L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2019 - 2020 - DR
Pour ce nouveau rendez-vous de la dixième saison de Viva l’Opéra, c’est l’opéra « Tosca » de Giacomo Puccini qui sera diffusé ce jeudi 14 novembre à l’UGC du Westfield Les 4 Temps. La projection de cette œuvre de 2h35 (coupée d’un entracte de vingt minutes) se fera à 19h30 dans la salle 16, la plus grande du complexe.
Filmée au Royal Opera House de Londres, la mise en scène de cette œuvre a été réalisée par Jonathan Kent, la direction musicale par Antonio Pappano, les décors par Paul Brown, les lumières par Mark Henderson, l’orchestre et chœurs par le Royal Opéra House et le chef des cœurs par Renato Balsadonna. Côté distribution les spectateurs retrouveront Lukas Jakobski (dans le rôle de Cesare Angelotti), Jeremy White (Sacristain), Jonas Kaufmann (Mario Cavaradossi), Angela Gheorghiu (Floria Tosca), Bryn Terfel (Baron Scarpia), Hubert Francis (Spoletta) et Zhengzhong Zhou (Sciarrone).
Les projections sont proposées au tarif de 10 euros pour les moins de 26 ans, 25 euros avec la carte UGC Illimité et 30 euros au plein tarif, avec toujours la possibilité de souscrire un abonnement pour cinq opéras et ballets à 130 euros en plein tarif.
Pour la suite du programme, l’UGC des 4 Temps proposera « L’italienne à Alger », le 12 décembre et « Le prince Igor », le 17 décembre en direct de l’Opéra Bastille.
Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places en ligne sur Vivalopera.fr
L’américain Justin Barcia a remporté l’édition 2019 du Supercross de Paris à la Paris La Défense Arena - Defense-92.fr
Pour sa troisième édition à la Paris La Défense Arena, le Supercross qui s’est tenu ce samedi 9 et dimanche 10 novembre a fait le plein de spectateurs. Déjà vainqueur à deux reprises du Supercross de Paris en 2010 et 2013, l’américain Justin Barcia a signé un retour triomphant dans la capitale en devenant pour la troisième fois « King of Paris ». Placé dans les trois courses de cette seconde journée remportée par son compatriote Malcolm Stewart, Barcia a su ainsi s’imposer au cumul des deux jours devant Stewart et Dylan Ferrandis qui sauve l’honneur tricolore. Les résultats complets de l’édition 2019 du Supercross sont à retrouver ici.
Pour permettre ces deux jours de show c’est un véritable défi qui a été accompli pour métamorphoser la Paris La Défense Arena. Il aura fallu cinq jours aux organisateurs pour transformer la salle en une piste de Supercross de plus de 700 mètres de long avec des bosses, des virages, des obstacles et des rampes pour les sessions de freestyle. Après avoir construit un plancher de 11 000 mètres carrés en caillebottis de pvc recouverts de bâches étanches pour protéger la pelouse synthétique, une équipe de soixante-dix personnes a travaillé jour et nuit pour apporter et étaler 3 700 mètres cubes d’une terre spécifique stockée au même endroit d’une année sur l’autre.
Des camions ont effectué plus de 400 rotations pour apporter ces 11 000 tonnes de terre avec des horaires calculés pour ne pas gêner le trafic du quartier de La Défense aux heures de pointe. Dans l’enceinte, huit pelleteuses de quinze tonnes et deux pelleteuses de 40 tonnes, renforcées par quatre « bobcat » ont étalé la terre et formé les obstacles. Ce sont les mains expertes des spécialistes de la construction de pistes de Supercross de Jean-Luc Fouchet et Cédric Lucas qui ont donné forme à ces matériaux. Pour démonter en une seule nuit ce sont une quarantaine de personnes qui ont été mobilisées afin de rendre l’enceinte multimodale dès ce lundi matin.
