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lundi 30 juin 2025
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Coronavirus : Auchan va verser une prime de 1 000 euros à ses salariés

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Depuis le début du confinement le personnel de l’hypermarché Auchan du Westfield Les 4 Temps est mobilisé - Defense-92.fr

Avec la pharmacie et le bureau de tabac du centre, l’hypermarché Auchan est le dernier des commerces actuellement ouvert dans le centre Westfield Les 4 Temps. Les employés de l’enseigne qui sont en première ligne face au Coronavirus (Covid-19) vont recevoir un joli cadeau. Le groupe français de distribution a annoncé ce dimanche dans un communiqué qu’il versera une prime de 1 000 euros à ses 65 000 collaborateurs pour leurs « mobilisations exceptionnelles ».

« Je tiens à remercier tous ceux qui ont parfaitement rempli notre mission de nourrir les français. Nous vivons une crise exceptionnelle et leur engagement est exceptionnel ! Cette prime de 1 000 euros est notre façon de reconnaitre la qualité de leur mobilisation au service des clients », a déclaré Edgard Bonte, président d’Auchan Retail.

Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie avait appelé vendredi dernier les entreprises à verser une prime défiscalisée à leurs salariés, notamment à ceux qui « ont eu le courage de se rendre sur leur lieu de travail » dans le contexte de l’épidémie de nouveau coronavirus.

Comme dans tous les autres points de vente du groupe, l’hypermarché Auchan de La Défense s’est adapté pour limiter la propagation de la pandémie. « Nous continuerons à assurer le ravitaillement des consommateurs, mais notre priorité est bien sûr de veiller à la sécurité et à la santé de nos équipes comme de nos clients, explique Edgard Bonte dans son communiqué. Des mesures de protection sont déjà en place dans l’ensemble de nos magasins : respect des gestes barrières, protection des caisses par du plexiglass, mise à disposition de gel hydroalcoolique, de masques et de gants, aménagement des horaires des magasins… ».

Le ministre de Bercy a rappelé que les entreprises qui souhaitent récompenser leurs salariés ont jusqu’au 30 juin prochain pour verser cette prime défiscalisée (jusqu’à 1 000 euros) sur laquelle ne pèsera pas de charges sociales.

Municipales 2020 : Joëlle Ceccaldi-Raynaud réélue dès le premier tour

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Joëlle Ceccaldi-Raynaud vient d’être réélue dès le premier tour des élections municipales - Defense-92.fr

Dès le premier tour. Alors que la France est frappée de plein fouet par la pandémie du Coronavirus (Covid-19), la maire sortante de Puteaux, Joëlle Ceccaldi-Raynaud (Les Républicains) vient d’être réélue ce dimanche soir dès le premier tour des élections municipales avec un score de 65,03 %. Sa liste obtient 36 élus. Face à elle se trouvait Emmanuel Canto (La république En Marche) avec 15,02 % des voix. Sa liste obtient trois élus tout comme celle de Vincent Dubail (13,29 % des voix). La liste de Francis Poezevara a récolté 6,64 des voix et obtient un élu.

Mais ces résultats sont à prendre avec beaucoup de précautions. L’incertitude d’un second tour dimanche prochain et son très probable report pourraient entrainer l’annulation de ce premier tour.

Municipales 2020 : Patrick Jarry repart pour un mandat

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Patrick Jarry (Gauche Citoyenne) vient d’être réélu dès le premier tour lors des élections municipales de 2020 - Defense-92.fr

A la tête de sa ville depuis 2004, Patrick Jarry (Divers Gauche) vient d’être réélu maire ce dimanche dès le premier tour des élections municipales qui se tenaient sur fond de la pandémie du Coronavirus (Covid-19). Mais la crainte de ce virus aura eu raison de la mobilisation où le taux d’abstention a atteint un taux record de 66,13 %.

C’est avec cette très faible mobilisation que Patrick Jarry a été réélu avec un score de 51,91 %. Il obtient 43 élus. Suivent Camille Bedin qui obtient 8 sièges avec 28,86 % des voix, Adam Oubuih (9,58 %), Rossana Morain (3,69 %), Fatia Bentot (2,05 %), Faouzi Ahamada (1,70 %), Laurent Strumanne (1,47 %) et José Adrien Eloundou (0,70 %).

