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mardi 24 juin 2025
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Nanterre : un jeune grièvement blessé par balles dans le quartier des Groues

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Illustration : un véhicule de police - Defense-92.fr

Encore de la violence à Nanterre. Un jeune homme de 20 ans a été grièvement blessé par balles dans la nuit de dimanche à lundi à Nanterre, dans le quartier des Groues, a rapporté Le Parisien. Son pronostic vital est engagé.

Il était environ 3 heures du matin lorsqu’une femme, réveillée par de fortes détonations, a alerté les forces de l’ordre. Les faits se sont produits au niveau du 321 rue Édouard-Colonne. Sur place, les forces de l’ordre et les secours ont découvert la victime au sol, atteinte de plusieurs balles. Le jeune homme portait un casque, qu’ils n’ont pas retiré par crainte d’aggraver ses blessures. Une balle aurait notamment touché sa veine jugulaire, relate Le Parisien.

Pris en charge rapidement par les équipes du Samu, le jeune homme a pu être maintenu en vie avant d’être transféré à l’hôpital, peu après 3h30. Ce lundi en fin de matinée, son état de santé restait inconnu, indique encore Le Parisien.

Selon les premiers éléments de l’enquête, confiée à la police judiciaire des Hauts-de-Seine, le ou les tireur(s) seraient arrivés en scooter et auraient tiré à cinq reprises. La victime, domiciliée dans le quartier Pablo-Picasso à Nanterre, était déjà connue des services de police pour des affaires de braquages de boutiques de téléphonie, précise Le Parisien.

C’est le service départemental de la police judiciaire qui a été saisi par le parquet de Nanterre pour mener les investigations.

La résidence Hélios s’apprête à accueillir ses premiers habitants

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La résidence Hélios s’insère dans un vaste programme mixte - Defense-92.fr

Un nouveau lieu de vie dans les Groues. Le duo de promoteurs Telamon (anciennement Panhard) et Bricqueville a annoncé la livraison de la résidence Hélios, pièce maîtresse d’un ambitieux programme immobilier en développement dans le quartier des Groues à Nanterre.

Cet ensemble résidentiel de dix-sept étages comprend quatre-vingt-quatorze logements, dont soixante-dix en accession libre (du studio au T5) et vingt-quatre logements intermédiaires, ces derniers ayant été intégralement acquis par le bailleur social Batigère. Les deux promoteurs se félicitent d’avoir déjà bouclé la commercialisation, avec une majorité d’acquéreurs locaux.

« La livraison d’Hélios est une étape décisive pour l’opération que nous développons dans le quartier des Groues. La commercialisation a enregistré un très bon accueil, tout particulièrement auprès des Nanterriens. Plus de 80 % des acquisitions concernent des résidences principales, ce qui témoigne de l’adhésion à la qualité de l’habitat proposé », se réjouit Pierre-Emmanuel Arnal, directeur Promotion résidentielle chez Telamon.

La résidence Hélios s’élève sur dix-sept étages – Defense-92.fr

« Élément central d’un programme mêlant divers usages, Hélios s’élève au cœur d’un jardin généreusement végétalisé qui exprime notre vision d’une urbanité en harmonie avec la nature, procurant ainsi plus de bien-être à ses usagers », commente pour sa part Gérault de Sèze, président de Bricqueville.

Imaginée par l’architecte Nicolas Laisné, la tour Hélios affiche une silhouette contemporaine rythmée par des balcons suspendus aux lignes épurées, dont la profondeur augmente avec les étages. Le bâtiment privilégie la lumière naturelle, la légèreté architecturale et le confort d’usage, en intégrant des matériaux biosourcés comme le bois.

« Hélios se distingue par le jeu visuel créé par ses balcons disposés de manière héliotropique sur toute sa périphérie. Cette silhouette à forte personnalité rend hommage à l’héritage industriel et artisanal du site », confie Nicolas Laisné, architecte de l’immeuble et coordinateur de l’ensemble du programme immobilier.

L’un des bâtiments mêle bureaux et logements – Defense-92.fr

En complément des logements, Hélios propose des espaces partagés encore rares dans le paysage résidentiel français, notamment un rooftop végétalisé offrant une vue dégagée sur le quartier d’affaires de La Défense, ainsi qu’une salle de réception avec terrasse donnant sur un vaste jardin central. Ce dernier s’inscrit dans une démarche ambitieuse de végétalisation : plus de 2 400 mètres carrés de la parcelle resteront libres de construction, et près de 200 arbres et arbustes y seront plantés.