11 000 tonnes de terre ont été nécessaires pour construire la piste du Supercross – Defense-92.fr
L’après-midi a été mouvementé à la maison de retraite Orpea du Faubourg de l’Arche à Courbevoie. Peu avant 15 heures ce samedi un départ de feu s’est produit dans cet établissement situé non loin de La Défense, à l’angle l’avenue Puvis de Chavannes et de la rue des étudiants. Le sinistre visiblement accidentel a pris dans un local infirmier au cinquième étage de ce bâtiment qui en compte neuf.
Arrivés rapidement sur place, les pompiers venus avec sept véhicules ont rapidement circonscrit le sinistre à l’aide d’une lance. Aucune victime n’a heureusement été à déplorer mise à part une personne légèrement intoxiquée par les fumées. La maison de retraite qui héberge de nombreux résidents n’a pas été évacuée.
Trois segments du Mur de Berlin sont exposés à La Défense – Defense-92.fr
Alors qu’un peu partout sur le globe des murs poussent pour séparer des peuples l’Allemagne célèbre ce samedi 9 novembre 2019 le trentième anniversaire de la chute du Mur de Berlin. Ce mur érigé dans le plus grand des secrets par l’Allemagne de l’Est durant la nuit du 12 au 13 août 1961 a séparé l’Allemagne et la ville de Berlin en deux parties pendant une trentaine d’années. Cette même nuit quelques 14 500 membres des forces armées soviétiques bloquent les rues et les voies ferrées menant à Berlin-Ouest. Des troupes soviétiques se tiennent prêtes au combat et se massent aux postes frontières des Alliés. D’abord composé de grillages et de barbelés installés autour de Berlin-Ouest, ce mur sera complété par un dispositif en béton et en briques.
C’était il y a trente ans déjà, le 9 novembre 1989, des milliers de berlinois de l’Est se massaient aux abords de la frontière qui les séparent de leurs voisins de l’Ouest depuis presque trois décennies. Durant cette nuit qui restera dans l’histoire, les populations des deux côtés du Mur, surnommé le « Mur de la honte » décident de mettre fin à cette séparation en faisant tomber ce mur, réconciliant ainsi le pays.
Un morceau de Mur qui a coûté 150 000 euros à la ville de Courbevoie et l’Epad
Si le mur n’existe plus aujourd’hui et que l’histoire ne l’a pas oublié il n’a pour autant pas totalement disparu. Après sa chute en 1989, le Mur de Berlin fut démonté et décomposé en 45 000 segments. Chacun de ces segments en béton préfabriqué avait comme dimensions : 3,6 mètres de hauteur sur 1,20 mètre de largeur pour 22 cm d’épaisseur totalisant un poids de 2,75 tonnes.
En décembre 1990, suite à une visite parlementaire l’adjoint au maire de Courbevoie, Jean-Yves Haby, demanda à Erhard Krack, maire de Berlin-Est à l’époque, la possibilité de ramener en France des fragments du mur comme symbole de l’ouverture des frontières entre les deux Allemagnes alors réunifiées. Le maire de Berlin-Est vendit aux enchères à la ville et à l’Epad (Établissement publique d’Aménagement de La Défense, devenu aujourd’hui Paris La Défense) trois segments parmi 250 pour un montant de 300 000 deutsche marks, soit 150 000 euros. L’argent récupéré par cette vente a été investi dans la rénovation des hôpitaux et dans des projets à caractère social dans l’Allemagne de l’Est.
Le Mur de Berlin avec l’élément aujourd’hui présent à La Défense – DR
Ces trois segments seront transportés par la compagnie Carlberson. Mais ces trois morceaux de l’histoire tant convoités resteront ironiquement cachés et oubliés, simplement recouverts d’une bâche et stockés dans un parking. Il faudra finalement attendre 1997 pour que le nouveau maire Jacques Kossowski propose à l’Epad un emplacement. Les trois segments, qui ne forment qu’un morceau seront installés devant la galerie de la Coupole, protégés par des éléments en verre afin d’éviter que des tags viennent recouvrir les peintures de Kiddy Citny, artiste allemand, et du musicien français Thierry Noir, peintes en 1984 le long de la Waldemarstrasse à Berlin (quartier de Kreuzberg), en pleine époque des années punk. Le Mur est prolongé par les éléments vitrés des deux côtés où sont inscrits le nom de grandes villes.