Mais ces résultats sont à prendre avec beaucoup de précautions. L’incertitude d’un second tour dimanche prochain et son très probable report pourraient entrainer l’annulation de ce premier tour.

Municipales 2020 : le maire sortant Jacques Kossowski va se retrouver face à son ex-adjointe Aurélie Taquillain

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Jacques Kossowski se retrouvera pour le second tour face à son ex-adjointe Aurélie Taquillain - Defense-92.fr

Une élection avec un taux de participation extrêmement bas. Alors que le pays est touché de plein fouet par la pandémie du Coronavirus (Covid-19) se tenait ce dimanche le premier tour des élections municipales. Et le taux d’abstention a été record. Sur les 52 062 personnes inscrites sur les listes électorales, seules 19 977 personnes se sont rendues dans les bureaux de vote soit un taux d’abstention de 61,63 %.

A Courbevoie cinq listes s’opposaient dont celle du maire sortant Jacques Kossowski (Les Républicains) et celle de son ex-adjointe Aurélie Taquillain (La République En Marche). La liste de Jacques Kossowski (Fiers d’être Courbevoisiens) a récolté 45,42 % des voix et celle d’Aurélie Taquillain (Ensemble, agissons pour Courbevoie), 32,17 % des voix. Viennent ensuite les listes d’Alban Thomas (Tous Pour Courbevoie 2020) avec 9,38 % des voix ; de Ghizlaine Guessous (Alternative Courbevoie) avec 9,28 % et celle de Floriane Deniau (Une Nouvelle Voie pour Courbevoie) avec 3,73 % des voix.

Mais ces résultats sont à prendre avec beaucoup de précautions. L’incertitude d’un second tour dimanche prochain et son très probable report pourraient entrainer l’annulation de ce premier tour.

Paris La Défense réplique à la mise en demeure d’Hermitage

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Le projet des tours Hermitage - DR

La bataille s’intensifie entre Paris La Défense et le promoteur russe Hermitage qui porte depuis plus de dix ans son projet de tours jumelles. Dans un courrier que le site internet Business Immo s’est procuré, l’établissement public en charge de l’aménagement et la gestion du quartier d’affaires répond aux différentes accusations portées par les deux avocats du groupe immobilier. Fin février l’homme d’affaires avait mis en demeure Patrick Devedjian, président de Paris La Défense et Marie-Célie Guillaume la directrice, d’exécuter le protocole du projet Hermitage Plaza signé en en grande pompe le 19 juin 2010 à Saint-Pétersbourg (Russie).

Alors qu’Emin Iskenderov, le patron d’Hermitage ne cesse de répéter que son protocole est valable jusqu’au 19 juin prochain, Paris La Défense vient de lui répondre le 10 mars dernier dans un courrier de dix pages signé de ses avocats du cabinet Latournerie Wolfrom Avocats. « Conformément au mécanisme contractuel prévu par les parties, le protocole est éteint depuis le 30 juin 2018. Paris La Défense en a formellement informé Hermitage le 13 juillet 2018. Il a en outre confirmé cette position le 31 janvier 2019, puis, par notre intermédiaire le 12 novembre 2019 », réplique le cabinet d’avocat.

L’établissement continue d’affirmer le bien-fondé de sa demande de réclamer à Hermitage une indemnité de 30 millions d’euros. « Le protocole de 2010 a été modifié par avenant le 7 décembre 2011. Celui-ci prévoyait clairement le paiement d’une indemnité d’immobilisation de 30 millions d’euros au bénéfice de l’établissement en quatre versements selon un calendrier précis et indépendant de la signature des promesses », affirme le cabinet d’avocat qui explique que le « protocole n’est pas un contrat à durée déterminée expirant le 19 juin 2020 sans possibilité de sortie anticipée pour Paris La Défense. Cette date du 19 juin 2020 n’est ainsi pas le terme contractuel, mais la date butoir après laquelle aucun report du protocole n’est envisageable ».

Le cabinet d’avocats rappelle dans son courrier qu’Hermitage a formulé une demande de prorogation le 29 mai 2018. « Or, les conditions n’étant pas réunies à cette date Paris La Défense lui a indiqué par lettre du 13 juillet 2018, qu’il n’accédait pas à la demande », écrit le cabinet d’avocats de l’aménageur.