La résidence Hélios s’insère dans un vaste programme mixte développé par Telamon et Bricqueville. L’un des trois bâtiments du complexe abrite depuis le début de l’année l’établissement éducatif Igensia.

Le complexe héberge depuis le début de l’année l’établissement éducatif Igensia – Defense-92.fr

Le troisième édifice, de huit niveaux, mêle bureaux et logements. Sur les trois premiers étages, 2 700 mètres carrés d’espaces de travail sont encore à la recherche d’un preneur ou d’un acquéreur. Au-dessus, quarante-trois logements, opérés par le bailleur Nanterre Coop’ Habitat, seront investis dans les prochaines semaines par leurs locataires.

Enfin, le spécialiste du self-stockage Une Pièce en Plus fera son retour cet été dans les sous-sols du complexe avec un espace de près de 6 000 mètres carrés. L’enseigne, dont l’ancien entrepôt avait été détruit par un incendie en 2011, disposera désormais de son propre espace commercial et d’une aire de livraison dédiée.

Érigé face à la nouvelle gare Nanterre-la-Folie du RER E, le complexe, les résidents devront toutefois encore faire preuve de patience pour emprunter la ligne 15, dont l’ouverture n’interviendra pas avant 2031. Et il en faudra encore davantage pour bénéficier des lignes 18 et 19, attendues à l’horizon 2040.

La résidence Hélios abrite quatre-vingt-quatorze logements – Defense-92.fr

Les mois du célèbre ticket en carton à bande magnétique sont comptés

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Le célèbre ticket magnétique en carton tirera définitivement sa révérence à l’été 2026 - Defense-92.fr

La fin d’une époque. Arrivé comme une révolution au début des années 1970, le petit ticket en carton à bande magnétique va connaître le même sort funeste qu’il avait réservé au poinçonneur des Lilas. Plus d’un demi-siècle après son introduction, cet iconique titre de transport pour les métros, RER, trains, bus et tramways va tirer sa révérence.

Annoncée il y a déjà plusieurs années et reportée à plusieurs reprises, la disparition du ticket en carton à bande magnétique devrait intervenir totalement d’ici l’été 2026, a annoncé Île-de-France Mobilités (IDFM), qui a lancé en début d’année une tarification simplifiée pour les voyageurs occasionnels.

Déjà remplacé au début des années 2000 avec la mise en place de la carte Navigo pour les abonnements mensuels et annuels, le petit ticket a été supprimé en septembre 2023 pour la vente des carnets de dix. Avec la généralisation désormais actée de la carte Navigo pour tous les types de billets (abonnement ou non) et le passage au dématérialisé sur smartphone, le ticket classique est progressivement retiré de la vente. Au 13 mai dernier, ce sont ainsi 400 gares et stations, soit la moitié du réseau francilien, qui ne le proposent plus. Et il n’y en aura plus aucune à la fin octobre.

D’ici cet été, IDFM prévoit que les tickets en carton ne seront plus valides dans certains bus et tramways. Ils resteront temporairement acceptés dans les véhicules équipés d’anciens appareils de validation jusqu’en mai 2026, précise l’autorité organisatrice.

L’été 2026 marquera ainsi la fin de l’usage du ticket en carton sur l’intégralité du réseau francilien. « Une procédure d’échange sera mise en place d’ici la suppression définitive du ticket magnétique, dont les modalités seront précisées ultérieurement », rassure IDFM, qui invite toutefois les usagers à se débarrasser rapidement de ces tickets vintage… à moins de vouloir les garder en souvenir.

Un chamboulement qui ne semble pas effrayer les voyageurs. Selon IDFM, 90 % des clients se disent satisfaits des nouveaux supports de titres de transport. Et 70 % des voyageurs interrogés affirment avoir déjà utilisé par le passé des tickets magnétiques à l’unité.

Top 14 : le Racing 92 s’offre une victoire en terre toulousaine

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Le Racing 92 a vaincu le Stade Toulousain 37 à 35 - Defense-92.fr

Une courte victoire qui donne un grand sourire aux Racingmen. En s’imposant 37 à 35 ce samedi soir sur la pelouse d’Ernest-Wallon, pour la vingt-quatrième journée du Top 14, le Racing 92 peut enfin souffler et s’éloigne définitivement de la relégation en Pro D2.

