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jeudi 19 juin 2025
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2 250 mégots de cigarettes ramassés sur le parvis de La Défense

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Une vingtaine de bénévoles de la SNCF se sont mobilisés ce mardi pour ramasser des mégots de cigarettes sur le parvis de La Défense - Defense-92.fr

Opération nettoyage de mégots sur le parvis de La Défense. Alors que s’est tenu le World Cleanup Day il y a quelques semaines, une action similaire a été menée ce mardi par une poignée de salariés de la SNCF pour donner un coup de propre à l’immense dalle du quartier d’affaires.

Munis de gants et de bouteilles en plastique faisant office de poubelles, cette armée de petites mains a arpenté le parvis de La Défense à la recherche de ces mégots qui jonchent le sol et polluent. « Les gens sont un peu déguelasses, il y a des poubelles partout. C’est irrespectueux pour le personnel nettoyant mais aussi pour l’environnement », lâche Manon, l’une des participantes à cette opération.

Pendant près de deux heures cette vingtaine de bénévoles de l’entreprise ferroviaire sont ainsi venus aider l’association « Racine profonde » qui intervient dans la protection de l’environnement, la santé, l’art et la culture. « Il est temps de mobiliser ceux qui sont dans les bureaux et les décisionnaires de la dégradation de la nature. Le fait de faire participer les personnes aidera à leur faire prendre consciences de cette pollution », explique Peter Salim Jah, le fondateur de l’association qui rappelle qu’un seul mégot pollue jusqu’à 500 litres d’eau.

Pour mettre en lien les salariés volontaires de la SNCF et l’association Racine Profonde est intervenue Lakaa. « Nous sommes une entreprise qui permet aux grands groupes de sensibiliser leurs collaborateurs avec des actions concrètes en travaillant avec des associations », détaille Adrien Lefebvre, le co-fondateur de Lakaa.

Si cette action d’un jour était avant tout symbolique elle a tout de même permis de ramasser 2 250 mégots soit 4,5 kilos de déchets.

Un tapis rouge pour que les vélotafeurs conservent leur coronapiste du pont de Neuilly

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La coronapiste du pont de Neuilly enregistre chaque jour près de 5 700 passages - Defense-92.fr

Il y a encore un an, venir à La Défense en vélo depuis Paris n’était pas une chose simple, surtout avec le franchissement de la Seine. Mais le coronavirus aura au moins eu le mérite de booster la création des pistes cyclables dans la région parisienne. Et s’il y en a bien une qui cartonne c’est celle qui relie La Défense à Paris. Baptisée « RERV A » ou métro « V1 », en référence aux deux lignes de transports en commun qu’elle longe en surface, cette longue piste a enregistré environ 30 000 passages de vélos par semaine.

Avec près de 5 700 passages de cyclistes par jour, cette coronapiste est donc un véritable succès pour les associations de cyclistes. Pour la suite elles espèrent que la piste installée en mai dernier sur le pont de Neuilly sera maintenue par la Dirif qui est propriétaire de cet axe routier. « On demande la pérennisation de la coronapiste du pont de Neuilly. C’est probablement l’une des pistes les plus empruntées de la banlieue parisienne », affirme Louis Belenfant, le directeur du Collectif Vélo Île-de-France qui a organisé ce mardi soir une « action » symbolique sur le pont de Neuilly. Durant une bonne heure quelques membres du Collectif Vélo Île-de-France ont déroulé un tapis rouge et monté une arche pour célébrer à leur façon le succès de cette piste. Et selon les estimations de Louis Belenfant la coronapistes du Pont de Neuilly pourrait a terme voir passer jusqu’à 10 000 cyclistes par jour.

