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samedi 3 mai 2025
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Un monop’ va s’ouvrir l’année prochaine dans la gare de Nanterre-Université

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Adrien Teurlais
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Le monop’ de la gare Nanterre-Université doit ouvrir dans le courant du premier semestrer 2023 - DR

Les voyageurs du RER et du Transilien pourront bientôt faire leurs petites courses du quotidien en gare de Nanterre-Université. RATP Travel Retail, la branche de la RATP chargée de commercialiser les cellules commerciales du métro et RER a annoncé la transformation de son offre de commerces et de services sur le réseau du métro et du RER parisien en attribuant à Lagardère Travel Retail France le premier lot des boutiques du quotidien, un « convenience store », « taillé sur mesure » pour « répondre aux attentes des voyageurs ».

« Ce concept a été créé spécifiquement pour les transports en commun franciliens afin de proposer un commerce malin et inventif qui sait adapter son offre de produits et services au tempo des urbains. Il privilégie des achats plus spontanés et transforme la routine du quotidien en un rituel plaisir », indique un communiqué commun de RATP Travel Retail et Lagardère Travel Retail France.

La RATP explique avoir déjà testé son concept auprès d’un millier de voyageurs soucieux de retrouver dans ses espaces « des besoins fonctionnels » avec des viennoiseries, « une dimension émotionnelle » pour des achats spontanés pour faire ou se faire plaisir avec des fleurs, des produits de beauté, des cadeaux et enfin une « dimension servicielle » où il est notamment possible de recharger son téléphone, de récupérer ses courses ou ses colis dans des consignes Click N’Collect.

Pour la filiale de la RATP et RER et Lagardère Travel Retail France « face à la fragmentation des parcours d’achat, le métro représente une nouvelle opportunité pour les enseignes de proximité ».

C’est ainsi que RATP Travel Retail s’est une nouvelle fois tourné vers Lagardère Travel Retail France, le détenteur de l’iconique marque Relay. Très présents dans les couloirs du métro et RER, les kiosques à journaux ont drastiquement disparu ces dix dernières années, face aux chutes des ventes de journaux et magazines. Avec ce nouveau partenariat RATP Travel Retail espère redonner de la vie à de nombreuses cellules commerciales délaissées.

Du côté de La Défense, les usagers du RER A et de la ligne L du Transilien pourront courant du premier semestre 2023 découvrir un nouveau monop’ à la gare de Nanterre-Université en lieu et place de l’ancien Starbucks fermé début 2021. Cette échoppe d’une centaine de mètres carrés proposera aux voyageurs une offre de snacking et des produits du quotidien.

Un magasin du même type doit par ailleurs ouvrir d’ici là au cœur de la nouvelle salle d’échanges de la gare d’Auber. En outre le nouveau concept monop’daily couplé à l’enseigne Relay est attendu courant 2023 dans les gares de Lyon et Montparnasse Maus aussi aux stations Saint-Denis Université et Opéra. Enfin les voyageurs de la gare RER Nanterre-Ville pourront dès l’année prochaine découvrir le nouveau concept Relay « Next Generation ».

Le monop’ de la gare Nanterre-Université proposera aux voyageurs une offre de snacking et des produits du quotidien – DR

Basket : dans une U Arena remplie de 15 220 spectateurs, Nanterre a battu sur le fil l’Asvel

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Adrien Teurlais
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15 200 spectateurs ont assisté à la victoire de l'équipe de Nanterre 92 à la U Arena ce dimanche - Defense-92.fr

Ambiance survoltée à la U Arena pour un match historique de basket. La maison des racingmen était en mode NBA ce dimanche 11 mars à l’occasion de la 22e journée de championnat Jeep Elite (anciennement Pro A).

Attendue depuis des mois par les basketteurs de Nanterre 92, la rencontre avec l’Asvel, baptisée pour l’occasion le « Nanterre Show » a tenu ses promesses avec une ambiance exaltée et une fréquentation record pour un sport en salle. 15 220 spectateurs étaient dans les gradins de l’Arena d’après Frédéric Donnadieu, manager général de Nanterre, pour une salle qui comprend 15 300 places en configuration basket. Le précédent record datait de la finale de la Coupe de France de basket en 2017, quand Nanterre avait battu Le Mans à Bercy devant 15 027 spectateurs.