Dominants quasiment tout au long de la rencontre, les joueurs de Patrice Collazo ont inscrit quatre essais (N. Le Garrec 18’, J. Tarrit 36’, G. Fickou 52’ et M. Spring 78’), tous transformés (N. Le Garrec 18’, 37’, 53’, 79’), ainsi que trois pénalités (N. Le Garrec 6’, 24’ et 27’). De leur côté, les Toulousains ont marqué quatre essais (J. Mallia 14’, P. Barassi 21’, J. Willis 65’ et G. Cramont 80+1’), tous transformés (J. Mallia 15’, 22’, 66’ et 80+1’), ainsi qu’un essai de pénalité (50’).

Cette victoire permet au Racing 92 de prendre quatre points et de se positionner à la dixième place du classement avec 51 points, loin derrière Toulouse, premier avec 85 points.

Après une saison difficile, les Ciel & Blanc officialisent leur maintien en Top 14. Sur le papier, les Franciliens peuvent même rêver d’aller en barrage et de se qualifier pour la prochaine saison de Champions Cup. Mais pour y arriver, le Racing 92 devra absolument gagner ses deux derniers matchs, celui face à Montpellier le 31 mai à la Paris La Défense Arena, puis l’affrontement à Lyon, et miser sur plusieurs défaites d’autres équipes.

Le rappeur Werenoi, qui devait se produire à Paris La Défense Arena, est mort

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Le rappeur Werenoi est mort à l’âge de 31 ans - DR

Le monde du rap français perd l’une de ses figures majeures. Werenoi, qui devait se produire à Paris La Défense Arena le 30 janvier 2026, est mort ce samedi à l’âge de 31 ans, a annoncé son producteur. Les circonstances de son décès n’ont en revanche pas été révélées.

Depuis vendredi, de nombreuses rumeurs circulaient déjà sur les réseaux sociaux sur son état de santé. Alors qu’il devait donner un showcase dans une discothèque de Poitou-Charentes, il avait annulé sa venue.

Werenoi, de son vrai nom Jérémy Bana Owona s’était imposé comme l’une des révélations du rap français dès ses débuts en 2020. Originaire de Montreuil (Seine-Saint-Denis), il s’était fait connaître grâce à une série de freestyles percutants avant de lancer ses premiers projets solo. En 2023, son album « Carré » rencontre un immense succès et devient le disque le plus vendu de l’année. Il confirme l’année suivante avec « Pyramide », écoulé à plus de 276 000 exemplaires, faisant de lui le plus gros vendeur de 2024. Son style, mêlant mélodies soignées et récits de rue, lui avait permis de conquérir un large public.

Connu pour sa discrétion, Werenoi évitait les projecteurs et les interviews, préférant laisser sa musique parler pour lui. Peu présent dans les médias et relativement réservé sur les réseaux sociaux, le rappeur cultivait une image sobre et authentique, loin des excès souvent associés à ce milieu. Ce choix n’a pas freiné son ascension : porté par une fanbase fidèle, il avait su imposer son style et son univers sans avoir recours à une surexposition médiatique.

« Repose en paix mon frère je t aime !!! », a écrit sur X son producteur, sous le pseudonyme de Babs -Plr Music.

« C’est avec une grande tristesse que nous venons d’apprendre le décès du rappeur Werenoi. Paris La Défense Arena adresse ses plus sincères condoléances à la famille de l’artiste, à son entourage et à ses équipes », a déclaré la Paris La Défense Arena, qui n’a cependant pas encore précisé les modalités de remboursement des billets.

Arkema pose ses valises dans Lightwell

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Arkema s'est installé dans le nouvel immeuble Lightwell - Defense-92.fr

Retour aux sources pour Arkema. Devenu indépendant en 2006 après sa séparation du groupe Total, le groupe chimique avait quitté La Défense à l’été 2007 pour s’établir à Colombes. Dix-huit ans plus tard, Arkema a fait son retour à La Défense, dans le quartier qui l’a vu naître, à quelques pas de ses anciens locaux. Le groupe occupe désormais une bonne partie de Lightwell, un complexe immobilier de neuf niveaux situé en bordure de l’esplanade.