Malgré un temps maussade et des averses récurrentes l’opération a été saluée par les nombreux vélotafeurs de cette coronapiste. « Enfin on a une piste pour aller et venir à La Défense depuis Paris », se réjouit Olivier, un salarié chez Nexans et habitant Porte de Montreuil. Outre le maintien de cette piste qui s’étire du quartier d’affaires à Paris par Neuilly, ce salarié espère désormais que des aménagements seront faits par Paris La Défense sur la dalle. « Circuler sur la dalle de La Défense en vélo, c’est dangereux ! Il faut trouver une solution pour que tous les cyclistes et piétons puissent circuler en toute sécurité », rajoute Olivier.

Les raffineurs de Grandpuis devant le siège de Total pour dire « non » à des suppressions de postes

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Environ 150 manifestants se sont rassemblés ce mardi matin devant le siège de Total - Defense-92.fr

Munis de bidons en guise de tambours, ils ont fait du bruit pour faire part de leur inquiétude et surtout de leur colère. Près de 150 manifestants se sont rassemblés ce mardi matin devant le siège de Total. A l’initiative de cette mobilisation il y avait les salariés de la raffinerie de Total Grandpuits (77). Après l’annonce du groupe français de transformer à l’horizon 2024 son unique raffinerie francilienne en un site de biocarburants, de fabrication de plastiques biodégradables et de photovoltaïques, le projet suscite l’inquiétude chez les salariés de Total. Une inquiétude qui ne vient non pas du projet de transformation mené par Total mais des suppressions d’emploi qui en découleront. Selon la CGT ce projet entrainerait 200 suppressions de postes sur les 460 que compte la raffinerie auxquels s’ajouteraient 600 postes dans les entreprises prestataires. Inacceptable pour l’organisation syndicale.

« On ne dénonce pas le projet qu’ils nous ont mis sur la table. Nous on dit que l’investissement n’est pas à la hauteur de notre site et les 200 suppressions de postes c’est trop important », affirme Paul Feltmann, élu CSE raffinerie Total Grandpuits. « Nous souhaitons que Total augmente le nombre de postes sur le projet actuel et qu’il rallonge des investissements supplémentaires pour pouvoir créer de l’emploi et avoir un projet digne de ce nom », poursuit Paul Feltmann.

Mais il n’y avait pas que des raffineurs de Grandpuits pour cette manifestation. Quelques salariés d’Hutchinson, une filiale de Total qui fabrique et commercialise des produits issus de la transformation du caoutchouc, destinés principalement aux industries automobile et aérospatiale se sont joins au mouvement pour dénoncer de leur côté un plan de suppression d’environ un millier de postes en France sur 8 500 dans vingt-cinq usines. « Aujourd’hui supprimer mille postes c’est prendre le risque de démanteler, de désorganiser et déstructurer nos usines et faire en sorte que dans quelques années il y ait un PSE et des fermetures », martèle de son côté Didier Godde, coordinateur CGT du groupe Hutchinson.

Si ce rassemblement n’a pas réuni autant qu’il y a dix ans lors de la mobilisation des raffineurs de Dunkerque (59), les salariés de Total et Hutchinson ont pu compter sur le soutient de jeunes du NPA, d’employés d’EDF mais aussi du très médiatisé cheminot Anasse Kazib, salarié et syndicaliste Sud-rail.

930 000 euros et des centaines de kilos de drogue saisis dans un parking de La Défense

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C’est dans le parking de la résidence des Dauphins que les policiers ont saisi plus de 930 000 euros et 400 kilos de drogue - Defense-92.fr

C’est une saisie record. Selon le magazine Le Point, les policiers de la Sûreté Territoriale (ST) des Hauts-de-Seine ont mené une importante saisie dans le quartier d’affaires ce lundi. D’après nos informations, il était 6 heures du matin ce lundi lorsque les enquêteurs ont investi un appartement du sixième étage de la résidence des Dauphins, rue Henri Regnault à Courbevoie. Son occupant a alors été interpellé durant l’intervention. Mais c’est dans le parking sous-terrain de l’immeuble que les policiers ont mis la main sur une importante quantité de drogue et d’argent liquide. Selon Le Parisien, ils ont alors recensé à l’issue de leur opération 20 kilos de cocaïne, 2 kilos d’herbe et 400 kilos de résine de cannabis et quelque 930 000 euros. D’après nos sources, un véhicule, une petite citadine a également été saisie.