Le match aura tenu en haleine le public largement acquis à la cause des Nanterriens. Il faut dire que des centaines places avaient été offertes gratuitement aux habitants de la ville la plus peuplée du département. Et pour les autres, les billets étaient à des prix accessibles avec des billets vendus dès 15 euros. Dominée durant les trois premiers quarts-temps, la JSF de Nanterre a réussi à renverser la tendance quatre minutes avant la fin de la rencontre en menant les villeurbannais 70 à 68. Avec une fin très serrée, les Nanterriens l’ont finalement emporté sur le fil du rasoir 81 à 80 après que le joueur de Lyon-Villeurbanne, Nicolas Lang ait raté l’un des deux derniers lancer-francs qui auraient alors poussé le match jusqu’en prolongation.

15 220 spectateurs ont assisté à la victoire de l’équipe de Nanterre 92 à la U Arena ce dimanche – Defense-92.fr

Ken Roczen et Matt Moss triomphent au Supercrsoss de Paris

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Adrien Teurlais
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Ken Roczen a été sacré « King of Paris » au Supercross 2022 de Paris - Defense-92.fr

Cette année encore le Supercross de Paris a tenu toutes ses promesses. Pour cette trente-neuvième édition du Supercross de Paris (la cinquième à la Paris La Défense Arena), ce sont près de 40 000 personnes qui ont assisté aux deux impressionnants shows, celui du samedi soir et celui du dimanche après-midi. Le temps de deux jours, la pelouse synthétique où évolue le Racing 92 a disparu sous près de 3 800 mètres cubes de terre, formant un terrain éphémère unique de compétition pour les champions du Supercross.

La prochaine édition du Supercross de Paris se déroulera à la Paris La Défense Arena les 18 et 19 novembre 2023 – Defense-92.fr

Le duel au sommet, qui a opposé Eli Tomac à Ken Roczen, a finalement tourné à l’avantage de Roczen, qui a tout gagné ce dimanche dans une arena surchauffée. Pour sa première venue dans la capitale, le pilote allemand a été sacré « King of Paris » en SX1 face aux américains Eli Tomac (second) et Justin Brayton (troisième). De son côté l’australien Matt Moss devient lui « Prince de Paris » en s’imposant dans la catégorie SX2 devant les américains Jace Owen (second) et Chris Blose (troisième).

Près de 3 800 mètres cubes de terre ont formé la piste du Supercross – Defense-92.fr

Au classement du SX2 « Prince de Paris » on retrouve : Matt Moss (AUS, Kawasaki), 96 points ; Jace Owen (USA, Honda), 91 points ; Chris Blose (USA, Kawasaki), 84 points ; Cullin Park (USA, Honda), 73 points ; Brice Maylin (FRA, GasGas), 66 points ; Yannis Irsuti (FRA, Kawasaki), 66 points ; Julien Lebeau (FRA, Kawasaki), 55 points ; Lucas Imbert (FRA, Yamaha), 46 points ; Quentin Prugnières (FRA, Kawasaki), 45 points ; Thomas Do (FRA, Honda), 37 points ; Justin Starling (USA, Gas-Gas), 32 points ; Nicolas Dercourt (FRA Gas-Gas), 28 points ; Hugo Manzato (FRA, Husqvarna), 25 points ; Kevin Ballanger (FRA, Yamaha), 23 points ; Mickael (FRA, Honda) 10 points ; Maxime Charlier (FRA, KTM), 4 points ; Pierre Lozzi (FRA, Husqvarna), 2 points ; Enzo Polias (FRA, Husqvarna), 0 point et Maschera Valentin (ESP, Gas-Gas), 0 point.

Matt Moss devient le « Prince de Paris » du Supercross 2022 de Paris – Defense-92.fr

Et au classement du SX1 « King de Paris » figurent : Ken Roczen (ALL, Honda), 9 points ; Eli Tomac (USA, Yamaha), 11 points ; Justin Brayton (USA, Honda), 24 points ; Cooper Webb (USA, KTM), 26 points ; Marvin Musquin (FRA, KTM), 28 points ; Cédric Soubeyras (FRA, Honda), 34 points ; Greg Aranda (FRA, KTM), 45 points ; Anthony Bourdon (FRA, Yamaha), 54 points ; Julien Roussaly (FRA, Yamaha), 56 points ; Maxime Desprey (FRA, Yamaha), 59 points ; Kevin Moranz (USA, KTM), 65 points ; Joan Cros (ESP, Kawasaki), 79 points ; Hugo Basaula (POR, KTM), 80 points ; Kilian Poll (FRA, KTM), 86 points ; Alex Ray (USA, Honda), 88 points et Thomas Ramette (FRA, Yamaha), 56 points.

