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Maintenant à La Défense on peut recharger sa voiture électrique en moins de trente minutes

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La borne de recharge Sodetrel installée au Faubourg de l'Arche - Defense-92.fr

Recharger sa batterie électrique de voiture en une demi-heure c’est désormais possible à La Défense. Sodetrel, une filiale d’EDF a inauguré ce jeudi 1er octobre la première borne de charge rapide installée en Ile-de-France et en milieu urbain et la neuvième sur le territoire français. Dans le quartier du Faubourg de l’Arche, avenue de l’Arche, près du Starbucks, cette borne implantée à deux pas du siège de l’entreprise permet de recharger n’importe quel modèle de véhicule en un temps record alors qu’il faut compter plusieurs heures avec des bornes classiques. La borne fonctionne également pour les scooters électriques, mais avec une charge à vitesse normale.

Cette installation qui fait partie du projet « Corri-Door » est co-financé par l’Union Européenne et prévoit un déploiement de 200 bornes de charge rapide pour véhicules électriques sur le territoire français, essentiellement sur autoroutes mais aussi à proximité des grands axes. Offrant aux utilisateurs une recharge rapide et facile, Corri-Door permet de récupérer jusqu’à 80% de l’autonomie de son véhicule en moins de 30 minutes. Placées tous les 80 kilomètres, les bornes Corri-Door rendent possibles désormais les déplacements inter-urbains, et lèvent ainsi l’un des freins au développement de la mobilité électrique.

La borne fonctionne avec une carte qu’il faut acquérir à 9 euros sur le site internet sodetrel-mobilite.fr. Trois formules sont proposées à respectivement 2, 5 et 10 euros par mois. Une fois la carte en votre procession il vous suffit de la passer devant l’écran de la borne, de choisir l’un des trois connecteurs et de le brancher à votre véhicule. Comptez alors entre 1,50 et 3,50 euros -selon la formule choisie pour une charge d’un quart d’heure- qui seront prélevés directement sur votre compte.

Informations et inscriptions sur sodetrel-mobilite.fr

Brexit : Paris se hisse à la deuxième place derrière Dublin pour attirer les banquiers

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Le quartier de La Défense en juillet 2019 - Defense-92.fr

« Depuis le référendum de juin 2016, 530 projets de relocalisation ou d’expansion ont été enregistrés en Europe. Leur nombre aurait même pu être plus élevé si le flou politique n’avait pas favorisé l’attentisme des entreprises en 2019 », annonce David Bourla, directeur études et Recherche chez Knight Frank France dans un communiqué.

L’année dernière ce sont 162 mouvements d’entreprises certains ou potentiels qui ont en effet été recensés, soit une baisse de près de 30 % par rapport à 2018. Si le Royaume-Unis a bien quitté l’Union Européenne, l’incertitude est encore loin d’être levée, les pourparlers relatifs à un accord de libre-échange entre Londres et Bruxelles venant en effet tout juste de débuter.

Toutefois, l’officialisation du Brexit et la tension entourant le début des négociations pourraient se traduire par un regain du nombre de nouveaux mouvements et, surtout, par la concrétisation de projets déjà initiés par les entreprises pour assurer leur accès au marché commun. Cette tendance semble se confirmer, avec un rythme déjà élevé de projets dénombrés depuis le début de 2020 (près de trente), estime Knight Frank dans son étude.

Selon le broker, Dublin reste solidement installée à la première place des métropoles ayant attiré le plus de mouvements liés au Brexit depuis 2016, devant un quatuor formé de Paris, Luxembourg, Amsterdam et Francfort. Deux villes se distinguent par leur attractivité croissante : Amsterdam, qui a bâti son succès sur sa capacité à attirer les entreprises de profils variés, et surtout Paris. « Avec quatre-vingt-deux mouvements certains ou potentiels recensés depuis 2016, Paris dépasse Luxembourg et se hisse donc au deuxième rang derrière Dublin. Cette progression est révélatrice de l’amélioration de l’image de la France, confirmant, plus généralement, que les efforts menés pour restaurer l’attractivité de l’Hexagone portent leurs fruits », explique David Bourla.

