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vendredi 23 mai 2025
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(annulé) Une soirée marathon « Sans un bruit » 1&2 à l’UGC de La Défense au CGR de Nanterre

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L'UGC de La Défense et le CGR de Nanterre organiseront ce mardi 17 mars une soirée spéciale à l’occasion de la sortie de « Sans un bruit 2 » - DR

En raison du Coronavirus la sortie du film « Sans un bruit » est repoussée par Paramount. Les deux marathons de l’UGC et CGR sont donc annulés.

Prêts à frissonner en silence ? A l’occasion de la sortie le 18 mars prochain de « Sans un bruit 2 », la suite de « Sans un bruit » sorti il y a tout juste deux ans, l’UGC du Westfield Les 4 Temps et le nouveau CGR de Nanterre proposeront aux fans du film une soirée spéciale. Les deux multiplexes projetteront le premier volet du film suivi du second en avant-première.

A l’UGC de La Défense la soirée débutera à 20 heures avec la projection en VOSTF du premier film (les places sont disponibles à trois euros). La diffusion du second film, toujours en VOSTF se fera à 22 heures à l’issue de la première séance. Les places sont vendues au tarif normal. Les réservations se font ici.

Au CGR de Nanterre la projection des deux films se fera en VF. Le premier volet sera projeté dès 17h40 dans la grande salle « ICE », mais sans « l’immersion ». Suivra le second volet à 19h40, toujours dans la salle ICE. Les deux séances sont proposées au tarif unique de 10 euros. Les réservations se font ici.

Signé une nouvelle fois du réalisateur John Krasinski, ce second volet met à l’affiche une nouvelle fois au casting Emily Blunt, Millicent Simmonds et Noah Jupe. On retrouve aussi dans ce nouvel épisode Djimon Hounsou.

Dans cette suite de « Sans un bruit », la famille Abbot doit faire face aux dangers du monde extérieur. Pour survivre, ils doivent se battre en silence. Forcés à s’aventurer en terrain inconnu, ils réalisent que les créatures qui attaquent au moindre son ne sont pas la seule menace qui se dresse sur leur chemin.

Pollution de la Seine : la filiale de Vinci écope d’une amende de 50 000 euros

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La filiale du groupe Vinci a été condamné à une amende de 50 000 euros après avoir déversé accidentellement du béton dans la Seine - Defense-92.fr

Un an à peine après avoir été révélée l’affaire est déjà passée devant les juges. En mars 2019, la Fédération de Paris, des Hauts-de-Seine, de la Seine-Saint-Denis et du Val-de-Marne pour la Pêche et la Protection du Milieu aquatique (FPPMA) disait avoir découvert avec effroi d’importants rejets de béton dans la Seine émanant d’une centrale à béton de Dodin Campenon Bernard servant au chantier d’Eole. Pendant plusieurs mois cette filiale de Vinci avait déversé, accidentellement dit l’entreprise, une importante quantité de résidus de sables et ciments dans les berges du fleuve.

L’affaire qui avait fait grand bruit à l’époque a trouvé son épilogue ce mercredi 11 mars. La filiale du géant français du BTP vient d’être condamnée à une amende de 90 000 euros, dont 40 000 euros avec sursis. Cette décision avait été négociée au préalable avec le parquet dans le cadre d’une procédure de « comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité » validée par le tribunal de Nanterre qui a en revanche, pour raisons techniques, dû repousser les débats sur les dommages et intérêts au 18 septembre.

Si la justice est passée rapidement, la Fédération Nationale de la Pêche à l’origine de cette découverte estime la sanction dérisoire. « 90 000 euros, ça ne représente au final pas grand-chose au regard du préjudice environnemental dont cette entreprise est responsable. Il ne faut pas oublier qu’à cet endroit de la Seine, c’est toute une faune qui a disparu », a confié un agent de développement de la FPPMA au Parisien.

La fédération est d’autant plus agacée de la sentence qu’elle dit ne jamais avoir été entendue par le procureur alors que c’est grâce à elle que l’affaire avait été révélée. C’est lors d’un contrôle de routine que le 19 mars 2019  la fédération s’était rendue compte des dégâts et avait donné l’alerte.