Cette longue enquête a commencé avec des surveillances puis des écoutes téléphoniques pour identifier les premiers membres de l’équipe. Une fois que les policiers ont pu obtenir suffisamment d’éléments le parquet a pu ouvrir une information judiciaire. Selon Le Parisien le groupe Stups de la ST travaillait sur ce réseau depuis une année. En octobre 2019, les policiers avaient obtenu une information qui indiquait que des dealers fréquentaient l’un des parkings de la rue Henri Regnault. Traqué depuis un an, une partie du réseau de trafiquants a ainsi été interpellée à la suite de cette saisie. Dans cette affaire les suspects arrêtés sont essentiellement ceux qui faisaient transiter la drogue depuis les Pays-Bas. Le parquet des Hauts-de-Seine qui a confirmé l’opération auprès de nos confrères du Point ne s’exprimera qu’à l’issue des quatre-vingt-seize heures de garde à vue des mis en cause.

Cette saisie, l’une des plus importantes pour le département des Hauts-de-Seine a été saluée par le Ministre de l’Intérieur, Gerald Darmanin sur Twitter : « Félicitations aux policiers des Hauts-de-Seine pour ces saisies exceptionnelles. Notre lutte contre ce fléau social, sanitaire et économique est totale ! ».

Bandai débarque au Westfield Les 4 Temps avec « Ichiban Store », un pop-up store inédit

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Bandai a ouvert une boutique éphémère dans le centre commercial Westfield Les 4 Temps - Defense-92.fr

Son siège est situé à quelques pas du pas du centre commercial Westfield Les 4 Temps et c’est justement dans ce mall que la célèbre marque japonaise Bandai a choisi d’installer sa première boutique éphémère. Implanté depuis la fin de la semaine dernière dans l’ancienne boutique Bose, ce pop-up store baptisé « Ichiban Store » (qui veut dire : le meilleur, le plus, numéro un, en français) doit rester ouvert jusqu’au début de l’année prochaine.

Sur soixante-dix mètres carrés ce pop-up store inédit de Bandai propose dans un espace décoré sobrement de découvrir et surtout de repartir avec des jouets et figurines sous les licences Dragon Ball Z et Naruto. « La boutique est un concept où l’on retrouve des figurines de collections et des figurines à jouer », explique Christophe Bugada, directeur commercial Bandai France. D’autres licences également éditées par la célèbre marque japonaise pourraient venir garnir dans les prochaines semaines les rayons de ce pop-up store opéré par Easymalls.

Éphémère pour l’instant, si le succès venait à être au rendez-vous, Bandai pourrait alors ouvrir d’autres pop-up stores et pourquoi pas pérenniser son concept. « Tout dépend du résultat que ça va donner, s’il est bon on pourrait le dupliquer ailleurs », affirme Christophe Bugada. Et ce pop-up store pourrait bien fonctionner tant les français vouent une passion toujours plus forte à la culture japonaise et à ses mangas. « Il y a un marché énorme en France », rajoute Christophe Bugada.

Mais ce n’est pas tout, la boutique éphémère de Bandai a déployé des Capsule Station, ces petits distributeurs automatiques de goodies qui sont une véritable institution dans le pays du Soleil-levant. Il y a aussi une loterie 100 % gagnante où il est possible de repartir avec des objets et figurines inédites.