Si les activités bancaires et d’asset management représentent encore la majorité des mouvements liés au Brexit à Paris (30 % et 20 % respectivement), la hausse de la part des Fintech est l’une des évolutions les plus marquantes des douze derniers mois, poursuit Knight Frank dans son étude. Peu représentées jusqu’à la fin de 2018, celles-ci comptent désormais pour 15 % du nombre total de projets de relocalisation enregistrés dans la capitale française. Elles pourraient voir leur part encore augmenter du fait du potentiel de croissance élevé du secteur et de la politique volontariste menée pour promouvoir l’écosystème de la French Tech.

Le QCA préféré à La Défense

« Sur les quatre-vingt-deux mouvements liés au Brexit recensés depuis 2016 en Ile-de-France, les deux tiers sont d’ores et déjà effectifs pour des gains estimés à près de 1 500 emplois. Les mouvements potentiels et non encore réalisés représenteraient 1 800 à 2 000 postes supplémentaires, soit environ 3 500 postes pour la totalité des gains d’emplois liés au Brexit », détaille David Bourla. Ce chiffre pourrait être revu à la hausse dans les prochains mois, mais restera néanmoins assez modeste par rapport au poids économique de l’Ile-de-France. De fait, la très grande majorité des projets liés au Brexit ne portent que sur un nombre relativement faible d’employés, 69 % des mouvements recensés ne concernant pas plus d’une trentaine de collaborateurs. En outre, une dizaine seulement concernent plus de cent collaborateurs.

Parmi les mouvements les plus emblématiques ont été enregistrés ceux de la banque d’affaires américaine J.P.Morgan qui a dernièrement annoncé l’acquisition de 6 600 mètres carrés de bureaux près de la place Vendôme. Une transaction qui constitue ainsi la deuxième plus grosse transaction liée au Brexit à Paris depuis 2016 après la location de Bank of America de près de 10 000 mètres carrés au 49-51, rue La Boétie.

Les marchés situés hors du Quartier Central des Affaires (QCA) ne concentrent que 16 % des mouvements liés au Brexit en Ile-de-France. Le profil des entreprises y est en général plus varié, mêlant avocats, assureurs, grands groupes industriels et Fintech. Ces utilisateurs ont ciblé quelques quartiers parisiens de l’Ouest et de la Rive gauche et, hors de Paris, Neuilly et surtout La Défense. Le quartier d’affaires de l’Ouest parisien qui n’a cessé depuis le vote du Brexit de faire les yeux doux aux banquiers de la City à Londres n’a pour l’instant pas encore véritablement su tirer parti du départ de l’Angleterre de l’UE. Le QCA semble être préféré.

A l’exception de l’Autorité Bancaire Européenne (EBA) qui a quitté l’année dernière Londres pour la tour Europlaza à La Défense les transactions ont été essentiellement endogènes, à l’exemple du rapatriement par Total de la gestion de sa trésorerie, précédemment installée dans le cœur de la capitale anglaise. Les prochains mois diront donc si le quartier d’affaires de La Défense pourra attirer de nouvelles entreprises grâce aux flux à venir. Mais pour David Bourla, le QCA de Paris devrait être favorisé par les grandes banques pour leurs futures implantations. « Le QCA devrait néanmoins rester la cible quasi exclusive des mouvements liés au Brexit : les entreprises du conseil et de la finance internationale sont traditionnellement captives d’une adresse dans les plus beaux quartiers de la capitale et ont, de ce fait, moins de réticence à y payer des loyers élevés », conclut David Bourla.

Dès le 5 avril prochain l’hypermarché Auchan du Westfield Les 4 Temps sera ouvert tous les dimanches, toute la journée

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L'hypermarché Auchan de La Défense sera désormais ouvert tous les dimanche, durant toute la journée - Defense-92.fr

C’est une petite révolution que s’apprête à vivre l’hypermarché Auchan du Westfield Les 4 Temps. Dès le 5 avril prochain la grande surface de La Défense sera ouverte tous les dimanches, durant toute la journée. Si l’hypermarché levait déjà ses rideaux de fer tous les dimanches matin depuis janvier 2016, l’intégration du quartier d’affaires en Zone Touristique Internationale (ZTI) en septembre dernier permet désormais à l’enseigne de le faire tout au long de la journée. L’hyper Auchan de La Défense va ainsi devenir le troisième de l’enseigne française à ouvrir tous les dimanches après ceux d’Aéroville et de Val d’Europe qui sont tous les deux situés depuis quelques années déjà dans une ZTI.

