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samedi 24 mai 2025
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Le torchon brûle entre le promoteur Hermitage et Paris La Défense

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Le projet des tours Hermitage Plaza - DR

« Le Projet n’est ni enlisé, ni enterré, ni bloqué par des soi-disant non-prorogations », a juré ce mardi le promoteur Hermitage tandis que la perspective de voir un jour sortir de terre ses deux tours géantes semble s’éloigner. Alors qu’il y a tout juste onze ans, Emin Iskenderov, un jeune promoteur russe dévoilait fièrement au Mipim à Cannes son méga projet, avec la bénédiction de l’Epadesa, l’aménageur de La Défense (devenue en 2018 Paris La Défense), depuis l’entente a volé en éclat entre les deux parties.

Empêtré dans une flopée de recours en tous genres déposés au fil des années par les opposants aux tours jumelles, le promoteur russe n’a jamais pu débuter son projet, prévu à l’origine pour 2014. Désormais débarrassé des recours, les permis de démolir et construire du promoteur feraient face à de nouvelles difficultés. Selon l’élue de Courbevoie, Ghislaine Guessous (EELV) Jacques Kossowski (Les Républicains), maire de Courbevoie aurait refusé de proroger des permis de démolir.

Une information que dément farouchement le groupe russe. « Tout est faux. Le projet bénéficie de huit permis de démolir qui sont tous valides et dont les deux premiers ont déjà été mis en œuvre, affirme Hermitage. Les autres seront mis en œuvre au fur et à mesure des besoins et bien évidemment à l’intérieur de leur période de validité ». Si Emin Iskenderov ne dément pas un refus de prolongement de certains permis de démolir par la ville de Courbevoie il se justifie. « La prorogation c’est dans un scenario alternatif envisagé en 2019, dans l’hypothèse d’un démarrage plus éloigné, qu’Hermitage avait engagé l’année dernière le dépôt de nouveaux permis de démolir par précaution. Les travaux correspondants ayant pu être lancés plus rapidement, ces demandes n’ont pas été conduites jusqu’au bout et se sont naturellement soldées par un rejet. C’est un aspect purement matériel d’une procédure qui était devenue superfétatoire, et qui ne met en rien fin au projet », se défend Hermitage qui indique par ailleurs que ses permis de construire restent valables jusqu’en mars 2024.

Hermitage met en demeure Paris La Défense

Si Emin Iskenderov réfute tout « refus politique » ou de parler d’une « perte de soutien » émanant du maire de Courbevoie, candidat à sa réélection, il ne cache en revanche pas être en conflit ouvert avec Paris La Défense et plus particulièrement sa directrice et son président. Depuis deux ans le divorce est en effet prononcé entre l’établissement public et le promoteur. Symbole de cette rupture, Paris La Défense avait retiré l’année dernière les deux tours jumelles de sa grande maquette du quartier d’affaires.

Face à l’enlisement du projet et à la détérioration des actuels Damiers (Infra, Anjou et Bretagne), trois immeubles de logements devant être détruits pour laisser place à ce méga projet, l’aménageur Paris La Défense avait déclaré en juin 2019 par le biais de sa directrice Marie-Célie Guillaume que le « projet était terminé ». De quoi faire bondir Emin Iskenderov. « Elle dit n’importe quoi », s’agace-t-il.

L’objet de cette brouille fait suite aux propos de Patrick Devedjian, le président de Paris La Défense et des Hauts-de-Seine qui avait réclamé un an auparavant, en juin 2018 une trentaine de millions d’euros au promoteur pour compenser « une immobilisation d’une durée anormalement longue » du terrain. Paris La Défense affirmait alors qu’il était prévu selon un échéancier qu’au 30 juin 2018, Hermitage verse 30 millions d’euros à l’établissement et que pas « un centime [n’avait] été versé ».

Sauf que pour Emin Iskenderov là encore « c’est faux ». « Il n’y a aucun protocole qui dit que l’on doit payer quelque chose, martèle Emin Iskenderov. C’est à la signature de la promesse de vente (des droits à construire, ndlr) que l’on payera ». Et pour l’homme d’affaires la somme n’est pas de 30 millions d’euros mais de 22 millions d’euros. Une somme qui correspond à 10 % du montant des droits à construire fixés à 228 millions d’euros à l’époque avec l’aménageur. Toujours selon lui le protocole reste valable jusqu’au 19 juin prochain.

