Neuf jeunes de 25 et 26 ans, tous originaires de ce quartier de Nanterre, ont été interpellés et écroués pour avoir mis en place trafic d’herbe et de résine de cannabis. Tout le réseau est tombé, du chef au dealer en passant les « lieutenants » et une nourrice, précise le quotidien.
Lors des perquisitions, 33 000 euros, près de 5 kilos de résine de cannabis et 270 grammes d’herbe ont été saisis dans les appartements et les parties communes. Les policiers ont également mis la main sur deux pistolets automatiques non chargés et deux gilets pare-balle. Mais aussi sur du matériel de découpe et de conditionnement ainsi que sur des feuilles de comptes.
Le réseau qui proposait ses produits au pied des tours Aillaud pouvait attirer entre 60 et 70 transactions par jour. Et comme le précise Le Parisien, ce trafic avait évidemment un impact sur les habitants du quartier, bien souvent terrorisés à l’idée de dénoncer les agissements des trafiquants.
Pour se fournir le réseau réalisait des allers-retours effectués depuis le sud de l’Espagne. Les suspects écroués ont déjà pour la plupart des antécédents judiciaires de trafic de stupéfiants. Ils ont été placés dans des maisons d’arrêt différentes de la région parisienne afin qu’ils ne communiquent pas entre eux.
Econocom va quitter d'ici cet été son siège de Puteaux, quai Dion Bouton - Defense-92.fr
En mars dernier, lors de la présentation des résultats annuels en demi-teinte d’Econocom, Jean-Louis Bouchard, avait prévenu qu’il faudrait faire des économies. Le PDG de l’entreprise spécialisée dans les services liés à la transformation numérique a concrétisé ses paroles en annonçant le 1er juillet dernier à ses salariés qu’il allait fermer son siège putéolien, relate le site internet Channelnews.fr. Conséquence les 500 salariés du siège basé quai Dion Bouton à Puteaux, non loin de La Défense vont devoir faire leurs cartons durant l’été.
Mais alors qu’une rumeur d’agrandissement de ses bureaux putéoliens a un temps circulé, l’entreprise a préféré faire des économies en sacrifiant son siège de 5 000 mètres carrés qu’il a mis en vente. Selon Channelnews.fr les salariés de ce siège seront répartis sur le site de Clichy qui héberge notamment un centre de services, et du Plessis-Robinson, où avaient emménagé en juillet 2016 près de 500 collaborateurs des équipes services en provenance du site historique d’Osiatis à Vélizy (dont Exaprobe). Les derniers occupants devront avoir quitté les lieux au plus tard fin septembre, précise Channelnews.fr.
D’après ce plan il est prévu que la direction générale et les équipes leasing rejoignent les équipes de Clichy, tandis que le reste des troupes issus des fonctions support (notamment la DSI) aille au Plessis-Robinson.
Basé jusqu’en 2013 à Nanterre, Econocom avait choisi son immeuble de Puteaux niché au-dessus d’une station BP pour en faire la vitrine du groupe. Econocom avait alors particulièrement bien soigné ses aménagements intérieurs rappelle Channelnews.fr.
L'ancien hôtel du département des Hauts-de-Seine en juin 2018 - Defense-92.fr
En plus de trente ans il en a vu défiler des personnalités politiques de la droite altoséquanaise. De Charles Pasqua à Nicolas Sarkozy en passant par Patrick Devedjian son dernier locataire, l’ancien Hôtel du département accolé à la préfecture est désormais de l’histoire ancienne. Les élus du département ont approuvé ce lundi la cession pour 101 millions d’euros de ce bâtiment de 40 000 mètres inauguré en 1987 par Jacques Chirac, alors Premier ministre.
La transformation de l’ancien hôtel du département pourrait s’achever en 2023 – IDA+/NouvelleAOM
Mis en vente en janvier 2018, l’ancien Hôtel départemental délaissé par ses fonctionnaires quelques mois plus tard au printemps de la même année va être acquis par Novaxia, un investisseur spécialiste dans la transformation urbaine. L’offre de Novaxia a été distinguée parmi les douze autres par le département et la ville de Nanterre puisqu’elle était la seule à proposer de conserver l’enveloppe du bâtiment mais aussi à payer comptant sans condition suspensive et sans délai la somme. Une aubaine pour le département alors que l’entretien du bâtiment coûte un million d’euros par an à la collectivité.
