison d’être là et finit même par se sentir bien dans cette communauté un peu spéciale…

Pour assister à cette séance il est préférable de réserver ses places dès maintenant sur le site d’UGC.