« Seul le conseil d’administration de Paris La Défense est habilité à se prononcer sur la validité et les modalités d’exécution de ce protocole, sous le contrôle du Préfet de la Région Ile-de-France qui supervise cet établissement public pour le compte de l’État. Il est intéressant de remarquer que le conseil d’administration de Paris La Défense n’a jamais été saisi de demande de cette nature et qu’ainsi ni son président, ni sa directrice générale ne sont habilités à faire les déclarations qu’ils ont faites en l’occurrence en violation de leurs mandats et à l’opposé des intérêts de leur établissement », affirme Hermitage.

Emin Iskenderov qui n’a pas dit son dernier mot affirme désormais avoir mis en demeure le 19 février Paris La Défense d’exécuter le protocole du projet Hermitage Plaza. Ce protocole avait été signé en grande pompe à Saint-Pétersbourg (Russie) le 19 juin 2010 entre Emin Iskenderov et Philippe Chaix, alors président de l’Epad et Joëlle Ceccaldi-Raynaud, la présidente de l’époque de l’aménageur, le tout sous les regards bienveillants de Dimitri Medvedev, président de la Russie à ce moment-là et de l’ancien président français Nicolas Sarkozy.

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Hermitage dit désormais exiger que Paris La Défense applique au « plus vite [ses] obligations contractuelles en signant enfin les promesses de vente prévues, sous peine naturellement de dommages et intérêts très substantiels pour cet établissement puisque chiffrés à plus d’un milliard d’euros à l’heure actuelle ». Une mise en demeure qu’Hermitage explique avoir mis en en copie à tous les administrateurs de Paris La Défense ainsi qu’au Préfet de la région Ile-de-France, au Préfet des Hauts-de-Seine, à plusieurs membres du Gouvernement et enfin à la Cour des comptes de la République.

Un objectif fixé toujours pour 2024

Le promoteur semble aussi s’agacer des futurs plans de Paris La Défense. « Des informations ont mentionné que le président de Paris La Défense aurait dû dévoiler au Mipim à Cannes (maintenant reporté début juin en raison du Coronavirus, ndlr) d’autres projets sur ce site. C’est encore une manipulation des pouvoirs et des faits. Là-encore, une telle éventualité serait en totale violation des statuts de l’établissement Paris La Défense », martèle le groupe immobilier. Pour Hermitage « une présentation officielle d’un autre projet sur ce site ne pourrait intervenir qu’à la suite d’une décision du conseil d’administration qui l’aurait validée et seulement si ce dernier avait préalablement été amené à valablement résilier le protocole en cours sur ce site ».

Quant au sujet de l’acquisition des trois immeubles des Damiers (Infra, Bretagne et Anjou) auprès de RATP Habitat (ex Logis Transports), l’actuel propriétaire, Emin Iskenderov promet que l’opération financière se fera dès lors que les travaux de curage et désamiantage des bâtiments seront terminés d’ici quelques mois. Le groupe immobilier assure également être « pleinement propriétaire de plusieurs lots et plusieurs droits sur ce site ».

Dans ces immeubles de la discorde il ne reste désormais plus que deux locataires au sein de l’Anjou, assure le promoteur. Une partie des anciens occupants du bâtiment Bretagne avaient été expulsés en septembre 2018 à l’issue de nombreuses procédures juridiques.

Enfin sur le dossier du financement de ce projet chiffré entre 2,5 et 3 milliards d’euros, Emin Iskenderov a confirmé avoir contracté un prêt auprès du groupe coréen Meritz pour un montant de 267 millions d’euros (et non 227 millions d’euros, comme l’avait dévoilé le magazine Challenges, information que nous avions reprise) ainsi que mandaté la banque française Natixis pour l’aider à trouver les milliards restants. Car c’est bien l’aspect financier qui a toujours semé le doute. Le promoteur n’a jamais réellement réussi à trouver des partenaires. Quand Hermitage avait semble-t-il trouvé un accord avec la banque russe Sberbank en 2011, tout était tombé à l’eau peu de temps plus tard. Jusqu’à présent Emin Iskenderov s’était toujours refusé à détailler son tour de table et surtout à donner le nom de ses investisseurs.