« Ne pas démolir c’est le premier acte écologique »
« Démolir ce n’était pas forcement l’idée la plus adaptée à ce site pour des raisons écologiques. J’ai coutume de dire que ne pas démolir c’est le premier acte écologique, explique Joachim Azan, président-fondateur de Novaxia. L’impact de la démolition sur l’empreinte carbone aurait été de 1 150 kg/co2/m2 alors que la rénovation n’est que de 600 ». La conservation du bâtiment va aussi permettre de préserver les quelques 5 000 mètres carrés de jardin situés à son pied.
Le bâtiment de 40 000 mètres carrés sera complètement métamorphosé – IDA+/NouvelleAOM
« Ce bâtiment on l’aime ou on ne l’aime pas, les gens de Nanterre y sont habitués. L’enjeu c’est de considérer ce bâtiment comme un bout d’histoire de Nanterre et de le projeter dans l’avenir », poursuit Joachim Azan. Outre l’aspect écologique et affectif, la destruction de cet immeuble aurait pu être délicate en raison de sa proximité directe avec le Tribunal et la préfecture.
Mais alors que va faire Novaxia pour redonner vie à l’ex-QG du département ? Pour muter ce bâtiment d’une dizaine d’étages souvent qualifié de « passoire thermique » par Patrick Devedjian, Novaxia a confié la transformation à un trio d’architectes réunis dans l’agence Nouvelle AOM (Nouvelle agence pour l’opération Maine-Montparnasse fondée par ChartierDalix Architectes, Franklin Azzi Architecture, et Hardel Le Bihan Architectes). L’immeuble sera déshabillé de sa façade aujourd’hui datée pour être remplacée par un voile de verre. Le nouvel immeuble sera ancré sur 5 000 mètres carrés de pelouse, disposant de 3 100 mètres carrés de balcons et toitures paysagers, d’un jardin intérieur et de serres agricoles.
Un campus urbain de 40 000 mètres carrés agrémenté d’un parc de 5 000 mètres carrés
L’objectif est d’en faire un véritable campus urbain de 40 000 mètres carrés hébergeant des bureaux, des espaces de coworking, une crèche mais aussi des espaces de sports et de restauration. Mais pas que…
La façade du bâtiment sera complètement changée – IDA+/NouvelleAOM
L’ancien hémicycle chargé d’histoire ou tant de débats houleux se sont produits serait conservé. « On pourrait y faire un auditorium ouvert, une salle événementielle, imagine Joachim Azan. Notre idée c’est de capitaliser sur l’histoire du bâtiment ».
Un mur d’escalade, une fosse de plongée ou des salles de sport ?
Si la programmation n’est pas encore clairement définie, Joachim Azan promet un bâtiment plein de surprises avec pourquoi pas un mur d’escalade, une fosse de plongée ou des salles de sport. Des idées saugrenues ? Pas tant que ça puisque Novaxia qui s’est spécialisé dans ce genre de défis urbains va prochainement transformer l’ancienne station de métro abandonnée Croix-Rouge sur la ligne 10 à Paris en un bar restaurant.
Le projet devrait être lancé en blanc, c’est-à-dire sans qu’un ou des locataires ne soient trouvés avant le début des travaux. Mais avant, Novaxia lancera sa demande de permis de construire d’ici six mois. La mutation devrait alors durer 24 mois et c’est en 2023 que le bâtiment repartira pour une nouvelle vie.
Le nouveau bâtiment devrait intégrer de nouveaux services inédits – IDA+/NouvelleAOM
La DIRIF vient d’équiper le tunnel de Nanterre - La Défense de 400 bornes permettant d’étendre la géolocalisation à son ensemble - Defense-92.fr
Si La Défense a bien un talon d’Achille, c’est son système routier… Qui ne s’est jamais arraché les cheveux en cherchant désespérément à bord de sa voiture une adresse ? Bon le soucis n’est toujours pas réglé dans les nombreuses voies de dessertes intérieures mais il l’est désormais dans le tunnel de l’A14 (Nanterre – La Défense). Car le problème à La Défense ce sont les surcouches de voiries qui empêchent bien souvent le fonctionnement des GPS qui s’y perdent et du coup qui vous perdent.
