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Le Dôme des 4 Temps perd son javelot

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Le javelot du Dôme a été retiré cet été - Defense-92.fr

C’était la pièce maitresse du Dôme. Dix ans après son inauguration, le Dôme des 4 Temps a perdu son grand javelot gris. Cette touche architecturale signée d’Anthony Bellushi, l’architecte de la rénovation du centre était l’élément central du Dôme. Il venait traverser la coupole de 31 mètres de diamètre de l’extérieur jusqu’à l’intérieur du centre où il effleurait un petit plan d’eau.

Un javelot devenu vite gênant

Mais très peu de temps après l’inauguration en avril 2006, le javelot et le petit bassin étaient devenus gênants pour le centre empêchant l’organisation d’évènements sur la place du Dôme. Recouvert par un parquet durant de long mois, le bassin fût définitivement supprimé à l’été 2015 à l’occasion d’un réaménagement de la place tandis que le javelot était amputé d’une petite partie. Un an après ces travaux c’est donc le javelot presque tout entier qui a été démonté par le centre commercial qui n’a conservé que la partie extérieure de l’équipement intégrée à la charpente métallique.

La préfecture va simuler un attentat dans le quartier de La Défense

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L'exercise Octupus en novembre 2011 - Christophe Hüe / CRF92

Alerte maximum programmée ce lundi soir. Le quartier va être envahi par des dizaines de secouristes et véhicules d’inventions, mais pas d’inquiétude il s’agira simplement d’un exercice. La préfecture des Hauts-de-Seine va en effet organiser avec les services d’Etat dans la nuit du lundi 26 au mardi 27 septembre un grand exercice afin de simuler une attaque terroriste à La Défense.

Cette exercice grandeur nature qui va succéder à Octupus, un premier déjà réalisé en novembre 2011 a pour but de permettre à l’ensemble des acteurs de la gestion de crise (police, pompiers, Samu, sécurité civile, Defacto, Sncf, Ratp,…) de s’entrainer à un événement grave qui est tant redouté. Cet entrainement doit permettre aux services d’Etat et Defacto, le gestionnaire du quartier de mettre à jour le Plan de Mise en Sécurité de La Défense (PMSD), l’équivalent du plan ORSEC local.

Une centaine de figurants seront mobilisés en plus des secours

Pour rendre l’exercice le plus réaliste possible plus d’une centaine de figurants seront mobilisés durant cette nuit en plus des 640 secouristes, policiers, agents de la Ratp, Sncf,… La simulation qui se déroulera de 23 heures à 5 heures du matin se déroulera dans la gare de La Défense, mais aussi le long de l’esplanade et dans le quartier Michelet. Elle entrainera une fermeture totale de la gare de La Défense (RER, métro, tramway, Transilien, bus,…) et de la station Esplanade de La Défense dès 23 heures jusqu’à la reprise du trafic le mardi matin. L’accès au parvis et à certaines voiries du quartier dont la voie des Bâtisseurs sera également interdit durant toute la phase de l’exercice. Par ailleurs la station de taxis sur la place Carpeaux sera aussi fermée. Le boulevard circulaire et le tunnel de l’A14 resteront cependant accessible.

L’entrainement pourra être suivi en direct sur le compte Twitter de la préfecture @prefet92

Les Avengers installent leur base secrète S.T.A.T.I.O.N. sous le parvis de La Défense

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L'exposition Marvel Avengers S.T.A.T.I.O.N. à La Défense - Defense-92.fr

Leur base secrète de recrutement s’installe dans les entrailles de La Défense pour cinq mois. Après New-York et Séoul, l’exposition Marvel Avengers S.T.A.T.I.O.N (Scientific Training and Tactical Intelligence Operative Network – formation scientifique et réseau d’exploitation des services secrets tactiques). axée sur la science et la technologie, débarque pour la première fois en Europe, au cœur du quartier d’affaires.

Pour pénétrer au sein de cette exposition immersive et interactive les visiteurs vont s’enfoncer sous la dalle de La Défense au pied des tours Coeur Défense. Sur 2 000 mètres carrés ils se glissent dans la peau d’une recrue confrontée à des épreuves afin de savoir s’ils peuvent faire partie de l’élite des super-héros et intégrer l’agence d’espionnage du S.H.I.E.L.D.

