L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2017-2018 - DR
La huitième saison de Viva l’Opéra se poursuit en ce mois de mars à l’UGC des 4 Temps avec la diffusion jeudi de l’opéra « Werther » de Jules Massenet. Ce jeudi 22 mars à 19h30 le multiplexe des 4 Temps diffusera dans la salle 16, la plus grande du complexe, cette œuvre de 2h38 coupée d’un entracte de vingt minutes, filmée au Royal Opera House of London, dont la mise en scène a été assurée par Benoît Jacquot et la direction musicale par Antonio Pappano. Côté distribution les spectateurs pourront retrouver Vittorio Grigolo Remigio (dans le rôle de Werther), Joyce DiDonato (Charlotte), David Bizic (Albert), Heather Engebretson (Sophie), Jonathan Summers (Le Bailli), Yuriy Yurchuk (Johann), François Piolino (Schmidt), Rick Zwart (Brühlmann) et Emily Edmonds (Käthchen).
Les projections sont proposées au tarif de 10 euros pour les moins de 26 ans, 25 euros avec la carte UGC Illimité et 30 euros au plein tarif, avec toujours la possibilité de souscrire un abonnement pour cinq opéras et ballets à 130 euros en plein tarif.
Pour la suite du programme, l’UGC des 4 Temps proposera « La dame de Pique » le 12 avril ; « Le Corsaire », le 26 avril et « Faust », le 31 mai.
Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places en ligne sur Vivalopera.fr
Les champions du monde de France 98 fêteront le 12 juin prochain à la U Arena le vingtième anniversaire du sacre des bleus par un match de gala - DR
Du rugby au foot. Les champions du monde de 1998 fêteront le 12 juin prochain à la U Arena le vingtième anniversaire du sacre des bleus par un match de gala, a annoncé il y a quelques jours la chaine TF1, l’organisateur de l’événement qui le retransmettra en direct.
Deux jours avant le lancement de la Coupe du monde en Russie tous les joueurs de 98, hormis Didier Deschamps, en pleine préparation du Mondial 2018, sont attendus sur la pelouse synthétique de l’U Arena, terre de l’équipe de rugby du Racing 92. Pour l’équipe d’en face qui devrait réunir d’ex-grands joueurs internationnaux, Laurent Blanc a assuré qu’il allait prendre son téléphone pour inviter des grands noms. Il compte tenter de convaincre notamment le croate Slaven Bilic, celui là même qui avait provoqué son expulsion en demi-finale du Mondial.
Les organisateurs de l’événement espèrent attirer 30 000 personnes dans les tribunes de la U Arena. Les billets mis en vente dès le 21 mars prochain seront vendus de 15 à 30 euros et jusqu’à 100 euros pour la catégorie or.
Jusqu'au 28 mars les enseignes des 4 Temps et du Cnit proposent de nombreuses promotions - Defense-92.fr
Des réductions à la pelle. Depuis le 16 mars et jusqu’au mercredi 28 mars de très nombreuses enseignes des 4 Temps et du Cnit proposent des promotions pour les « Unexpected Fashion ». Distribués dans le centre, les chéquiers proposent une multitude de remises. A retrouver entre autres 10 euros de remise dès 80 euros d’achat chez Courir, – 20 % sur tous les produits de la boutique Aubade, – 10 euros pour 50 euros d’achat chez C&A ou encore -20 % de remise pour une commande chez KFC.
Le Racing 92 l'a emporté (28-22) face au Stade Français - Racing 92
Alors qu’ils avaient mal débuté la première mi-temps face au Stade Français en étant menés 14-7, les joueurs du Racing 92 ont réussi à renverser la tendance lors de la seconde période de ce premier derby à la U Arena pour l’emporter 28-22. Car il faut dire que les racingmen ont eu droit à un remontage de bretelles de la part de Jacky Lorenzetti. Au vestiaire durant la mi-temps, le président du club a tapé du poing sur la table vivement agacé par la prestation de ses joueurs pas à la hauteur pour ce derby en TOP 14 tant attendu.
A la fin du match les supporteurs des deux camps étaient invités par le Racing 92 à poursuivre la fête ensemble en assistant sur l’écran géant de la U Arena à la rencontre France – Pays de Galles diffusée en direct depuis Cardiff. Et avant le début de ce match du tournoi des VI Nations où la France s’est inclinée (13-14), les quelques centaines de personnes encore présentes ont pu visionner les trente dernières minutes de l’autre rencontre des VI Nations, le match Angleterre – Irlande.