Les dizaines de milliers de véhicules par jour qui empruntent le tunnel de l’A14 sont confrontés à de nombreux points de choix, avec pour seule information les panneaux de signalisation dans le tunnel. « Cette configuration complexe associée à la densité et à la vitesse de circulation peut être source de comportements accidentogènes, qui peuvent générer de surcroit des encombrements aux heures de pointe en cas d’accident », détaille la Direction des Routes Île-de-France (DIRIF).
Ce souci qui perdure depuis des années est en passe d’être partiellement réglé. Le tunnel de l’A14 qui traverse le quartier d’affaires de La Défense de part en part jusqu’à l’A86, longeant l’axe historique, vient enfin de voir sa géolocalisation améliorée. La DIRIF a annoncé ce lundi avoir équipé le tunnel de Nanterre – La Défense (A14) ainsi que la partie de l’échangeur de l’A86 de 400 bornes permettant d’étendre la géolocalisation à l’ensemble de l’infrastructure routière.
Le système est déjà disponible sur Waze
Installées durant quatre nuits à la fin de l’année 2018 pour une phase de tests, les bornes peuvent dès aujourd’hui être utilisées par les applications de navigation géolocalisées. « Cette innovation représente un investissement de 30 000 euros cofinancé à parts égales entre L’État et la région Île-de-France dans le cadre d’un partenariat pour changer la route par l’innovation et l’expérimentation, signé en 2017 », explique dans un communiqué la DIRIF qui précise que 100 000 véhicules fréquentent quotidiennement ce tunnel long de seize kilomètres et raccordé par seize bretelles.
Ce dispositif repose sur des bornes installées à intervalles réguliers, tous les quarante mètres environ dans le tunnel qui envoient la géolocalisation par Bluetooth. Ces bornes prennent ainsi le relais du signal GPS perdu pour les applications qui s’y connectent. Mais le système n’est pas totalement automatique puisqu’il est nécessaire que l’utilisateur active le signal Bluetooth sur le terminal de l’application de navigation géolocalisée (téléphone ou autre).
La technologie déployée étant open source, le « signal GPS » émis par ces bornes est mis à disposition de toute application de navigation géolocalisée. Les développeurs d’applications peuvent en faire la demande sur le site internet de la DiRIF, précise le service de l’État qui affirme que l’application Waze l’intégre déjà.
Le traditionnel bal des pompiers se déroulera cette année sur le parvis de La Défense ce samedi 13 juillet - Defense-92.fr
Le rendez-vous est une tradition. Les sapeurs-pompiers de Paris de la 28ème compagnie qui regroupe les casernes de Courbevoie (La Défense), Puteaux, Nanterre et Rueil-Malmaison organisent comme chaque année leur traditionnel bal du 14 juillet ce samedi 13 juillet.
Cette année encore la fête des soldats du feu se déroulera sur le parvis de La Défense (près de la grande verrière d’accès à la gare de La Défense) dans un espace de 2 000 mètres carrés qui disposera de trois buvettes dont un bar à champagne ainsi qu’un food truck disposé autour de la scène du DJ. Le coup d’envoi des festivités qui avaient attiré quelques 4 800 personnes l’année dernière sera donné par la centaine de pompiers dès 21 heures pour une fiesta qui s’achèvera vers 4 heures du matin.
Mais avant de lancer la fiesta les pompiers proposeront des ateliers de premiers secours pour former aux gestes qui sauvent, comme l’arrêt d’un saignement et le massage cardiaque. Accessibles dès 12 ans les quatre sessions de trente minutes seront prévues entre 18 heures et 21 heures.
Et pour les plus jeunes qui rêveraient d’enfiler la tenue des soldats du feu ils pourront tester leurs capacités physiques. La brigade proposera un « parcours pompier », avec une épreuve validée annuellement par chaque sapeur-pompier de Paris. Les candidats auront l’occasion de faire un échauffement (cinq à dix minutes), un parcours chronométré (entre trois et cinq minutes maximum) et enfin, retour au calme : étirements, débriefing et échanges.
