L’animation estivale Garden Parvis est accessible gratuitement jusqu’au 25 août prochain – Defense-92.fr
L’été sera festif ! Pour la nouvelle édition de son animation estivale gratuite « L’Été Paris La Défense » désormais, rebaptisée « Garden Parvis », Paris La Défense vient d’investir son immense parvis depuis le 11 juillet dernier. Pendant 46 jours, au pied de la Grande Arche ce sont 5 600 mètres carrés d’espaces qui sont consacrés quotidiennement à la détente, la fête et à diverses animations culturelles et musicales à travers « quatre zones d’expériences ».
Pour cette septième édition ce ne sont pas moins de 600 places assises qui sont disposées autour de 1 200 mètres carrés d’espaces ombragés, promet l’établissement public en charge de l’aménagement, la gestion et l’animation du quartier d’affaires. Six bars et sept restaurants viennent accompagner l’animation estivale qui doit s’achever le 25 août prochain.
Les enfants peuvent aussi profiter d’ateliers pédagogiques, créatifs, de zones de lecture accompagnées de jeux en libre-service. Les plus grands peuvent eux s’amuser avec du ping-pong, du billard ou encore de la pétanque. Chaque jeudi et vendredi jusqu’à 23 heures, un live DJ set est prévu ainsi que trois grosses soirées exceptionnelles où les platines vibreront jusqu’à 2 heures du matin.
L’animation est ouverte tous les lundis, mardis et samedis de 11h30 à 21 heures, les mercredis, jeudis et vendredis de 11h30 à 23 heures et les dimanches de 11h30 à 19 heures.
Le programme complet de l’animation est à retrouver ici
L'inauguration de la ligne E du RER avec Lionel Jospin, alors Premier Ministre ; Louis Gallois, alors président de la SNCF ; Jean-Paul Huchon, alors président de la région Ile-de-France et Claude Bartolone alors député - SNCF Mediatheque / Eric Bernard
La réalisation de cette cinquième ligne du RER fût annoncée le 13 octobre 1989 par le Premier ministre Michel Rocard pour décongestionner le RER A complètement saturé avec 800 000 voyageurs par jour à l’époque contre 1,2 million aujourd’hui. Le plan de la SNCF pour désaturer la ligne A est de créer un tunnel à deux voies entre les gares de l’Est et du Nord à celle de Saint-Lazare avec deux nouvelles stations : Haussman Saint-Lazare et Magenta (construite en les gares de l’Est et du Nord). La ligne reprend ensuite une branche existante du réseau pour aller jusqu’à Chelles-Gournay et une deuxième vers Villiers-sur-Marne qui ouvrira à la fin août de la même année avant qu’elle ne soit prolongée en décembre 2003 vers Tournan.
Le chantier qui durera sept ans avec dix-huit mois de retard verra son coût glisser à 6,2 milliards de francs (soit environ 950 millions d’euros) à 8,125 milliards de francs (environ 1,2 milliard d’euros – valeur 1999).
Dès le départ il est prévu qu’Eole poursuive sa route vers l’Ouest de la région pour devenir en somme une ligne alternative au RER A. Dans un premier temps la SNCF envisage sérieusement de faire sortir le tunnel au niveau de la gare Pont-Cardinet à Paris pour que la ligne reprenne les branches Versailles Rive-Droite et Saint-Nom ainsi qu’une partie de la branche de la Grande Ceinture de l’actuelle ligne L du Transilien, le tout en passant par La Défense. Mais le projet végète et la situation n’avance pas.
En juillet 2006, l’Établissement public pour l’aménagement de la région de la Défense (EPAD) relance le projet d’extension de la ligne à l’ouest de Paris. L’aménageur propose une autre solution, plus coûteuse mais plus efficace avec la construction d’un tunnel direct pour le RER E entre Haussmann – Saint-Lazare et La Défense. À cette époque, l’EPAD envisageait la création d’une gare intermédiaire à Pereire – Levallois, avant de proposer qu’elle soit plutôt située à la Porte Maillot. Cette solution sera finalement retenue et les premiers travaux préparatoires de ce prolongement vers Mantes-la-Jolie via La Défense débuteront dès 2015.
Après plusieurs années de retard la SNCF table désormais sur une mise en service du prolongement d’Eole en deux temps avec une première partie vers Nanterre en 2022 et vers Mantes-la-Jolie en 2024.