Ken Roczen a été sacré « King of Paris » au Supercross 2022 de Paris – Defense-92.fr

La prochaine édition du Supercross qui fêtera l’année prochaine son quarantième anniversaire se tiendra les 18 et 19 novembre 2023 au cœur de la Paris La Défense Arena.


Michel Sardou achèvera en 2024 sa tournée d’adieu par un concert à la Paris La Défense Arena

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Adrien Teurlais
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Michel Sardou donnera un ultime concert à la Paris La Défense Arena en mars 2024 - DR

Une tournée d’adieu qui s’achèvera du côté de La Défense. Alors qu’à l’automne 2018 Michel Sardou lançait son ultime tournée « de remerciements », intitulée « La Dernière Danse », l’artiste qui fêtera ses 76 ans en janvier prochain va finalement remonter sur la scène des plus grandes salles françaises pour une nouvelle tournée d’au revoir.

Le chanteur interprète de « Je vais t’aimer », « Les Lacs du Connemara » mais aussi « La Maladie d’amour » et « Je vole » débutera le 3 octobre 2023 au Zénith de Rouen sa tournée « Je me souviens d’un adieu ». Michel Sardou enchainera ensuite une trentaine de dates à travers toute la France avant de donner un ultime concert le 16 mars 2024 à la Paris La Défense Arena dans une configuration de 20 000 places.

Comme l’indique RTL cette tournée sera chapeautée par son producteur Thierry Suc. Toujours selon la radio, Michel Sardou commence actuellement à réfléchir aux contours de cette tournée d’adieu.

Les billets sont d’ores et déjà en vente entre 39 et 139 euros sur le site de la Paris La Défense Arena.

Viva l’Opéra : « Manon Lescaut » à l’UGC de La Défense ce jeudi

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Adrien Teurlais
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L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2022 / 2023 - UGC

Pour ce nouveau rendez-vous de la treizième saison de Viva l’Opéra, c’est l’opéra « Manon Lescaut » de Giacomo Puccini, filmé au Royal Opera House de Londres qui sera diffusé à l’UGC de La Défense. Le jeudi 17 novembre à 19h30 le cinéma du Westfield Les 4 Temps projettera dans la salle 16, la plus grande du complexe, cette œuvre de 2h38m, avec un entracte de vingt minutes.

La mise en scène est signée par Jonathan Kent, la direction musicale par Antonio Pappano, les décors par Paul Brown et les lumières par Mark Anderson. Côté distribution on retrouvera Kristine Opolais (dans le rôle de Manon), Jonas Kaufmann (Chevalier des Grieux), Christopher Maltman (Lescaut), Maurizio Muraro (Geronte de Revoir), Benjamin Hulett (Edmonodo), Nigel Cliffe (L’hôtelier) et Nadezhda Karyazina (Un musicien).

La projection est proposée au tarif de 12 euros pour les moins de 26 ans, 27 euros avec la carte UGC Illimité et 33 euros au plein tarif.

Les prochains rendez-vous de Viva l’Opéra sont programmés le 1er décembre avec « La Traviata », puis le 12 janvier prochain avec « Parsifal ».

Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places se fait sur Vivalopera.fr.

Une quinzaine de jours de travaux pour la rue Henri Regnault à Courbevoie

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Des travaux vont impacter la circulation et le stationnement rue Henri Regnault, à Courbevoie - Defense-92.fr

Après les travaux, les travaux ! Alors que le chantier de restructuration de l’immeuble Watt s’est achevé il y a déjà plusieurs mois, Paris La Défense va lancer la refonte de l’un des trottoirs de la rue Henri Regnault. L’établissement public indique avoir missionné l’entreprise Île-de-France Travaux pour rénover du 14 novembre au 2 décembre prochain le trottoir aux abords de Watt.

« Ces travaux seront bruyants », prévient Paris La Défense. Le bruit ne sera pas la seule conséquence de ces travaux. La reprise du trottoir va engendrer la neutralisation d’une dizaine de places de stationnement situées sur la droite du sens de circulation, côté immeuble Watt et Ampère. Par ailleurs la partie de la rue Henri Regnault (à sens unique) depuis le Franprix sera fermée du 28 novembre au 2 décembre entre 8 heures et 16 heures pour permettre la réalisation d’enrobés. Une déviation sera mise en place par la rue de Ségoffin.