Si l’accès au bal est gratuit, les participants pourront toujours verser quelques euros dans le fameux « tonneau » des pompiers. L’argent récolté sera destiné à améliorer le cadre de vie des soldats du feu dans leur caserne.
Le projet des tours siamoises Sisters fait toujours l’objet d’un recours - Unibail-Rodamco-Westfield / Christian de Portzamparc / L’Autre Image
C’est la tuile pour Unibail-Rodamco-Westfield (URW). La foncière française qui ambitionne d’ériger derrière le Cnit son mégaprojet des Tours Sisters va devoir encore attendre pour donner le top départ du chantier. La MACSF (via ses sociétés immobilières Horbouts), propriétaire et occupant de l’immeuble du Triangle de l’Arche voisin direct des futurs tours siamoises, qui avait été déboutée en avril dernier de son recours contre le permis de construire de ce projet a fait appel de la décision, selon nos informations confirmées par la Cour administrative d’appel de Versailles.
Une livraison qui pourrait désormais intervenir en 2025
Ce renvoi en appel voulu par la MACSF remet de nouveau les projets d’URW en question. Alors que la foncière espérait désormais lancer son projet dès la fin de l’année elle devrait être contrainte d’attendre le jugement de la Cour administrative d’appel de Versailles d’ici deux ans, bien que la procédure ne soit pas suspensive. Le calendrier du projet glisserait inexorablement avec une date de livraison pour 2025.
Imaginé par l’architecte Christian de Portzamparc, Sisters sera composé de deux tours représentant une surface d’environ 75 000 mètres carrés. La plus haute, celle de 230 mètres hébergera des bureaux tandis que la seconde, 130 mètres deviendra l’hôtel de la chaine Radisson. Annoncé en marge du Mipim, en mars dernier le complexe hôtelier proposera 350 chambres et disposera d’une piscine à débordement et de plusieurs services nichés à plus d’une centaine de mètres de haut, sur une grande passerelle reliant les deux tours.
La sortie "Grande Arche" de la gare Transilien de La Défense va rester fermée durant les six prochains mois - Defense-92.fr
C’est un accès discret qui est pourtant plébiscité par les usagers des lignes L et U du Transilien. Depuis la fin du mois de juin la sortie « Grande Arche – Salle des Colonnes » de la gare Transilien de La Défense est inaccessible pour cause de travaux. Pendant les six prochains mois la SNCF va procéder au remplacement des quatre escalators de cette émergence ouverte en 1989 en même temps que la Grande Arche. Pratique, elle permet d’accéder directement aux lignes L et U depuis le socle de l’Arche sans passer par la grande salle d’échanges du RER.
Pour entrer et sortir de la gare SNCF il est toujours possible d’utiliser la sortie commune avec le tramway T2 qui donne sur place Carpeaux et bien sûr l’accès principal vers la salle d’échanges d’où il est possible de rejoindre le métro, le RER, le tramway ou encore les bus.
Cet accès principal est toutefois légèrement impacté par les travaux de la sortie Grande Arche. En effet pour acheminer et évacuer les matériaux certains appareils de validations ont été neutralisés le temps des travaux entrainant de facto une réduction des passages de flux.
La tour W est désormais signée par Axway son principal occupant - Defense-92.fr
C’est ce qui s’appelle marquer son empreinte. Implanté depuis la fin 2016 dans la tour W (ex-Winterthur) l’éditeur de logiciels français Axway vient d’installer fin juin au sommet du building qu’il occupe majoritairement une grande enseigne lumineuse à son nom.
L’enseigne visible depuis le parvis qui côtoie celle du nom de la tour est longue de 9 mètres et ses lettres sont hautes d’1,41 mètres, le tout pour épaisseur d’une quinzaine de centimètres. Le logo en forme de Griffon a lui pour dimensions 2,94 mètres sur 3 mètres. Le tout représente une surface totale de 21,55 mètres carrés. Éclairé par des Led, la consommation de cette enseigne est de 800 watts par heure. Sa conception, fabrication et installation ont été réalisées par la société Defi, spécialisée dans les enseignes et publicités lumineuses.