Alors que la SNCF tablait sur 170 000 voyageurs par jour au lancement d’Eole, aujourd’hui le RER E est utilisé quotidiennement par près de 312 000 usagers. Un chiffre qui devrait encore doubler après la mise en service du prolongement vers La Défense et Mantes-la-Jolie avec 620 000 passagers par jour.
Neuf jeunes de 25 et 26 ans, tous originaires de ce quartier de Nanterre, ont été interpellés et écroués pour avoir mis en place trafic d’herbe et de résine de cannabis. Tout le réseau est tombé, du chef au dealer en passant les « lieutenants » et une nourrice, précise le quotidien.
Lors des perquisitions, 33 000 euros, près de 5 kilos de résine de cannabis et 270 grammes d’herbe ont été saisis dans les appartements et les parties communes. Les policiers ont également mis la main sur deux pistolets automatiques non chargés et deux gilets pare-balle. Mais aussi sur du matériel de découpe et de conditionnement ainsi que sur des feuilles de comptes.
Le réseau qui proposait ses produits au pied des tours Aillaud pouvait attirer entre 60 et 70 transactions par jour. Et comme le précise Le Parisien, ce trafic avait évidemment un impact sur les habitants du quartier, bien souvent terrorisés à l’idée de dénoncer les agissements des trafiquants.
Pour se fournir le réseau réalisait des allers-retours effectués depuis le sud de l’Espagne. Les suspects écroués ont déjà pour la plupart des antécédents judiciaires de trafic de stupéfiants. Ils ont été placés dans des maisons d’arrêt différentes de la région parisienne afin qu’ils ne communiquent pas entre eux.
Econocom va quitter d'ici cet été son siège de Puteaux, quai Dion Bouton - Defense-92.fr
En mars dernier, lors de la présentation des résultats annuels en demi-teinte d’Econocom, Jean-Louis Bouchard, avait prévenu qu’il faudrait faire des économies. Le PDG de l’entreprise spécialisée dans les services liés à la transformation numérique a concrétisé ses paroles en annonçant le 1er juillet dernier à ses salariés qu’il allait fermer son siège putéolien, relate le site internet Channelnews.fr. Conséquence les 500 salariés du siège basé quai Dion Bouton à Puteaux, non loin de La Défense vont devoir faire leurs cartons durant l’été.
Mais alors qu’une rumeur d’agrandissement de ses bureaux putéoliens a un temps circulé, l’entreprise a préféré faire des économies en sacrifiant son siège de 5 000 mètres carrés qu’il a mis en vente. Selon Channelnews.fr les salariés de ce siège seront répartis sur le site de Clichy qui héberge notamment un centre de services, et du Plessis-Robinson, où avaient emménagé en juillet 2016 près de 500 collaborateurs des équipes services en provenance du site historique d’Osiatis à Vélizy (dont Exaprobe). Les derniers occupants devront avoir quitté les lieux au plus tard fin septembre, précise Channelnews.fr.
D’après ce plan il est prévu que la direction générale et les équipes leasing rejoignent les équipes de Clichy, tandis que le reste des troupes issus des fonctions support (notamment la DSI) aille au Plessis-Robinson.
Basé jusqu’en 2013 à Nanterre, Econocom avait choisi son immeuble de Puteaux niché au-dessus d’une station BP pour en faire la vitrine du groupe. Econocom avait alors particulièrement bien soigné ses aménagements intérieurs rappelle Channelnews.fr.
L'ancien hôtel du département des Hauts-de-Seine en juin 2018 - Defense-92.fr
En plus de trente ans il en a vu défiler des personnalités politiques de la droite altoséquanaise. De Charles Pasqua à Nicolas Sarkozy en passant par Patrick Devedjian son dernier locataire, l’ancien Hôtel du département accolé à la préfecture est désormais de l’histoire ancienne. Les élus du département ont approuvé ce lundi la cession pour 101 millions d’euros de ce bâtiment de 40 000 mètres inauguré en 1987 par Jacques Chirac, alors Premier ministre.
La transformation de l’ancien hôtel du département pourrait s’achever en 2023 – IDA+/NouvelleAOM
Mis en vente en janvier 2018, l’ancien Hôtel départemental délaissé par ses fonctionnaires quelques mois plus tard au printemps de la même année va être acquis par Novaxia, un investisseur spécialiste dans la transformation urbaine. L’offre de Novaxia a été distinguée parmi les douze autres par le département et la ville de Nanterre puisqu’elle était la seule à proposer de conserver l’enveloppe du bâtiment mais aussi à payer comptant sans condition suspensive et sans délai la somme. Une aubaine pour le département alors que l’entretien du bâtiment coûte un million d’euros par an à la collectivité.