Pour ce faire, tout au long du parcours les postulants vont déambuler en immersion dans la salle de Captain America, le laboratoire biologique de Bruce Banner, l’observatoire de Thor ou l’atelier d’Iron Man. Ils devront au fil de la visite prouver qu’ils ont l’étoffe d’un héros en répondant à une série de questions sur leur téléphone ou sur un iPod fourni le temps de la visite mais également réaliser des tests. Une fois les tests effectués, les recrues reçoivent un diplôme qui leur permettra d’intégrer le S.H.I.E.L.D. en qualité de « membre honoraire ».

Tout au long du parcours les visiteurs vont découvrir de nombreux objets et costumes issus de l’univers des Avengers et notamment de l’armure d’Iron Man, exposée pour la première fois, du costume et du bouclier de Captaine America, du casque d’Ant-man ou encore des armes de Hawkeye et de Black Widow.

Victory Hill Exhibitions, l’agence conceptrice de cette exposition espère attirer en masse les fans durant ces cinq mois d’ouverture. L’objectif de Nicholas Cooper, le créateur qui explique avoir été séduit par le cadre aux pieds des tours et par le lieu qui a abrité dans le passé la boutique Serap c’est de faire venir pas moins de 200 000 personnes.

Mais pour faire partie du S.H.I.E.L.D. les fans de l’univers Marvel vont devoir mettre la main à la poche. La visite qui dure environ une heure coûtera 21,99 euros par adulte, 16,99 euros pour les enfants de moins de 12 ans (gratuit pour les moins de 4 ans). Un pack famille (deux adultes et deux enfants) est proposé à 69,99 euros. Tous les lundis, (excepté pour les mois de juillet août ) le tarif sera réduit à 18,99 euros.

Le choix du quartier d’affaires pour cette exposition inédite réjouit la DG de Defacto : « Cet événement correspond tout à fait à la politique de Defacto : valoriser les volumes sous-dalle, y accueillir des événements et des publics différents, montrer que La Défense, ce n’est pas qu’un quartier d’affaires et des mètres carrés de bureaux, mais c’est un quartier à vivre, avec une dimension culturelle forte et des attractions pour tous publics. Avec Avengers, un public familial, des enfants, des adolescents vont venir à La Défense, et auront ainsi l’occasion de découvrir ce quartier, explique Marie-Célie Guillaume. A la fin de l’exposition, dans six mois, ce volume sous dalle, inexploité depuis des années, entrera en phase travaux puisque nous allons y aménager un lieu dédié à la gastronomie : Table Square.  »

L’exposition située au 84, Esplanade du Général de Gaulle au pied des tours Cœur Défense est ouverte du lundi au vendredi de 10h30 à 19h30, les samedis, dimanches et jours fériés de 9h30 à 20h (dernières entrées une heure avant la fermeture).

Aveva signe un partenariat avec l’Ecole Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci

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Le Pôle universitaire Léonard de Vinci - Defense-92.fr

Un nouveau partenariat est né. Aveva a annoncé avoir signé un partenariat avec l’Ecole Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci (ESILV). Ce partenariat a été présenté, dans le cadre de l’Aveva World France 2016 par Guillaume Montandon, le chef de service et responsable des outils d’ingénierie chez Areva Projets.

Ce rendez-vous annuel de la communauté d’utilisateurs Aveva qui s’est déroulé le 16 juin dernier au Trianon de Paris a réuni plus de 220 clients issus des plus importantes industries françaises autour du thème « Transformation Time ».

« L’objectif de cette mise en place est de répondre à la demande grandissante de ressources formées aux solutions Aveva sur le marché » expliquent Aveva et l’Esilv dans un communiqué commun.

« Lorsque nous avons dû recruter, le démarchage de ressources compétentes sur Aveva s’est révélé extrêmement difficile. Nous avons mis quinze mois pour recruter une ressource sur Aveva Pdms. Les ressources sur le marché sont très rares » explique Guillaume Montandon en poursuivant « En parallèle les personnes non expérimentées coûtent cher. En effet le temps de formation est conséquent et ce processus représente une prise de risque non négligeable car la performance finale n’est pas garantie ».

Après une étude approfondie, le choix s’est donc porté sur l’Esilv. Plusieurs critères ont déterminé la sélection de l’école. Il devait s’agir d’une école d’ingénieurs généralistes numériques avec une formation en alternance, proposant des cours d’ingénierie assistée par ordinateur et ouverte à ce type d’initiative.