Entièrement restructuré par Unibail-Rodamco-Westfield (URW), son propriétaire –qui avait un temps envisagé d’y ériger la tour Oasisl’immeuble, qui a successivement accueilli Total, puis Alstom et BearingPoint, héberge depuis mars dernier Arkema.

Quelque 960 postes de travail (sans compter les nombreux sièges en salles de réunion) ont été aménagés en flex-office – Defense-92.fr

« Nous avons tout regardé, puis nous nous sommes focalisés sur La Défense », confie Fabien Debaud, directeur du projet du nouveau siège social. Le groupe dit avoir été séduit par l’offre de transports du quartier d’affaires, mais aussi par les qualités propres de Lightwell. « L’immeuble est très lumineux et en première ligne sur l’esplanade. C’est un bâtiment qui nous correspond », ajoute Fabien Debaud.

Avec ce nouveau départ, Arkema –connu du grand public pour sa marque Bostik, acquise en 2015 auprès de Total- offre à ses quelque 1 250 salariés un cadre de travail en flex-office. Environ 960 postes de travail (sans compter les nombreux sièges en salles de réunion) ont été aménagés sur neuf niveaux articulés autour d’un impressionnant atrium bordé d’escaliers. Et, à rebours de la tendance actuelle à la réduction des espaces, Arkema a choisi d’aller à contre-courant. « Nous n’avons pas réduit la surface par rapport à nos anciens locaux de Colombes. Nous avons redistribué l’espace pour disposer de davantage de zones collaboratives », précise Fabien Debaud

Baigné de lumière naturelle, l’escalier monumental s’élève sous un vaste atrium – Defense-92.fr

CBRE et The Boson Project ont accompagné Arkema dans la conception de ses nouveaux espaces. Au sommet du bâtiment, le géant de la chimie a choisi de ne pas y installer la direction, préférant y créer un vaste espace collaboratif et de détente baptisé « Le Campus », avec vue dégagée sur l’esplanade. On y trouve également une bibliothèque, un espace de formation, une salle dédiée aux associations internes, un studio d’enregistrement ainsi qu’une salle de jeux.

Ce nouveau siège est aussi l’occasion pour Arkema de mettre en valeur son savoir-faire. En plus d’un showroom sont présentés ses différents produits, l’entreprise a installé, au cœur de l’atrium, les iconiques chaises et tables de la maison Gatti –qui font la réputation des bistrots parisiens- réalisées en Rilsan, un matériau développé par le groupe. Les murs sont décorés d’une peinture écoresponsable à base de résine brevetée Synaqua, certifiée sans solvant et composée à 97 % de molécules biosourcées. Enfin, les revêtements premium Ideal Work, autre marque du groupe, apportent également une touche esthétique et fonctionnelle à plusieurs espaces.

Arkema a aménagé un showroom pour présenter ses différents produits – Defense-92.fr

Comme de plus en plus d’entreprises, Arkema a profité de ce déménagement pour réemployer une partie de son mobilier et de son parc informatique. « 15 % du mobilier provient de notre ancien bâtiment. Et 85 % de celui que nous n’avons pas conservé a été transmis à nos usines ou à des associations. Pour les postes de travail, nous avons conservé une partie des écrans », détaille Fabien Debaud.

« Ce projet symbolise notre grande ambition, notre engagement collectif et notre capacité à créer un cadre propice au bien-être et à la performance, tout en apportant des solutions innovantes à nos clients et partenaires. Ce changement de lieu est le fruit d’un travail d’équipe mené avec passion, et avec la volonté de construire un environnement de travail moderne, conforme aux standards environnementaux les plus exigeants, reflétant la culture entrepreneuriale et internationale de notre groupe. Nos matériaux de spécialités et nos innovations y trouveront toute leur place », souligne pour sa part Thierry Le Hénaff, président-directeur général d’Arkema.

Au dernier étage, les occupants bénéficient d’un large espace dédié au travail collaboratif et à la détente – Defense-92.fr

« Nous sommes très fiers de la qualité du bâtiment après sa rénovation. Une attention particulière a été portée à l’exemplarité environnementale du projet. Nous avons réalisé un important travail sur l’économie circulaire : deux tiers de la structure ont été conservés, et le béton démoli a été entièrement recyclé en agrégats. Une partie de ces derniers a été réutilisée pour construire les nouveaux ouvrages. Nous sommes vraiment au cœur de l’économie circulaire. Ce réemploi a permis d’économiser trente tonnes de CO₂ », se réjouit Vincent Jean-Pierre, COO Northern Europe chez Unibail-Rodamco-Westfield.