Cet « Ichiban Store » propose les Capsule Station qui sont une véritable institution dans le pays du Soleil-levant – Defense-92.fr

Marie-Célie Guillaume revient sur son départ de Paris La Défense

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Marie-Célie Guillaume a quitté la direction de Paris La Défense en juillet dernier - Defense-92.fr

Trois mois après Marie-Célie Guillaume, est revenue sur son départ d’un « commun accord » de Paris La Défense. Dans un long courrier l’ancienne directrice récemment remplacée par Pierre-Yves Guice s’est expliquée : « Je quitte cet établissement que j’ai créé il y a deux ans et demi et ce territoire exceptionnel dont j’avais la charge depuis presque sept ans avec des sentiments mélangés ».

L’ancienne directrice de cabinet de Patrick Devedjian, mort du Covid-19 en mars dernier évoque d’une part de « la tristesse ». Elle dit aussi laisser « une équipe formidable, bourrée de talents, de jeunesse, très diverse, aux métiers complémentaires », avec qui elle confie avoir « beaucoup appris, partagé des joies, des rêves, des réalisations, et aussi traversé des épreuves qui nous ont soudés et profondément marqués ». Elle affirme aussi se souvenir des moments plus tristes comme les attentats de 2015 et toutes les menaces qui pesaient alors sur le quartier d’affaires. Il y a aussi la crise sanitaire et le confinement du printemps dernier. Mais surtout le décès « si soudain de notre président Patrick Devedjian » qui l’a beaucoup affectée.

« Au-delà de cette tristesse, je ressens de la fierté et de la gratitude. Arrivée à La Défense début 2014 comme directrice générale de Defacto, j’ai eu à mettre en œuvre la décentralisation de l’aménagement décidé par le gouvernement et la fusion de Defacto et de l’Epadesa, deux établissements qui n’avaient aucune appétence au mariage. Le climat social était très tendu, et je crois pouvoir dire que pas grand monde ne misait sur la réussite de cette fusion pourtant très attendue par les partenaires extérieurs. Créer Paris La Défense en embarquant tous les collaborateurs dans cette nouvelle aventure, en dépassant les animosités, les clivages et les histoires du passé pour construire ensemble un projet ambitieux et volontariste, si bien incarné par notre président Patrick Devedjian, fut un magnifique challenge », poursuit-elle. L’ex-directrice dit « avoir eu à cœur d’en faire un établissement public moderne et innovant, ouvert sur l’écosystème, transparent dans ses pratiques et ses relations partenariales, incarnant l’innovation jusque dans ses propres modes de travail ».

« Aujourd’hui, je m’en vais avec le sentiment du devoir accompli »

« Aujourd’hui, je m’en vais avec le sentiment du devoir accompli. Il s’agissait de redonner une dynamique au quartier d’affaires, de le rendre attractif et animé, de le faire vivre matin, midi et soir et même le week-end, de le verdir, de le faire rayonner à l’international. La décision, iconoclaste pour un établissement public, d’acheter le naming Paris La Défense Arena témoigne de l’ambition qui était la nôtre : faire connaître ce territoire exceptionnel dans le monde entier par son offre culturelle et sportive. C’est le sens du message que j’ai porté à l’international avec certains d’entre vous, pour convaincre les investisseurs et les entreprises de choisir La Défense. A l’image de de notre campagne de pub post Brexit un brin décalée : ‘Tired of the fog ? Try the frogs ! Choose Paris La Défense’ », poursuit-elle.

« Soucieux de développement durable et de solidarité, nous avons transformé progressivement cette dalle aride et rébarbative en un lieu plus accueillant pour tous, y compris les exclus, plus accessible notamment aux mobilités douces, un lieu fertile vecteur de rencontres, d’échanges, d’expérimentations. L’objectif de toutes nos initiatives étant de multiplier les occasions de créer du lien entre les utilisateurs du quartier et d’y attirer une population nouvelle, de faire fructifier cette extraordinaire concentration de talents si divers », rajoute Marie-Célie Guillaume.

Pour Marie-Célie Guillaume « beaucoup reste à faire, à fortiori dans le contexte actuel ». Et elle se dit « convaincue que la crise sanitaire » sera un véritable motif « d’accélérateur des transformations déjà à l’œuvre dans l’immobilier de bureau et la fabrique de la ville, venant conforter [sa] stratégie de développement tout en obligeant à se remettre en cause ».