Une amende qui laisse un goût amer à l’AFPPMA

Si du côté de la fédération de pêche et de protection des milieux aquatiques on peste  contre la condamnation, chez Vinci la décision est saluée. « Le tribunal a constaté, comme le parquet, que ce déversement était accidentel et que ses effets étaient limités sur une surface de 25 mètres carrés », s’est réjoui Me Philippe Goossens, l’avocat de la filiale de Vinci, auprès de nos confrères du Parisien.

L’issue de cette affaire laisse comme un goût amer pour l’AFPPMA qui accuse la filiale de Vinci d’avoir délibérément « creusé une fosse, réalisé une rigole en direction de la Seine et installé une pompe » mais aussi « démonté » une partie du grillage pour faciliter l’écoulement des boues.

L’avocat Me Laurent Bennarous qui représentait plusieurs associations environnementales, constituées parties civiles dans ce dossier, s’est agacé que la justice ait retenu le « caractère involontaire », d’après le Parisien. « Les constats réalisés sur place par les associations montraient de façon évidente que ce déversement de béton était au contraire parfaitement volontaire, appuie-t-il. Le tout sur une durée de dix-huit mois ».

Des accusations qu’avait vivement rejeté le président du groupe Vinci, Xavier Huillard lors de son audition le 29 mai 2019 par la commission de l’aménagement du territoire et du développement durable du Sénat. Le numéro un du BTP français s’était alors défendu en expliquant que ces rejets de résidus de béton étaient dûs à un trop-plein des cuves de décantation.

Pendant les pauses déjeuner elle dévalisait les bureaux des salariés

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La voleuse a été mise en examen pour avoir durant huit ans écumé les bureaux de La Défense - Défense-92.fr

Sa stratégie était bien rodée. Une femme de 38 ans vient d’être mise en examen pour avoir, durant huit ans, volé des salariés du quartier d’affaires durant leurs pauses déjeuners, rapporte Le Parisien. Surnommée la « Belphégor de La Défense », la voleuse avait une technique bien huilée. Entre midi et deux cette trentenaire profitait de l’absence des salariés de leurs bureaux et d’une vigilance plus faible des vigiles pour s’introduire malgré les portillons de sécurité dans les tours de La Défense afin de faire ses emplettes. Téléphone portable, carte bancaire, chéquiers, tout ou presque y passait comme le précise le quotidien.

L’affaire débute en 2012 lorsque le commissariat de Puteaux reçoit de nombreuses plaintes de salariés disant avoir été détroussés de leurs affaires sur leur lieu de travail durant les pauses déjeuners. Rapidement les policiers comprennent le stratagème de la voleuse. Mais la jeune femme ne s’arrête pas à quelques objets dérobés. Elle se sert de papiers d’identité chapardés pour ouvrir des crédits à la consommation.

Comme le détaille Le Parisien, la voleuse est rapidement identifiée grâce aux nombreuses caméras de surveillances présentes dans les halls des différentes tours qu’elle visitait. Son portrait est diffusé dans les commissariats du secteur de La Défense, puis de façon plus large. Une suspecte connue pour des faits similaires est arrêtée en 2015 puis rapidement relâchée car mise hors de cause. Les enquêteurs repartent à zéro et pendant ce temps-là l’hécatombe s’intensifie. Très à l’aise et sûre d’elle, la trentenaire accroit ses vols en 2016 faisant des dizaines de victimes.

L’affaire prend fin en février dernier

Jamais rassasiée, la femme va jusqu’à s’introduire en janvier 2019 au sein de l’Hôtel départemental des Hauts-de-Seine. Mais ce vol est celui de trop pour cette cleptomane. Les enquêteurs parviennent enfin à la tracer jusqu’au magasin Ikea de Franconville (95) où elle va faire des achats avec le produit de ses vols. La police ne la lâche plus et la lie à une Volkswagen Touran appartenant à sa sœur, déjà connue des services de police, précise Le Parisien.

Clairement identifiée, les enquêteurs découvrent alors que la femme est plus qu’une simple voleuse. Ils remontent jusqu’à Lille (59) où elle mène de nombreuses escroqueries. Grace aux papiers d’identités dérobés elle y ouvre de nombreux comptes bancaires pour y percevoir des allocations familiales. Ses comptes bancaires fantômes lui servent aussi pour arnaquer des organismes de crédit où elle laissera des ardoises de 18 000 et 5000 euros.