Quant aux quelque 6 000 mètres carrés de bureaux encore disponibles dans l’aile sud de l’immeuble, Unibail-Rodamco-Westfield aurait, selon nos informations, signé un bail avec Nexans, qui quitterait ainsi l’immeuble Le Vinci, où l’entreprise est installée depuis 2017.

Arkema dispose de très nombreuses salles de réunion – Defense-92.fr

Top 14 : le 31 mai, le Racing 92 affrontera Montpellier à la Paris La Défense Arena

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Pour le dernier match de la saison régulière du Top 14 à la Paris La Défense Arena, le Racing 92 recevra Montpellier - Defense-92.fr

Pour son dernier match de la saison à domicile, le Racing 92 recevra Montpellier le samedi 31 mai. Le coup d’envoi de la rencontre, comptant pour la vingt-cinquième journée du Top 14, sera donné à 16h30 sur la pelouse synthétique de l’arena.

Et après le match, la musique prendra le relais. Alors que Dadju était attendu pour animer le Racing Live, c’est finalement Tayc qui fera le show. Une salle que le chanteur « Afro Love » connaît bien, puisqu’il y a donné deux concerts en décembre dernier et avait assuré le show de la mi-temps lors du gala de basket de Nanterre 92 en février. Le showcase d’une quarantaine de minutes de Tayc sera ensuite suivi d’un DJ set.

Les places pour la rencontre sont proposées entre 24,92 euros (dès 10,92 euros pour les moins de 18 ans) et 99,92 euros selon les catégories. Pour réserver vos billets c’est ici.

Soupçonné d’avoir séquestré deux jeunes femmes, un faux chauffeur VTC bientôt jugé

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L’une des deux passagères s’était jetée du véhicule alors qu’il fonçait dans le tunnel de Nanterre – La Défense - Defense-92.fr

Un homme de 32 ans comparaîtra en juillet prochain devant le tribunal judiciaire de Paris pour « atteinte sexuelle » et « détention arbitraire avec libération avant le septième jour ». Ce boulanger de profession exerçait comme chauffeur VTC clandestin, sans être inscrit sur une plateforme officielle.

Dans la nuit du 3 avril 2024, deux jeunes femmes, âgées d’environ 18 ans, sortent d’une boîte de nuit sur les Champs-Élysées (VIIIe) et montent à bord d’une Toyota qu’elles prennent à tort pour leur chauffeur Uber. Très vite, elles s’inquiètent du comportement du conducteur, qui éteint son téléphone et refuse de les laisser descendre.

L’une d’elles parvient à s’échapper à un arrêt, tandis que l’autre raconte avoir été touchée au cou et à la cuisse. Paniquée, elle finit par sauter du véhicule en marche dans le tunnel de Nanterre – La Défense (A14), alors que la voiture roulait à environ 70 km/h. Elle s’en sortira avec quinze jours d’incapacité totale de travail.

« La victime a eu tellement peur de ce qui pouvait lui arriver qu’elle a été capable de sauter d’une voiture en marche », a rappelé le 13 mai dernier l’avocat général, cité par Le Parisien, lors d’une audience consacrée à la demande de remise en liberté du mis en cause. Une demande refusée.

Interpellé fin avril 2024 en région parisienne, l’homme avait été identifié grâce aux caméras de vidéosurveillance et aux relevés téléphoniques. Il nie catégoriquement les faits, affirmant avoir roulé à seulement 30 km/h et n’avoir jamais empêché ses passagères de sortir. Son avocate, Me Sarah Abdel Salam, souligne que les portes n’étaient pas verrouillées, que son casier judiciaire est vierge et que l’expertise psychiatrique n’a révélé aucun trouble.

Comme le précise Le Parisien, le tribunal correctionnel de Paris fixera la date de son procès, qui devrait se tenir en juillet.