« C’est un job passionnant, technique et politique, local, national et international, aux prises à la fois avec le temps court et le temps long »

Pour son successeur Marie-Célie Guillaume a quelques pensées : « Pierre-Yves Guice a été désigné pour prendre ma succession à la direction de ce bel établissement. Je connais son intelligence et sa rigueur, je ne doute pas qu’il saura apporter à ce territoire et aux équipes le nouvel élan auquel le président Georges Siffredi aspire. Tous mes vœux de réussite l’accompagnent dans sa tâche exaltante, rendue encore plus intéressante par les conséquences de la crise sanitaire. C’est un job passionnant, technique et politique, local, national et international, aux prises à la fois avec le temps court et le temps long. Je lui souhaite d’y trouver autant de plaisir, de joies et de satisfactions que j’ai pu en connaître ! ».

Pour la suite de sa carrière « après dix-huit années très intenses et variées auprès de Patrick Devedjian, en cabinets ministériels, puis comme directrice de cabinet au département des Hauts de Seine avant de diriger La Défense » Marie-Célie Guillaume confie vouloir « profiter de ce temps retrouvé pour ralentir, penser et se reconnecter avec la nature, avec [ses] proches, avec [elle]-même ». Ce « temps précieux » elle compte bien le « savourer », même si elle se dit « curieuse de découvrir quelles nouvelles aventures la vie [lui] réserve ».

Ce samedi les « anti-PMA » veulent se mobiliser au pied de la Grande Arche

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Les anti-PMA vont se réunir au pied de la Grande Arche ce samedi - Defense-92.fr

Ils auraient rêvé d’une mobilisation nationale et massive mais le Coronavirus en a décidé autrement. Plus de sept ans après s’être rassemblés dans le quartier d’affaires pour s’opposer au mariage pour tous, les « anti-PMA » seront à La Défense ce samedi 10 octobre après-midi pour dénoncer le projet de loi sur la bioéthique.

Avec cette manifestation qui se déroulera simultanément dans plusieurs dizaines de grandes villes françaises, son organisateur « Marchons enfants ! », un mouvement issu de la « Manif pour tous », entend faire pression sur les sénateurs avant le passage de la loi au palais du Luxembourg.

« On veut rappeler que le projet de loi bioéthique n’est ni bio, ni éthique car il ne respecte pas l’enfant, s’inquiète Thibaut Bayet, le coordinateur du rassemblement. On considère qu’il y a d’autres choses plus importantes à traiter compte tenu du contexte actuel ».

Pour cette mobilisation départementale au pied des tours du quartier d’affaires, « Marchons enfants ! » espère faire un « grand déploiement de force » en réunissant un millier de personnes.

La natation à la Paris La Défense Arena pour les Jeux de Paris 2024 c’est presque acté !

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La Paris La Défense Arena accueillera les épreuves de natation et les finales de Water-polo pour les Jeux Olympiques de Paris 2024 - Defense-92.fr

Des nageurs à la place des rugbymans. Annoncé à la mi-septembre à l’issue d’un bureau exécutif des organisateurs des Jeux Olympiques de Paris 2024, le déplacement des épreuves de natation de Saint-Denis (93) vers La Défense a été adopté par le conseil d’administration de Paris 2024.

La Paris La Défense Arena accueillera donc les épreuves de natation des Jeux Olympiques mais aussi des Jeux Paralympiques ainsi que les finales du Water-polo alors qu’à l’origine elle devait recevoir la gymnastique, uniquement pour les Olympiades. Écartée de la Paris La Défense Arena la gymnastique pourrait aller à l’AccorHotels Arena de Paris. Ce déplacement fait suite à l’abandon du projet du Stade aquatique temporaire devant être édifié à Saint-Denis afin de faire des économies sur l’organisation des Jeux.