Plusieurs groupes industriels ont apporté leur soutien

Le cursus proposé repose sur une formation généraliste axée sur les technologies du numérique avec quatre spécialités majeures : Informatique numérique, Mécanique numérique, Energie et Finance. Habilitée par la Commission des Titres d’Ingénieur cette école place l’entreprise au cœur de la formation et multiplie les projets.

Ce nouveau partenariat va reposer sur deux axes principaux. Une première phase de formation avec un module de 35 heures sur l’installation générale avec les solutions Aveva (14 heures de cours théoriques et 21 heures de travaux dirigés au sein de l’école) complété par les formations dispensées par Aveva. La deuxième phase est une alternance en entreprise pendant laquelle l’école présélectionne une dizaine d’élèves parmi les plus performants pour suivre la formation de conduite de projets chez Aveva. Un aspect important à ce stade est le retour d’expérience du formateur, véritable allié dans cette étape. Les élèves sont ensuite reçus en entretien et les contrats en alternance sont signés.

De grands groupes industriels comme Areva, EDF, Sofinel et Orinox ont apporté leur support et leur soutien à cette initiative de partenariat. Et l’Esilv espère bien que la liste s’allongera dans le temps. « Les bénéfices de ce partenariat sont considérables à la fois pour les entreprises et pour les étudiants » se réjouissent Aveva et l’Esilv qui promettent que les ingénieurs qui arriveront sur le marché de travail seront rapidement opérationnels et que les formations dispensées par Aveva seront gratuites.

Chantier Trinity : l’ascenseur « Sequoïa » a été mis en service

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L'ascenseur dit "Sequoïa" du projet Trinity est en service depuis le vendredi 16 septembre 2016 - Defense-92.fr

Pari tenu ! se félicitent les équipes du chantier de la tour Trinity. Après plusieurs mois de travaux, Vinci Construction qui bâtit la tour Trinity pour le compte d’Unibail-Rodamco a mis en service le vendredi 16 septembre dernier le premier des ascenseurs public lié au projet. Implanté au pied de la tour Sequoïa, l’équipement de marque Thyssen Krupp qui relie l’avenue de la Division Leclerc à la dalle peut accueillir jusqu’à huit personnes soit un poids de 630 kilos.

Trois autres ascenseurs seront mis en service

Cet ascenseur sera complété, au troisième trimestre 2017 au moment de l’ouverture au public d’une partie de la place au pied de la tour Trinity, par deux autres qui seront implantés au niveau de la résidence Leclerc et de l’immeuble Sgam. Enfin deux autres élévateurs seront mis en service mais cette fois-ci à la livraison de la tour à la fin 2018. Ils permettront de faire le lien entre la dalle basse et la dalle haute de la place de Trinity évitant ainsi aux PMR (Personnes à Mobilité Réduite) de devoir emprunter, comme c’est actuellement le cas aujourd’hui, l’une des deux pentes qui longent le Cnit. Enfin deux grands escaliers vont être créés, un côté résidence Leclerc et immeuble Sgam et l’autre sur le terre-plein central pour venir compléter l’existant côté tour Sequoïa. Ils doivent ouvrir au cours du troisième trimestre 2017.

Le projet de la tour Trinity - Unibail-Rodamco / Cuno Brullmann Jean-Luc Crochon+Associés
Le projet de la tour Trinity – Unibail-Rodamco / Cuno Brullmann Jean-Luc Crochon+Associés

L’Epadesa modernise la voie Médiane

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La voie Mediane le 25 septembre 2016 - Defense-92.fr

Coup de jeune pour la voie Mediane. Située verticalement au-dessus du RER A et sous l’Autoroute A 14, la liaison Médiane qui relie Courbevoie à Puteaux depuis le boulevard circulaire desservant plusieurs parkings, a été complètement modernisée par l’Epadesa.

Pendant plusieurs mois l’aménageur de La Défense a modernisé ce tunnel de 260 mètres en y apportant un nouvel éclairage LED, une mise en peinture, de la vidéo surveillance couplée à un système intelligent d’analyse d’images destiné à détecter toute situation dangereuse mais également à optimiser la protection des ouvrages par recours à une approche d’ingénierie performancielle, notamment la mise en place de protections au feu rapportées, de portes coupe-feu et rideaux coupe-feu irrigués.