Le temple des sucreries Lolly’s fait son retour au Westfield Les 4 Temps

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La boutique Lolly’s est à retrouver jusqu’à la fin de l’année au Westfield Les 4 Temps - Defense-92.fr

Des bonbons, des bonbons et encore des bonbons. Mais pas seulement. Après un passage éclair il y a près de deux ans, Lolly’s fait son retour au Westfield Les 4 Temps, jusqu’à la fin de l’année, avec un pop-up store installé près de l’accès à la gare de La Défense. « Cette boutique, même si elle n’est qu’éphémère, nous l’avons pensée comme si elle devait rester plusieurs années », confie Benoit Perotin, le fondateur et dirigeant de l’enseigne.

Lolly’s propose près de 180 variétés de bonbons en vracs – Defense-92.fr

Sur environ quatre-vingts mètres carrés, Lolly’s –née à Lille il y a dix ans sous le nom de Mix!s- propose près de de 180 variétés de bonbons en vrac. En flânant entre les étals bien garnis, les amateurs de friandises peuvent également découvrir les célèbres Reese’s, des Pringles aux saveurs variées, une large sélection de sodas (Coca-Cola, Fanta, Pepsi, Red Bull…), une avalanche de mochis, des chewing-gums en tout genre, du hocolat Dubaï, d’autres douceurs sucrées et salés, ainsi qu’un distributeur de M&M’s et une machine à glace.

De nombreux sodas sont à retrouver – Defense-92.fr

Avec ce second passage au Westfield Les 4 Temps, la marque ne compte pas s’arrêter là. Déjà bien implantée en France avec seize points de vente (Westfield Forum des Halles, Bordeaux, Caen, Creteil, Nice, Tours…), Lolly’s veut affiner sa stratégie avant d’ouvrir une boutique permanente dans le centre commercial. « Aujourd’hui, nous ne trouvons pas encore l’emplacement avec la superficie idéale », admet Benoit Perotin, qui vise une surface de 100 à 120 mètres carrés pour une future installation pérenne dans le mall.

Devenue leader des boutiques de confiserie en France, Lolly’s ne cache pas son appétit pour l’avenir. « Notre objectif est d’ouvrir une vingtaine de boutiques en France d’ici deux ans », rajoute Benoit Perotin, qui envisage désormais de s’ouvrir à la franchise.

Un distributeur M&M’s est à découvrir au sein de la boutique – Defense-92.fr

Le Westfield Cnit enrichit son offre de commerces et de restaurants

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Ce nouveau niveau propose 9 000 mètres carrés de commerces et restaurants - Defense-92.fr

Toujours plus de commerces sous la coquille en béton du Cnit. Le doyen des bâtiments du quartier d’affaires, rebaptisé « Westfield Cnit » (le neuvième centres français à adopter la marque Westfield) a inauguré jeudi dernier son nouveau niveau (le -2) dévolu aux commerces et restaurants. L’offre s’enrichit d’environ quarante-cinq enseignes pour accompagner l’arrivée d’Eole, récemment inauguré par le Premier ministre Gabriel Attal.

Inauguré en 1958 par le Général de Gaulle, le Cnit a durant trois décennies été le haut lieu des expositions et congrès parisiens. Reconverti par le roi des promoteurs Christian Pellerin au tournant des années 80 et 90 en un lieu hybride hébergeant des commerces et restaurants ainsi que des bureaux, un hôtel et toujours des espaces d’expositions, le Cnit avait bénéficié d’une grosse refonte à la fin des années 2000.

Le Westfield Cnit abrite des bureaux, des commerces et restaurants, un hôtel et un espace de congrès – Défense-92.fr

Malgré une rénovation plutôt réussie il y a une bonne dizaine d’années, le Cnit a subi d’importants travaux liés au prolongement du RER E vers Nanterre et La Défense, entraînant une longue fermeture des espaces d’exposition. Profitant de la nouvelle gare creusée sous les entrailles du Cnit, Unibail-Rodamco-Westfield (URW), le propriétaire de l’ensemble, a injecté 80 millions d’euros pour ajouter encore plus d’espaces commerciaux.

Cette extension de 9 000 mètres carrés vient s’aditionner aux 28 000 mètres carrés existants où l’on retrouve notamment la Fnac, Decathlon et Monoprix. Pour aménager ce nouveau niveau, URW a sacrifié une partie de ses espaces événementiels, récemment rouverts et rebaptisés « Cnit Forest ».