« Ne pas démolir c’est le premier acte écologique »
« Démolir ce n’était pas forcement l’idée la plus adaptée à ce site pour des raisons écologiques. J’ai coutume de dire que ne pas démolir c’est le premier acte écologique, explique Joachim Azan, président-fondateur de Novaxia. L’impact de la démolition sur l’empreinte carbone aurait été de 1 150 kg/co2/m2 alors que la rénovation n’est que de 600 ». La conservation du bâtiment va aussi permettre de préserver les quelques 5 000 mètres carrés de jardin situés à son pied.
Le bâtiment de 40 000 mètres carrés sera complètement métamorphosé – IDA+/NouvelleAOM
« Ce bâtiment on l’aime ou on ne l’aime pas, les gens de Nanterre y sont habitués. L’enjeu c’est de considérer ce bâtiment comme un bout d’histoire de Nanterre et de le projeter dans l’avenir », poursuit Joachim Azan. Outre l’aspect écologique et affectif, la destruction de cet immeuble aurait pu être délicate en raison de sa proximité directe avec le Tribunal et la préfecture.
Mais alors que va faire Novaxia pour redonner vie à l’ex-QG du département ? Pour muter ce bâtiment d’une dizaine d’étages souvent qualifié de « passoire thermique » par Patrick Devedjian, Novaxia a confié la transformation à un trio d’architectes réunis dans l’agence Nouvelle AOM (Nouvelle agence pour l’opération Maine-Montparnasse fondée par ChartierDalix Architectes, Franklin Azzi Architecture, et Hardel Le Bihan Architectes). L’immeuble sera déshabillé de sa façade aujourd’hui datée pour être remplacée par un voile de verre. Le nouvel immeuble sera ancré sur 5 000 mètres carrés de pelouse, disposant de 3 100 mètres carrés de balcons et toitures paysagers, d’un jardin intérieur et de serres agricoles.
Un campus urbain de 40 000 mètres carrés agrémenté d’un parc de 5 000 mètres carrés
L’objectif est d’en faire un véritable campus urbain de 40 000 mètres carrés hébergeant des bureaux, des espaces de coworking, une crèche mais aussi des espaces de sports et de restauration. Mais pas que…
La façade du bâtiment sera complètement changée – IDA+/NouvelleAOM
L’ancien hémicycle chargé d’histoire ou tant de débats houleux se sont produits serait conservé. « On pourrait y faire un auditorium ouvert, une salle événementielle, imagine Joachim Azan. Notre idée c’est de capitaliser sur l’histoire du bâtiment ».
Un mur d’escalade, une fosse de plongée ou des salles de sport ?
Si la programmation n’est pas encore clairement définie, Joachim Azan promet un bâtiment plein de surprises avec pourquoi pas un mur d’escalade, une fosse de plongée ou des salles de sport. Des idées saugrenues ? Pas tant que ça puisque Novaxia qui s’est spécialisé dans ce genre de défis urbains va prochainement transformer l’ancienne station de métro abandonnée Croix-Rouge sur la ligne 10 à Paris en un bar restaurant.
Le projet devrait être lancé en blanc, c’est-à-dire sans qu’un ou des locataires ne soient trouvés avant le début des travaux. Mais avant, Novaxia lancera sa demande de permis de construire d’ici six mois. La mutation devrait alors durer 24 mois et c’est en 2023 que le bâtiment repartira pour une nouvelle vie.
Le nouveau bâtiment devrait intégrer de nouveaux services inédits – IDA+/NouvelleAOM
La DIRIF vient d’équiper le tunnel de Nanterre - La Défense de 400 bornes permettant d’étendre la géolocalisation à son ensemble - Defense-92.fr
Si La Défense a bien un talon d’Achille, c’est son système routier… Qui ne s’est jamais arraché les cheveux en cherchant désespérément à bord de sa voiture une adresse ? Bon le soucis n’est toujours pas réglé dans les nombreuses voies de dessertes intérieures mais il l’est désormais dans le tunnel de l’A14 (Nanterre – La Défense). Car le problème à La Défense ce sont les surcouches de voiries qui empêchent bien souvent le fonctionnement des GPS qui s’y perdent et du coup qui vous perdent.