Cette rénovation qui a impliqué une coordination fine entre les différents intervenants, le site étant extrêmement contraint, a permis un maintien de la circulation en journée tout au long du chantier.

Un chantier à cinq millions d’euros

Entièrement financée sur les fonds propre de l’Epadesa, cette réalisation aura coûté à l’établissement cinq millions d’euros.

Les travaux ont été réalisés par Bouygues Energies et le groupement Razel-Coteg-Satelec, la maitrise d’œuvre étant assurée par des bureaux d’études spécialisés (EGIS Tunnels, Setec ITS/Setec TPI).

La modernisation de la liaison Médiane est une première étape d’un plan global de rénovation des voies souterraines chiffré à plus de 500 millions d’euros qui s’étendra jusqu’en 2022.

Prochaine étape pour l’Epadesa, les travaux de la liaison Basse qui relie Puteaux à Courbevoie d’Ouest en Est permettant le bouclage du boulevard Circulaire. Ce nouveau chantier doit débuter en novembre prochain pour une durée de deux ans.

La mairie de Courbevoie part à la rencontre des habitants du quartier Regnault

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Catherine Morelle (LR) au centre de la photo a organisé une rencontre avec les habitants du secteur Regnault le 24 septembre 2016 - Defense-92.fr

Elle a planté sa tonnelle au cœur du square Henri Regnault. L’adjointe au maire de Courbevoie, Catherine Morelle (Les Républicains) en charge du quartier Gambetta est partie à la rencontre des habitants du secteur Henri Regnault ce samedi 24 septembre. Durant deux heures, entre 10 heures et midi l’élue municipale a écouté les doléances des habitants du quartier avec quelques-uns des 24 conseillers de quartier, tous bénévoles. « Je suis là pour aller au-devant des habitants pour recueillir ce qui va et ne va pas » explique l’élue de droite.

« Ça me permet de crier un petit coup »

Parmi les quelques habitants venus à la rencontre de Catherine Morelle, Michelle, une habitante qui vit dans la résidence Leclerc depuis 18 ans : « C’est bien cette rencontre, çà me permet de venir crier un petit coup » sourit cette retraitée qui se plaint de la présence récurrente d’encombrants au pied de son immeuble. Jean-Pierre qui habite également dans la résidence s’agace de la sécurité dans le quartier : « Il y a trop de bruit la nuit à cause de trafics de drogue ». Hascen qui crèche non loin de là dans la résidence des Sirènes se plaint lui de la circulation et des stationnements sauvages dans sa rue.

Un diagnostic en marchant et réunion publique en octobre

Cette rencontre qui succède à deux autres organisées ces derniers mois dans le parc Charras et avenue Marceau doit être rééditée environ tous les ans. En attendant la prochaine rencontre, Catherine Morelle organisera le samedi 8 octobre à 14 heures un diagnostic en marchant dans le quartier Gambetta (rendez-vous à la maison des associations Regnault). Une réunion publique sur le thème de la requalification de l’axe Gambetta / Charras à l’issue des travaux du prolongement du RER E se tiendra également le lundi 10 octobre à 20 heures à la mairie de Courbevoie.

Un œuvre de street art géante sur la place de La Défense

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L'oeuvre street art d'Ella & Pitr sur la place de La Défense - DR

Du sol on a du mal à comprendre de quoi il s’agit, mais en prenant de la hauteur l’œuvre se révèle. Le couple d’artistes Ella & Pitr viennent de signer une œuvre de street art géante sur la place de La Défense dans le cadre de l’Urban Week organisé du 19 au 23 septembre. Baptisée « Pendant qu’Inès rêve de camping », l’immense œuvre de 4 000 mètres carrés qui a été réalisé en trois jours sur la place de La Défense, montre une femme allongée au sol.

Une œuvre longue d’environ 90 mètres

La réalisation longue d’environ 90 mètres faite avec plus de 160 litres de peinture biodégradable ne restera pas dans le temps puisqu’elle n’est que temporaire. Elle s’effacera lentement au gré des pas des passants avant d’être définitivement effacée à partir du 26 octobre prochain.

« On s’inspire des gens que l’on a vus dans la rue « confie Pitr qui juge le cadre de La Défense » exceptionnel » mais « hyper compliqué » pour travailler.