Avec ses quelques 30 000 places en tribunes, l’ex-U Arena, terre du Racing 92 a été largement préférée pour accueillir les épreuves reines des JO. Mais pour que la Paris La Défense Arena se transforme en bassin olympique, la pelouse synthétique devra céder sa place durant quelques semaines à un bassin olympiques provisoire. Une possibilité faisable puisque la Paris La Défense Arena a été, dès son origine prévue pour accueillir de lourdes charges, notamment pour des concerts ou autres événements comme le Supercross.

Ce changement devra cependant être validé officiellement dans les prochaines semaines par les différentes Fédérations Internationales, le Comité International Paralympique (IPC) et surtout le Comité International Olympique (CIO) « avec lesquels le dialogue est constant », affirme le Comité d’Organisation des Jeux Olympiques et Paralympiques Paris 2024.

Avec ses riz et plats des quatre coins du monde Rice Trotters vous fait voyager dans les saveurs

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Anthony Boucher et Laurianne Ferté, les deux fondateurs de Rice Trotters - Defense-92.fr

Chez Rice Trotters le riz est roi et il est sélectionné avec soin dans les quatre coins du monde. Après une belle rencontre amicale en octobre 2012, Anthony Boucher, chef étoilé et Laurianne Ferté, « foodie addict » ont trois grandes passions communes : les voyages, la cuisine et le riz ! De là va alors naitre une idée dans la tête de ces deux entrepreneurs. C’est celle d’ouvrir un restaurant où le riz sera la star. Car si cette céréale est très appréciée en France, il n’y a étrangement que très peu de restaurants qui la mettent à l’honneur. « Bizarrement il n’y a rien qui a été fait sur le riz », explique Anthony Boucher. « Alors que c’est l’ingrédient que l’on rencontre partout dès que l’on voyage, on s’est dit que c’était un bon prétexte pour faire voyager les gens », rajoute Laurianne Ferté.

C’est quelques années plus tard, en avril 2015 que le duo d’entrepreneurs lance Rice Trotters avec leur premier petit restaurant rue du Colisée à Paris. Suivra un second en avril 2017, rue Saint-Augustin puis un troisième en janvier dernier rue de Washington.

Pour leur quatrième adresse c’est de l’autre côté du périphérique et plus précisément à La Défense au cœur du centre commercial Westfield Les 4 Temps que Rice Trotters a posé il y a quelques semaines ses sacs de riz. Cette implantation au cœur de la clairière du mall (entre Factory & Co et le futur restaurant Tuk Tuk), actuellement en plein travaux n’est pas un hasard. Les deux entrepreneurs avaient remporté en septembre 2014 le « Grand Prix du Commerce », d’Unibail-Rodamco-Westfield ce qui leur a permis d’intégrer six ans plus tard le centre commercial de La Défense avec des conditions très avantageuses.

Rice Trotters propose des plats du monde entier avec comme base : le riz – Defense-92.fr

Des riz et des plats pour voyager aux quatre coins du monde le temps d’un repas

Alors Rice Trotters c’est quoi ? « Nous on propose un vrai plat chaud ou froid cuisiné », explique Anthony Boucher. L’enseigne fonctionne sur le même principe que les bars à salades, même si les deux fondateurs ne sont pas très fans de la comparaison. « On n’aime pas trop se définir comme un salade bar car chez-nous tout est cuisiné », assure Laurianne Ferté.

