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vendredi 20 juin 2025
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Gecina installe le siège de Keolis dans son immeuble Sunside

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Keolis installera en septembre prochain son siège dans l’immeuble Sunside - Defense-92.fr

L’ancien siège de MSD parti à l’été 2019 pour le Carré Michelet a trouvé un nouvel occupant. Construit entre 2005 et 2007 dans le quartier du Faubourg de l’Arche à Courbevoie, l’immeuble Pyramidion rebaptisé Sunside par Gecina son propriétaire, accueillera dans quelques mois le nouveau siège de Keolis, l’entreprise spécialisée dans les transports publics.

Gecina a confirmé avoir signé le 30 décembre dernier avec Keolis, la filiale de la SNCF et la Caisse de dépôts et placements du Québec, un bail de neuf ans portant sur 6 000 mètres carrés dans cet immeuble entièrement rénové qui en fait environ 10 000. « L’immeuble est ainsi commercialisé à 62 % », indique Gecina dans un communiqué.

C’est en septembre prochain que l’ensemble des collaborateurs présents au siège de la rue Peletier dans le neuvième arrondissement de Paris, soit 500 personnes issus des principales directions fonctionnelles de Keolis (exploitation, juridique, finance, RH, DSI, marketing, communication,…) et du comité exécutif intégreront l’immeuble Sunside.

« Nous sommes très heureux d’accueillir Keolis ainsi que ses équipes dans l’immeuble Sunside », se félicite Valérie Britay, directrice générale adjointe en charge du pôle Bureaux chez Gecina.

Dans cette transaction Keolis a été conseillé par JLL et Gecina par CBRE.

S&P Global confirme la notation « AA/Stable/A- 1+ » du département des Hauts-de-Seine

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S&P Global a confirmé la note « AA/Stable/A- 1+ » du département des Hauts-de-Seine - Defense-92.fr

Le 92 conserve sa bonne note. S&P Global a confirmé fin novembre 2021 la note « AA/Stable/A-1+ » du département des Hauts-de-Seine, majoritaire au sein du conseil d’administration de l’établissement public Paris La Défense. « Les Hauts-de-Seine présentent l’un des plus ambitieux programmes d’investissement pour les deux prochaines années, prévoyant environ 500 millions d’euros d’investissements par an. Si ce positionnement entraînera des déficits de financement limités en 2022-2023, le département dispose de confortables réserves de trésorerie accumulées -près de 773 millions d’euros à fin septembre 2021- lui permettant de poursuivre sa politique de désendettement », indique l’agence de notation new-yorkaise.

« Nous pensons que la dette consolidée devrait diminuer pour s’établir à environ 11 % des recettes de fonctionnement consolidées d’ici à 2023 contre 17,5 % à la fin 2018. En revanche, le levier fiscal des départements français continue de se resserrer avec la mise en œuvre de la réforme de la fiscalité. En 2021, les départements français ont enregistré la perte des recettes liées à la taxe foncière, compensée par une fraction du produit national de TVA, supprimant ainsi leur seul véritable levier fiscal. Les dépenses sociales de nature contracyclique ne laissent aux départements qu’une marge de manœuvre réduite en cas de ralentissement de l’économie, estime S&P Global. Cependant, la gestion financière robuste des Hauts-de-Seine combinée à une certaine flexibilité à l’égard des dépenses d’investissement contribue selon nous à atténuer cette faiblesse ».

L’agence américaine estime que la perspective stable associée aux notes des Hauts-de-Seine reflète celle de la République française (non sollicitée : « AA/Stable/A- 1+ »). Mais S&P Global prévient qu’en cas d’abaissement des notes de la France, la notation du département serait par ricoché corrélée. « A ce stade, il est peu probable que les notes des Hauts-de-Seine soient revues à la baisse à cause d’une détérioration de la solvabilité intrinsèque du département », indique cependant S&P Global. En revanche, pour l’agence financière si les notes de la France étaient relevées, et si, dans le même temps, le département « continuait à présenter des performances conformes au scénario central », l’agence pourrait alors envisager une révision similaire des notes du département.