Plusieurs fragments du Mur exposés à travers le monde
Mais depuis la fermeture de la galerie de la Coupole à la fin 2010, ce bout du Mur de Berlin est retombé dans l’oubli. Il reste cependant toujours visible. Un passage pour accéder à la gare de La Défense depuis le pied de la tour Areva, via un escalier mais aussi depuis l’un des couloirs de l’ancienne galerie permet toujours aux passants de pouvoir le contempler, mais plus trop les panneaux de verre qui ont été en partie masqués.
Et il n’y a pas qu’à La Défense que l’histoire de l’après-guerre allemande demeure. Un peu partout sur le globe des fragments ont été exposés en mémoire comme à Los Angeles (États-Unis), à Yokohama à Tokyo (Japon), à Kingston (Jamaïque), à Moscou (Russie), à Londres (Angleterre), à Bruxelles (Belgique) ou encore à la Porte de Versailles à Paris.
Les enseignes du Westfield Les 4 Temps et du Cnit seront ouvertes ce lundi 11 novembre - Defense-92.fr
Pas de pause pour le shopping au Westfield Les 4 Temps et au Cnit. La quasi-majorité des boutiques des 4 Temps ainsi que celles du Cnit seront ouvertes de 10 heures à 20 heure ce lundi 11 novembre, jour de l’Armistice.
Au Westfield Les 4 Temps, l’hypermarché Auchan lèvera ses rideaux de 9 heures à 20 heures (la sandwicherie, le labo photos et le SAV seront fermés et le service de livraison à domicile ne sera pas assuré). Pour les bricoleurs le Castorama sera ouvert de 10 heures à 20 heures et pour les plus jeunes le PickWickToys sera lui aussi accessible de 10 heures à 20 heures. L’UGC Ciné Cité projettera ses films aux horaires habituels dès 9h30. La programmation est à retrouver ici. L’ensemble des restaurants du Westfield seront également ouverts à leurs horaires habituels.
Au Cnit, le Monoprix sera ouvert de 10 heures à 20 heures (le service de livraison ne sera pas assuré), la Fnac de 10 heures à 19 heures et le Decathlon de 9h30 à 20h30. Les restaurants du Cnit seront quant à eux presque tous fermés.
Le Marks and Spencer Food implanté dans la gare de La Défense sera lui ouvert de 10 heures à 20 heures.
Enfin le Monoprix du Faubourg de l’Arche installé le long de l’avenue Leonard de Vinci sera ouvert de 8 heures à 20 heures avec un service de livraison assuré.
Le 18 novembre prochain Chronopost fermera son entrepôt de Nanterre - Defense-92.fr
Implanté depuis 2015 à Nanterre, sur le territoire des Groues, l’entrepôt de Chronopost va bientôt devoir partir. Initialement prévu pour le 3 novembre dernier, le départ de l’entreprise de livraison de colis pour les entreprises et les particuliers, filiale du groupe La Poste, est désormais programmé pour le 18 novembre prochain. A cette date Chronopost qui est locataire des lieux devrait alors déménager son entrepôt de logistique et sa boutique adjacente pour ses clients à Cormeilles en Parisis (95).
Auparavant occupé par Gamblin, cet entrepôt Chronopost d’un peu plus de 4 000 mètres carrés implanté sur un terrain de 20 234 mètres carrés, situé rue Nouvelle à Nanterre est amené à être prochainement détruit. Construit une première fois en 1963 et reconstruit en 1986 pour être agrandi cet entrepôt tout comme plusieurs autres bâtiments du quartier des Groues est devenu la propriété de Paris La Défense il y a environ quatre ans.
De nombreux projets immobiliers pour réaménager les Groues
L’aménageur mène depuis quelques années déjà une vaste opération de réaménagement des 65 hectares des Groues en prévoyant dans les années à venir la construction de 228 000 mètres carrés de logements, de 210 000 mètres carrés de bureaux (PME, Start Up, espaces de coworking), de 13 000 mètres carrés d’hébergement et de 12 500 mètres carrés de commerces et services mais aussi de 23 500 mètres carrés d’activités venant renforcer celles existantes.