« Une mauvaise foi évidente »

Et les avocats de Paris La Défense rejettent une « soudaine paralysie » du projet depuis la création de Paris La Défense née en janvier 2018 du mariage de l’Epadesa et Defacto. « Lorsque Paris La Défense a été créé, les relations de l’Epadesa avec Hermitage étaient déjà dégradées faute pour Hermitage d’avoir répondu positivement aux demandes de l’établissement et respecté les échéances de paiement des premières tranches de l’indemnité d’immobilisation », affirment les défenseurs de Paris La Défense.

Dans son long courrier les avocats de l’aménageur retracent l’historique des relations avec l’homme d’affaires russe depuis janvier 2018. Les avocats n’hésitent pas à parler de « mauvaise foi évidente » d’Hermitage dans les rapports. « Le 25 septembre et 6 octobre 2017, Hermitage annonçait un paiement ‘au plus vite’ de l’échéance du 30 octobre 2017 mais réclamait un report en raison des règles bancaires internationales pouvant entrainer un retard de virement. Hermitage n’invoquait alors pas le caractère non définitif des permis, ni l’absence de signature des promesses. Le virement annoncé n’est jamais intervenu sans qu’aucune explication n’ait été donnée ».

Si à l’origine du projet, l’ex-Epadesa ne doutait pas vraiment des capacités financières d’Hermitage de mener à bien ce projet, depuis Paris La Défense n’y croit plus. « Hermitage est coutumier de communication jamais suivies d’effet, annonçant le financement ‘imminent’ du projet ou des ‘tours de table bouclés’. Cela est de notoriété publique parmi tous les professionnels de la place », s’offusque le cabinet d’avocat.

Alors qu’Emin Iskenderov a longtemps refusé de parler de « point mort » dans les échanges avec paris La Défense, l’établissement dit « s’être pleinement investi, de façon supérieure aux pratiques habituelles pour la réalisation du projet ». Et pour Paris La Défense, l’abandon du projet qui semble désormais inévitable est « entièrement imputable » à Hermitage.

L’affaire qui prend une tournure judiciaire va donc désormais se régler devant les juges. Paris La Défense dit « réserver la possibilité d’engager toute action pour obtenir une indemnisation à ce titre ». De son côté Emin Iskenderov qui dans sa mise en demeure réclamait plus d’un milliard d’euros de préjudice à Paris La Défense en cas de « non-respect du protocole » nous a confirmé qu’il lancera une offensive judiciaire contre l’aménageur.

A défaut de voir grimper les deux tours jumelles de deux fois 320 mètres dans le ciel parisien, l’affaire pourrait continuer à vivre de longues années encore mais devant les tribunaux.

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(annulé) Une soirée marathon « Sans un bruit » 1&2 à l’UGC de La Défense au CGR de Nanterre

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L'UGC de La Défense et le CGR de Nanterre organiseront ce mardi 17 mars une soirée spéciale à l’occasion de la sortie de « Sans un bruit 2 » - DR

En raison du Coronavirus la sortie du film « Sans un bruit » est repoussée par Paramount. Les deux marathons de l’UGC et CGR sont donc annulés.

Prêts à frissonner en silence ? A l’occasion de la sortie le 18 mars prochain de « Sans un bruit 2 », la suite de « Sans un bruit » sorti il y a tout juste deux ans, l’UGC du Westfield Les 4 Temps et le nouveau CGR de Nanterre proposeront aux fans du film une soirée spéciale. Les deux multiplexes projetteront le premier volet du film suivi du second en avant-première.

A l’UGC de La Défense la soirée débutera à 20 heures avec la projection en VOSTF du premier film (les places sont disponibles à trois euros). La diffusion du second film, toujours en VOSTF se fera à 22 heures à l’issue de la première séance. Les places sont vendues au tarif normal. Les réservations se font ici.

Au CGR de Nanterre la projection des deux films se fera en VF. Le premier volet sera projeté dès 17h40 dans la grande salle « ICE », mais sans « l’immersion ». Suivra le second volet à 19h40, toujours dans la salle ICE. Les deux séances sont proposées au tarif unique de 10 euros. Les réservations se font ici.