Les dizaines de milliers de véhicules par jour qui empruntent le tunnel de l’A14 sont confrontés à de nombreux points de choix, avec pour seule information les panneaux de signalisation dans le tunnel. « Cette configuration complexe associée à la densité et à la vitesse de circulation peut être source de comportements accidentogènes, qui peuvent générer de surcroit des encombrements aux heures de pointe en cas d’accident », détaille la Direction des Routes Île-de-France (DIRIF).
Ce souci qui perdure depuis des années est en passe d’être partiellement réglé. Le tunnel de l’A14 qui traverse le quartier d’affaires de La Défense de part en part jusqu’à l’A86, longeant l’axe historique, vient enfin de voir sa géolocalisation améliorée. La DIRIF a annoncé ce lundi avoir équipé le tunnel de Nanterre – La Défense (A14) ainsi que la partie de l’échangeur de l’A86 de 400 bornes permettant d’étendre la géolocalisation à l’ensemble de l’infrastructure routière.
Le système est déjà disponible sur Waze
Installées durant quatre nuits à la fin de l’année 2018 pour une phase de tests, les bornes peuvent dès aujourd’hui être utilisées par les applications de navigation géolocalisées. « Cette innovation représente un investissement de 30 000 euros cofinancé à parts égales entre L’État et la région Île-de-France dans le cadre d’un partenariat pour changer la route par l’innovation et l’expérimentation, signé en 2017 », explique dans un communiqué la DIRIF qui précise que 100 000 véhicules fréquentent quotidiennement ce tunnel long de seize kilomètres et raccordé par seize bretelles.
Ce dispositif repose sur des bornes installées à intervalles réguliers, tous les quarante mètres environ dans le tunnel qui envoient la géolocalisation par Bluetooth. Ces bornes prennent ainsi le relais du signal GPS perdu pour les applications qui s’y connectent. Mais le système n’est pas totalement automatique puisqu’il est nécessaire que l’utilisateur active le signal Bluetooth sur le terminal de l’application de navigation géolocalisée (téléphone ou autre).
La technologie déployée étant open source, le « signal GPS » émis par ces bornes est mis à disposition de toute application de navigation géolocalisée. Les développeurs d’applications peuvent en faire la demande sur le site internet de la DiRIF, précise le service de l’État qui affirme que l’application Waze l’intégre déjà.
Le traditionnel bal des pompiers se déroulera cette année sur le parvis de La Défense ce samedi 13 juillet - Defense-92.fr
Le rendez-vous est une tradition. Les sapeurs-pompiers de Paris de la 28ème compagnie qui regroupe les casernes de Courbevoie (La Défense), Puteaux, Nanterre et Rueil-Malmaison organisent comme chaque année leur traditionnel bal du 14 juillet ce samedi 13 juillet.
Cette année encore la fête des soldats du feu se déroulera sur le parvis de La Défense (près de la grande verrière d’accès à la gare de La Défense) dans un espace de 2 000 mètres carrés qui disposera de trois buvettes dont un bar à champagne ainsi qu’un food truck disposé autour de la scène du DJ. Le coup d’envoi des festivités qui avaient attiré quelques 4 800 personnes l’année dernière sera donné par la centaine de pompiers dès 21 heures pour une fiesta qui s’achèvera vers 4 heures du matin.
Mais avant de lancer la fiesta les pompiers proposeront des ateliers de premiers secours pour former aux gestes qui sauvent, comme l’arrêt d’un saignement et le massage cardiaque. Accessibles dès 12 ans les quatre sessions de trente minutes seront prévues entre 18 heures et 21 heures.
Et pour les plus jeunes qui rêveraient d’enfiler la tenue des soldats du feu ils pourront tester leurs capacités physiques. La brigade proposera un « parcours pompier », avec une épreuve validée annuellement par chaque sapeur-pompier de Paris. Les candidats auront l’occasion de faire un échauffement (cinq à dix minutes), un parcours chronométré (entre trois et cinq minutes maximum) et enfin, retour au calme : étirements, débriefing et échanges.
Si l’accès au bal est gratuit, les participants pourront toujours verser quelques euros dans le fameux « tonneau » des pompiers. L’argent récolté sera destiné à améliorer le cadre de vie des soldats du feu dans leur caserne.
