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samedi 12 juillet 2025
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La taxe d’habitation aura totalement disparu d’ici 2023 dans les Hauts-de-Seine

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La taxe d'habitation aura totalement disparu dans le département des Hauts-de-Seine d'ici à 2023 - Defense-92.fr

D’ici quatre ans plus aucun français ne payera la taxe d’habitation. Cette mesure qui concernait jusqu’alors 80 % des français à l’horizon 2020 touchera finalement tout le monde d’ici 2023. Annoncé la semaine dernière, dans son discours de politique générale par le Premier ministre Edouard Philippe la suppression totale de la taxe d’habitation touchera les résidences principales pour l’ensemble des foyers, quel que soit le montant de leurs revenus. L’extension de cette mesure permettra ainsi aux 20 % des foyers les plus aisés de ne plus recevoir cette feuille d’impôt.

Dans les Hauts-de-Seine, département le plus riche de France où est implanté le quartier de La Défense à cheval sur les communes de Puteaux, Courbevoie et Nanterre le gain moyen sera de 979 euros par foyer et par an, d’après un calcul révélé par les services du ministère de l’Économie et des Finances. Ce sont 44,45 % des ménages soit 315 530 foyers fiscaux sur 709 893 qui étaient censés continuer à payer la taxe d’habitation au-delà de l’année 2020. Mais finalement ces foyers verront leur imposition locale baisser progressivement dès 2021 -à proportion d’un tiers par an- pour disparaitre totalement en 2023.

A Puteaux l’extension de cette mesure pour les 9 580 foyers (sur 21 036 foyers soumis à la taxe d’habitation pour résidence principale) les plus aisés, leur permettra d’économiser 711 euros en moyenne tandis qu’à Courbevoie les 19 616 foyers (sur 39 290) pourront économiser en moyenne 786 euros et à Nanterre les 9 931 foyers (sur 37 790) pourront compter sur un gain de 618 euros.

Les données commune par commune dans le département des Hauts-de-Seine sont à retrouver ici (document Excel).

Chantier Eole : TSO et Eiffage remportent un gros contrat à 144 millions d’euros

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Le groupement mené par TSO avec Eiffage Rail s’est vu attribuer l’équipement des voies du prolongement d'Eole entre la gare Haussmann - St Lazare et Nanterre - Defense-92.fr

C’est un important contrat que vient d’attribuer la SNCF pour le prolongement d’Eole. Le groupement emmené par TSO avec TSO Catainaires, Eiffage Rail et Sage Rail vient de décrocher le contrat pour l’équipement des voies du RER E prolongé du terminus actuel à Haussmann Saint-Lazare jusqu’à Nanterre pour un montant prévisionnel de 144 millions d’euros.

Ce marché prévoit la construction de seize kilomètres de voies ferrées sur béton en tunnel (huit dans chacun des deux sens) et une douzaine de kilomètres de voies ballast sur la partie en surface dans le secteur de Nanterre. Ces voies desserviront les trois nouvelles gares de la Porte Maillot, La Défense et Nanterre.

Les travaux comprennent également la fourniture et la pose de 73 appareils de voie, des caténaires rigides et souples, et des équipements dans la partie tunnel incluant les passerelles, les colonnes sèches, les chemins de câbles, ainsi que la main courante lumineuse et l’installation de la ventilation temporaire (air et poussière). Le groupement aura en outre en charge le génie civil de signalisation, le cheminement et le déroulage des câbles ainsi que la sécurité ferroviaire.

Et alors que le tunnelier Virginie a débuté il y a quelques mois sa course pour creuser les six kilomètres qui séparent La Défense du terminus Saint-Lazare les travaux du groupement de TSO qui comprennent une phase de préparation préalable de cinq mois, débuteront dès novembre 2019.

Le chantier du reste de la ligne entre Nanterre et Mantes-la-Jolie, soit tout de même 47 kilomètres de voies existantes à réadapter sera lui mené entièrement par Eiffage Rail. L’entreprise se chargera de l’aménagement des garages de remisage des rames comprenant entre autres la dépose des installations ferroviaires existantes, les terrassements et les assainissements des futures voies de garage, la pose des voies et des appareils de voies, le génie civil des entre-voies (réseaux d’eau, d’assainissement et d’électricité) et la pose de clôtures. L’adaptation des gares existantes fait également partie de cet autre marché.

Pour rappel la mise en service d’Eole se fera en deux temps. La première partie jusqu’à Nanterre via La Défense ouvrira fin 2022 tandis que celle vers Mantes-la-Jolie n’interviendra elle qu’en 2024.

