Le tunnelier Virginie a commencé ce mercredi à creuser ses six kilomètres - Direction de Projet Eole
Virginie a commencé son périple. Après des mois de montage et un baptême en novembre dernier, Virginie a enfin débuté sa course ce mercredi 27 février. Partis du puits Gambetta à Courbevoie, aux pieds des tours de La Défense, Virginie va avoir pour mission de creuser d’ici l’automne 2021 à une profondeur oscillante entre trente et quarante mètres les quelques six kilomètres qui la sépare sa destination finale, l’actuel terminus du RER E à Paris Saint-Lazare. A mi-parcours, Virginie fera une petite pause de quelques mois à la future gare de la Porte Maillot pour se refaire une beauté.
Avec ses 90 mètres de long, ses 1 800 tonnes et sa tête de coupe de onze de diamètre ce monstre d’acier est le tunnelier d’Eole est le plus important à être action actuellement en France. Fabriquée en Allemagne par l’entreprise Herrenknecht, leader mondial de la construction de tunneliers, cette machine à pression de boue va s’adapter aux conditions géologiques variées rencontrées sur le tracé du tunnel. Les déblais excavés seront transportés par pompage dans des conduites sous pression vers la base de Seine à Courbevoie.
Véritable « train-usine » le tunnelier assure le creusement du tunnel mais aussi l’évacuation des déblais et la mise en soutènement, c’est-à-dire l’installation de la structure pérenne du tunnel par la pose des anneaux en béton (Chaque anneau étant constitué de huit voussoirs en béton).
Pour son premier mois le tunnelier d’Eole va avancer au rythme d’un à deux mètres par jour. Puis à partir d’avril Virginie évoluera à un rythme de croisière quotidien de dix à quinze mètres.
Aujourd’hui le plus gros tunnelier d’@iledefrance démarre !
Virginie, le tunnelier du Projet EOLE, prolongement du @RERE_SNCF vers l’ouest, commence le creusement des 6 km de tunnel entre Courbevoie et Paris. pic.twitter.com/R7drwASrYf
La DDPP a récemment contrôlé le Marché de Noël de La Défense - Defense-92.fr
Leur descente est devenue aussi traditionnelle que celle du Père Noël. Des agents de la Direction Départementale de la Protection des Populations (DDPP) ont récemment mené des contrôles dans deux marché de Noël du département des Hauts-de-Seine, à Boulogne-Billancourt et à La Défense.
« Des avertissements sur l’indisponibilité et la non-conformité de certains étiquetages », a indiqué sur X la préfecture des Hauts-de-Seine, dont dépend la DDPP. Mais que les clients se rassurent. « Les professionnels concernés ont corrigé les problèmes relevés par les agents de la DDPP », précise la préfecture.
La direction départementale de la protection des populations (DDPP) des #HautsdeSeine a contrôlé le marché de Noël de La Défense et de @Ville_BoulogneB.
✅à la Défense 36 stands de produits alimentaires (restauration, confiseries, vin chaud) et 26 stands de produits non… pic.twitter.com/Pq83NuEs18
La réclame va reste visible jusqu'à la fin de l'année - Defense-92.fr
« 10 secondes, c’était pas assez pour accrocher cette affich(e) ». Avec ce simple message, Wero a trouvé une façon originale de marquer les esprits pour sa nouvelle campagne de communication à La Défense.
Sur la façade vitrée du Westfield Les 4 Temps, la solution de paiement pan-européenne portée par l’European Payments Initiative (EPI) s’affiche avec une publicité adhésive de 860 mètres carrés, volontairement inachevée. Avec cette campagne, Wero promet à ses utilisateurs la possibilité d’envoyer de l’argent d’un compte bancaire à un autre en une dizaine de secondes. Le service Wero fonctionne aujourd’hui avec la plupart des grandes banques françaises (BNP Paribas, SG, LCL, Crédit Agricole, CIC…).
Cette campagne originale, imaginée par l’agence parisienne Buzzman, a été déclinée dans la capitale ainsi que dans certaines villes de province, avec des messages tout aussi décalés s’adaptant à des situations du quotidien.