Si plus grand monde ne semble croire à ces deux tours géantes de deux fois 320 mètres, Emin Iskenderov d’un éternel optimisme certifie qu’elles seront livrées en 2024 pour accompagner les Jeux Olympiques de Paris et l’ensemble l’année suivante en 2025. Pour mener ce chantier titanesque Hermitage entend s’appuyer sur le géant du BTP, le groupe Bouygues, partenaire financier minoritaire.

Ces deux tours jumelles conçues par l’architecte anglais Norman Foster doivent, si un jour elles venaient à être construites, abriter des appartements de luxe, un hôtel cinq étoiles, des bureaux, des restaurants et bars panoramiques ou encore un centre de thalasso. A leur pied plusieurs petits bâtiments prendront place avec comme programmation des logements étudiants et une galerie commerciale.

Vieux de plus d’une décennie, le projet Hermitage, véritable arlésienne n’a pas fini de faire parler de lui…

CeGeREAL, le propriétaire de la tour Europlaza affiche une forte croissance

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Avec uniquement cinq immeubles dans son patrimoine, CeGeREAL, l’une des plus petites foncières françaises cotées à la bourse de Paris a annoncé de solides résultats financiers pour l’année 2019. La foncière a enregistré une forte progression de ses revenus locatifs de 19,5 % pour atteindre 63,4 millions d’euros au 31 décembre 2019 avec une contribution de 9,9 millions de l’immeuble Passy Kennedy acquis en décembre 2018.

Fin 2019, le patrimoine de CeGeREAL était valorisé à 1,464 milliard d’euros et le taux d’occupation enregistrait un niveau de 96,9 %, a indiqué l’entreprise dans son rapport annuel. La tour Europlaza, deuxième bâtiment le plus important du portefeuille de CeGeREAL en termes de surface avec ses 52 100 mètres carrés est à ce jour le seul des actifs de la foncière à ne pas afficher complet avec un taux de remplissage de 89 %.

Le gratte-ciel de La Défense abrite actuellement plusieurs entreprises dont KPMG qui s’est récemment étendu mais aussi Software AG, BforBank ou encore l’ABE, l’agence bancaire européenne, implantée depuis l’an passé.

De nouveaux locataires pour de petites surfaces

« Dans Europlaza on a fait des transactions avec des utilisateurs que l’on imaginait pas à La Défense. On voit des sociétés arrivées de Paris », explique Olivier Marguin, responsable de l’asset management chez CeGeREAL. Alors qu’il y a encore quelques années CeGeREAL comme les autres grands propriétaires de tours ambitionnait d’accueillir des sociétés prenant des surfaces importantes de plus de 5 000 mètres, aujourd’hui la donne a changé. « Le marché de La Défense sera actif entre zéro et 5 000 mètres carrés. On accepte de diviser nos plateaux pour trois ou quatre locataires même si en termes d’asset management ça prend un peu plus de temps », rajoute Olivier Marguin.

Un changement de cap qui semble fonctionner pour la foncière puisque l’année dernière plusieurs nouvelles transactions ont été signées dans la tour Europlaza pour des surfaces intermédiaires de moins d’un millier de mètres carrés. Parmi elles on retrouve celles d’Atixis et Neoptim mais aussi de la célèbre marque de jeux vidéo Nintendo qui va bientôt implanter dans Europlaza son siège français. Pour les surfaces encore vacantes dans l’édifice, soit un peu plus de 5 000 mètres carrés, 3 000 mètres carrés feraient l’objet de « discutions avancées ».

Sous une pluie battante les premiers arbres des Groues ont été plantés

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Patrick Jarry, le maire de Nanterre a planté ce dimanche avec Marie-Célie Guillaume, la directrice générale de Paris La Défense le tout premier arbre de la pépinière "Vive les Groues" - Defense-92.fr

On dit que la pluie a du bon pour faire ses plantations. Et bien pour planter les premiers arbres des Groues, les jardiniers ont été servis ! Sous une pluie battante et ininterrompue, le maire de Nanterre, Patrick Jarry (Divers Gauche) a mis en terre ce dimanche en milieu de journée avec Marie-Célie Guillaume, la directrice générale de Paris La Défense le tout premier arbre, un Prunus Avium dans la pépinière de Vive les Groues.