Signé une nouvelle fois du réalisateur John Krasinski, ce second volet met à l’affiche une nouvelle fois au casting Emily Blunt, Millicent Simmonds et Noah Jupe. On retrouve aussi dans ce nouvel épisode Djimon Hounsou.

Dans cette suite de « Sans un bruit », la famille Abbot doit faire face aux dangers du monde extérieur. Pour survivre, ils doivent se battre en silence. Forcés à s’aventurer en terrain inconnu, ils réalisent que les créatures qui attaquent au moindre son ne sont pas la seule menace qui se dresse sur leur chemin.

Pollution de la Seine : la filiale de Vinci écope d’une amende de 50 000 euros

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La filiale du groupe Vinci a été condamné à une amende de 50 000 euros après avoir déversé accidentellement du béton dans la Seine - Defense-92.fr

Un an à peine après avoir été révélée l’affaire est déjà passée devant les juges. En mars 2019, la Fédération de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne pour la Pêche et la Protection du Milieu aquatique (FPPMA) disait avoir découvert avec effroi d’importants rejets de béton dans la Seine émanant d’une centrale à béton de Dodin Campenon Bernard servant au chantier d’Eole. Pendant plusieurs mois cette filiale de Vinci avait déversé, accidentellement dit l’entreprise, une importante quantité de résidus de sables et ciments dans les berges du fleuve.

L’affaire qui avait fait grand bruit à l’époque a trouvé son épilogue ce mercredi 11 mars. La filiale du géant français du BTP vient d’être condamnée à une amende de 90 000 euros, dont 40 000 euros avec sursis. Cette décision avait été négociée au préalable avec le parquet dans le cadre d’une procédure de « comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité » validée par le tribunal de Nanterre qui a en revanche, pour raisons techniques, dû repousser les débats sur les dommages et intérêts au 18 septembre.

Si la justice est passée rapidement, la Fédération Nationale de la Pêche à l’origine de cette découverte estime la sanction dérisoire. « 90 000 euros, ça ne représente au final pas grand-chose au regard du préjudice environnemental dont cette entreprise est responsable. Il ne faut pas oublier qu’à cet endroit de la Seine, c’est toute une faune qui a disparu », a confié un agent de développement de la FPPMA au Parisien.

La fédération est d’autant plus agacée de la sentence qu’elle dit ne jamais avoir été entendue par le procureur alors que c’est grâce à elle que l’affaire avait été révélée. C’est lors d’un contrôle de routine que le 19 mars 2019  la fédération s’était rendue compte des dégâts et avait donné l’alerte.

Une amende qui laisse un goût amer à l’AFPPMA

Si du côté de la fédération de pêche et de protection des milieux aquatiques on peste  contre la condamnation, chez Vinci la décision est saluée. « Le tribunal a constaté, comme le parquet, que ce déversement était accidentel et que ses effets étaient limités sur une surface de 25 mètres carrés », s’est réjoui Me Philippe Goossens, l’avocat de la filiale de Vinci, auprès de nos confrères du Parisien.

L’issue de cette affaire laisse comme un goût amer pour l’AFPPMA qui accuse la filiale de Vinci d’avoir délibérément « creusé une fosse, réalisé une rigole en direction de la Seine et installé une pompe » mais aussi « démonté » une partie du grillage pour faciliter l’écoulement des boues.

L’avocat Me Laurent Bennarous qui représentait plusieurs associations environnementales, constituées parties civiles dans ce dossier, s’est agacé que la justice ait retenu le « caractère involontaire », d’après le Parisien. « Les constats réalisés sur place par les associations montraient de façon évidente que ce déversement de béton était au contraire parfaitement volontaire, appuie-t-il. Le tout sur une durée de dix-huit mois ».

Des accusations qu’avait vivement rejeté le président du groupe Vinci, Xavier Huillard lors de son audition le 29 mai 2019 par la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable du Sénat. Le numéro un du BTP français s’était alors défendu en expliquant que ces rejets de résidus de béton étaient dûs à un trop-plein des cuves de décantation.