La Cour de cassation relance l’affaire de la chaufferie de La Défense

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Adrien Teurlais
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La Cour de cassation vient de relancer l’affaire de la chaufferie de La Défense - Defense-92.fr

Revoilà l’affaire de la chaufferie de La Défense. Dans un arrêt très attendu la Cour de cassation a estimé ce mercredi que « la durée excessive d’une procédure pénale ne justifie pas à elle seule son annulation », relançant ainsi cette vaste affaire de corruption présumée datant de la fin des années 90.

Ce dossier interminable remonte à 1998 lorsque le Syndicat mixte de chauffage urbain de La Défense (Sicudef) présidé par Charles Ceccaldi-Raynaud, maire UMP de Puteaux à l’époque, doit attribuer la concession de la chaufferie et de l’usine de climatisation du quartier d’affaires, situées à Courbevoie. A l’issue d’un appel d’offres c’est Enertherm qui décroche le contrat.

Sauf que quelques années plus tard de gros doutes apparaissent sur cette attribution. Le 26 juin 2002, le procureur de la République ouvre une information des chefs de corruption et trafic d’influence à la suite d’un signalement de la direction départementale de la concurrence, de la consommation et de la répression des fraudes des Hauts-de-Seine concernant les conditions du renouvellement de ce juteux marché.

Au cœur de l’enquête-fleuve figurent plusieurs protagonistes dont Charles Ceccaldi-Raynaud ainsi que Jean Bonnefont (ex-dirigeant de Charbonnages de France) aujourd’hui âgé de 100 ans, Bernard Forterre (ex-numéro 3 de la Compagnie générale des Eaux-Vivendi) 84 ans et l’homme d’affaires Antoine Benetti, 70 ans. L’ancien maire de Puteaux sera mis en examen en 2007 pour corruption, soupçonné d’avoir perçu des deux dirigeants un pot-de-vin de 770 000 euros, via des commissions occultes en espèces, entre juin 2001 et janvier 2002 en échange de l’attribution de ce marché occulte.

La très longue enquête conduisit en 2021 à un procès malgré la mort en juillet 2019 à l’âge de 94 ans de Charles Ceccaldi-Raynaud, le principal suspect de l’affaire et le grand âge de l’un des prévenus, Jean Bonnefont, qui a fêté son centenaire ce jeudi 10 novembre. Comme pour les avocats de la défense, le tribunal correctionnel de Nanterre estima en janvier 2021 que la procédure d’une vingtaine d’années n’avait pas respecté le droit des prévenus à être jugés dans un « délai raisonnable ». Une décision dont le parquet avait fait appel. Plus tard cette même année la cour d’appel de Versailles avait confirmé la décision du tribunal correctionnel de Nanterre, mettant un terme à l’affaire. Mais c’était sans compter la volonté du parquet de voir enfin cette affaire enfin jugée. Le procureur général avait alors formé un pourvoi cassation.

Dans son arrêt, la Cour de cassation confirme sa jurisprudence et casse la décision de la cour d’appel, estimant que « la durée excessive d’une procédure ne peut aboutir à son invalidation, alors que chacun des actes qui la constituent est régulier ». Pour la plus haute juridiction française « ne pas être jugé dans un délai raisonnable ne porte pas, en soi, atteinte aux droits de la défense » et « il ne peut donc s’agir d’une cause de nullité de la procédure ». Et pour la Cour de cassation « cette analyse est partagée par la Cour européenne des droits de l’homme ».

Cependant pour la Cour de cassation « la juridiction de jugement doit examiner au fond l’affaire dont elle a été saisie en prenant en compte les effets du temps qui s’est écoulé ». A savoir notamment « l’éventuel dépérissement des preuves et l’impossibilité qui pourrait en résulter, pour les parties, d’en discuter la valeur et la portée » et la prise en compte « des éventuelles conséquences du dépassement du délai raisonnable, pour déterminer la peine qu’elle prononce ».

Il devrait donc y avoir un procès pour cette très ancienne affaire. Sauf si, une expertise médicale venait à conclure que Jean Bonnefont n’était pas en mesure de répondre de ses actes du fait de son grand âge. Une évaluation médicale qui devrait prendre du temps. Reste à savoir si le plus vieux prévenu de France sera encore de ce monde à son issue…

Arrêt_21-85.655

Affaire de la chaufferie de La Défense : le parquet général se pourvoit en cassation

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Adrien Teurlais
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L'ancienne centrale Enertherm en 2005 - Defense-92.fr

Le parquet ne veut pas lâcher l’affaire. Le parquet général de Versailles vient de former un pourvoi en cassation après l’annulation le 15 septembre dernier par la cour d’appel de Versailles du procès dans l’affaire de la chaufferie de La Défense. Une histoire de pot-de-vin qui remonte à l’attribution du marché de concession en 1998.