Cet arbre inaugural comme les 139 autres de divers espèces (Acer Campestre, Corylus Avellana, Zelkova Serrata,…) plantés ce dimanche sont destinés dans les prochaines années à venir verdir le quartier des Groues en pleine transformation.

« Planter des arbres ici et les faire pousser ; c’est même arbres qui vont venir créer la trame verte du quartier ça une logique environnementale évidente. On parle beaucoup de circuit court, ici on est dans un circuit très court, s’est réjouie Marie-Célie Guillaume. Au-delà de ça, il y a une valeur symbolique très forte puisque ça permet d’associer les habitants et les utilisateurs, ceux qui fréquentent ce site et y passent et de tisser cette relation ».

Pour veiller sur ces jeunes arbres c’est l’association Yes We Camp qui est aux manettes et pilote le projet Vive les Groues depuis son ouverture en 2018 sur une ancienne friche. « Avec notre partenaire TN+ on a dû dépolluer le terrain, puis le fertiliser, explique, Dickel Bokoum, chargée de projet à Yes We Camp. C’est vraiment une micro-pépinière. Mais l’idée c’est que d’ici deux à cinq ans les arbres aillent dans les futurs espaces publics ». Dès l’automne 2022 et jusqu’à la fin 2024, ces jeunes pousses iront ainsi embellir le quartier des Groues. « Ici on a la capacité de planter 2 000 arbres par roulement », ajoute Dickel Bokoum.

Deux grands nouveaux parcs reliés par une coulée verte

Heureusement il n’y aura donc pas que du béton dans le nouveau quartier des Groues. Deux grands parcs sont programmés : le Jardins des Rails (situé au niveau du secteur Hanriot, là où se trouve des voies ferrées désaffectées) et le Parc de la Gare (situé près de la future gare de Nanterre Eole et de la ligne 15 du Grand Paris Express), là où se trouve en partie l’actuelle pépinière de Vive les Groues. Ces deux espaces verts seront reliés l’un à l’autre par une grande coulée verte d’environ 800 mètres de long baptisée « Le Balcon ». A terme ce sont des centaines d’autres arbres, certains issus de la pépinière de Vive les Groues qui viendront agrémenter ces espaces verts mais aussi les rues des Groues.

Patrick Jarry, candidat à sa réélection à la mairie de Nanterre s’est félicité de cette plantation symbolique marquant en quelques sorte le lancement du renouveau des Groues, surnom le « onzième quartier de Nanterre ». « Je suis très heureux que l’on cherche à préfigurer un nouveau quartier, a confié Patrick Jarry. Ce quartier était totalement isolé par des voies de chemins de fer ». Opposé au premier projet initial de l’Epadesa (l’ancien aménageur de La Défense, fusionné en 2018 avec Defacto pour former Paris La Défense) qui visait à détruire l’intégralité des Groues, l’édile a souligné l’importance de garder la poignée d’habitants actuels du quartier et certaines entreprises, parfois singulières comme la scierie, avec les nouveaux projets immobiliers de l’aménageur.

Ce vaste territoire de 65 hectares va d’ici à 2030 se métamorphoser. 288 000 mètres carrés de programmes de logements vont être bâtis ainsi que 210 000 mètres carrés de bureaux, dont 74 000 mètres carrés dédiés au nouveau siège de Vinci, l’Archipel. En tout ce sont 10 400 nouveaux habitants et 12 000 nouveaux salariés qui sont attendus aux Groues au cours de cette décennie.

La carte du projet de réaménagement des Groues à Nanterre – Paris La Défense

Quand la verdure grignote la dalle en béton de La Défense

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Paris La Défense a ouvert ce mardi la première tranche de son projet du « Parc » - Defense-92.fr

Petit à petit l’esplanade se verdit. Après de longs mois de travaux, Paris La Défense a ouvert ce mardi la première tranche de son projet du « Parc ». Sur un millier de mètres carrés l’aménageur a fait la part belle à la verdure. Fini les grandes dalles en béton gravillonné, désormais 365 mètres carrés de gazon tapissent ce lieu autrefois minéral très prisé durant les beaux jours par les salariés pour leur pause déjeuner. Cette pelouse avait d’ailleurs été symboliquement déroulée en janvier dernier par quelques habitants et salariés du quartier d’affaires.