Des passagers de la ligne L en gare de La Défense - Defense-92.fr
Les trois prochains mois promettent d’être synonyme de grosse galère pour les usagers du Transilien. Opposée à la réforme de la SNCF, l’intersyndicale de l’entreprise ferroviaire a choisi d’opter pour une méthode de grève inédite. A défaut de pouvoir tenir un mouvement long et continu dans le temps, les cheminots ont opté pour une grève au rythme de deux jours sur cinq d’avril à juin prochain. Le trafic devrait durant ces trente-six jours être très compliqué pour les millions d’usagers de la SNCF et du Transilien en Ile-de-France. « Mieux vaut trois semaines de grève que 30 ans de privatisation », expliquent ainsi les syndicats qui souhaitent ainsi mettre la pression sur le gouvernement pour le faire renoncer à son projet.
Voici le détail des jours de grève annoncés par les syndicats. Pour chacun des trois mois il y aura douze jours de grève. En avril les perturbations seront les 3, 4, 8, 9, 13, 14, 18, 19, 23, 24, 28 et 29. Pour le mois de mai il s’agira des mêmes dates. Enfin en juin, les jours de grève seront le 2, 3, 7, 8, 12, 13, 17, 18, 22, 23, 27 et le 28.
Et les choses promettent aussi d’être compliquées à la RATP puisque un appel à cesser le travail, cette fois-ci pour une journée, a été lancé par plusieurs syndicats le 22 mars prochain.
Les prévisions de trafic seront connues au fur et à mesure du conflit qui pourrait s’annoncer comme le plus dur depuis les grèves de 1995.
L'ancienne école d'architecture de Paris La Défense est laissée à l'abandon depuis juillet 2004 - Defense-92.fr
Depuis l’été 2004 le bâtiment est laissé à l’abandon. Aujourd’hui en proie aux pilleurs, tagueurs, casseurs et urbexeur, l’ancienne école d’architecture de Nanterre située à quelques pas de La Défense en bordure du parc André Malraux pourrait peut-être s’offrir un nouvel avenir ou alors tout simplement disparaître…
La marie de Nanterre vient en effet de proposer ce site ainsi que celui du CASH (Centre d’Accueil et de Soins Hospitaliers) pour la deuxième édition de l’appel à projets d’ « Inventons la Métropole du Grand Paris », présentée ce jeudi au Mipim, le salon international des professionnels de l’immobilier à Cannes (06). Trente villes d’Île-de-France ont proposé quarante-trois sites. L’objectif de cette opération est d’offrir des nouveaux lieux à aménager. Les terrains sont alors cédés par les communes et les territoires aux promoteurs qui doivent développer des projets innovants. Une première sélection sera faite par le jury en septembre et les lauréats définitivement connus en mai 2019.
En septembre dernier l’Etat propriétaire de cette école d’architecture construite dans les années 70 avait mis en vente le bâtiment pour la somme rondelette de 13 millions d’euros. Inquiet Serge Kalisz, le fils de Jacques Kalisz co-architecte avec Roger Salem avait exprimé son inquiétude de voir le bâtiment détruit par un repreneur.
L'hôtel CitizenM de La Défense a ouvert face à la U Arena en juin dernier - Defense-92.fr
Présenté pour les Mipim Awards, en marge du Mipim, le salon international des professionnels de l’immobilier à Cannes (06), l’hôtel Citizen M n’a pas remporté de trophée. Le bâtiment conçu par StudioMAAC qui héberge depuis juin dernier le long de la promenade de l’Arche à Nanterre, face à la U Arena la jeune chaine Citizen M concourait dans la catégorie « Meilleur complexe hôtelier et touristique ». Il faisait face aux ouvrages « Six Senses Zil Pasyon » (Seychelles, Félicité Island), « Off Paris Seine » (Paris) et « Catholic-Social Institute Michaelsberg Abbey » (Allemagne, Siegburg). Et c’est ce dernier complexe qui a raflé le prix.
Les gagnants ont été sélectionnés à la fois par les participants au salon qui pouvait voter pour les projets de leur choix, mais également par les membres du jury. Le choix du jury a pesé à 50 % dans la sélection des vainqueurs, à égalité avec le vote des participants. Le jury été composé d’experts internationaux de l’immobilier est présidé cette année par Méka Brunel, directrice générale de Gecina.
La dernière fois qu’un immeuble a remporté un trophée dans cette cérémonie remonte à 2011 dans la catégorie « Immeubles de bureaux rénovés ». Il s’agissait alors de la tour First, fraichement inaugurée. En 2014, la tour Majunga, présentée par son propriétaire Unibail-Rodamco qui concourait dans la liste des « Projet écologique le plus innovant » avait en revanche échoué.