Mais pour S&P Global le risque est qualifié de « peu probable » que le département des Hauts-de-Seine soit négativement affecté par des changements des institutions défavorables en Île-de-France. « De même nous comprenons que la possible fusion avec le département des Hauts-de-Seine voisin des Yvelines n’est plus d’actualité », rajoute l’agence de notation américaine.

« Même si les Hauts-de-Seine peuvent temporairement afficher des déficits de financement entre 2021 et 2023, en raison de la montée en puissance du programme d’investissement, nous estimons qu’ils resteront limités. Nous prévoyons que les investissements réalisés, notamment pour financer de nouvelles lignes de tramway, des infrastructures dans le quartier de La Défense, un musée et un fonds interdépartemental d’investissement (FSII) s’élèveront en moyenne à 485 millions d’euros pour la période 2021-2023, avec un pic en 2023 », tranche S&P Global estimant que « les importantes réserves de trésorerie accumulées par les Hauts-de-Seine contribueront à éviter l’accumulation de dettes ». Et pour l’agence l’endettement « déjà très faible » des Hauts-de-Seine devrait poursuivre sa baisse jusqu’en 2023, avec « un endettement consolidé s’élevant à « un peu plus de 10 % » des recettes de fonctionnement (contre 17,5% en 2018) ». « Les charges financières continueront elle de représenter moins de 5 % des recettes de fonctionnement. Dans l’ensemble, le poids de la dette des Hauts-de-Seine demeurera très faible par rapport à celui des autres départements », estime S&P.

« La diversité et le dynamisme de l’économie des Hauts-de-Seine contribuent au redressement économique après la pandémie. En tant que l’un des centres financiers de la région parisienne, les Hauts-de-Seine ont été durement touchés par le fléchissement économique causé par la pandémie de Covid-19. Toutefois, son économie diversifiée a très bien résisté aux retombées de la pandémie, et nous pensons que l’activité économique devrait reprendre à mesure que la pandémie recule, même si certains secteurs ont pâti plus que d’autres, en ligne avec ce qu’il se passe au niveau national. Nous anticipons une croissance du PIB français de 6,2% en 2021 et 3,6 % en 2022, au vu de l’amélioration de la situation épidémiologique et des effets bénéfiques des précédentes réformes sur l’emploi. En termes plus structurels, les Hauts-de-Seine affichent un profil économique très supérieur à la moyenne nationale. Son PIB par habitant est plus de trois fois supérieur au PIB national, et le département présente des bases fiscales dynamiques et des dépenses sociales inférieures à la moyenne des départements. Accueillant sur son territoire La Défense, le plus important quartier d’affaires de France, le département bénéficie d’infrastructures de premier plan et d’une intégration complète au tissu économique francilien », indique S&Global.

La famille de Christian Pellerin cède ses deux immeubles de La Défense

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Christian Pellerin en octobre 2014 - Defense-92.fr

Durant les années 80 à 90, à lui seul il aura été à l’origine de la construction de la plupart des tours de La Défense. Christian Pellerin, le célèbre promoteur de La Défense qui détenait avec sa famille jusqu’à l’année dernière encore deux immeubles de bureaux dans le quartier d’affaires au cœur du Faubourg de l’Arche à Courbevoie vient de céder ses actifs.

Le premier, l’immeuble Adamas construit au début des années 2010, le long du boulevard de la Mission Marchand a été acquis par Gecina le 4 juillet 2017 pour 78,5 millions d’euros et dispose d’un rendement net de l’ordre de 5,7 %. Entièrement occupé par la Société Générale, le bâtiment de 10 500 mètres carrés répartis sur sept niveaux dispose de quelques locaux commerciaux dont prochainement un magasin Picard. Cette acquisition permet ainsi à Gecina de renforcer sa présence dans le Faubourg de l’Arche où il détient déjà dans la ZAC Danton les tours T1 et T2, occupées pour la première par Engie et la seconde par Idemia ainsi que l’immeuble Pyramidion occupé par le laboratoire MSD.