10 secondes, c’est pas assez pour découvrir toute la campagne d’affichage Wero. pic.twitter.com/5Bryd2AFPn
Depuis son lancement en 2006, ce support a attiré plusieurs annonceurs dont l’Armée de Terre, France Télévision, Delta, Samsung, Nintendo, La Poste, Huawei, Volkswagen, Lynk & Co, H&M, Tel-Aviv, Deel et dernièrement Accenture, Suez, JD Sports, le film Kung Fu Panda, Lacoste, Eva Air et dernièrement, Renault et Samsung et Vueling.
GregMMA a vaincu Billy pour cette première édition du DTR - Capture écran Twitch
Il y avait du monde ce samedi soir à la Paris La Défense Arena. Pas pour un concert ou une rencontre du Racing 92, mais pour une soirée de boxe. Amateur, qui plus est. Le streamer Billal Hakkar alias Billy ou RebeuDeter a réuni près de 32 000 spectateurs et pas moins de 1,2 million de viewers sur Twitch, la plateforme qui l’a vu émerger. Il y avait aussi des stars de l’internet français comme Squeezie et Léna Situations.
Installé au cœur de l’arena, le ring a vu s’affronter cinq duels entre influenceurs et créateurs de contenu, qui se sont enchaînés tout au long de la soirée, dans une ambiance digne des plus grands shows à l’américaine.
Dans le duel entre Byilhan et Brawks, c’est ce dernier qui s’est imposé. Lors du fight féminin opposant Kaatsup à Dooms, la victoire est revenue à Kaatsup. Quant au combat entre Lebouseuh et Prime, c’est Prime qui l’a emporté. Enfin, dans l’affrontement Mastu vs Djilsi, Mastu est reparti vainqueur.
Mais c’est avec le combat le plus attendu de ce premier DTR qu’une polémique est née. Opposé à GregMMA, un duel que Billy a perdu, ce dernier devait initialement affronter un tout autre adversaire. RebeuDeter avait invité Tibo InShape avant de se raviser pour une sombre histoire.
Billy explique que le combat contre Tibo Inshape ne s’est pas fait car ils avaient peur que ça parte en guerre “Extreme gauche extrême droite”pic.twitter.com/Vj4QQlgPfY
Billy a en effet écarté le premier YouTubeur français, qui compte 25,3 millions d’abonnés, en raison d’accusations de promotion de positions conservatrices et d’un patriotisme jugé excessif par certains. « On s’est rétractés, car on avait peur que le combat devienne politique et qu’il soit perçu comme un affrontement entre l’extrême droite et l’extrême gauche », s’est justifié RebeuDeter au micro de L’Équipe.
Attaqué non pas sur le ring mais pour ses idées, Tibo InShape a réagi sur X. « Après des mois de négociations, tout allait être signé, mais j’ai été viré de l’événement du jour au lendemain. Pensez ce que vous voulez de moi, mais certainement pas que je refuse un combat. J’ai fait mes preuves et j’avais hâte de monter sur le ring une nouvelle fois », a-t-il écrit, accompagné de captures d’écran d’échanges de messages entre les deux protagonistes.
Il est également à noter que l’organisateur de l’événement a refusé bon nombre d’accréditations presse, dont celle de Defense-92.fr, ne répondant à aucune de nos sollicitations.
Voyant beaucoup de rumeurs passées, je préfère clarifier les choses :
1- oui, je devais affronter Billy pour son événement, tout était calé. Je les ai reçu lui et son agence, tout s’est très bien passé, super feeling avec Billy, j’avais hâte qu’on vous propose un super combat.… pic.twitter.com/uMR8Ys4X4t
Le Racing 92 a vaincu les Harlequins - Defense-92.fr
Si le Racing 92 ne brille pas vraiment en Top 14 cette saison, l’équipe de Jacky Lorenzetti a bien entamé la Champions Cup. Pour leur premier match dans le tournoi européen, les Ciel et Blanc ont vaincu les Harlequins 23 à 12, samedi soir à Créteil.