Mais la femme très mobile est difficile à localiser. L’affaire prend finalement fin un an plus tard, le 26 février dernier quand les policiers frappent à la porte de son domicile de Montfermeil (93). Chez elle c’est un peu la caverne d’Alibaba. Une foison d’objets sont retrouvés comme des sacs, des vêtements ou des bijoux mais aussi des badges d’accès et des documents d’identités. Pour sa défense, la femme confie aux forces de l’ordre que son activité est « alimentaire ». Pourtant le chiffre d’affaire de ses larcins avoisine les 100 000 euros et son pavillon est en plein travaux d’embellissement.

Cette mère de famille qui vivait avec son compagnon, un cariste, touchait officiellement 1 200 euros par mois de la Caisse d’Allocation Familiale. La voleuse n’était pas à son coup d’essai puisqu’elle avait, toujours selon Le Parisien, déjà été condamnée à huit reprises depuis 2005 pour vol, recel, escroquerie et falsification de chèques. Elle était d’ailleurs encore sous le régime de la mise à l’épreuve après avoir écopé d’une peine de deux ans de prison dont 18 mois avec sursis. Ses huit ans de vols l’ont finalement conduite à sa mise examen le 28 février 2020.

Gregory veut savoir qui l’a percuté avec sa trottinette en voiture

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L'accident s’est produit rue du Capitaine Guynemer à Courbevoie - Defense-92.fr

Le choc a été très violent et Gregory ne se rappelle plus de grand-chose. Il était entre 22 heures et 23 heures, ce jeudi 5 mars quand ce jeune homme de 27 ans venait de quitter un restaurant du quartier d’affaires. Au guidon de sa nouvelle trottinette électrique cet habitant de Courbevoie s’apprête à rentrer chez lui et emprunte la rue du Capitaine Guynemer à Courbevoie en venant de La Défense.

Même si l’homme dit ne plus se rappeler de grand-chose, il se souvient d’avoir été percuté par une voiture sombre qui quittait son stationnement. « Je l’ai tapé au niveau du capot », explique-t-il. « Je pense être resté inconscient. Quand je me suis relevé, en rouvrant les yeux, j’ai vu les phares de la voiture. L’automobiliste devait attendre, c’est comme ça que je le déduis, puis la personne a alors pris la fuite », poursuit Grégory.

Choqué ce mécanicien en motos se relève et remonte sur sa trottinette pour rejoindre sa compagne. Mais c’est une fois rentré chez lui que la victime se rend de compte des dégâts qu’il a subis. L’homme appelle les pompiers qui l’amènent faire des scanners et des IRM à l’hôpital Beaujon de Clichy. Et le bilan est lourd pour lui. Il en ressort qu’il a subi une triple fracture des mandibules et du menton. L’homme va devoir se faire opérer à l’hôpital d’Instruction des Armées Percy à Clamart ce mercredi.

Aujourd’hui Gregory veut savoir qui l’a percuté, c’est pour ça qu’il a décidé de porter plainte et recherche d’éventuels témoins de l’accident. Mais le peu de souvenirs qu’il a de l’accident et l’absence de caméras vont rendre la tâche des enquêteurs très difficile. « Vu le traumatisme que j’ai subi, il m’a été impossible de leur donner assez de description sur le coloris de la voiture, le modèle ainsi que l’immatriculation », lâche Grégory. « Pour moi on ne va jamais retrouver la personne », regrette ce natif de Courbevoie.

Les éventuels témoins de l’accident peuvent contacter le commissariat de Courbevoie.

Izivia met à l’arrêt sa borne de recharge pour voitures électriques de La Défense

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La borne Izivia de l’avenue de l’Arche à Courbevoie est désormais à l’arrêt - Defense-92.fr

Elle ne rechargera plus votre voiture électrique. La borne de recharge rapide 50 kW d’Izivia (ex Sodetrel), située dans le quartier du Faubourg de l’Arche, avenue de l’Arche à Courbevoie a été mise à l’arrêt fin février par cette filiale d’EDF suite à des problèmes techniques intervenus sur d’autres bornes similaires. Inaugurée fièrement par l’entreprise en octobre 2015, cette borne située dans la même rue que le siège d’Izivia faisait partie du réseau Corri-Door. Un réseau français désormais bien affaibli puisqu’Izivia a stoppé 189 de ses bornes sur les 217 existantes.