L’immeuble Adamas en août 2016 – Defense-92.fr

La seconde cession opérée par la famille Pellerin concerne l’immeuble Le Vinci vendu en ce début d’année à Primonial REIM pour 99 millions d’euros. Construit dans les années 90 en bordure de l’esplanade Mona Lisa entre la tour Adria (également détenue par Primonial REIM) et l’université Léonard de Vinci, l’immeuble de 10 000 mètres carrés héberge depuis 2017 le groupe Nexans. Le bâtiment dispose en plus de six cellules commerciales à son pied. Avec cette prise, Primonial REIM élargit son patrimoine dans le quartier d’affaires et dispose désormais de nombreux bâtiments dont les immeubles Between C, Lavoisier, Ampère e+ ou encore la tour Atlantique.

Le siège de Nexans dans l’immeuble le Vinci en juin 2017  – Defense-92.fr

Les deux bâtiments étaient jusqu’alors gérés par Valoptim, la société property management d’Edouard Pellerin (le fils de Christian Pellerin) qui se reconcentre désormais sur la promotion de programme neufs dans le logement.

Les restaurateurs de La Défense craignent de ne pas survivre à la vague Omicron

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Élisabeth Astruc qui a monté le collectif « Restos Défense » a reçu Jacques Kossowski, le maire de Courbevoie - Defense-92.fr

Durement touchés depuis près de deux ans par le Coronavirus, les restaurateurs de La Défense avaient repris espoir d’un monde meilleur à la fin de l’été dernier avec le retour des dizaines de milliers de salariés dans les tours du quartier d’affaires. Mais Delta et Omicron, les deux variants ont violemment cassé le retour à la normale.

Obligées par le gouvernement d’imposer au moins trois jours de télétravail par semaine, les entreprises du quartier d’affaires ont de nouveau fait fuir leurs salariés, au grand dam des restaurateurs. Cette baisse fulgurante de fréquentation de La Défense par les usagers, les professionnels de la restauration la prennent de plein fouet.

« On fait à peine trente à quarante couverts par jour, se désole David Zheng, le propriétaire du Nouveau Monde, un bistro du quartier de l’Iris. On espère qu’en février ça reprendra sinon ça sera un peu délicat pour la suite ».

Une situation que partage pleinement Simon Wood, le gérant et propriétaire du Pomme de Pain du cours Michelet et de l’enseigne de pâtes Pasta Bella : « La situation est catastrophique. Par rapport à 2019, pour ce mois de janvier je vais largement dépasser les moins 60 % de fréquentation. Je suis très inquiet pour l’avenir. Nos loyers sont énormes ».

Simon Wood devant Pomme de Pain et Pasta Bella, ses deux établissements – Defense-92.fr

Avec ses deux uniques restaurants dans le quartier d’affaires, l’un dans la galerie de l’Esplanade et le second dans le Westfield Les 4 Temps, Ma Bento, enseigne spécialisée dans la cuisine japonaise est durement touchée. « C’est catastrophique depuis la rentrée de janvier », lâche pour sa part Francis Fagel, le co-fondateur de Ma Bento. « Pour notre restaurant du Westfield Les 4 Temps si notre bailleur ne trouve pas une solution pour nous aider, dans trois mois nous n’aurons plus de trésorerie. Avec notre restaurant de l’esplanade on pourra tenir un peu plus mais ça sera dur », se désole Francis Fagel.