Le couple français qui officie exclusivement dans le street art a déjà signé de nombreuses réalisations dans le monde dont certaines encore plus impressionnantes par leurs dimensions comme à Brétigny, Montréal, Chicago ou encore Santiago.

Courbevoie récompense les entreprises innovantes

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La première édition du "Prix Attractive Innovation de Courbevoie La Défense" - Defense-92.fr

Courbevoie récompense les entreprises innovantes. La ville a organisé ce jeudi 22 septembre la première édition du « Prix Attractive Innovation de Courbevoie La Défense » qui vise à récompenser les entreprises innovantes qu’elles soient locales ou nationales. Ce prix soutenu par le journal Les Echos a pour but d’accompagner les entreprises françaises dans l’ère de l’innovation. Au-delà de la technologie, il s’agit également d’encourager l’innovation dans les domaines de l’économie, du social et de l’environnement.

Le Prix Attractive Innovation a récompensé les entreprises à travers neuf catégories : responsabilité sociétale et environnementale (RSE), FinTech, énergie, santé bien-être, open innovation, le prix d’honneur de la ville de Courbevoie, le prix de l’établissement POLD (Périmètre Ouest Paris La Défense) et le prix de la marraine.

Une centaine d’entreprises ont candidaté

Pour cette première édition la ville explique avoir reçu une centaine de dossiers. A l’issue d’une première sélection, trente dossiers ont été examinés par un jury de professionnels parmi lesquels la ville de Courbevoie et des représentant de grandes entreprises comme l’INPI, EDF, Schneider Electric, Thales, Nextdoor,… Trois entreprises ont alors été nominées dans chacune des catégories.

A l’issue de la soirée les entreprises lauréates ont ainsi été révélées. Ainsi la start-up Deepki a remporté la catégorie « Energie », Resair la catégorie « RSE », Sharepay la catégorie « Fintech », Biopic la catégorie « Santé Bien-être », Hypervision Technology la catégorie « Open Innovation », Particeep la catégorie du « Prix de la marraine », Dream Team Aero avec Cohome la catégorie du « Prix d’honneur de la ville » et l’Institut open innovation le « Prix du territoire POLD ».

Ce prix sera accompagné d’un chèque de 3 000 euros et d’un abonnement aux Echos pour chacune des entreprises lauréates.

Avec leur distributeur ils proposent un jus d’orange fraichement pressé

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Jean-Baptiste Bisman (à gauche) et Félix Canto, les deux fondateurs de "L'Orangerie de Paris" - Defense-92.fr

« Oh regarde il y a un distributeur de jus d’orange » dit cette jeune femme à son collègue en rentrant dans le centre commercial des 4 Temps. Si pour le moment l’emplacement n’est pas des plus stratégiques, le nouveau distributeur automatique implanté depuis août à l’entrée Grande Arche (niveau 1) ne passe cependant pas inaperçu dans le centre.

Ce distributeur ou plutôt « L’Orangerie » comme aiment à l’appeler, Jean-Baptiste Bisman (diplômé ISC Paris) et Félix Canto (diplômé EDC Paris) les deux fondateurs de la jeune start-up L’Orangerie de Paris », née à l’été 2014, propose à ses clients un jus d’orange préparé sur demande. « On voulait faire de vrais jus d’oranges pressées ; l’idée nous est alors venue de faire un distributeur » expliquent les deux entrepreneurs qui sont aujourd’hui à la tête d’une entreprise qui emploie une douzaine de personnes.

Un jus d’orange vendu deux euros le verre

Et deux ans après sa création l’Orangerie de Paris a déjà un parc impressionnant avec une centaine de machines déployées un peu partout en Ile-de-France dans des gares, des salles de fitness, des entreprises,… L’objectif des deux compères est tout aussi ambitieux avec une vingtaine d’installations par mois.

Vendus deux euros le verre, le jus est fabriqué avec des oranges sélectionnées par les primeurs en fonction des saisons et en ce moment ce sont des fruits d’Espagne qui sont proposés. « Chacune de nos machines a une capacité pour faire une centaine de jus » précise Félix. Quelques semaines après son installation la machine a déjà ses adeptes. « C’est super bon, commente Aurélie, une salariée du quartier. On se croirait à Marrakech ».