The Best Hotel & Tourism Resort prize goes to the Catholic-Social Institut Michaelsberg Abbey (Germany). Developer: Archdiocese of Cologne. The architects, from meyerschmitzmorkramer, accepted the prize. Bravo to this exceptional project! #MIPIM#MIPIMAwardspic.twitter.com/d51zuPBxhC
L'immeuble Berkeley doit être complètement restructuré - Studios Archiecture / GCI / Benson Elliot
Que vont faire General Continental Investissement (GCI) et Benson Elliot de leur vieil immeuble Berkeley ? Situé à Courbevoie en bordure du boulevard circulaire, non loin de l’Arche, le bâtiment de bureaux daté des années 70 fait depuis une décennie l’objet d’un vaste projet immobilier porté par ses propriétaires, GCI et Benson Elliot. Les deux investisseurs souhaitaient dès 2008 raser l’édifice pour y construire Ava, une tour de 59 000 mètres carrés sur 142 mètres de haut dessinée par Manuel Gautrand.
Sauf que tout ne s’est pas passé comme prévu. Son voisin, Fiducial, très hostile au projet a déposé un recours qui a figé pendant des années Ava. Depuis les choses se sont arrangées pour les deux financiers qui ont vu leur permis de construire définitivement purgé par les différentes instances judiciaires. Le contexte a lui aussi bien évidement évolué en dix ans.
Et désormais le duo d’investisseurs planche sur un nouveau projet, le « New Berkeley », imaginé par Studios Archiecture. Le projet consistant en une lourde restructuration de l’existant. « Nous allons développer un immeuble neuf, étendu avec des plateaux plus grands », détaille Alexander Raingold, directeur du développement de GCI, une société familiale d’investissement dans l’immobilier tertiaire. Chacun des huit niveaux de bureaux passerait ainsi de 1 800 à 2 200 mètres carrés. L’objectif étant de porter la surface de l’immeuble à 22 000 mètres carrés utiles.
« Le New Berkeley sera très innovant »
« L’immeuble sera très innovant et très visible », s’enthousiasme l’homme d’affaires qui précise que New Berkeley resterait dans la classification « code du travail », moins contraignante en coût de charges et offrira « les meilleurs labels environnementaux ». La grande révolution du New Berkeley se fera aussi à son pied. Alors qu’aujourd’hui toute une partie du socle de l’ouvrage est dédiée à un parking logé sous le boulevard circulaire, demain les deux groupes immobiliers veulent le transformer pour y créer l’entrée du nouveau bâtiment afin de la rapprocher du hub des transports. Conséquence du changement, le parking sera réduit en capacité pour passer de 400 places à 300 places.
« Le New Berkeley sera très innovant », promet Alexander Raingold qui détaille quelques-uns des services prévus : « On va créer un lieu de destination avec en plus des bureaux, de la restauration moderne et innovante, du fitness, une conciergerie,…) ».
Si Ava n’est pas officiellement abandonnée par GCI et Benson Elliot, Alexander Raingold précise que la décision sera prise avant l’été, en admettant qu’il y plus de chances que le New Berkeley remporte la mise. « On a toujours aimé Ava mais on aime beaucoup le New Berkeley restructuré, allongé et rapproché des transports. Pour nous (ce projet, ndlr) a un gros sens d’investissement et locatif », explique Alexander Raingold. Car le coût des deux projets n’est évidemment pas le même avec un budget travaux d’environ 55 millions d’euros pour la restructuration du Berkeley contre environ 300 millions d’euros pour Ava.
Pour le calendrier, Alexander Raingold indique vouloir livrer le New Berkeley pour la fin 2019. Et si Ava venait à se faire ce serait un peu plus tard. Pas avant 2022.
Emin Iskenderov, devant la maquette de son projet Hermitage Plaza - Defense-92.fr
C’était il y a tout juste neuf ans. Le 11 mars 2009, le jeune promoteur russe Emin Iskenderov dévoilait en grande pompe au MIPIM (le marché international de l’immobilier à Cannes) son méga projet de construction de tours jumelles Hermitage Plaza. Dessinés par l’architecte britannique Norman Foster, les deux buildings de 85 et 86 étages devant culminer à 320 mètres de haut ambitionnent d’héberger en front de Seine à Courbevoie -en remplacement d’une partie des résidences des Damiers-, des logements de luxe, bureaux, complexe hôtelier ou encore commerces.