Une occasion en or qu’attendait depuis des années l’enseigne de grande distribution qui s’étale dans le centre sur trois niveaux de surface de vente. « On aura une clientèle d’habitués le dimanche, de résidents de Nanterre, Puteaux et Courbevoie qui auront envie de faire leurs courses dans des conditions plus sereines », estime Philippe Mottet, le directeur du magasin.

Alors que le travail dominical dans le commerce a été un sujet sensible ces dernières années, les discussions ont plutôt été efficaces entre la direction de l’hyper de La Défense et les instances syndicales. « Dès la fin de l’année nous avons commencé à échanger avec nos partenaires sociaux et ils ont été constructifs. Créer un accord d’établissement c’est rare, en général ça se fait au niveau de l’entreprise complète », insiste Philippe Mottet qui assure que le travail le dimanche se fera uniquement sur la base du volontariat avec une majoration de salaire. « Sur les trois organisations syndicales, deux étaient à fond tout de suite et il y en a eu une avec qui on a eu un plus d’échanges », précise le directeur du magasin qui parle d’un « travail sérieux » qui a rapidement abouti à la signature d’un accord d’établissement.

« Beaucoup de nos collaborateurs voulaient que l’on ouvre le dimanche »

Cette ouverture dominicale est aussi l’occasion pour l’entreprise d’étoffer les effectifs de son magasin de La Défense qui emploie quelques 620 personnes. Quatre-vingt nouveaux postes en CDI à temps partiel et à temps plein vont être créés (les candidatures peuvent être envoyées par mail à ozebpuchi@auchan.fr) pour renforcer les équipes actuelles de l’hypermarché. Ces embauches se rajouteront aux quatre-vingt déjà générées lors de l’ouverture les dimanches matin. En tout, environ 160 personnes devraient donc travailler chaque dimanche pour faire tourner cette grosse machine. Mais le dimanche il n’y aura pas que des étudiants. « Beaucoup de nos collaborateurs voulaient que l’on ouvre le dimanche et se sont dit intéressés pour travailler ce jour-là », explique Philippe Mottet.

Et que les clients qui opteront pour faire leurs courses hebdomadaires les dimanches se rassurent. L’enseigne promet des rayons parfaitement achalandés et notamment pour les fruits et légumes. « Nous auront deux réassorts les samedis. Un le matin et un autre le soir pour la journée du dimanche », précise Philippe Mottet. Mis à part le service de livraison qui sera indisponible, le dimanche sera donc une journée presque comme les autres pour l’hypermarché Auchan où tous les rayons seront ouverts (poissonnerie, charcutier,…).

« Les clients ne comprenaient pas que ce soit fermé ; il y avait une véritable demande de leur part »

Une ouverture dominicale intervenant quelques semaines après celle du Monoprix qu’attendaient depuis des années les responsables du centre dont les boutiques sont ouvertes le septième jour de la semaine depuis une dizaine d’années déjà. « On est très contents que l’hypermarché ouvre enfin les dimanches après-midi, se réjouit Thibault Desmidt, le directeur du centre Westfield Les 4 Temps. Les clients ne comprenaient pas que ce soit fermé ; il y avait une véritable demande de leur part ». Désormais la quasi-intégralité des enseignes du centre seront ouvertes sept jours sur sept, portées par la locomotive qu’est l’hypermarché Auchan.

L’hypermarché sera ainsi ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 21h30, les samedis de 8h30 à 21h30 et les dimanches de 9 heures à 20 heures.