Ces bornes avaient été coupées du courant le 7 février dernier par « principe de précaution », explique Izivia qui est en conflit avec le fabricant. « En effet, à la suite de deux incidents d’ordre technique, des risques de sécurité étaient apparus sur deux bornes d’un même fabricant. Ceux-ci ont été confirmés par un bureau d’études certifié et indépendant, détaille Izivia sur son site internet. Ainsi, contrainte de prendre les décisions pour éviter tout risque potentiel, Izivia a décidé de ne pas remettre en service les bornes qui ont été arrêtées et dont elle est propriétaire sur le réseau Corri-Door. Et ce de manière définitive ».

Toutes les bornes concernées par cette défaillance seront retirées selon un calendrier qui sera défini prochainement, précise Izivia. L’entreprise devrait à terme remplacer certaines bornes qui n’ont pour l’heure pas encore été définies. Le réseau Corri-Door conservera au total 40 à 50 bornes dont les 28 bornes d’un autre fabricant qui continuent et continueront à assurer leur service. « Tous les clients du Pass Izivia sont informés de ces évolutions par emailings, explique Izivia. Pour pallier ce désagrément, nos clients ayant souscrit aux formules Zen et Premium du Pass Izivia ont reçu une proposition d’évolution de leur abonnement.

Maintenant à La Défense on peut recharger sa voiture électrique en moins de trente minutes

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La borne de recharge Sodetrel installée au Faubourg de l'Arche - Defense-92.fr

Recharger sa batterie électrique de voiture en une demi-heure c’est désormais possible à La Défense. Sodetrel, une filiale d’EDF a inauguré ce jeudi 1er octobre la première borne de charge rapide installée en Ile-de-France et en milieu urbain et la neuvième sur le territoire français. Dans le quartier du Faubourg de l’Arche, avenue de l’Arche, près du Starbucks, cette borne implantée à deux pas du siège de l’entreprise permet de recharger n’importe quel modèle de véhicule en un temps record alors qu’il faut compter plusieurs heures avec des bornes classiques. La borne fonctionne également pour les scooters électriques, mais avec une charge à vitesse normale.

Cette installation qui fait partie du projet « Corri-Door » est co-financé par l’Union Européenne et prévoit un déploiement de 200 bornes de charge rapide pour véhicules électriques sur le territoire français, essentiellement sur autoroutes mais aussi à proximité des grands axes. Offrant aux utilisateurs une recharge rapide et facile, Corri-Door permet de récupérer jusqu’à 80% de l’autonomie de son véhicule en moins de 30 minutes. Placées tous les 80 kilomètres, les bornes Corri-Door rendent possibles désormais les déplacements inter-urbains, et lèvent ainsi l’un des freins au développement de la mobilité électrique.

La borne fonctionne avec une carte qu’il faut acquérir à 9 euros sur le site internet sodetrel-mobilite.fr. Trois formules sont proposées à respectivement 2, 5 et 10 euros par mois. Une fois la carte en votre procession il vous suffit de la passer devant l’écran de la borne, de choisir l’un des trois connecteurs et de le brancher à votre véhicule. Comptez alors entre 1,50 et 3,50 euros -selon la formule choisie pour une charge d’un quart d’heure- qui seront prélevés directement sur votre compte.

Informations et inscriptions sur sodetrel-mobilite.fr

Brexit : Paris se hisse à la deuxième place derrière Dublin pour attirer les banquiers

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Le quartier de La Défense en juillet 2019 - Defense-92.fr

« Depuis le référendum de juin 2016, 530 projets de relocalisation ou d’expansion ont été enregistrés en Europe. Leur nombre aurait même pu être plus élevé si le flou politique n’avait pas favorisé l’attentisme des entreprises en 2019 », annonce David Bourla, directeur études et Recherche chez Knight Frank France dans un communiqué.

L’année dernière ce sont 162 mouvements d’entreprises certains ou potentiels qui ont en effet été recensés, soit une baisse de près de 30 % par rapport à 2018. Si le Royaume-Unis a bien quitté l’Union Européenne, l’incertitude est encore loin d’être levée, les pourparlers relatifs à un accord de libre-échange entre Londres et Bruxelles venant en effet tout juste de débuter.

Toutefois, l’officialisation du Brexit et la tension entourant le début des négociations pourraient se traduire par un regain du nombre de nouveaux mouvements et, surtout, par la concrétisation de projets déjà initiés par les entreprises pour assurer leur accès au marché commun. Cette tendance semble se confirmer, avec un rythme déjà élevé de projets dénombrés depuis le début de 2020 (près de trente), estime Knight Frank dans son étude.