Dominé durant la première période, le Racing 92 a finalement réussi à prendre le dessus pour s’imposer. Lors de cette rencontre délocalisée au stade Dominique Duvauchelle, les Ciel et Blanc ont inscrit trois essais (N. Le Garrec 16’, W. Naituvi 40’ et M. Spring 62’), dont un transformé (N. Le Garrec 17’), ainsi que deux pénalités (N. Le Garrec 60’ et 67’). De leur côté, les anglais ont marqué deux essais (A. Dombrandt 10’ et W. Porter 44’), dont un transformé (M. Smith 45’). Avec onze points inscrits, le Breton Nolann Le Garrec est l’homme du match.
Cette victoire permet aux Racingmen de se placer à la deuxième place de la poule D avec 11 points, derrière Glasgow (19 points). Toulon occupe la troisième place avec 10 points.
Ce match était le dernier de l’année disputé à Créteil, aussi bien en Top 14 qu’en Champions Cup. Les Ciel et Blanc doivent désormais retrouver leur Paris La Défense Arena jusqu’à l’été prochain, sauf si le club des Hauts-de-Seine venait à se qualifier pour les phases finales de l’un ou des deux tournois et que la salle ne soit pas disponible. Pour remédier à ce problème de calendrier, le Racing 92 devrait, à partir de 2026 et si tout va bien, s’offrir une seconde maison dans un nouveau stade à Colombes.
C’est une victoire qui fait du bien au moral des basketteurs nanterriens. Nanterre 92 s’est imposé 97 à 75 face à Nancy (1er QT : 28-18, 2e QT : 25-24, 3e QT : 20-18, 4e QT : 24-15) sur son parquet du Palais des Sports Maurice Thorez, ce samedi, lors de cette onzième journée de Betclic Élite.
VICTOIRE !
Magnifique prestation des Nanterriens qui s’imposent avec la manière (+22pts) ! Une grosse intensité défensive et un collectif retrouvé… Une très belle soirée ! pic.twitter.com/BgcVyAB1lL
« Tout le monde a fait un pas supplémentaire dans l’engagement, dans l’intensité. C’était beau à voir. J’ai pris énormément de plaisir, j’ai vu un état d’esprit incroyable ce soir », c’est réjouit Philippe Da Silva, l’entraineur de l’équipe.
L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2024/2025 - UGC
Pour ce quatrième rendez-vous de la quinzième saison de Viva l’Opéra, c’est le ballet « Cendrillon » de Frederick Ashton, filmé en direct du Royal Ballet and Opera de Londres, qui sera à découvrir à l’UGC de La Défense. Le mardi 10 décembre à 20h15, le cinéma du Westfield Les 4 Temps projettera cette œuvre de 3h15, entrecoupée de deux entractes.
La chorégraphie de ce ballet sera assurée par Frederick Ashton, la conception des décors par Tom Pye, celle des costumes par Alexandra Byrne et la musique par Serge Prokofiev. Enfin, Jonathan Lo sera le chef d’orchestre. La distribution a été confiée au Royal Ballet.
La projection est proposée au tarif de 12 euros pour les moins de 26 ans et 33 euros au plein tarif. Un abonnement pour la saison complète est proposé à 270 euros. Il est également possible de souscrire à la carte « UGC Illimité Viva l’Opéra » à 34,90 euros par mois.
Les prochains rendez-vous de Viva l’Opéra sont programmés le 19 décembre avec l’opéra « La Flûte enchantée », puis le 16 janvier avec « Lucia di Lammermoor ».
Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places sont disponibles sur Vivalopera.fr.
Le Racing 92 veut revenir pour certains matchs à Yves-du-Manoir - Atelier AACL
Le Racing 92 va se doter d’une seconde maison pour y jouer certains de ses matchs. Comme nous vous l’indiquions il y a quelques semaines, le club de rugby altoséquanais ambitionne de revenir à ses sources en construisant un nouveau stade au cœur du complexe sportif d’Yves-du-Manoir à Colombes, là même où se trouve le nouveau stade de hockey sur gazon.