A ce grand rectangle vert s’ajoutent huit autres rectangles plus petits -totalisant tout de même 110 mètres carrés- composés de diverses plantations de bulbes avec des plantes persistantes et des variétés du bassin parisien. Le béton n’a cependant pas totalement disparu. Les zones de passage sont désormais équipées de dalles en béton plus clair.

A terme sept hectares de l’esplanade seront végétalisés

Pour mener ce verdissement Paris La Défense s’est entourée de l’Atelier Foïs. L’agence a dû faire face à quelques difficultés techniques. Car il n’a pas fallu simplement retirer les anciennes dalles de béton et déverser de la terre. Entre la grande dalle de béton et les petites dalles de bétons il a fallu combler de 50 centimètres à 1,50 mètre de vide par du polystyrène, un matériau peu couteux et léger. Et comme pelouse et plante ne poussent pas sur cette matière, une couche de substrat léger composé d’un mélange de débris de parpaings en béton cellulaire, de sciure de bois et de tourbe a été déversé.

Paris La Défense va maintenant poursuivre son programme de végétalisation de l’axe historique. En attendant des travaux plus lourds, l’établissement va s’atteler à apporter toujours plus de verdure entre le futur complexe de restauration Table Square devant ouvrir dans quelques semaines et la Place Basse déjà végétalisée en 2016. A terme avec Le Parc ce sont quelques sept hectares de dalle qui doivent être végétalisés du Bassin Takis à la Fontaine Agam.

Ce weekend la mode s’invite au Westfield Les 4 Temps avec l’influenceuse Léna Situations

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Le Westfield Les 4 Temps organisera ce weekend un défilé de mode avec l’influenceuse Léna Situations - Defense-92.fr

Un peu moins d’un an après son premier défilé, la mode sera de nouveau à l’honneur ce weekend au Westfield Les 4 Temps. Le centre commercial de La Défense organisera ce samedi 7 et dimanche 8 mars, un « fashion show » ouvert à tou.te.s, dans une décoration sauvage sur le thème du safari.

Le temple du shopping promet de plonger ses visiteurs en plein cœur de la savane pour découvrir « un véritable défilé de mode et des animations exceptionnelles ». Au programme : des mannequins défileront chaque jour à 14 heures, 16 heures et 18 heures avec les créations de plusieurs marques de prêt-à-porter du centre sponsors de l’événement (Swatch, Claudie Pierlot, Timberland, Aigle, Bompard, Izac, Doc Martens, Vans, Michael Kors, Mango, Gérard Darel et Etam) au coeur d’une décoration immersive et végétalisée, rappelant la savane, et sur la bande son mixée par un DJ. Au premier rang, les visiteurs pourront reconnaître l’influenceuse Lena Mahfouf, partenaire de ce weekend de mode.

Entre les défilés les clients pourront retrouver des ateliers de customisation, corners make up et nails art, expériences DIY… « L’imprimé animal sera de mise pendant ce weekend placé sous le signe de la mode et de la beauté ! », explique un communiqué du centre commercial.

L’animation gratuite se déroulera à la Clairière du centre commercial.

L’animation gratuite se déroulera à la clairière du centre – Defense-92.fr

Top 14 : le Racing 92 atomise La Rochelle 49 à 0

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Le Racing 92 a remporté 39 à 0 la rencontre face à La Rochelle - Defense-92.fr

C’est une véritable correction qu’ont infligé les Racingmen aux rochelais. Pourtant troisième au classement du Top 14 les joueurs du Stade Rochelais ont été pulvérisés par ceux du Racing (49 à 0) ce samedi après-midi à la Paris La Défense lors de la 17ème journée du Top 14.

Face à des Ciel & Blanc en pleine maitrise du ballon, les rochelais n’ont rien pu faire et n’ont pas enregistré le moindre essai ni pénalité. En revanche les Racingmen ont réalisé un festival d’essais. Ils en ont marqué sept en tout (T.Baubigny 7’, F.Russell 16’, D.Laborde 40’, O.Klemenczak 44’, F.Sanconnie 60’, M.Machenaud 71’ et H.Kolingar 78’), dont quatre transformés (T.Iribaren 16’ et 41’ et M.Machenaud 61’ et 72’). A cela s’ajoutent les deux pénalités (T.Iribaren 14’ et 28’) dont le Racing 92 a bénéficié.