Les Quatre Temps ouvrent le dimanche

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La Clairière des Quatre Temps - ©Defense-92.fr

Depuis le classement de La Défense en zone touristique et la loi autorisant le travail le dimanche, les boutiques de La Défense ont désormais la possibilité de lever leurs rideaux. Après l’UGC, Castorama, Toy’s’Rus, c’est désormais 116 enseignes sur 250 qui suivront le pas et ouvriront tous les dimanches dès le 25 octobre de 10h à 19h.

« Nous avons sondé nos enseignes phares dès septembre dernier, pour savoir lesquelles seraient intéressées par cette ouverture » explique Agathe Lang directrice du centre. Parmi les enseignes qui seront désormais ouvertes 7 jour sur 7 : Andaska, André, Armand Thierry, Bata, Brice, Celio, Eram, Zara, Lancel, Gap, Darty, Go Sport, l’Espace SFR, Micromania, Sephora,…

D’autres comme H&M, Virgin,… devraient rejoindre la liste dans les prochaines semaines, un décalage qui s’explique car pour ouvrir ce jour, le personnel doit être volontaire, les plannings doivent être refaits et le tout doit être validé en comité d’entreprise mais les boutiques doivent également effectuer de nouvelle embauches.

« Le personnel qui travaillera le dimanche est volontaire et leur salaire sera doublé ; cette ouverture a été plutôt bien reçue » explique Frédérique Viennet directrice de Sephora.Pour Renel le choix est fait: » il ne se portera pas volontaire ». Chez Darty, chaque personne touchera une prime de 45€ par dimanche travaillé: Sébastien mesure le pour et le contre, mais a tout de même décidé de travailler 3 dimanches dans le mois.

Côté clients l’avis est partagé: Martine est « 20 fois contre » tout comme Sébastien et Aude, un jeune couple qui estime que le dimanche est un jour de repos pour tout le monde. En revanche Monique habitante de Courbevoie, fréquentant le centre plusieurs fois par semaine depuis 10 ans se réjouit de cette ouverture et déclare « de toutes façons les gens s’embêtent le dimanche devant leurs tv », Loriane et Johanna adolescentes sont elles pour cette ouverture et viendront si l’occasion se présente.

Le centre accueille 25 000 personnes le dimanche et plus de 120 000 en semaine, une belle perspective de progression pour les enseignes.

Une grande campagne de communication (avec des spots sur les radios locales, des publicités) dans les journaux franciliens sera lancée dès le 18 octobre. La façade vitrée du centre donnant sur le Parvis va être entièrement pelliculée de messages annonçant cette ouverture qui est une véritable révolution pour le quartier de La Défense mais aussi pour Paris. Enfin le centre devrait se doter d’un nouveau site internet dans les prochaines semaines.

Le nouveau Galaxy S20 Ultra 5G de Samsung s’affiche en star sur le Cnit

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Samsung fait la promotion jusqu’à la fin avril de son nouveau Galaxy S20 Ultra 5G sur l’immense façade vitrée du Cnit - Defense-92.fr

Samsung retrouve son support publicitaire préféré de La Défense. Le fabricant sud-coréen fait la promotion depuis le début du mois et ce jusqu’à la fin avril de son nouveau smartphone, le Galaxy S20 Ultra 5G. Une fois de plus le géant de la high-tech a choisi le plus vieux bâtiment de La Défense et ses quelques 3 000 mètres carrés de façade vitrée donnant sur le parvis pour communiquer auprès des dizaines de milliers de passants. Sobre, le visuel adhésif collé sur la façade du Cnit est une déclinaison de la campagne publicitaire mondiale qu’opère actuellement Samsung.

Ce support hors-normes tout comme celui de la façade des 4 Temps est commercialisé par Athem pour le compte d’Unibail-Rodamco-Westfield, le propriétaire des deux centres. Outre les nombreuses campagnes que s’est offert Samsung ces dernières années, plusieurs marques se sont succédées sur le Cnit depuis la commercialisation de ce support, comme Sonos, Renault, Aviva, Orange, Qatar Airways, Nike, Audi, Leff ou encore Seat et Volkswagen.