Un homme de 89 ans décède d’un arrêt cardiaque devant le Cnit

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Un homme de 89 ans est mort d'une crise cardiaque ce lundi matin devant le Cnit - Defense-92.fr

Malgré tous leurs efforts, le cœur du vieil homme n’a pu repartir. Trois jours après le décès d’un homme de 80 ans, rue de Strasbourg à Courbevoie des suites d’un arrêt cardiaque, un nouvel octogénaire est mort dans les mêmes conditions ce lundi en fin de matinée à La Défense.

Il était environ 10 heures lorsqu’un homme âgé de 89 ans a été victime d’un arrêt cardio-respiratoire, place Carpeaux, devant le Cnit. L’homme a immédiatement été pris en charge par des passants témoins, puis par des agents de sécurité incendie du Cnit avant que les pompiers et le SMUR n’interviennent. Mais malheureusement rien n’y a fait et l’homme a été déclaré mort aux alentours de 11 heures.

Bouygues Télécom va installer ses antennes sur le toit de… l’Église Notre Dame de Pentecôte

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Bouygues Télécom va installer prochainement sur le toit de l’Église Notre Dame de Pentecôte des antennes relais - Defense-92.fr

Les voix du seigneur passeront-elles par la 4G et bientôt la 5G ? C’est sur un bâtiment plutôt insolite que Bouygues Télécom va bientôt installer des antennes relais. L’opérateur va déployer prochainement des antennes 3G et 4G sur le toit de l’Église Notre Dame de Pentecôte qui est située à l’arrière du Cnit pour densifier son maillage.

En tout ce sont cinq antennes qui seront dispatchées sur le toit de l’Eglise avec des fréquences allant de 700 hertz à 2 600 hertz offrant des débits de la 2G jusqu’à la 4G aux clients de Bouygues Télécom. Parmi elles deux seront factices afin de permettre à l’opérateur dans les prochaines années d’augmenter la capacité de son réseau en cas de besoin et l’arrivée prochaine de la 5G.

Des antennes discrètes

Contrairement aux fameux pylônes souvent peu esthétiques visibles sur les toits des immeubles et dans les campagnes, Bouygues Télécom promet des antennes discrètes sur l’Eglise Notre Dame de Pentecôte. « Ça ne va pas dénaturer le site », assure Bruno Guerra, le secrétaire général de Notre Dame de Pentecôte.

Et l’installation de ces antennes sera surtout l’occasion pour l’Eglise de percevoir un loyer non négligeable de la part de l’opérateur. « Ça va nous apporter une redevance mensuel », se réjouit Bruno Guerra. De l’argent qui devrait servir à l’Eglise pour financer ses coûteux travaux d’entretien.

Après avoir obtenu début avril son autorisation administrative auprès de la mairie de Puteaux, ville où est implantée l’église depuis sa construction en 2001, l’installation devrait débuter en août. Il faudra alors compter trois à six mois de travaux et deux mois de réglages pour une mise en service d’ici le début de l’année prochaine.

Dans le quartier de La Défense et à ses abords Bouygues Télécom compte actuellement une vingtaine d’antennes relais.

Samedi vous allez pouvoir replonger dans la saga Matrix à l’UGC

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L’UGC des 4 Temps projettera ce samedi les trois volets de la saga Matrix à l’occasion des vingt ans du premier film - DR

Vous allez pouvoir replonger dans l’univers mystérieux de Matrix. A l’occasion des vingt ans, presque jour pour jour de la sortie du premier film Matrix, l’UGC des 4 Temps va proposer aux fans de revoir les trois films de la saga des sœurs Lana et Lilly Wachowski ce samedi lors d’un marathon spécial. La journée débutera dès 16h30 avec la projection du premier épisode en VOSTF, puis suivra Matrix Reloaded à 19 heures et enfin Matrix Révolutions à 21h50.

Chacune des séances est proposée au tarif spécial de cinq euros. Les abonnés UGC Illimités n’auront pas de frais supplémentaires à payer. Les films pourront être vus indépendamment les uns des autres. Les réservations pour Matrix se font ici, pour Matrix Reloaded ici et pour Matrix Révolutions ici.

L’expérimentation des navettes autonomes prend fin sur un bilan mitigé

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L’expérimentation des navettes autonomes s’est achevée il y a quelques semaines. C’est désormais l’heure du bilan pour ce service qui pourrait peut-être revenir dans le quartier - Defense-92.fr

Elles ont sillonné le quartier d’affaires de manière plus ou moins régulière durant deux ans. Lancée à l’été 2017 par Valérie Pécresse, la présidente de la région Ile-de-France, l’expérimentation des navettes autonomes a pris fin il y a quelques semaines. « Les premiers retours sont décevants car on n’a pas progressé de manière significative pendant la durée de l’expérimentation », explique Marie-Célie Guillaume, la DG de Paris La Défense.