Courez, marchez, dansez, escaladez,… mais surtout aidez Action Contre la Faim

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La prochaine édition du Challenge Contre la Faim se déroulera le le 5 juin prochain à La Défense - Defense-92.fr

Une journée de solidarité, de sport et de bonne humeur. Le 5 juin prochain aura lieu à La Défense la treizième édition du Challenge Contre la Faim, la levée de fond sportive d’Action Contre la Faim (ACF) lancée pour la première fois dans le quartier d’affaires en 2008. Cette année le principe ne change pas et les salariés auront le choix pour apporter leur solidarité à l’ONG. En plus de la traditionnelle course il sera toujours possible de s’adonner à la marche, au yoga, à la zumba, à l’escalade, au training box et même au mölkky.

Pour les deux courses solidaires tout est toujours pareil : une boucle d’un kilomètre sera tracée sur le parvis de La Défense autour de la Grande Arche. Pour chaque kilomètre parcouru par les salariés durant 1h30, leur entreprise s’engage à reverser 15 euros à ACF en plus des 10 euros de frais d’inscription. Par exemple, en parcourant cinq kilomètres, l’entreprise s’engage à reverser 85 euros à l’ONG. Pour la marche le principe est identique mais la boucle sera de 650 mètres.

Ceux qui ne souhaitent pas courir ou marcher pourront s’adonner au yoga, à la zumba, à l’escalade, au training box et au mölkky durant 1h30. Toutes les 6 minutes de participation d’un salarié son entreprise s’engagera à reverser 15 euros à ACF en plus des 10 euros de frais d’inscription.

Comme toujours deux sessions seront proposées. La première se déroulera de 13 heures à 14h30 et la seconde de 15h15 à 16h45. La journée s’achèvera alors vers 17 heures avec l’annonce des résultats et des dons collectés.

Avec son Challenge Contre la Faim, ACF avait accueilli l’an passé sur le parvis de La Défense près 3 600 salariés venus d’une centaine d’entreprises dont Amundi, HSBC, BforBank, Marsh, Lagardère, Hauts-de-Seine Habitat, Euler Hermes ou encore Dalkia. Leur mobilisation avait ainsi permis à l’association de récolter 880 000 euros. « Grâce à leur mobilisation, ce sont 4 400 enfants, atteints de malnutrition aiguë sévère, la forme la plus grave de sous-nutrition, qui ont ainsi pu être soignés par les équipes d’ACF », explique l’association.

Pour inscrire votre entreprise au Challenge contre la faim vous avez jusqu’à une semaine avant l’événement et vous devez vous rapprocher de votre service du personnel, service communication, CE,… Les salariés pourront eux s’inscrire jusqu’au jour J directement sur place. Si votre entreprise n’est pas inscrite à la course vous pouvez vous rendre sur le site du Challenge Contre la Faim ou contacter Cathy Gabrielczyk au 01 70 84 71 03.

L’immeuble Dreamview certifié HQE Exceptionnel et BBC Rénovation

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L’immeuble Dreamview à Nanterre a été labélisé HQE Exceptionnel et BBC Rénovation - Defense-92.fr

Une double certification pour l’immeuble Dreamview. Artea qui a porté le projet de restructuration de cet immeuble situé à Nanterre à deux pas des Terrasses et de la Paris La Défense Arena a annoncé avoir obtenu la double certification et labélisation « HQE Exceptionnel Réalisation » et « BBC Rénovation 2009 » pour l’immeuble Dreamview.

« L’obtention d’un niveau de certification maximum (Exceptionnel) témoigne de la qualité des produits Artea et du souci de développer des actifs bénéficiant des dernières normes environnementales », commente Artea dans un communiqué.

Entièrement occupé par l’assureur Groupama qui a fait de ce secteur de Nanterre son campus, l’immeuble avait été vendu en Vefa par Artea à Allianz Invest Pierre géré par Immovalor Gestion.