Castorama liquide ses stocks avant de faire tomber le rideau

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Le Castorama du Westfield Les 4 Temps fort fermer définitivement le 30 avril 2020 - Defense-92.fr

Les rayons se vident et la fin est proche pour le Castorama de La Défense. Annoncée il y a un an, la fermeture du Castorama du Westfield Les 4 Temps s’approche. Le temple du bricolage d’environ 9 000 mètres carrés baissera définitivement son rideau le 30 avril prochain. D’ici là l’enseigne qui avait ouvert en grande pompe sa boutique du centre Westfield en avril 2008 brade une partie de ses stocks restants avec des promotions allant de moins 30 à moins 70 %. Dans les allées peu à peu clairsemées on retrouve parquets, outillages, vasques d’évier et autres pots de peinture avec de grosse remises. Des bonnes affaires pour les clients mais un sentiment d’amertume pour certains. « C’est dommage que le Castorama ferme. C’était pratique et on trouvait pas mal de choses », regrette Mehdi.

Véritable navire amiral pour l’enseigne française, le Castorama de La Défense semblait dès le départ difficilement viable d’un point de vue financier. « C’était un magasin voué à l’échec à cause du loyer », explique Nicolas Euzenot, délégué central CGT. Difficile en effet pour Castorama de rentabiliser les plus de 10 000 mètres carrés de surface avec des loyers élevés dans l’un des plus grands centres commerciaux français.

« Concernant les 114 collaborateurs du magasin de La Défense, un certain nombre d’entre eux sont encore en phase d’accompagnement. D’ores et déjà, trente-cinq collaborateurs ont bénéficié d’un reclassement interne, onze d’un reclassement externe (création d’entreprise, projet de formation ou autre) et cinq collaborateurs ont adhéré au dispositif de Congé fin de carrière », indique le groupe Kingfisher, propriétaire de Castorama.

« Les salariés de La Défense étaient plutôt jeunes en carrière et en âge par rapport à d’autres magasins », explique, Chrystelle Derrien, déléguée centrale CFDT. Si aucun d’entre eux ne sera licencié, une partie des troupes a donc décidé de quitter l’entreprise pour une reconversion personnelle dans le cadre du PSE (Plan de Sauvegarde de l’Emploi). Un choix qu’a fait ce vendeur de 27 ans. « Je vais quitter l’entreprise », confie cet étudiant embauché en 2014 qui avait de toutes façons, décidé de partir à terme. Le jeune homme qui dit avoir été « bien accompagné » regarde désormais son magasin se désemplir. « Ça fait bizarre de voir le magasin se vider peu à peu et de dire aux clients que l’on a plus tel ou tel produit », poursuit-il.

Pour les autres salariés qui ont décidé de rester dans l’entreprise ils seront réaffectés vers d’autres boutiques de la région parisienne et certains iront même dans le sud de la France. « Même s’il y a des mesures qui ont été proposées avec le PSE il y a eu des dégâts humains », affirme Nicolas Euzenot. Le syndicaliste dit rester inquiet du redéploiement de ces salariés craignant que certains d’entre eux voient leur vie personnelle trop chamboulée.

La fermeture du Castorama de La Défense, tout comme huit autres Castorama français et deux Brico Dépôt avait été annoncée en mars 2019 par la maison-mère de l’entreprise, le groupe anglais Kingfisher pour faire face à l’érosion des ventes.

Une fois fermé le Castorama du Westfield Les 4 Temps sera remplacé fin 2021 à son premier étage par un immense Zara qui deviendra le plus grand de France. Le deuxième étage du Castorama pourrait lui accueillir selon nos informations Les Galeries Lafayette sur environ 5 000 mètres carrés. Une information que dément cependant l’enseigne française de grands magasins.

Miam, miam, les food trucks sont de retour à La Défense

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Les food trucks sont de retour à La Défense depuis ce lundi - Defense-92.fr

Bonne nouvelle pour les amateurs de street food. Les food trucks sont de retour à La Défense depuis ce lundi 9 mars. Pour cette cinquième saison vingt restaurateurs ont été sélectionnés par Paris La Défense et par un panel de salariés, d’habitants et d’étudiants. Les petits camions restaurant alterneront quelques jours par semaine chacun, à différents emplacements dans le quartier.