Au total, ce nouvel espace va réunir quarante-cinq nouvelles enseignes – Defense-92.fr

Ce nouveau mail « extrêmement simple », large d’une vingtaine de mètres s’étend sur une centaine de mètres pour une hauteur de 3,45 mètres. Signé par Jean-Luc Crochon (cabinet d’architecture Cro&Co), déjà à l’origine de la rénovation du Cnit en 2009, cet espace commercial arbore une décoration soignée, reprenant le même parquet en bambou que celui de la gare du RER E et un plafond métallique, le tout orné de lignes en écho à la voûte en béton du Cnit.

Dans ce nouvel espace, pas mal d’enseignes déjà présentes à quelques mètres de là, dans le Westfield Les 4 Temps comme Rituals, La Boutique du Coiffeur, Etam, Kiko, Foot Locker et Normal, les restaurants KFC, Paul et Lunicco et la banque LCL ont choisi de s’y déployer. Arrivé dans le Cnit il y a tout juste un an, Starbucks vient ajouter un nouveau salon (le septième dans le quartier d’affaires).

Le Cnit compte deux Starbucks – Defense-92.fr

Les vraies nouveautés sont surtout les arrivées de Carrefour City sur 380 mètres carrés, Yann Couvreur Café, Aroma-Zone, Crêperie Elo, Pokawa, Caravana (d’ici quelques semaines), Waterdrop et Bo Bun House.

En plus des enseignes populaires, le Westfield Cnit se dote de marques premium avec les célèbres chocolats d’Alain Ducasse et les savoureux macarons de Pierre Hermé. « Nous avons augmenté la zone de chalandise du Westfield Cnit. Nous proposons une offre cohérente », affirme Dominique Hautbois, directeur général retail France chez URW.

Et d’ici le début de l’année prochaine, Toca Social fera son entrée sur 2 000 mètres carrés. Né de l’autre côté de la Manche, Toca Social déploiera son concept inédit de loisirs immersifs autour du football, associé à une offre de restauration et d’afterwork premium.

Un Carrefour City s’étend sur 380 mètres carrés – Defense-92.fr

Pour le moment, toutes les nouvelles cellules n’ont pas encore trouvé preneur. « Nous avons commercialisé 95 % des espaces », affirme Bruno Donjon de Saint Martin, directeur général des opérations en Europe du Sud chez URW.

Et alors que la foncière envisageait d’ouvrir dans la foulée un food-court au niveau principal du bâtiment, le projet est pour l’instant mis en pause. URW dit travailler actuellement sur le potentiel repositionnement des espaces de bureaux mitoyens bientôt laissés vacants par la SNCF.

L’enseigne Aroma-Zone débarque pour la première fois à La Defense-92.fr

Bénéficiant de plusieurs points d’accès au parvis, le niveau offre une connexion simplifiée et direct avec le reste de la gare de La Défense (RER A, Métro 1, Tramway T2, lignes L et U du Transilien, bus et cars).

Avec cette nouvelle offre de chalandise, la foncière espère surtout capter les milliers de voyageurs qui transiteront par la « faille », l’un des principaux accès à la nouvelle gare du RER E de La Défense qui débouche directement dans le Cnit. Reste que pour le moment cette émergence monumentale n’est pas encore ouverte. Elle le sera dans les toutes prochaines semaines. Et puis surtout, l’extension du RER E est encore en phase de rodage. La ligne ne fonctionnera normalement qu’à la fin de l’année jusqu’à Nanterre. Puis, il faudra attendre la fin 2026 pour qu’Eole atteigne Mantes-la-Jolie, l’ultime terminus.

Cette nouvelle surface commerciale semble avoir déjà séduit les passants. « C’est chouette, ça va redonner de la vie au Cnit. Il y a des enseignes sympa », confie Jean-Yves, un salarié du quartier d’affaires qui transite quotidiennement par le Cnit pour rejoindre la gare de La Défense. L’avis est partagé par Elodie : « C’est pas mal, c’est tout beau, tout propre. Les commerces sont intéressants. Il y en a pour toutes les bourses ».

La Défense compte désormais deux KFC – Défense-92.fr

Véritable ville dans la ville, le Cnit embarque désormais plus de 37 000 mètres carrés de commerces et restaurants, Cnit Forest sur environ 20 000 mètres carrés, l’hôtel Hilton et ses 153 chambres, 38 600 mètres carrés d’écoles et de bureaux (la SNCF en libérera une bonne partie au début de l’année prochaine), le tout complété par un parking Indigo de près de 900 places.

Le nouveau niveau du Westfield Cnit – DR