Alexandre Guillemaud vient d’être investi chef de file UDI à Nanterre – Defense-92.fr
A moins de cinq mois des élections municipales on se prépare à Nanterre. Alors que l’actuel maire de Nanterre Patrick Jarry (Gauche citoyenne) va se représenter, dans l’opposition on espère bien lui prendre sa place l’année prochaine.
Le centriste Alexandre Guillemaud vient d’être investi chef de file UDI à Nanterre. Il sera second de la liste « Nanterre Ensemble » de Camille Bedin (ex-Les Républicains) qui est désormais sans étiquette.
Âgé de 27 ans et né à Nanterre, Alexandre Guillemaud qui est collaborateur ministériel explique construire un programme « avec et pour » les habitants et affirme avoir réalisé avec Camille Bedin un questionnaire auprès d’un millier d’habitants.
« J’ai envie de continuer à apporter ma volonté, mon envie de faire, pour ma ville de Nanterre, explique Alexandre Guillemaud élu UDI depuis 2014. J’ai envie d’améliorer Nanterre qui a un gros potentiel et qui n’est pas mis en valeur ».
L’élu qui dit regretter un urbanisme « bouger dans le mauvais sens » souhaiterait apporter plus de verdure. Si aucun axe majeur n’a pour l’instant été établi par Camille Bedin et Alexandre Guillemaud le jeune élu espère mettre avant le cadre de vie et l’éducation.
Le secteur SNCF des Groues en septembre 2015 - Defense-92.fr
C’est un tout nouveau quartier qui devrait sortir de terre d’ici 2025. Après la signature le 9 juillet dernier d’un protocole entre la ville de Nanterre et l’Etat, pour l’aménagement du quartier des Groues à Nanterre, un nouveau protocole a été signé cette fois-ci entre la SNCF et l’EPADESA. Ce dernier a été signé par Hugues Parant, le directeur général de l’Etablissement Public d’Aménagement de La Défense Seine Arche (EPADESA) et Sophie Boissard, Directrice générale de SNCF Immobilier, ce 1er septembre 2015.
Le protocole foncier entre l’EPADESA et le Groupe SNCF établit un partenariat sur la durée, entre l’aménageur et l’entreprise publique, sous l’impulsion de l’Etat. Il permet de mobiliser 19 hectares de foncier public pour la réalisation de logements, commerces, services et de bureaux par des promoteurs et investisseurs qui devront acquérir les différents terrains. Par cet accord la SNCF s’engage aussi dans ce projet de mixité urbaine en prévoyant d’ores et déjà d’y développer pour son propre usage des bureaux et des logements.
D’une surface de 76 hectares, le quartier des Groues qui est situé sur la ville de Nanterre, à l’arrière de la Grande Arche de La Défense, est depuis plusieurs années devenu une friche ferroviaire. L’EPADESA souhaite ainsi faire que l’aménagement des Groues incarne sa stratégie pour les dix ans à venir.
Les ambitions de l’EPADESA et de la ville de Nanterre sont de créer un quartier mixte, composé d’une nouvelle offre de logements, en particulier pour le segment intermédiaire et proposer des bureaux permettant d’accueillir les PME-PMI, startups et des espaces de co-working.
A terme, ce qui est surnommé le onzième quartier de Nanterre accueillera plus de 10 000 habitants, soit 340 000 m² de logements sur une superficie de 37 hectares, ainsi qu’une offre importante de commerces. 200 000 m² de bureaux y seront également développés avec la préservation des activités déjà présentes sur ce site.