Cette année on retrouvera en plus des traditionnels burgers, de la cuisine sud-coréenne, thaïlandaise, vénézuélienne, africaine et antillaises, italienne mais aussi des produits de la mer, des grillades, des crêpes, sans oublier une offre végétarienne.

Cette saison les habitués retrouveront treize food trucks déjà présents l’année dernière à La Défense : « New Soul Food », « Totin », « Wok & Roll », « Chez Zaz », « Bud’s Deli », « Cabane Cape Cod », « Thaïmin », « La Fourgonnette », « Nolita Street », « Aji Dulce », « Cheesers », « La Brigade » et « Kimpop ». Et il y aura sept petits nouveaux : « Le Tapas Truck », « Le Trotter », « Cup & Cup », « Pizza del Popolo », « El Coche », « Chefred » et « Le Beau Caillou ».

Les food trucks sont présents tous les jours, du lundi au vendredi entre 11h30 et 14h30 au nombre de deux sur le Cours Valmy (devant la tour Pacific), de deux près du Bassin Takis, d’un sur la place de La Défense et de deux au pied de la Grande Arche. L’été, entre juillet et août et pour six semaines, quatre emplacements au minimum viendront s’ajouter à ce dispositif afin d’accompagner l’animation estivale Garden Parvis.

A ces vingt food trucks s’ajouteront tous les matins les deux coffee trucks « Corto Coretto » et « JH & CO », présents pour l’un sur la place de La Défense et pour l’autre sur le cours Valmy.

La liste des food trucks présents tous les jours à La Défense est à retrouver chaque semaine sur le site internet de Paris La Défense.

Quatre jours pour se mobiliser contre le cancer

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Pendant quatre jours, l’Institut Curie propose aux passants de La Défense de soutenir la lutte contre le cancer en achetant une jonquille ou un bulbe - Defense-92.fr

La Défense en jaune pour lutter contre le cancer. L’Institut Curie revient en ce mois de mars dans le quartier d’affaires pour son opération « Une Jonquille pour Curie ». Du mardi 10 au vendredi 13 mars la fondation qui lutte contre le cancer invite les passants de La Défense à soutenir la recherche en achetant simplement une jonquille fraîche ou un pot de bulbes de jonquilles.

Pendant ces quatre jours les entreprises seront invitées avec leur collaborateurs à participer à plusieurs animations notamment celle du vélo solidaire « TechnoGym ». Les inscriptions se font ici

Pour cette seizième édition d’Une Jonquille pour Curie qui se déroulera un peu partout en France, la fondation espère collecter 600 000 euros pour soutenir sa recherche. Le cancer touche chaque année 382 000 français, c’est-à-dire plus d’un millier de personnes par jour et fait 150 000 morts par an.

Pour faire un don il est également possible de se mobiliser à distance. Pour donner cinq euros il vous suffit d’envoyer « Espoir » par SMS au 92 002. Ou faites un don directement sur unejonquillecontrelecancer.fr

L’animation se déroulera de 10 heures à 19 heures sur la place de La Défense.

Viva l’Opéra : « Salomé » diffusé ce jeudi à l’UGC du Westfield Les 4 Temps

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L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2019 - 2020 - DR

Pour ce nouveau rendez-vous de la dixième saison de Viva l’Opéra, c’est l’opéra « Salomé » de Richard Strauss qui sera diffusé ce jeudi 12 mars à l’UGC du Westfield Les 4 Temps. La projection de cette œuvre de 1h54 (sans entracte) se fera à 19h30 dans la salle 16, la plus grande du complexe.

Filmée à l’Opéra National des Pays-Bas, la mise en scène de cette œuvre a été réalisée par Ivo Van Hove, la direction musicale par Daniele Gatti, les décors par Jan Versweyveld et les costumes par An D’Huys. La dramaturgie est signé de Jan Versweyveld et l’orchestre par l’Orchestre Royal de Concertgebouw. Côté distribution les spectateurs retrouveront Malin Byström (dans le rôle de Salomé), Evgeny Nikitin (Jochanaan), Lance Ryan (Hérodes), Doris Soffel (Hérodias) et Peter Sonn (Narraboth).