Le club de rugby francilien, détenu depuis 2006 par Jacky Lorenzetti, avait quitté son antre de Colombes fin 2017 pour la Paris La Défense Arena, également propriété de l’homme d’affaires. Devenue un site incontournable pour les concerts -bien plus rentables financièrement-, la plus grande salle de spectacle d’Europe doit désormais jongler entre les rencontres de son club résident et les shows musicaux ainsi que d’autres événements en tout genre. Un véritable casse-tête calendaire. Si les propriétaires de la salle arrivent à faire s’imbriquer la plupart des dates, parfois cela coince, contraignant le Racing 92 à délocaliser ses confrontations, notamment à Créteil, et ces dernières années à Lens ou au Havre. Et cela ne devrait pas s’arranger…
Le stade historique Yves-du-Manoir en janvier 2024, avant les Jeux Olympiques – Defense-92.fr
« Une situation qui ne peut pas durer éternellement », reconnaît Jacky Lorenzetti. « Pour les matchs que l’on aura besoin de délocaliser on va revenir à Colombes », a déclaré l’homme d’affaires lors d’une réunion de présentation du projet. La solution est donc de faire revenir le club évoluant en Top 14 et en Champions Cup dans son berceau. Le propriétaire du club ambitionne d’ériger un nouveau stade au cœur de l’immense complexe sportif départemental de près de 170 000 mètres carrés. L’objectif sera d’y jouer une demi-douzaine de rencontres par saison, contre une bonne dizaine à la Paris La Défense Arena.
Conçu comme « un stade à l’anglaise » par l’atelier d’architecture AACL, ce complexe d’environ 14 000 places doit être érigé sur le terrain emblématique d’Yves-du-Manoir. La tribune historique, plus que centenaire, qui a vu passer deux olympiades, celles de 1924 et de 2024, sera conservée. À ces quelque 6 570 places existantes, vont venir s’ajouter trois nouvelles tribunes. Face au gradin d’origine, la tribune Est sera dotée de 3 900 places, tandis que la tribune Sud se composera de 2 180 places. La tribune Nord sera la plus petite, mais sûrement la plus animée avec, en son pied, une vaste bodega couverte de près de 900 mètres carrés, accompagnée d’une boutique d’environ 180 mètres carrés. Un pesage de 500 personnes offrira une vue directe sur le terrain. Enfin, à l’étage, prendront place les salons. L’ensemble du complexe sera accompagné de plusieurs buvettes pour abreuver et rassasier les supporteurs. Quant au terrain, il sera en pelouse synthétique, comme à la Paris La Défense Arena.
Le stade du Racing 92 se situera dans le complexe sportif départemental Yves-du-Manoir. Au premier plan de l’image, on aperçoit le nouveau stade de hockey sur gazon – Atelier AACL
Pour accéder à l’enceinte, un grand parvis sera aménagé du côté de la rue Paul Bert, ce qui nécessitera la destruction d’une vielle bâtisse en très mauvais état. D’abord opposé, le maire de Colombes, Patrick Chaimovitch (EELV), est désormais partant. Très emballé à l’idée de voir revenir dans sa commune, pour certains matchs, le Racing 92, l’édile a lancé un petit tacle amical à son homologue de Nanterre. « Je ne veux pas être méchant avec Nanterre qui a le basket, mais je trouve que le rugby ne fonctionne pas bien à Nanterre, ce n’est pas assez populaire », s’est-il exprimé, se disant « très fier » de voir revenir le Racing 92 sur son territoire.
« L’emplacement est connecté à plusieurs lignes de bus et bientôt à l’extension du tramway T1, mais aussi à deux gares », précise Sophie Alard, la directrice maîtrise d’ouvrage de la société Ovalto, la maison-mère du Racing 92. En plus de l’autoroute A86 à proximité, le Racing 92 prévoit d’aménager un grand parking pour 1 000 emplacements de vélos.