D’abord annoncé pour 2016, puis 2020 le businessman espère désormais voir aboutir son projet pharaonique pour 2024, juste avant les Jeux Olympiques. Un important retard qu’explique Emin Iskenderov par les complexités administratives pour obtenir ses permis. « On ne s’attendait pas à ce que ce soit aussi compliqué de lancer un projet d’une telle taille. Nous nous sommes aperçus que la France ne disposait pas de réglementation pour les tours de très grandes hauteurs. Le PLU de Courbevoie a dû être changé », narre t-il. Il impute aussi surtout ce report à « une pluie de recours » déposés par des voisins hostiles à son projet. « Beaucoup de gens ont essayé de profiter de la situation », lâche Emin Iskenderov énumérant les trente-cinq procédures lancées depuis une dizaine d’années. Et le patron d’Hermitage n’a pas de mots assez durs contre les dix-sept locataires encore présents qui voudraient selon ses dires « profiter de la situation » en faisant « un chantage financier » afin d’obtenir « chacun 200 000 euros ». « Nous on a refusé çà, on s’est dit on va se bagarrer », poursuit le promoteur russe affirmant avoir fait entre « quinze et trente propositions par famille ».
Une procédure d’expulsion pour neuf locataires des Damiers Bretagne
Aujourd’hui le promoteur a le sourire, expliquant être venu à bout de la quasi-totalité des recours. Sauf que l’avocate de l’association Vivre à La Défense, Armelle de Coulhac-Mazérieux conteste: « Nous avons encore une vingtaine de procédures, au civil et au pénal et aussi des recours administratifs ». L’association qui regroupe plusieurs habitants des Damiers Anjou et Bretagne devant être démolis, conteste toujours la validité des permis de construire du projet. Elle dénonce également l’accord signé en 2017 entre le promoteur et l’ASL mais aussi le protocole conclu avec l’ex-Epad en 2010 avec Hermitage. Un retard que le promoteur entend bien faire payer aux derniers locataires (sur les 250 appartements) en leur réclamant 60 millions d’euros. L’avocate demande elle 600 000 euros de dommages et intérêts pour ses clients. Interrogé sur les montants déjà versés à Logis Transpots, l’actuel propriétaire des Damiers Anjou, Bretagne et Infra, pour les acquisitions à venir et les compensations de loyer, le promoteur affirme avoir déjà payé 35 millions qui ont permis au bailleur la création de « 300 nouveaux logements sociaux ».
Reste qu’Hermitage se félicite d’avoir dernièrement remporté (via Logis Transports) plusieurs procédures. Le tribunal administratif de Courbevoie a en effet prononcé le 27 février dernier un avis d’expulsion avec « effet immédiat » pour neuf des dix-sept derniers récalcitrants à partir vivant dans le bâtiment Bretagne. Une même procédure pour ceux d’Anjou doit être lancée par Hermitage et Logis Transports. Mais tout n’est pas pour autant plié puisque Armelle de Coulhac-Mazérieux annonce d’emblée qu’elle va faire appel de la décision.
Une autre procédure -jugée elle légitime par Emin Iskenderov-, engagée cette fois par les propriétaires des tours voisines Axa (First) et Allianz (Neptune) a elle été tranchée en décembre par la cour administrative d’appel de Versailles qui a rejeté l’un des trois permis. La nouvelle demande déposée dans la foulée par Hermitage comprend désormais une augmentation des logements sociaux étudiants (210 contre 136 auparavant) avec de meilleurs espaces communs ainsi qu’une répartition différente des 1 320 places de parkings. Un permis modificatif qu’Emin Iskenderov espère maintenant obtenir dans les prochaines semaines lui permettant ainsi de boucler définitivement son financement et lancer les premiers coups de pioche de son chantier titanesque à l’été prochain.
Des recours qui auront finalement été « un mal pour un bien » admet Emin Iskenderov : « Finalement, c’est une bonne chose d’avoir mis autant de temps, car le marché est bien meilleur maintenant avec les JO, le Brexit, la réforme de l’ISF, la baisse des impôts sur les sociétés ».