Selon le broker, Dublin reste solidement installée à la première place des métropoles ayant attiré le plus de mouvements liés au Brexit depuis 2016, devant un quatuor formé de Paris, Luxembourg, Amsterdam et Francfort. Deux villes se distinguent par leur attractivité croissante : Amsterdam, qui a bâti son succès sur sa capacité à attirer les entreprises de profils variés, et surtout Paris. « Avec quatre-vingt-deux mouvements certains ou potentiels recensés depuis 2016, Paris dépasse Luxembourg et se hisse donc au deuxième rang derrière Dublin. Cette progression est révélatrice de l’amélioration de l’image de la France, confirmant, plus généralement, que les efforts menés pour restaurer l’attractivité de l’Hexagone portent leurs fruits », explique David Bourla.

Si les activités bancaires et d’asset management représentent encore la majorité des mouvements liés au Brexit à Paris (30 % et 20 % respectivement), la hausse de la part des Fintech est l’une des évolutions les plus marquantes des douze derniers mois, poursuit Knight Frank dans son étude. Peu représentées jusqu’à la fin de 2018, celles-ci comptent désormais pour 15 % du nombre total de projets de relocalisation enregistrés dans la capitale française. Elles pourraient voir leur part encore augmenter du fait du potentiel de croissance élevé du secteur et de la politique volontariste menée pour promouvoir l’écosystème de la French Tech.

Le QCA préféré à La Défense

« Sur les quatre-vingt-deux mouvements liés au Brexit recensés depuis 2016 en Ile-de-France, les deux tiers sont d’ores et déjà effectifs pour des gains estimés à près de 1 500 emplois. Les mouvements potentiels et non encore réalisés représenteraient 1 800 à 2 000 postes supplémentaires, soit environ 3 500 postes pour la totalité des gains d’emplois liés au Brexit », détaille David Bourla. Ce chiffre pourrait être revu à la hausse dans les prochains mois, mais restera néanmoins assez modeste par rapport au poids économique de l’Ile-de-France. De fait, la très grande majorité des projets liés au Brexit ne portent que sur un nombre relativement faible d’employés, 69 % des mouvements recensés ne concernant pas plus d’une trentaine de collaborateurs. En outre, une dizaine seulement concernent plus de cent collaborateurs.

Parmi les mouvements les plus emblématiques ont été enregistrés ceux de la banque d’affaires américaine J.P.Morgan qui a dernièrement annoncé l’acquisition de 6 600 mètres carrés de bureaux près de la place Vendôme. Une transaction qui constitue ainsi la deuxième plus grosse transaction liée au Brexit à Paris depuis 2016 après la location de Bank of America de près de 10 000 mètres carrés au 49-51, rue La Boétie.

Les marchés situés hors du Quartier Central des Affaires (QCA) ne concentrent que 16 % des mouvements liés au Brexit en Ile-de-France. Le profil des entreprises y est en général plus varié, mêlant avocats, assureurs, grands groupes industriels et Fintech. Ces utilisateurs ont ciblé quelques quartiers parisiens de l’Ouest et de la Rive gauche et, hors de Paris, Neuilly et surtout La Défense. Le quartier d’affaires de l’Ouest parisien qui n’a cessé depuis le vote du Brexit de faire les yeux doux aux banquiers de la City à Londres n’a pour l’instant pas encore véritablement su tirer parti du départ de l’Angleterre de l’UE. Le QCA semble être préféré.

A l’exception de l’Autorité Bancaire Européenne (EBA) qui a quitté l’année dernière Londres pour la tour Europlaza à La Défense les transactions ont été essentiellement endogènes, à l’exemple du rapatriement par Total de la gestion de sa trésorerie, précédemment installée dans le cœur de la capitale anglaise. Les prochains mois diront donc si le quartier d’affaires de La Défense pourra attirer de nouvelles entreprises grâce aux flux à venir. Mais pour David Bourla, le QCA de Paris devrait être favorisé par les grandes banques pour leurs futures implantations. « Le QCA devrait néanmoins rester la cible quasi exclusive des mouvements liés au Brexit : les entreprises du conseil et de la finance internationale sont traditionnellement captives d’une adresse dans les plus beaux quartiers de la capitale et ont, de ce fait, moins de réticence à y payer des loyers élevés », conclut David Bourla.