« Ce protocole avec SNCF est indispensable à la mise en œuvre du projet d’aménagement que portent l’EPADESA et la ville de Nanterre sur les Groues » explique Hugues Parant qui parle d’un projet « ambitieux », « innovant », « avant-gardiste », »dans la droite ligne du projet stratégique et opérationnel de l’EPADESA ». Pour le directeur de l’aménageur de La Défense Seine-Arche, le quartier des Groues deviendra un quartier « où il fait bon vivre, hyper-connecté, suscitant la création, l’innovation et l’étonnement. »
« Dans le cadre de notre protocole foncier avec l’EPADESA, la libération de nos emprises ferroviaires va permettre la construction de nouveaux morceaux de ville en première couronne. La SNCF compte bien y développer des programmes de constructions répondant à ses besoins tertiaires et de logements. Le quartier des Groues est appelé demain à un fort développement» confie pour sa part Sophie Boissard.
Depuis le 28 octobre et jusqu’au 9 décembre prochain le groupe de BTP va démonter le patelage logistique, qui était une sorte de portique pour la décharge des matériaux et enjambait les contre-allées Cnit et Coupole ainsi que la bretelle d’accès au tunnel de La Défense. Cette étape nécessite ainsi des fermetures nocturnes de ces différentes voiries. La grande grue sera elle démontée dès le 2 décembre avant de disparaitre définitivement le 6 janvier prochain.
Déjà libéré en partie depuis plusieurs mois, la place au pied de la tour le sera entièrement d’ici la fin de l’année. Les deux derniers ascenseurs situés au pied de la tour Areva devraient alors être mis en service. Les travaux de réaménagement de la voirie au pied du building vont eux se poursuivre dans les prochaines semaines.
Le planning des fermetures des voiries est à retrouver ci-dessous.
Treize maires des villes concernées par la ligne 15 Ouest du Grand Paris Express Ouest se sont réunis en association pour défendre le projet et demander notamment à la SGP un calendrier précis - Defense-92.fr
De gauche à droite, ils ne veulent parler que d’une seule voix. Treize maires des villes* concernées par la ligne 15 Ouest du Grand Paris Express se sont réunis en association pour défendre le projet qui a du plomb dans l’aile en raison des difficultés à construire la nouvelle gare de La Défense.
Un temps, annoncée pour 2023, puis repoussée à 2025 et enfin à 2030 l’ouverture de la branche Ouest de la 15 du Grand Paris Express qui reliera le Pont de Sèvres à Saint-Denis Pleyel (Seine Saint-Denis) via La Défense et Nanterre est toujours en pleine incertitude.
La SGP avait affirmé travailler à une solution alternative pour trouver un nouvel emplacement pour la gare de La Défense. Cette solution alternative que la SGP espérait dévoiler avant la fin de cette année suscite toujours l’interrogation des différents maires impactés par le projet mais aussi leurs inquiétudes de ne pas voir les choses avancer.
Une association présidée par Patrick Ollier
Et c’est pour se faire entendre que ces maires de treize communes ont décidé de monter l’association « Ligne 15 Ouest 2030 » qui est présidée par le maire de Rueil-Malmaison, Patrick Ollier qui est également le président de la Métropole du Grand Paris (MGP). Patrick Jarry, maire de Nanterre a été lui désigné secrétaire général. Les onze autres maires membres seront chacun vice-président.
« Trop de changements sont intervenus depuis le lancement de ce projet, des décisions stratégiques concernant les communes sont prises sans que les élus locaux, en particulier les maires, en soient informés et y soient associés, s’agace Patrick Ollier dans un communiqué de cette nouvelle association. Cette association sera donc l’interlocuteur permanent de la Société du Grand Paris pour veiller notamment au respect du calendrier, mais aussi pour défendre les intérêts des communes et des habitants, y compris concernant les enjeux environnementaux ».
Car l’incertitude du calendrier de cette branche, l’une des importante du futur réseau du Grand Paris Express inquiète toujours plus. « Cette ligne concerne 600 000 personnes, et nous devons aménager des quartiers entiers dans nos villes pour accueillir des gares qui n’arriveront que cinq ans après, explique Patrick Ollier au Parisien. Elle a déjà accumulé des retards que nous avons du mal à accepter ».
Tout juste constituée, l’association espère désormais rencontrer rapidement le président du directoire de la société du Grand Paris, Thierry Dallard afin d’obtenir des garanties sur calendrier actuel de 2030.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.