Le fonctionnement est donc simple. Déjà le client doit choisir la taille de son bol, puis s’il veut manger froid ou chaud. Vient ensuite la sélection du riz : blanc, rouge ou noir. Rice Trotters a sélectionné une dizaine de variétés de riz provenant de tout le globe comme la Thaïlande, le Japon, Madagascar et même l’Italie. « On travaille le riz sous toutes ses formes et on l’accompagne de plats qui viennent des quatre coins du monde », souligne Laurianne Ferté. A cela s’ajoute le plat qui l’accompagne avec notamment du porc cajun, du poulet mafé ou encore du rougail d’encornet. « L’idée était vraiment d’apporter de la cuisine dans la restauration rapide », martèle Anthony Boucher. Pour un menu avec riz, plat, dessert et boisson il faut compter entre 13,90 et 15,80 euros. Pour un plat seul c’est 9,90 euros en version « éco » et 11,80 euros pour la « business ».

« On a aussi développé toute une offre de coffee shop pour le matin et l’après-midi avec nos riz au lait travaillés de manière très gourmande, avec aussi avec des gâteaux et des viennoiseries », insiste Laurianne Ferté.

Pour l’ambiance de son nouveau restaurant, Rice Trotter s’est entouré de l’agence de desing b+f qui a opté pour une décoration soignée évoquant l’Asie, l’Amérique du sud mais aussi l’Afrique. Sur une centaine de mètres carrés le restaurant dispose d’environ cent places assises.

Si la période pour se lancer n’est pas la meilleure vu le contexte sanitaire et économique, les deux patrons ne sont pas inquiets. « On va avoir un automne et un hiver délicats, ça va repartir en 2021 », estime Anthony Boucher qui précise que les premiers retours clients sont « hyper satisfaisants ».

Rice Trotters propose des ventes sur place mais aussi à emporter avec notamment le click and collect. D’ici peu un service de livraison sera proposé avec les plateformes.

Pour la suite, Rice Trotters ambitionne de compter une dizaine d’adresses en propre pour 2022 à Paris et peut-être en province et dans des grandes villes d’Europe avec pourquoi pas de la franchise.

D’une centaine de mètres carrés, la décoration de ce restaurant Rice Trotters évoque l’Asie, l’Afrique mais aussi l’Amérique du Sud – Defense-92.fr

Novaxia lance les travaux de son immeuble Bel Air et le vend en Vefa

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L'ancien siège de l'INPI va être complètement rénové par Novaxia - Defense-92.fr

Construit à Nanterre au débuté des années 80 dans le quartier des Terrasses de l’Arche, à deux pas de la préfecture et non loin de La Défense, l’ancien siège de l’INPI va enfin vivre sa métamorphose. Acquis en 2018 pour le compte de son fond, « Foncier Select 1 », Novaxia vient de lancer les travaux de rénovation de l’ancien siège de l’INPI, vacant et obsolète depuis 2012. Le projet a été vendu en Vefa et en blanc par Novaxia à une « importante » mutuelle dont le nom n’a pas été révélé. Cette dernière a été conseillée par l’étude Pyramides et Core +. Novaxia Investissement a de son côté été conseillé par l’Etude Allez et Associés.

La seconde vie de ce bâtiment a été confiée à l’architecte Jean-Philippe Le Bœuf. Les travaux sont menés par l’entreprise Dumez, une filiale du groupe Vinci.

Une livraison programmée pour la fin 2021

Une fois réhabilité à la fin 2021, l’immeuble de bureaux de 5 500 mètres carrés pour sept étages (le rez-de-chaussée et le premier étage étant ERP) offrira à ses futurs utilisateurs des espaces dédiés à la détente, une cafétéria, un espace collaboratif, un toit-terrasse végétalisé de 500 mètres carrés environ. Les espaces de travail seront modulaires, et les typologies variées « pour permettre à chaque collaborateur de créer l’environnement de travail qui lui convient », promet Novaxia qui porte également le projet de restructuration de l’ancien siège des Hauts-de-Seine.

Depuis une vingtaine d’années c’est tout le secteur des Terrasses de Nanterre qui se renouvelle. Un à un les immeubles de bureaux érigés à partir des années 70 sont mis au goût du jour avec de vastes programmes de rénovation.

Baptisé « Bel Air », l’immeuble sera livré au dernier trimestre de 2021 – DR