Cinq chefs d’entreprise, dont deux aujourd’hui âgés de 83 et 98 ans sont soupçonnés d’avoir participé à cette affaire dont l’ancien maire de Puteaux, Charles Ceccaldi-Raynaud, mort en 2019, en était l’un des principaux protagonistes.

Invoquant la durée « déraisonnablement longue » de la procédure -plus de vingt ans- et le grand âge des prévenus, la cour d’appel avait suivi la décision du tribunal de Nanterre qui avait en janvier décidé à la surprise générale de mettre fin à l’affaire.

Les boutiques du Westfield Les 4 Temps et du Cnit seront ouvertes ce vendredi 11 novembre

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Adrien Teurlais
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Les enseignes des centres Westfield Les 4 Temps et du Cnit seront ouvertes ce vendredi 11 novembre - Defense-92.fr

Pas de pause pour le shopping en ce long week-end. Les deux centres commerciaux détenus par le groupe Unibail-Rodamco-Westfield (URW) seront ouverts de 10 heures à 20 heures ce vendredi 11 novembre, jour de la commémoration de l’Armistice.

Au Westfield Les 4 Temps, l’hypermarché Auchan lèvera ses rideaux de 9 heures à 20 heures (le service de livraison ne sera pas assuré). L’Apple Store sera ouvert entre 11 heures et 19 heures. Les restaurants du Dôme et de la Clairière seront ouverts à leurs horaires habituels et le cinéma UGC Ciné Cité projettera ses séances comme les autres jours. Le programme est à retrouver ici.

Au Cnit, le Monoprix sera ouvert de 10 heures à 19 heures (le service de livraison ne sera pas assuré), la Fnac sera accessible de 10 heures à 19 heures et le Decathlon de 9h30 à 20h30.

Le Monop’ et son corner Marks & Spencer Food implanté dans la gare de La Défense sera ouvert entre 10h30 et 20h30.

Enfin le Monoprix du Faubourg de l’Arche installé le long de l’avenue de Leonard de Vinci à Courbevoie sera ouvert de 9 heures à 20 heures (Le service de livraison ne sera pas assuré).

Les grévistes de Worldline ne veulent rien lâcher

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Adrien Teurlais
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Le siège de Worldline à La Défense - Defense-92.fr

La contestation ne faiblit pas chez Worldline, une entreprise française peu habituée aux mouvements sociaux. En conflit depuis septembre dernier avec leur direction, environ 350 salariés de Worldline sur près de 4 000 en France étaient en grève ce mardi pour réclamer des revalorisations de salaire. Si la forme du mouvement a évolué, la demande reste la même.

L’intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CGT et FO) demandent toujours une augmentation mensuelle de 175 euros par mois pour les salaires inférieurs à 45 000 euros annuels, 140 euros pour ceux compris entre 45 000 euros et 60 000 euros et de 35 euros pour les autres jusqu’à 82 000 euros mais aussi 600 euros de prime de partage (pour compenser le décalage des augmentations demandées à partir de septembre 2022). Des revendications partiellement acceptées par la direction de l’entreprise française.

Cette journée d’action fait suite à quatre demi-journées de grève les 6, 13, 20 septembre et 4 octobre dernier. Le dialogue entre les organisations syndicales et la direction de la société française spécialisée dans les paiements semble au point mort après l’échec des Négociations Annuelles Obligatoires (NAO).

Face au blocage, l’intersyndicale entend poursuivre le mouvement avec une nouvelle journée de grève le 25 novembre prochain. Une date qui n’a pas été choisie au hasard, puisqu’il s’agira du Black Friday, une journée cruciale pour le e-commerce et les clients de Worldline.

« La direction nous propose un budget d’augmentation générale de 0,58 %. C’est ridicule », fulmine Vincent Biaggi, délégué central CFDT, lors d’un rassemblement organisé ce mardi, en fin de matinée, devant le siège de Worldline à La Défense.

Sollicitée par l’AFP, la direction de Worldline indique être « soucieuse de maintenir un dialogue social de qualité dans l’entreprise et échange avec les organisations syndicales sur des mesures ciblées pour répondre à leurs revendications ». L’entreprise insiste par ailleurs sur le maintien des « équilibres économiques de l’entreprise dans le contexte macroéconomique actuel incertain ».

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