Dès le 5 avril prochain l’hypermarché Auchan du Westfield Les 4 Temps sera ouvert tous les dimanches, toute la journée

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L'hypermarché Auchan de La Défense sera désormais ouvert tous les dimanche, durant toute la journée - Defense-92.fr

C’est une petite révolution que s’apprête à vivre l’hypermarché Auchan du Westfield Les 4 Temps. Dès le 5 avril prochain la grande surface de La Défense sera ouverte tous les dimanches, durant toute la journée. Si l’hypermarché levait déjà ses rideaux de fer tous les dimanches matin depuis janvier 2016, l’intégration du quartier d’affaires en Zone Touristique Internationale (ZTI) en septembre dernier permet désormais à l’enseigne de le faire tout au long de la journée. L’hyper Auchan de La Défense va ainsi devenir le troisième de l’enseigne française à ouvrir tous les dimanches après ceux d’Aéroville et de Val d’Europe qui sont tous les deux situés depuis quelques années déjà dans une ZTI.

Une occasion en or qu’attendait depuis des années l’enseigne de grande distribution qui s’étale dans le centre sur trois niveaux de surface de vente. « On aura une clientèle d’habitués le dimanche, de résidents de Nanterre, Puteaux et Courbevoie qui auront envie de faire leurs courses dans des conditions plus sereines », estime Philippe Mottet, le directeur du magasin.

Alors que le travail dominical dans le commerce a été un sujet sensible ces dernières années, les discussions ont plutôt été efficaces entre la direction de l’hyper de La Défense et les instances syndicales. « Dès la fin de l’année nous avons commencé à échanger avec nos partenaires sociaux et ils ont été constructifs. Créer un accord d’établissement c’est rare, en général ça se fait au niveau de l’entreprise complète », insiste Philippe Mottet qui assure que le travail le dimanche se fera uniquement sur la base du volontariat avec une majoration de salaire. « Sur les trois organisations syndicales, deux étaient à fond tout de suite et il y en a eu une avec qui on a eu un plus d’échanges », précise le directeur du magasin qui parle d’un « travail sérieux » qui a rapidement abouti à la signature d’un accord d’établissement.

« Beaucoup de nos collaborateurs voulaient que l’on ouvre le dimanche »

Cette ouverture dominicale est aussi l’occasion pour l’entreprise d’étoffer les effectifs de son magasin de La Défense qui emploie quelques 620 personnes. Quatre-vingt nouveaux postes en CDI à temps partiel et à temps plein vont être créés (les candidatures peuvent être envoyées par mail à ozebpuchi@auchan.fr) pour renforcer les équipes actuelles de l’hypermarché. Ces embauches se rajouteront aux quatre-vingt déjà générées lors de l’ouverture les dimanches matin. En tout, environ 160 personnes devraient donc travailler chaque dimanche pour faire tourner cette grosse machine. Mais le dimanche il n’y aura pas que des étudiants. « Beaucoup de nos collaborateurs voulaient que l’on ouvre le dimanche et se sont dit intéressés pour travailler ce jour-là », explique Philippe Mottet.

Et que les clients qui opteront pour faire leurs courses hebdomadaires les dimanches se rassurent. L’enseigne promet des rayons parfaitement achalandés et notamment pour les fruits et légumes. « Nous auront deux réassorts les samedis. Un le matin et un autre le soir pour la journée du dimanche », précise Philippe Mottet. Mis à part le service de livraison qui sera indisponible, le dimanche sera donc une journée presque comme les autres pour l’hypermarché Auchan où tous les rayons seront ouverts (poissonnerie, charcutier,…).

« Les clients ne comprenaient pas que ce soit fermé ; il y avait une véritable demande de leur part »

Une ouverture dominicale intervenant quelques semaines après celle du Monoprix qu’attendaient depuis des années les responsables du centre dont les boutiques sont ouvertes le septième jour de la semaine depuis une dizaine d’années déjà. « On est très contents que l’hypermarché ouvre enfin les dimanches après-midi, se réjouit Thibault Desmidt, le directeur du centre Westfield Les 4 Temps. Les clients ne comprenaient pas que ce soit fermé ; il y avait une véritable demande de leur part ». Désormais la quasi-intégralité des enseignes du centre seront ouvertes sept jours sur sept, portées par la locomotive qu’est l’hypermarché Auchan.