Le plan du projet du Racing 92 – Atelier AACL
Un stade dont les travaux sont estimés entre « 15 et 20 millions d’euros », financés « aux frais exclusifs du Racing 92 », affirme Jacky Lorenzetti. Attendu pour la fin de l’hiver, le permis de construire sera une étape clé, mais pas décisive. D’ici là, le Racing 92 va devoir trouver un accord financier d’occupation du site (sous forme d’AOT de très longue durée) avec le département des Hauts-de-Seine qui restera propriétaire des lieux. La collectivité avait lancé, à l’été dernier, un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) pour refaire vivre l’espace. Une consultation à laquelle seul le Racing 92 avait répondu. Si « rien n’est décidé aujourd’hui » selon le maire de Colombes, les travaux pourraient débuter, si tout va bien, à l’été 2025 avec comme ligne de mire des premiers matchs disputés pour la saison 2026/2027. Et Jacky Lorenzetti ne veut pas croire à un échec du projet. « Comme on est optimiste, notre plan B, c’est le plan A », sourit Jacky Lorenzetti martelant : « Notre volonté ferme, c’est Colombes ».
« Le stade officiel sera la Paris La Défense Arena. Le stade de Colombes nous permettra de jouer en cas de besoin sept, huit ou neuf matchs. On veut arrêter de trimbaler les joueurs, partenaires et supporteurs », a tenu à préciser Jacky Lorenzetti, qui est cependant resté évasif sur l’éventualité de donner un nouveau nom à son stade.
La tribune Sud depuis la tribune historique et à gauche sur l’image la tribune Est – Atelier AACL
« Colombes fait partie du Racing 92. Nous aurons la chance d’avoir deux maisons », s’est pour sa part enthousiasmé Laurent Travers, le président et ancien entraîneur du Racing 92. « Il y aura une dynamique sportive pour Colombes », a-t-il ajouté.
Dans ce nouveau stade, il n’y aura pas qu’un Racing, mais deux. Le club de rugby des Hauts-de-Seine devrait partager sa pelouse avec le club de foot Racing Club de France (RC France), évoluant pour l’heure en National 3. Mais le futur stade et ses 14 000 places n’emballent pas vraiment Patrick Norbert et ses (très très grandes) ambitions pour son club de foot. « Ce n’est pas le stade rêvé pour nous. 14 000 places, c’est une jauge qui ne nous convient pas. Notre projet, c’est d’aller tout en haut », s’est offusqué Patrick Norbert, se disant tout de même « ravi de partager cet espace avec le rugby ».
La tribune Nord et sa bodega depuis la tribune historique. A droite la tribune Est – Atelier AACL
Unibail-Rodamco-Westfield a été récompensé pour l’ajout d'un niveau à son Westfield Cnit - Defense-92.fr
Une extension primée. Le jury des Mapic Awards a récompensé Unibail-Rodamco-Westfield (URW) pour l’ajout d’un nouveau niveau de commerces et de restaurants dans son Westfield Cnit. Dans sa catégorie lauréate « Meilleur projet de rénovation », l’emblématique bâtiment de La Défense faisait face au Spot d’Évry (91) et au Sevilla Fashion Outlet en Espagne.
Cette extension du Westfield Cnit, avec l’ajout d’un nouveau niveau de commerces et de restaurants, a été imaginée pour accompagner l’arrivée du RER E à La Défense en mai dernier. Ce nouvel étage, le -2, occupe un ancien espace auparavant dédié à l’organisation de salons. Au total, ce sont près de 9 000 mètres carrés et quarante-cinq nouveaux emplacements commerciaux qui ont été aménagés, portant la surface commerciale de l’emblématique coquillage en béton à près de 37 000 mètres carrés.
Les Mapic Awards, décernés par un jury de professionnels du secteur, récompensent chaque année, à travers plusieurs catégories, les projets les plus innovants et performants dans le domaine commercial. La cérémonie se tient en marge du salon Mapic à Cannes (06), un événement international dédié aux commerces et aux lieux de consommation, rassemblant professionnels et investisseurs du secteur.
Paul McCartney est en concert à Paris La Défense Arena - Defense-92.fr
À 82 ans, il a gardé toute sa forme de rockeur. Six ans après un premier passage, Paul McCartney est revenu à la Paris La Défense Arena pour y donner deux concerts de sa nouvelle tournée « Got Back ». Le premier d’entre eux était mercredi soir. Le second ce jeudi.