Pendant les pauses déjeuner elle dévalisait les bureaux des salariés

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La voleuse a été mise en examen pour avoir durant huit ans écumé les bureaux de La Défense - Défense-92.fr

Sa stratégie était bien rodée. Une femme de 38 ans vient d’être mise en examen pour avoir, durant huit ans, volé des salariés du quartier d’affaires durant leurs pauses déjeuners, rapporte Le Parisien. Surnommée la « Belphégor de La Défense », la voleuse avait une technique bien huilée. Entre midi et deux cette trentenaire profitait de l’absence des salariés de leurs bureaux et d’une vigilance plus faible des vigiles pour s’introduire malgré les portillons de sécurité dans les tours de La Défense afin de faire ses emplettes. Téléphone portable, carte bancaire, chéquiers, tout ou presque y passait comme le précise le quotidien.

L’affaire débute en 2012 lorsque le commissariat de Puteaux reçoit de nombreuses plaintes de salariés disant avoir été détroussés de leurs affaires sur leur lieu de travail durant les pauses déjeuners. Rapidement les policiers comprennent le stratagème de la voleuse. Mais la jeune femme ne s’arrête pas à quelques objets dérobés. Elle se sert de papiers d’identité chapardés pour ouvrir des crédits à la consommation.

Comme le détaille Le Parisien, la voleuse est rapidement identifiée grâce aux nombreuses caméras de surveillances présentes dans les halls des différentes tours qu’elle visitait. Son portrait est diffusé dans les commissariats du secteur de La Défense, puis de façon plus large. Une suspecte connue pour des faits similaires est arrêtée en 2015 puis rapidement relâchée car mise hors de cause. Les enquêteurs repartent à zéro et pendant ce temps-là l’hécatombe s’intensifie. Très à l’aise et sûre d’elle, la trentenaire accroit ses vols en 2016 faisant des dizaines de victimes.

L’affaire prend fin en février dernier

Jamais rassasiée, la femme va jusqu’à s’introduire en janvier 2019 au sein de l’Hôtel départemental des Hauts-de-Seine. Mais ce vol est celui de trop pour cette cleptomane. Les enquêteurs parviennent enfin à la tracer jusqu’au magasin Ikea de Franconville (95) où elle va faire des achats avec le produit de ses vols. La police ne la lâche plus et la lie à une Volkswagen Touran appartenant à sa sœur, déjà connue des services de police, précise Le Parisien.

Clairement identifiée, les enquêteurs découvrent alors que la femme est plus qu’une simple voleuse. Ils remontent jusqu’à Lille (59) où elle mène de nombreuses escroqueries. Grace aux papiers d’identités dérobés elle y ouvre de nombreux comptes bancaires pour y percevoir des allocations familiales. Ses comptes bancaires fantômes lui servent aussi pour arnaquer des organismes de crédit où elle laissera des ardoises de 18 000 et 5000 euros.

Mais la femme très mobile est difficile à localiser. L’affaire prend finalement fin un an plus tard, le 26 février dernier quand les policiers frappent à la porte de son domicile de Montfermeil (93). Chez elle c’est un peu la caverne d’Alibaba. Une foison d’objets sont retrouvés comme des sacs, des vêtements ou des bijoux mais aussi des badges d’accès et des documents d’identités. Pour sa défense, la femme confie aux forces de l’ordre que son activité est « alimentaire ». Pourtant le chiffre d’affaire de ses larcins avoisine les 100 000 euros et son pavillon est en plein travaux d’embellissement.

Cette mère de famille qui vivait avec son compagnon, un cariste, touchait officiellement 1 200 euros par mois de la Caisse d’Allocation Familiale. La voleuse n’était pas à son coup d’essai puisqu’elle avait, toujours selon Le Parisien, déjà été condamnée à huit reprises depuis 2005 pour vol, recel, escroquerie et falsification de chèques. Elle était d’ailleurs encore sous le régime de la mise à l’épreuve après avoir écopé d’une peine de deux ans de prison dont 18 mois avec sursis. Ses huit ans de vols l’ont finalement conduite à sa mise examen le 28 février 2020.