L’hypermarché sera ainsi ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 21h30, les samedis de 8h30 à 21h30 et les dimanches de 9 heures à 20 heures.

Les Quatre Temps ouvrent le dimanche

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La Clairière des Quatre Temps - ©Defense-92.fr

Depuis le classement de La Défense en zone touristique et la loi autorisant le travail le dimanche, les boutiques de La Défense ont désormais la possibilité de lever leurs rideaux. Après l’UGC, Castorama, Toy’s’Rus, c’est désormais 116 enseignes sur 250 qui suivront le pas et ouvriront tous les dimanches dès le 25 octobre de 10h à 19h.

« Nous avons sondé nos enseignes phares dès septembre dernier, pour savoir lesquelles seraient intéressées par cette ouverture » explique Agathe Lang directrice du centre. Parmi les enseignes qui seront désormais ouvertes 7 jour sur 7 : Andaska, André, Armand Thierry, Bata, Brice, Celio, Eram, Zara, Lancel, Gap, Darty, Go Sport, l’Espace SFR, Micromania, Sephora,…

D’autres comme H&M, Virgin,… devraient rejoindre la liste dans les prochaines semaines, un décalage qui s’explique car pour ouvrir ce jour, le personnel doit être volontaire, les plannings doivent être refaits et le tout doit être validé en comité d’entreprise mais les boutiques doivent également effectuer de nouvelle embauches.

« Le personnel qui travaillera le dimanche est volontaire et leur salaire sera doublé ; cette ouverture a été plutôt bien reçue » explique Frédérique Viennet directrice de Sephora.Pour Renel le choix est fait: » il ne se portera pas volontaire ». Chez Darty, chaque personne touchera une prime de 45€ par dimanche travaillé: Sébastien mesure le pour et le contre, mais a tout de même décidé de travailler 3 dimanches dans le mois.

Côté clients l’avis est partagé: Martine est « 20 fois contre » tout comme Sébastien et Aude, un jeune couple qui estime que le dimanche est un jour de repos pour tout le monde. En revanche Monique habitante de Courbevoie, fréquentant le centre plusieurs fois par semaine depuis 10 ans se réjouit de cette ouverture et déclare « de toutes façons les gens s’embêtent le dimanche devant leurs tv », Loriane et Johanna adolescentes sont elles pour cette ouverture et viendront si l’occasion se présente.

Le centre accueille 25 000 personnes le dimanche et plus de 120 000 en semaine, une belle perspective de progression pour les enseignes.

Une grande campagne de communication (avec des spots sur les radios locales, des publicités) dans les journaux franciliens sera lancée dès le 18 octobre. La façade vitrée du centre donnant sur le Parvis va être entièrement pelliculée de messages annonçant cette ouverture qui est une véritable révolution pour le quartier de La Défense mais aussi pour Paris. Enfin le centre devrait se doter d’un nouveau site internet dans les prochaines semaines.

Le nouveau Galaxy S20 Ultra 5G de Samsung s’affiche en star sur le Cnit

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Samsung fait la promotion jusqu’à la fin avril de son nouveau Galaxy S20 Ultra 5G sur l’immense façade vitrée du Cnit - Defense-92.fr

Samsung retrouve son support publicitaire préféré de La Défense. Le fabricant sud-coréen fait la promotion depuis le début du mois et ce jusqu’à la fin avril de son nouveau smartphone, le Galaxy S20 Ultra 5G. Une fois de plus le géant de la high-tech a choisi le plus vieux bâtiment de La Défense et ses quelques 3 000 mètres carrés de façade vitrée donnant sur le parvis pour communiquer auprès des dizaines de milliers de passants. Sobre, le visuel adhésif collé sur la façade du Cnit est une déclinaison de la campagne publicitaire mondiale qu’opère actuellement Samsung.

Ce support hors-normes tout comme celui de la façade des 4 Temps est commercialisé par Athem pour le compte d’Unibail-Rodamco-Westfield, le propriétaire des deux centres. Outre les nombreuses campagnes que s’est offert Samsung ces dernières années, plusieurs marques se sont succédées sur le Cnit depuis la commercialisation de ce support, comme Sonos, Renault, Aviva, Orange, Qatar Airways, Nike, Audi, Leff ou encore Seat et Volkswagen.