Toujours avec sa classe légendaire, l’ex-membre des Beatles a offert à son public un show parfaitement réussi de plus de trois heures. Dans une salle comble, le natif de Liverpool a enchaîné ses titres emblématiques, retraçant une carrière extraordinaire traversant les décennies et les générations.
20h40, le spectacle commence. McCartney apparaît sur les écrans de la scène et débute le show avec « Can’t Buy Me Love », un classique des Beatles, où il était le bassiste. Les fans sont immédiatement plongés dans l’ambiance des années sixties.
« Salut la France, c’est bon. » Durant la soirée, Macca lâche quelques mots en français, se dépatouillant non sans mal avec la langue de Molière. Il est bien sûr plus à l’aise avec sa langue natale, mais personne ne lui en tiendra rigueur.
Pour la suite, Sir Paul interprète « Junior’s Farm » et « Letting Go », des morceaux issus de sa période Wings, démontrant son aisance à passer d’une époque à l’autre de sa carrière. Le rockeur enchaîne avec des titres incontournables comme « Drive My Car » et « Got to Get You Into My Life », avant de chanter des morceaux plus récents, dont « Come On to Me ». Le tout est accompagné d’une scénographie soignée et colorée.
L’émotion est au rendez-vous lorsque le maître des lieux joue « Let Me Roll It », agrémenté d’un hommage à Jimi Hendrix avec un extrait de « Foxy Lady ». Il ravit ensuite les nostalgiques avec « Getting Better » et le chaleureux « Let ‘Em In ». Puis vient l’un des moments romantiques de la soirée avec « My Valentine », dédié à « sa merveilleuse femme » Nancy Shevell, présente dans la salle.
Un rêve éveillé s’achève, peut-être, sans doute…
C’était hier
Grand, génial, inoubliable
McCartney interprète ensuite des titres plus rares, comme « I’ve Just Seen a Face » et « In Spite of All the Danger », un morceau des Quarrymen, son premier groupe. Écrite par sa plume, le rockeur va chanter son célèbre « Michelle », une mélodie s’inspirant de la culture française. Derrière lui, les plus beaux monuments de la capitale se révèlent.
✨ Paul McCartney ✨
Wow, quelle émotion d’avoir vu un des Beatles en vrai Une vrai claque !
Le show se poursuit avec des classiques comme « Ob-La-Di, Ob-La-Da », « Band on the Run », et « Get Back », avant un final magistral avec « Let It Be », « Live and Let Die » accompagné d’effets pyrotechniques spectaculaires. Le moment le plus fort de la soirée sera probablement l’intemporel « Hey Jude », repris en chœur par le public pour le plus grand plaisir de son auteur.
Mais la fête ne peut pas s’arrêter là. Macca et sa troupe remontent sur scène, lui avec un drapeau français, les autres brandissant l’Union Jack et le drapeau LGBT. Le musicien rend ensuite hommage à son ancien camarade John Lennon avec « I’ve Got a Feeling ».
Le spectacle s’achève sur une véritable apothéose, enchaînant des morceaux d’anthologie des Beatles allant de « Sgt. Pepper’s Lonely Hearts Club Band » à « Helter Skelter », avec un medley final composé de « Golden Slumbers », « Carry That Weight », et « The End ».
Ayer asistí por 2 vez en mi vida a un concierto del gran Paul McCartney en París Simplemente increíble la fuerza ,la voz y la energía a sus 82 años. Es por ello q es una leyenda viva de la música. Me llevo un recuerdo imborrable, canciones que forman parte de la BS de mi vida pic.twitter.com/nX0zzfFys9
— Natalia Tennis-golf-travel-science (@nataliallovovic) December 5, 2024
Véritable icône des années rock, Paul McCartney n’a pas dit son dernier mot. L’octogénaire ne semble pas prêt à prendre sa retraite, à en croire son enthousiaste « À bientôt ! » à l’issue du spectacle. Une chose est sûre : l’ex-Beatle est prêt à se relancer dans une nouvelle tournée, pour le plus grand bonheur de ses fans !
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OK