Face à cette situation qui pourrait s’avérer fatidique pour la plupart des restaurateurs de La Défense, la patronne du Bistro du Faubourg a lancé un appel à l’aide sur Twitter. « Nous avons monté un collectif (Restos Défense, ndlr) des restaurateurs de La Défense », indique Élisabeth Astruc qui compte une quarantaine de confrères autour d’elle. Si lors des premiers confinements et restrictions des aides massives avaient été versées, la donne a changé et le « quoi qu’il en coûte », n’est plus. « Aujourd’hui on redemande le retour du chômage partiel avec exonération complète des charges et la remise en route du fond de solidarité à partir d’un pourcentage du chiffre d’affaires en moins », demande Élisabeth Astruc qui craint de devoir licencier une bonne partie de ses dix-huit salariés dès la fin janvier.

Un appel à l’aide qui a été entendu par le maire LR de Courbevoie, Jacques Kossowski. « Je suis très inquiet pour les restaurateurs. On ne peut pas laisser La Défense, le premier quartier d’affaires comme ça », confie l’édile qui en appelle à l’État mais aussi à la région et au département des Hauts-de-Seine.

A vous de choisir le look des futurs tramways de la ligne T1 qui sera prolongée vers Nanterre

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L’une des trois propositions de look des nouveaux tramways de la ligne T1 – Alstom / Advanced & Creative / Saguez / Citadis_X05

C’est une affaire de goût et de vote. Voilà plusieurs années qu’Île-de-France Mobilités (IDFM) consulte systématiquement les franciliens pour le choix du design de leurs matériels roulants. « Après le succès des consultations pour le RER B et les métros des lignes 15, 16, 17 et 18, Île-de-France Mobilités lance une nouvelle consultation publique dès le 7 janvier 2022 pour choisir le visage des nouvelles rames de la ligne T1 », indique l’autorité des transports franciliens.

Jusqu’au vendredi 21 janvier 2022 minuit, les franciliens sont ainsi invités à choisir la face avant extérieure de leur futur tramway de la ligne T1 parmi trois propositions faites par Alstom qui construira ce matériel roulant. Les propositions proviennent des agences de Patrick Jouin pour le look « Clarté ambiante », de Yellow Window pour « Simple et sympathique » et de Saguez pour « Ligne rassurante ». Le vote se fait par ici.

Prévus pour remplacer dès 2024 les actuelles rames du tramway T1 mises en service entre 1992 et 1997 -qui ont d’ailleurs circulé sur la ligne T2 durant ses premières années-, le marché comprend un maximum de 120 tramways pour un montant de 310 millions d’euros, « afin d’améliorer le confort des voyageurs et la fiabilité de cette ligne ». Une première commande ferme de 37 rames est passée pour le remplacement des rames actuelles qui fêtent cette année pour certaines leurs trente ans. Une tranche optionnelle de 83 tramways est également prévue « afin de renforcer l’offre de transport et répondre aux besoins liés aux prolongements en cours ».

Les nouveaux tramways de la ligne T1 seront équipés de six portes doubles de 1.30 mètre par côté y compris aux extrémités afin de faciliter la montée/descente des voyageurs et d’un accès facilité pour les personnes à mobilité réduite. Les futures rames du T1 seront également dotées d’un système embarqué de comptage de voyageurs par flux pour mesurer plus finement la fréquentation de la ligne et améliorer les conditions de voyage de chacun.

« En plus d’une motorisation repensée pour permettre une réduction d’au moins 30 % de la consommation d’énergie par rapport au matériel actuel, ces nouvelles rames seront recyclables à 95 % et valorisables à 99 % », assure IDFM précisant que ce nouveau matériel offrira une capacité de transport augmentée de 15% par rapport aux rames actuelles.

Des rames que les salariés et habitants de La Défense devront cependant attendre un peu plus longtemps pour découvrir. La mise en service du prolongement de la ligne T1 vers Rueil-Malmaison par Nanterre et son université n’est prévue qu’à l’horizon 2030.