Un projet chiffré à 2,5 milliards d’euros
Quant au financement de ce méga projet chiffré à 2,5 milliards d’euros (HT), Emin Iskendrov reste encore relativement discret préférant attendre que son permis modificatif lui soit délivré. Il apporte toutefois quelques nouvelles précisions. « Nous investissons en fonds propres 223 millions d’euros », précise-t-il. Le promoteur espère céder l’une des deux tours -celle avec la partie hébergeant des bureaux- en VEFA pour 1,5 milliard d’euros à « un grand fonds d’investissement européen ». Pour le reste Hermitage qui s’est associé avec le groupe Bouygues Construction -qui en plus de réaliser les travaux a pris une part minoritaire dans le projet- déclare avoir obtenu un financement à hauteur de 1,2 à 1,5 milliards auprès de deux grandes banques françaises ainsi que des établissements financiers européens. Accusé de spéculer sur ce projet, le boss ‘’Hermitage qui se dit parfois victime d’une campagne « anti-russe » s’offusque « Nous ne sommes pas des spéculateurs ou des monteurs d’opérations. Nous avons des groupes chinois (citant notamment le groupe Greenland, ndlr) qui nous ont proposé des sommes tellement alléchantes que beaucoup auraient lâché l’affaire, mais nous on s’est engagés à réaliser ce projet quelles que soient les difficultés ».
Et toujours selon lui les 37 000 mètres carrés de bureaux seraient en passe de trouver preneur auprès d’une grande entreprise américaine qui souhaiterait implanter son siège en Europe. Le complexe hôtelier de 32 000 mètres carrés intéresserait également un opérateur. « Nous sommes en négociation avec un grand groupe hôtelier qui n’est pas encore présent en Europe et souhaite ouvrir un flagship », se réjouit Emin Iskenderov. Quant au prix des 488 luxueux appartements leur prix serait toujours de l’ordre des 12 000 euros le mètre carré. Leur vente devant permettre ainsi de rembourser tout au long du projet, les investisseurs.
Un financement qui interroge toujours Armelle de Coulhac-Mazérieux. L’avocate brandit un « commandement de payer valant saisie immobilière du 3 juillet 2017 », portant sur un prêt relais de 8,5 millions d’euros contracté en 2016 par Hermitage auprès d’une société panaméenne. Avec un taux d’intérêt de 15 %, le montant dû serait à ce jour d’environ 10 millions d’euros. « Si le promoteur n’est pas capable de rembourser un prêt de 8,5 millions d’euros alors comment il peut financer un projet à 3 milliards d’euros ? », questionne Armelle de Coulhac-Mazérieux. Des affirmations que rejette fermement Emin Iskenderov réfutant tout prêt de ce genre et dénonçant un « faux document ».
Une grande statue pour rendre hommage à Napoléon
Malgré tout Emin Iskenderov garde le sourire et ne cache pas son optimisme : « Les tours Hermitage seront le nouveau symbole de La Défense mais aussi de La France afin de montrer la grandeur de ce pays ». Et la construction des tours sera un important créateur d’emplois avec 5 000 créations dont 3 000 en direct argumente le patron d’Hermitage toujours aussi fier de porter son projet au nom de la France…
Une fierté qu’il promet d’ailleurs de manifester par un hommage à Napoléon en érigeant sur la vaste place publique de deux hectares au pied des tours, une statue à son honneur. Là même où ses cendres étaient restées durant plusieurs jours en 1840 avant d’être transférées aux Invalides. Rendez-vous est donc désormais pris pour cet été pour le début du chantier de démolition…
Thierry Lhermitte sera de passage ce mardi à l'UGC des 4 Temps pour présenter son nouveau film "La Finale" - DR
L’acteur Thierry Lhermitte connu pour ses multiples rôles au cinéma sera de passage à La Défense ce mardi 20 mars à 20 heures. Le comédien viendra présenter « La Finale », le nouveau film du réalisateur Robin Sykes dont il est l’acteur principal aux côtés de Rayane Bensetti, Émilie Caen et Cassiopée Mayance. Il devrait en outre être accompagné par une partie de l’équipe du film dont le réalisateur.
Voilà le speech du film qui sortira le lendemain, le mercredi 21 février : Toute la famille Verdi est aux petits soins pour s’occuper de Roland, le grand-père, qui perd un peu la boule ces derniers temps. Tous sauf JB, l’ado de la famille, qui n’a qu’un seul but : monter à Paris pour disputer sa finale de basket. Mais ses parents, bloqués ce week-end-là, lui demandent d’y renoncer pour surveiller son grand-père. JB décide alors de l’embarquer avec lui… Pendant ce voyage, rien ne se passera comme prévu…
Les places pour cette séance sont vendues au tarif normal. Les réservations peuvent se faire sur le site Ugc.fr, l’appli Ugc Direct ou les places peuvent être achetées directement aux caisses du cinéma.
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