La Tour W (ex Winterthur) d’une surface de 29 300 mètres carrés (hors archives) a été construite dans le quartier Boieldieu, à proximité du centre commercial des 4 Temps au début des années 70 sous les dessins des architectes Delb, Chesnau, Verola et Lalande. Elle a accueilli durant de longues années la société Suisse d’assurances Winterthur qui est entrée dans le giron d’Axa en 2006. Par la suite ERDF a occupé une grande partie du gratte-ciel avant de le quitter en septembre 2014 pour la tour Blanche. Après une première rénovation importante entre 1998 et 2000 la tour a connu une seconde modernisation ces dernières années.
En plus d’Axway la tour W héberge plusieurs entreprises dont Adecco, Cargill, Sagess, Lhoist et Bandai, Veeam ou encore KFC.
Bob Sinclar donnera un concert sur le Toit de la Grande Arche ce 14 juillet - DR
Pour fêter le 14 juillet cette année le célèbre Dj français Bob Sinclar sera sur le Toit de la Grande Arche ce dimanche. La grande promenade du Toit sera transformée le temps d’une soirée en un grand dancefloor. Les festivités débuteront dès 18 heures avec le set de Dj Marie-Amélie Seigner, « en pleine préparation de son prochain album », indique l’annonce de l’évènement.
Puis à partir de 20 heures, Dj Bob Sinclar prendra procession des platines et mixera pendant plus deux heures ses plus grands succès, souvent produits avec d’autres stars internationales de la pop ou du rap comme Snoop Dogg, Pitbull, Sean Paul, Akon ou encore pour son dernier titre « Electro Romantico », avec Robbie Williams. La soirée s’achèvera en beauté grâce au point de vue unique sur le feux d’artifice de la Tour Eiffel mais aussi de Puteaux.
Le tarif unique pour cette soirée dont les places sont limitées à 800 entrées est de 50 euros par personne. Les réservations se font ici.
L’UGC des 4 Temps projettera ce jeudi le film « La Cité de la peur » d’Olivier Stone pour sa nouvelle « Séance culte » - DR
Pour sa nouvelle « Séance culte », l’UGC des 4 Temps projettera ce jeudi 11 juillet à 20 heures, le film d’Olivier Stone, « La Cité de la peur ». Sorti en mars 1994, cette comédie française mythique met à l’affiche Chantal Lauby, Alain Chabat, Dominique Farrugia, Gérard Darmon et Sam Karmann.
Devenu culte le film se déroule à Cannes, pendant le Festival. Pas facile pour Odile Deray, petite attachée de presse de cinéma, de faire parler de son film « Red is Dead ». Il faut avouer qu’il s’agit d’un film d’horreur de série Z, un petit budget aux acteurs improbables. Pourtant un jour, la chance sourit à Odile : un tueur commet des meurtres exactement de la même manière que dans « Red is Dead », l’occasion est trop belle : de vrais meurtres, comme dans son film, en plein Festival de Cannes ! Comme publicité, on ne peut pas rêver mieux… Odile fait donc immédiatement venir Simon Jeremi, l’acteur principal de « Red is Dead », un enfant de trente ans un peu simplet. Pour le protéger – et surtout pour la frime – elle engage aussi un garde du corps, Serge Karamazov, plus intéressé par les filles que par sa mission. Dans la fièvre de Cannes, avec un tueur en liberté, un politicien véreux et un commissaire principal obsédé par les médias, Odile, Simon et Kara devront jouer des coudes pour arriver intacts jusqu’aux marches du Grand Palais. Mais même là, ils ne seront pas au bout de leurs péripéties…
Les places pour cette séance en VOSTF sont vendues au tarif normal. Les membres du Club UGC peuvent obtenir les billets au tarif de 5 euros. Les réservations peuvent se faire sur le site Ugc.fr, l’appli Ugc Direct ou bien les places peuvent être achetées directement aux caisses du cinéma.
Pour ses prochaines « Séances culte », l’UGC des 4 Temps proposera « Pulp Fiction » le 18 juillet et « Le Silence des Agneaux » le 25 juillet.
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