Pokawa et ses poké bowls débarque à La Défense

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L’enseigne Pokawa a ouvert un nouveau restaurant à La Défense l’année dernière - Defense-92.fr

Inexistante il y a encore cinq ans, l’offre de poké bowl s’étoffe dans le quartier d’affaires. La chaine de Pokawa a ouvert il y a quelques mois un restaurant dans la galerie du Passage de l’Arche à l’emplacement de l’ancien France Loisirs. Ce restaurant d’environ 125 mètres carrés décoré dans une ambiance alliant le bois et les plantes dispose d’une quarantaine de places assises. Pour passer commande six bornes interactives sont à la disposition des clients.

Côté tarif il faut compter entre dix et quinze euros pour un poké. Pour une boisson il faut ajouter deux euros de plus, et pour un dessert encore trois euros.

Le Pokawa de La Défense est ouvert du lundi au vendredi de 11h30 à 17 heures.

Viva l’Opéra : Rusalka, ce jeudi à l’UGC de La Défense

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L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2021 / 2022 - UGC

Pour ce premier rendez-vous de l’année de Viva l’Opéra, c’est l’opéra « Rusalka » d’Antonín Dvořák filmé au NCPA de Pekin qui sera diffusé à l’UGC de La Défense. Le jeudi 13 janvier à 19h30 le cinéma du Westfield Les 4 Temps projettera dans la salle 16, la plus grande du complexe, cette œuvre de 3h08 coupée d’un entracte de vingt minutes, dont la direction musicale est assurée par Rastislav Štúr.

Côté distribution, les spectateurs pourront retrouver Dinara Alieva (dans le rôle de Rusalka), Peter Berger (Le Prince), Stella Grigorian (Jezibaba), Nathan Berg (Vodnik, Esprit du lac), Jolene Fogasova (La princesse étrangère), Li Xintong, Wang Jin, Yang Yanting (Les esprits des bois), Li Xiang (Garde forestier), Zhang Xin (Turnspit, garçon de cuisine) et Liang Yufeng (Chasseur).

La projection est proposée au tarif de 10 euros pour les moins de 26 ans, 25 euros avec la carte UGC Illimité et 30 euros au plein tarif, avec toujours la possibilité de souscrire un abonnement pour six opéras/ballets à 150 euros en plein tarif.

Les prochains rendez-vous de Viva l’Opéra sont programmés le 27 janvier avec « Jenufa » puis le 3 février avec « Les Noces de Figaro », en direct de l’Opéra Garnier.

Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places se fait sur vivalopera.fr.

Le département des Hauts-de-Seine obtient le label « Relations fournisseurs et achats responsables »

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Le département des Hauts-de-Seine a obtenu le label « Relations fournisseurs et achats responsables » - Defense-92.fr

Le département des Hauts-de-Seine a terminé l’année avec un nouveau label. Le 17 décembre dernier, le Comité d’attribution du label « Relations Fournisseurs et Achats Responsables » a décidé d’attribuer à « l’unanimité et sans réserve » au département des Hauts-de-Seine où est implanté La Défense le label « Relations Fournisseurs et Achats Responsables » (RFAR). Ce label récompense les entreprises ou entités publiques françaises ayant fait la preuve de relations durables et équilibrées avec leurs fournisseurs.

Ce Label s’inscrit dans le prolongement de la démarche engagée depuis 2010 par le Médiateur des entreprises et le Conseil National des Achats, au travers de la création de la Charte Relations fournisseurs responsables, qui compte aujourd’hui plus de 2 000 signataires, rassemblés autour de dix engagements phares.

Le référentiel est élaboré à partir de la norme ISO 20400 « Achats responsables ». Premier et seul label reconnu par l’État en matière d’achats responsables, il est remis pour une durée de trois ans, avec une vérification annuelle sur les questions majeures et le respect du plan de progrès.