Une soirée de solidarité pour financer neuf associations

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Des salariés déjeunant près du bassin Takis - Defense-92.fr

Le Parvis Solidaire a besoin de vous. La Fondation Sainte-Geneviève, soutenue par l’établissement public Paris La Défense organisera le 5 mars prochain une soirée de crowdfunding pour aider financièrement neuf associations.

Pour les sélectionner, un concours a été organisé du 1er octobre au 15 novembre dernier. Le jury, composé de représentants d’entreprises ou de fondations, a eu la lourde tâche de n’en choisir que neuf*. Leur choix s’est porté sur une sélection de quatre critères à remplir dont « l’innovation et l’originalité du projet » ou encore « la pérennité du projet et la clarté de ses objectifs ».

Durant cette soirée caritative les représentants de ces neuf associations auront ainsi la chance de présenter leurs projets et de séduire les donateurs.

Pour s’inscrire à cette soirée en tant que donateur il est nécessaire de s’inscrire en se rendant sur ce site. Sans se rendre à cette soirée de crowdfunding il est possible d’ores et déjà de faire un don via le site du Parvis Solidaire.

*Les neuf associations sont : « La Maison de l’Amitié » de La Défense dont la mission est d’accueillir les personnes fragilisées de La Défense afin de recréer du lien social, de les accompagner et de concrétiser la solidarité entre tous ; « Visitatio », qui a pour but d’accompagner les personnes en situation de maladie grave ou de fin de vie et leur entourage ; « Bagageries solidaires 92 », qui met à disposition de personnes en situation de précarité un espace dédié au dépôt de leurs effets personnels ; « Les Tréteaux blancs » qui divertissent gratuitement des enfants contraints à des hospitalisations de longue durée ; « WKF – Wake up Café » dont la mission est de proposer un parcours pour la réinsertion complète des personnes détenues et sortant de prison ; « Réseau des parents » qui s’attèle au développement des Réseaux de Parents dans les communes ; « Le Chaînon manquant », dont la mission est la lutte contre le gaspillage et la précarité alimentaire en collectant et redistribuant des surplus alimentaires ; « Le réseau Entourage », qui permet l’inclusion sociale des personnes sans-abris en recréant des entourages citoyens bienveillants autour d’elles et « Le chemin de Pierre » dont le but est de créer des maisons partagées et développer des lieux d’échange et de répit.

WeWork va ouvrir un second centre de coworking à La Défense

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WeWork va ouvrir un second centre à La Défense dans le quartier Bellini - Defense-92.fr

WeWork tisse sa toile à La Défense. Alors que son centre géant de 14 000 mètres carrés annoncé l’été dernier dans l’immeuble des Collines de l’Arche, au pied de la Grande Arche n’est pas encore ouvert, le géant américain spécialisé dans le coworking s’apprête à lancer dans quelques mois un second centre dans le quartier d’affaires.

Plus petit avec ses 5 000 mètres carrés répartis sur trois niveaux, ce centre se situera à l’opposé de celui des Collines, dans le quartier Bellini. Ce WeWork qui promet d’offrir à ses futurs utilisateurs tous les standards de WeWork prendra place à deux pas de la station de métro Esplanade de La Défense dans les anciens bureaux d’Orange Business Services (OBS). L’immeuble situé au pied de la résidence Bellini fait l’objet d’une vaste restructuration depuis le départ d’OBS pour Cœur Défense avec notamment la pose d’une nouvelle façade.

« Ça n’a pas de sens de ne pas être à La Défense, confie Romain Allouch, directeur immobilier France à WeWork. Notre ambition, à La Défense c’est de se concentrer sur les grands comptes ». Si dans ces deux centres du quartier d’affaires WeWork entend donc attirer les grandes entreprises, les plus petites auront toute leur place et pourront s’établir à partir d’un poste pour un mois minimum. Moins premium sur son emplacement, le WeWork de Bellini proposera des postes moins chers que celui des Collines de l’Arche

Quant à l’immense centre WeWork des Collines de l’Arche son ouverture est programmée pour cet été.

L’arrivée de WeWork à La Défense avec deux centres va venir renforcer l’offre de coworking dans le quartier d’affaires où est déjà présent Wojo, Kwerk ou encore Spaces.

WeWork ouvrira en mai prochain un second centre à La Défense dans le quartier Bellini – Defense-92.fr