Le projet des tours siamoises Sisters fait toujours l’objet d’un recours - Unibail-Rodamco-Westfield / Christian de Portzamparc / L’Autre Image
C’est la tuile pour Unibail-Rodamco-Westfield (URW). La foncière française qui ambitionne d’ériger derrière le Cnit son mégaprojet des Tours Sisters va devoir encore attendre pour donner le top départ du chantier. La MACSF (via ses sociétés immobilières Horbouts), propriétaire et occupant de l’immeuble du Triangle de l’Arche voisin direct des futurs tours siamoises, qui avait été déboutée en avril dernier de son recours contre le permis de construire de ce projet a fait appel de la décision, selon nos informations confirmées par la Cour administrative d’appel de Versailles.
Une livraison qui pourrait désormais intervenir en 2025
Ce renvoi en appel voulu par la MACSF remet de nouveau les projets d’URW en question. Alors que la foncière espérait désormais lancer son projet dès la fin de l’année elle devrait être contrainte d’attendre le jugement de la Cour administrative d’appel de Versailles d’ici deux ans, bien que la procédure ne soit pas suspensive. Le calendrier du projet glisserait inexorablement avec une date de livraison pour 2025.
Imaginé par l’architecte Christian de Portzamparc, Sisters sera composé de deux tours représentant une surface d’environ 75 000 mètres carrés. La plus haute, celle de 230 mètres hébergera des bureaux tandis que la seconde, 130 mètres deviendra l’hôtel de la chaine Radisson. Annoncé en marge du Mipim, en mars dernier le complexe hôtelier proposera 350 chambres et disposera d’une piscine à débordement et de plusieurs services nichés à plus d’une centaine de mètres de haut, sur une grande passerelle reliant les deux tours.
La sortie "Grande Arche" de la gare Transilien de La Défense va rester fermée durant les six prochains mois - Defense-92.fr
C’est un accès discret qui est pourtant plébiscité par les usagers des lignes L et U du Transilien. Depuis la fin du mois de juin la sortie « Grande Arche – Salle des Colonnes » de la gare Transilien de La Défense est inaccessible pour cause de travaux. Pendant les six prochains mois la SNCF va procéder au remplacement des quatre escalators de cette émergence ouverte en 1989 en même temps que la Grande Arche. Pratique, elle permet d’accéder directement aux lignes L et U depuis le socle de l’Arche sans passer par la grande salle d’échanges du RER.
Pour entrer et sortir de la gare SNCF il est toujours possible d’utiliser la sortie commune avec le tramway T2 qui donne sur place Carpeaux et bien sûr l’accès principal vers la salle d’échanges d’où il est possible de rejoindre le métro, le RER, le tramway ou encore les bus.
Cet accès principal est toutefois légèrement impacté par les travaux de la sortie Grande Arche. En effet pour acheminer et évacuer les matériaux certains appareils de validations ont été neutralisés le temps des travaux entrainant de facto une réduction des passages de flux.
La tour W est désormais signée par Axway son principal occupant - Defense-92.fr
C’est ce qui s’appelle marquer son empreinte. Implanté depuis la fin 2016 dans la tour W (ex-Winterthur) l’éditeur de logiciels français Axway vient d’installer fin juin au sommet du building qu’il occupe majoritairement une grande enseigne lumineuse à son nom.
L’enseigne visible depuis le parvis qui côtoie celle du nom de la tour est longue de 9 mètres et ses lettres sont hautes d’1,41 mètres, le tout pour épaisseur d’une quinzaine de centimètres. Le logo en forme de Griffon a lui pour dimensions 2,94 mètres sur 3 mètres. Le tout représente une surface totale de 21,55 mètres carrés. Éclairé par des Led, la consommation de cette enseigne est de 800 watts par heure. Sa conception, fabrication et installation ont été réalisées par la société Defi, spécialisée dans les enseignes et publicités lumineuses.
La Tour W (ex Winterthur) d’une surface de 29 300 mètres carrés (hors archives) a été construite dans le quartier Boieldieu, à proximité du centre commercial des 4 Temps au début des années 70 sous les dessins des architectes Delb, Chesnau, Verola et Lalande. Elle a accueilli durant de longues années la société Suisse d’assurances Winterthur qui est entrée dans le giron d’Axa en 2006. Par la suite ERDF a occupé une grande partie du gratte-ciel avant de le quitter en septembre 2014 pour la tour Blanche. Après une première rénovation importante entre 1998 et 2000 la tour a connu une seconde modernisation ces dernières années.
En plus d’Axway la tour W héberge plusieurs entreprises dont Adecco, Cargill, Sagess, Lhoist et Bandai, Veeam ou encore KFC.
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