Les projections sont proposées au tarif de 10 euros pour les moins de 26 ans, 25 euros avec la carte UGC Illimité et 30 euros au plein tarif, avec toujours la possibilité de souscrire un abonnement pour cinq opéras et ballets à 130 euros en plein tarif.

Pour la suite du programme, l’UGC du Westfield Les 4 Temps proposera « Manon », en direct de l’Opéra Bastille le 12 mars, « Macbeth » le 9 avril et « Macbeth » le 9 avril puis le ballet « Le Parc » le 30 avril.

Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places en ligne sur Vivalopera.fr.

« Le Parvis Solidaire » récolte plus de 150 000 euros pour des projets solidaires

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plus de 150 000 euros ont été récoltés au profit de neuf projets associatifs sélectionnés lors de la première édition du « Parvis Solidaire » - Defense-92.fr

La solidarité au pied des tours de La Défense. Pour sa première édition, la soirée « Le Parvis Solidaire » a récolté plus de 150 000 euros au profit de neuf projets associatifs sélectionnés sur une trentaine de candidatures. Dans un amphithéâtre plein à craquer de l’immeuble Cœur Défense les donateurs étaient au rendez-vous ce jeudi 5 mars pour cette soirée organisée à l’initiative de la Fondation Sainte-Geneviève et soutenue par l’établissement Paris La Défense.

Chacun des représentants des neuf associations* avait quatre minutes pour présenter leur projet solidaire et demander la somme qu’ils espéraient devant un parterre de donateurs, qu’ils soient issus de fondations ou tout simplement des particuliers. Dans l’esprit du crowdfunding et d’une vente aux enchères les donateurs pouvaient donner à l’association 5 000 euros, 1 000 euros, 500 euros ou 100 euros. La générosité du public était au rendez-vous puisque ce sont 159 000 euros qui ont été collectés durant cette soirée de deux heures, organisée sous l’égide de Maître Doutrebente, commissaire-priseur.

Parmi les neuf associations à la recherche de fonds, la Maison de l’Amitié de La Défense qui vient en aide aux SDF du quartier d’affaires a récolté 40 100 euros sur les 40 000 euros espérés. L’association les Tréteaux Blancs, qui avec ses bénévoles divertit gratuitement des enfants contraints à des hospitalisations de longue durée a obtenu 17 000 euros tandis que le Chemin de Pierre qui créé et anime des maisons partagées et des lieux d’accueil de jour et de répit pour adultes autistes est reparti avec 15 000 euros.

« Ce type d’évènements est nouveau en France et pourtant les donateurs, dont des entreprises, ont répondu massivement, heureux de rencontrer directement les porteurs de projets. Notre objectif était de répondre à cette demande de rencontre et de sens, très forte chez les habitants et les salariés du quartier de La Défense », s’est réjouie Virginie Anglès d’Auriac, la déléguée générale de la Fondation Sainte-Geneviève qui a qualifié cette première édition de « succès ».

*Les neuf associations sont : « La Maison de l’Amitié » de La Défense dont la mission est d’accueillir les personnes fragilisées de La Défense afin de recréer du lien social, de les accompagner et de concrétiser la solidarité entre tous ; « Visitatio », qui a pour but d’accompagner les personnes en situation de maladie grave ou de fin de vie et leur entourage ; « Bagageries solidaires 92 », qui met à disposition de personnes en situation de précarité un espace dédié au dépôt de leurs effets personnels ; « Les Tréteaux blancs » qui divertissent gratuitement des enfants contraints à des hospitalisations de longue durée ; « WKF – Wake up Café » dont la mission est de proposer un parcours pour la réinsertion complète des personnes détenues et sortant de prison ; « Réseau des parents » qui s’attèle au développement des Réseaux de Parents dans les communes ; « Le Chaînon manquant », dont la mission est la lutte contre le gaspillage et la précarité alimentaire en collectant et redistribuant des surplus alimentaires ; « Le réseau Entourage », qui permet l’inclusion sociale des personnes sans-abris en recréant des entourages citoyens bienveillants autour d’elles et, « Le chemin de Pierre » dont le but est de créer des maisons partagées et développer des lieux d’échange et de répit.