Gregory veut savoir qui l’a percuté avec sa trottinette en voiture

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L'accident s’est produit rue du Capitaine Guynemer à Courbevoie - Defense-92.fr

Le choc a été très violent et Gregory ne se rappelle plus de grand-chose. Il était entre 22 heures et 23 heures, ce jeudi 5 mars quand ce jeune homme de 27 ans venait de quitter un restaurant du quartier d’affaires. Au guidon de sa nouvelle trottinette électrique cet habitant de Courbevoie s’apprête à rentrer chez lui et emprunte la rue du Capitaine Guynemer à Courbevoie en venant de La Défense.

Même si l’homme dit ne plus se rappeler de grand-chose, il se souvient d’avoir été percuté par une voiture sombre qui quittait son stationnement. « Je l’ai tapé au niveau du capot », explique-t-il. « Je pense être resté inconscient. Quand je me suis relevé, en rouvrant les yeux, j’ai vu les phares de la voiture. L’automobiliste devait attendre, c’est comme ça que je le déduis, puis la personne a alors pris la fuite », poursuit Grégory.

Choqué ce mécanicien en motos se relève et remonte sur sa trottinette pour rejoindre sa compagne. Mais c’est une fois rentré chez lui que la victime se rend de compte des dégâts qu’il a subis. L’homme appelle les pompiers qui l’amènent faire des scanners et des IRM à l’hôpital Beaujon de Clichy. Et le bilan est lourd pour lui. Il en ressort qu’il a subi une triple fracture des mandibules et du menton. L’homme va devoir se faire opérer à l’hôpital d’Instruction des Armées Percy à Clamart ce mercredi.

Aujourd’hui Gregory veut savoir qui l’a percuté, c’est pour ça qu’il a décidé de porter plainte et recherche d’éventuels témoins de l’accident. Mais le peu de souvenirs qu’il a de l’accident et l’absence de caméras vont rendre la tâche des enquêteurs très difficile. « Vu le traumatisme que j’ai subi, il m’a été impossible de leur donner assez de description sur le coloris de la voiture, le modèle ainsi que l’immatriculation », lâche Grégory. « Pour moi on ne va jamais retrouver la personne », regrette ce natif de Courbevoie.

Les éventuels témoins de l’accident peuvent contacter le commissariat de Courbevoie.

Izivia met à l’arrêt sa borne de recharge pour voitures électriques de La Défense

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La borne Izivia de l’avenue de l’Arche à Courbevoie est désormais à l’arrêt - Defense-92.fr

Elle ne rechargera plus votre voiture électrique. La borne de recharge rapide 50 kW d’Izivia (ex Sodetrel), située dans le quartier du Faubourg de l’Arche, avenue de l’Arche à Courbevoie a été mise à l’arrêt fin février par cette filiale d’EDF suite à des problèmes techniques intervenus sur d’autres bornes similaires. Inaugurée fièrement par l’entreprise en octobre 2015, cette borne située dans la même rue que le siège d’Izivia faisait partie du réseau Corri-Door. Un réseau français désormais bien affaibli puisqu’Izivia a stoppé 189 de ses bornes sur les 217 existantes.

Ces bornes avaient été coupées du courant le 7 février dernier par « principe de précaution », explique Izivia qui est en conflit avec le fabricant. « En effet, à la suite de deux incidents d’ordre technique, des risques de sécurité étaient apparus sur deux bornes d’un même fabricant. Ceux-ci ont été confirmés par un bureau d’études certifié et indépendant, détaille Izivia sur son site internet. Ainsi, contrainte de prendre les décisions pour éviter tout risque potentiel, Izivia a décidé de ne pas remettre en service les bornes qui ont été arrêtées et dont elle est propriétaire sur le réseau Corri-Door. Et ce de manière définitive ».

Toutes les bornes concernées par cette défaillance seront retirées selon un calendrier qui sera défini prochainement, précise Izivia. L’entreprise devrait à terme remplacer certaines bornes qui n’ont pour l’heure pas encore été définies. Le réseau Corri-Door conservera au total 40 à 50 bornes dont les 28 bornes d’un autre fabricant qui continuent et continueront à assurer leur service. « Tous les clients du Pass Izivia sont informés de ces évolutions par emailings, explique Izivia. Pour pallier ce désagrément, nos clients ayant souscrit aux formules Zen et Premium du Pass Izivia ont reçu une proposition d’évolution de leur abonnement.