Car depuis leur lancement ces navettes du constructeur Navya opéré par la filiale de la SNCF Keolis, n’ont jamais tenu leur promesse. Le test de ces petits véhicules électriques financés par Ile-de-France Mobilités (IDFM) devait rapidement permettre leur passage en conduite 100 % automatique sans aucun opérateur à bord. Mais cela n’a jamais été le cas.

« Il y avait un objectif c’était de monter la vitesse de la navette pour la rendre attractive, or ça on s’est rendu compte que ça n’avait pas été possible, regrette la cheffe de La Défense. Ensuite le passage en full autonome n’a jamais eu lieu ».

« On est en phase de bilan de l’expérimentation avec Ile-de-France Mobilités pour décider de la suite »

Si les navettes ont su attirer des passagers elles n’ont en revanche jamais trop su s’intégrer dans le paysage du quartier malgré la réorganisation des lignes passées de trois au début de l’expérience à deux à la fin. « Au départ il n’y avait pas de marquage au sol, on l’a rajouté car ça avait été demandé par Navya pour améliorer le signal et il y a eu une confusion d’usages car les cyclistes pensaient que c’était une piste cyclable », poursuit Marie-Célie Guillaume.

Désormais c’est donc l’heure de l’analyse de l’expérience. « On est en phase de bilan de l’expérimentation avec Ile-de-France Mobilités pour décider de la suite », précise Marie-Célie Guillaume. « Personnellement je m’interroge sur l’opportunité de poursuivre l’expérience parce que c’est quelque chose qui impacte beaucoup le site. Dans notre site qui est très occupé par des chantiers et des événements avoir une navette comme ça, c’est très contraignant », estime Marie-Célie Guillaume.

Les conclusions devraient être connues pour septembre et en fonction des retours se posera la question de la pérennisation de ce type de service à La Défense. Et si les navettes devaient revenir de façon définitive un appel d’offres devra alors être lancé par Paris La Défense pour trouver le fournisseur et l’opérateur de ces navettes autonomes.

Pour acheter ses places la Paris La Défense Arena propose maintenant le paiement partagé

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La Paris La Défense Arena vient de nouer un partenariat avec la start-up PLEDG afin de proposer aux spectateurs le paiement partagé - Defense-92.fr

Alors que Mylène Farmer poursuit à la Paris La Défense Arena son marathon des neuf concerts, la grande enceinte multimodale du quartier d’affaires vient de nouer un partenariat avec la start-up PLEDG pour proposer le paiement partagé. Il est désormais possible aux groupes de payer leurs places sans qu’une seule personne n’ait à avancer les frais pour le reste.

Cette nouvelle fonctionnalité directement intégrée à la page de paiement de la billetterie du site internet de l’arena fonctionne très simplement. Au moment de la commande, la personne effectuant la réservation des places va renseigner les mails des personnes qui l’accompagneront. Elles auront alors un temps imparti pour payer leur part.

« Avec Pledg, nous renforçons aujourd’hui le dispositif digital et numérique de notre billetterie pour répondre aux nouveaux enjeux du paiement et aux attentes de notre clientèle toujours plus jeune et plus nombreuse », déclare Damien Rajot, le directeur général de Paris La Défense Arena.

Chez la start-up bretonne la satisfaction est aussi de mise et elle promet de bonnes retombées pour l’enceinte, terre du Racing 92. « Chez nos partenaires actuels, notre solution booste déjà le panier moyen de 30 % et génère un chiffre d’affaires additionnel qui peut atteindre 7 %. PLEDG sera donc pour Paris La Défense Arena un excellent outil de vente et d’acquisition de nouveaux clients », assure Agnès Chaba, directrice commerciale et marketing de PLEDG.

Viva l’Opéra : la saison s’achève ce vendredi avec Don Giovanni à l’UGC des 4 Temps

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L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2018 - 2019 - DR

La neuvième saison de Viva l’opéra touche à sa fin. Alors que la programmation de la dixième saison de Viva l’Opéra a été dévoilée il y a quelques semaines, la neuvième saison va s’achever ce vendredi à l’occasion de la Fête de la musique. Pour cet ultime rendez-vous de l’année c’est l’opéra « Don Giovanni » de Wolfgang Amadeus Mozart qui sera diffusé ce vendredi 21 juin à l’UGC des 4 Temps en direct du Palais Garnier de Paris. La projection de cette œuvre de 3h30 (coupée d’un entracte de trente minutes) se fera à 19h30 dans la salle 16, la plus grande du complexe.