« Cette attribution confirme l’engagement de longue date pris par le département des Hauts-de-Seine sur le plan de la qualité de ses relations avec les fournisseurs. Ce nouveau label est en effet le prolongement du label « Relations fournisseurs responsables » que le Département fut la 1ère collectivité locale à obtenir en 2017 », se félicite le département dans son communiqué.

Avec l’obtention de ce label, le département dit vouloir « amplifier sa démarche d’ouverture sur le monde économique et sa volonté de donner la pleine mesure de ses engagements auprès des acteurs économiques, notamment les PME et TPE ». Pour la collectivité « il s’agit d’un signal fort de modernité de l’action publique qui tend à organiser une relation équilibrée et partenariale avec ses fournisseurs afin que chacun puisse bénéficier de la meilleure connaissance des attentes et besoins de tous ».

« Cette obtention constitue également la reconnaissance de la démarche de professionnalisation interne et une garantie de la maturité de la fonction achat sur la base d’un référentiel exigeant, crédible et opposable tant en interne qu’à l’égard des fournisseurs sur la base d’un audit indépendant réalisé par l’AFNOR (Association française de normalisation) », conclue le communiqué.

L’Idrac Business School organisera sa journée portes ouvertes le 26 janvier

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Une journée portes ouvertes sera organisée le 26 janvier à l’Idrac Business School - Defense-92.fr

La prochaine rentrée étudiante se prépare dès aujourd’hui. L’Idrac Business School dont le campus parisien est implanté à La Défense, organisera une journée portes ouvertes le 26 janvier.

Localisé dans le quartier Boieldieu à Puteaux, l’Idrac Business School propose des bachelors « Marketing & Business », « Management & Sales » (100 % online), « Technico-Commercial », des MBA « Management de l’Innovation stratégique », « Project Management », « Supply Chain, Achats RSE » et des BTS « MCO – NDRC – GPME – CI ».

Pour participer à cette journée portes ouvertes il faut s’inscrire dès maintenant sur le site de l’Idrac Business School.

Avec « Les Incontournables UGC » vous avez une semaine pour (re)voir sur grands écrans les films qui ont marqué 2021

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L’UGC du Westfield les 4 Temps va proposer de (re)voir les films dix-sept films, qui ont marqué l’année 2021 - Defense-92.fr

L’année dernière a beau avoir été entachée par les restrictions et fermetures des cinémas, plusieurs films se sont distingués. Pendant une semaine, du 12 au 18 janvier, l’UGC du Westfield les 4 Temps va proposer de (re)voir dix-sept films, qui ont marqué l’année 2021 avec son opération « Les Incontournables UGC ».

« Sélectionnés en partenariat avec les rédactions du Figaro, les films Incontournables UGC reflètent la diversité de la production cinématographique française et internationale qu’UGC s’attache à mettre en avant tout au long de l’année : des comédies aux drames, du cinéma grand public aux films Art et essai, des succès populaires aux œuvres d’auteur », indique UGC sur son site internet.

Au programme il sera possible de retrouver : The Father de Florian Zeller ; Bac Nord de Cédric Jimenez ; Illusions perdues, de Xavier Giannoli ; Nomadland de Chloé Zhao ; Les 2 Alfred de Bruno Podalydès ; La Loi de Téhéran de Saeed Roustayi ; Julie (en douze chapitres) de Joachim Trier, Drive My Car de Ryusuke Hamaguchi ; Annette de Leos Carax ; Titane de Julia Ducournau ; Boîte noire de Yann Gozlan ; Aline, de Valérie Lemercier ; L’Événement d’Audrey Diwan ; Compartiment n°6 de Juho Kuosmanen ; Dune de Denis Villeneuve ; Eiffel de Martin Bourboulon et Une histoire d’amour et de désir de Leyla Bouzid.

Chaque séance sera proposée au tarif unique de 3,50 euros, les abonnés UGC Illimités n’auront pas de supplément à payer.

Les horaires des séances et les réservations se font directement sur le site UGC ou l’application Direct.