La mise en scène de cette œuvre est réalisée par Ivo Van Hove, la direction musicale par Philippe Jordan, les décors & lumières par Jan Versweyveld et les costumes par An D’Huys. Côté distribution les spectateurs retrouveront Etienne Dupuis (dans le rôle de Don Giovanni), Ain Anger (Il Commendatore), Jacquelyn Wagner (Donna Anna), Stanislas de Barbeyrac (Don Ottavio), Nicole Car (Donna Elvira), Mikhail Timoshenko (Masetto), Philippe Sly (Leporello) et Elsa Dreising (Zerlina).

Les projections sont proposées au tarif de 10 euros pour les moins de 26 ans, 25 euros avec la carte UGC Illimité et 30 euros au plein tarif.

Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places en ligne sur Vivalopera.fr

Le nouvel aspirateur V11 de Dyson s’affiche sur le Cnit

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Dyson et son aspirateur V11 s’affiche jusqu’à la fin du mois sur la façade du Cnit - Defense-92.fr

Après l’immense publicité de Samsung c’est désormais autour de Dyson de s’afficher sur la grande façade vitrée du Cnit. Jusqu’à la fin du mois le spécialiste des aspirateurs sans sacs fait la promotion de son dernier né, le V11 avec une publicité adhésive d’un millier de mètres carrés.

Ce support hors-normes pouvant offrir une surface jusqu’à 3 000 mètres carrés tout comme celui de la façade des 4 Temps est commercialisé par Athem & Skertzò pour le compte d’Unibail-Rodamco-Westfield, le propriétaire des deux centres. Outre les nombreuses campagnes que s’est offert Samsung ces dernières années, plusieurs marques se sont succédées sur le Cnit depuis la commercialisation de ce support, comme Qatar Airways, Nike, Audi, Leff ou encore Seat et Volkswagen et dernièrement Samsung.

Un octogénaire décède d’une crise cardiaque rue de Strasbourg à Courbevoie

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Un homme de 80 ans est décédé ce vendredi d’une crise cardiaque, rue de Strasbourg à Courbevoie - Defense-92.fr

Les secours n’ont rien pu faire. Un homme âgé de 80 ans est décédé des suites d’un arrêt cardiaque ce vendredi, devant le 83 rue de Strasbourg à Courbevoie, non loin de La Défense. Appelés à 11h35, les pompiers sont arrivés seulement cinq minutes plus tard pour tenter de sauver l’octogénaire. Mais malgré une réanimation cardio-pulmonaire (un massage cardiaque) de presque une heure et l’appel du SMUR, les secouristes n’ont rien pu faire et l’homme a été déclaré mort vers 12h30.

Chaque année en France entre 40 000 et 50 000 personnes perdent la vie suite à un arrêt cardiaque. Selon une étude de 2018 conduite par une équipe de l’université de Lille, l’âge moyen d’une victime d’arrêt cardiaque extrahospitalier est de 68 ans. 63 % sont des hommes, 75 % des cas se produisent à domicile, 1,8 % des enfants de moins de 15 ans.

Moins de 30 % de la population a été formée à pratiquer un massage cardiaque

Pour sauver une victime il faut commencer une réanimation dans les quatre minutes qui suivent l’arrêt. Après chaque minute qui passe c’est 10 à 12 % de chance de survie en moins. En France le taux de survie à un arrêt cardiaque extrahospitalier n’est que de 2 à 3 %. L’intervention d’une personne pratiquant la réanimation cardio-pulmonaire et la défibrillation peuvent augmenter les chances de survie de 5 % à plus de 50 % de la victime.

Le manque de formation des témoins et bien souvent l’absence de défibrillateurs automatiques présents à proximité d’une victime rend ses chances de survie faible. « Sept fois sur dix, ils surviennent (les arrêts cardiaques, ndlr) devant témoin, mais moins de 20 % de ces témoins font les gestes de premiers secours », explique la Fédération Française de Cardiologie. Actuellement, on estime que moins de 30 % de la population a été formée et que chaque année environ un million de personnes participent à une séance de formation (courte d’une heure environ ou longue d’une durée de 7 heures environ), avec une importante hétérogénéité départementale.

Pour former chacun.ne aux gestes qui sauvent les Sapeurs-pompiers mais aussi la Croix Rouge ou la Sécurité Civile organisent régulièrement gratuitement des formations.