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vendredi 20 juin 2025
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Cinq jours pour faire disparaitre l’ancienne bretelle Ambroise Paré de la Rose de Cherbourg

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L’ancienne bretelle Ambroise Paré de la Rose de Cherbourg va être détruite cette semaine - Defense-92.fr

Sa disparition se fera en à peine une semaine. Édifié dans les années 60, l’échangeur de la Rose de Cherbourg fait l’objet depuis l’été dernier d’une vaste mutation en promenade urbaine afin d’accompagner notamment la future tour Hekla. La transformation de ce grand anneau routier en béton va franchir une étape symbolique cette semaine avec la destruction d’une partie de ses bretelles.

L’ancienne bretelle Ambroise Paré qui permettait, jusqu’à sa fermeture l’année dernière, de quitter le boulevard circulaire pour rejoindre l’avenue du Président Wilson à Puteaux va être détruite à partir de ce lundi et jusqu’à vendredi prochain. Le chantier mené par l’entreprise Razel-Bec sera bruyant car sa réalisation se fera avec des pelles mécaniques. Il se déroulera durant les cinq jours uniquement en journée entre 7h30 et 19 heures.

Les travaux de destruction de cet ouvrage en béton vont entrainer la fermeture durant toute la période d’une partie de la rue Louis Pouey qu’il enjambe. L’axe sera entièrement fermé aux véhicules comme aux piétons du carrefour avec l’avenue du Général de Gaulle au pied de la tour Défense 2000. L’accès des véhicules à l’ensemble des parkings de la rue Louis Pouey est cependant maintenu depuis l’avenue Jean Moulin.

LCL ferme son agence du quartier Bellini

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L'agence LCL du quartier Bellini a fermé à l'automne dernier - Defense-92.fr

Encore une agence bancaire qui a fermé dans le quartier d’affaires. La banque LCL a fermé à l’automne dernier son agence du quartier Bellini à Puteaux, ouverte à la fin des années 2000, rue Bellini. Cette agence était située au pied d’un immeuble de bureaux voué à être détruit dans le cadre d’un nouveau projet immobilier. Les clients de la banque peuvent se diriger vers les agences voisines, au 62, boulevard Richard Wallace à Puteaux, au centre commercial Westfield Les 4 Temps ou à celle implantée au pied de l’ensemble Cœur Défense.

Le département des Hauts-de-Seine remet la main à la poche pour le financement d’Eole

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Le département des Hauts-de-Seine a voté une première rallonge de 11 millions d’euros pour le financement du prolongement d'Eole - Defense-92.fr

Le budget d’Eole déraille. Annoncé en janvier dernier, le coût originel du prolongement du RER E vers Mantes-la-Jolie via La Défense chiffré initialement à 3,8 milliards d’euros a été fortement revu à la hausse par la SNCF. Le maitre d’ouvrage du projet a annoncé un premier dépassement de 640 millions d’euros, et ce sans la prise en compte de la crise sanitaire de la Covid-19, qui devrait donc encore aggraver la situation.

La SNCF avait averti l’ensemble des financeurs du projet dès l’automne dernier de l’épuisement prochain des crédits qui lui étaient alloués par les conventions de financement.

Cet important dépassement est actuellement en cours d’analyse par l’autorité organisatrice des transports, Île-de-France Mobilités Mobilités (IDFM).

Ne pouvant pas légalement faire l’avance de cette ardoise, et dans l’attente de décisions sur la prise en charge des surcoûts, la SNCF s’est tournée vers les financeurs pour qu’une solution temporaire soit mise en place afin d’éviter un arrêt brutal des travaux.

« La seule solution permettant d’éviter une telle situation, dont notre département et celui des Yvelines seraient les principales victimes, consiste à mettre en place un protocole de financement relais permettant d’allouer une avance de crédit à la SNCF pour couvrir ses engagements devant être pris en 2021 », a indiqué Georges Siffredi, le président du département des Hauts-de-Seine mais aussi de Paris La Défense.

La première avance de 182 millions d’euros sera fiancée par la région Île-de-France (66 millions d’euros), le département des Hauts-de-Seine (11 millions d’euros), celui des Yvelines (14 millions d’euros) et la ville de Paris (9 millions d’euros). De son côté, l’État prendra en charge les 82 millions d’euros restants.

La part de 11 millions d’euros des Hauts-de-Seine a ainsi été validée à l’unanimité par les élus du département vendredi dernier lors de la dernière séance. Les élus ont par ailleurs approuvé le protocole-relais relatif aux engagements financiers et aux conditions nécessaires à la poursuite sans retard du projet de prolongement du RER E à l’Ouest.

Dans le plan de financement d’origine acté en 2012, plusieurs acteurs se sont engagés à financer ce projet à 3,8 milliards d’euros. Avec 1,47 milliard d’euros la Société du Grand Paris est le plus gros contributeur avec la région Ile-de-France qui avait prévu de mettre sur la table 1,06 milliard d’euros. Viennent ensuite l’État (459 millions d’euros), SNCF Réseau (250 millions d’euros), Ile-de-France Mobilités (81,5 millions d’euros), Le conseil départemental des Yvelines (200 millions d’euros) et celui des Hauts-de-Seine (150 millions d’euros) et enfin la ville de Paris (128 millions d’euros).

Le coût du chantier Eole explose

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Le chantier du prolongement d’Eole vers l’Ouest vient de voir son coût bondir de 640 millions d’euros - Defense-92.fr

Le budget initiale vole en éclats. Alors que le premier confinement dû à la crise du Coronavirus a entrainé près de six mois de retard pour le chantier du prolongement d’Eole, repoussant la date de mise en service vers Nanterre-la-Folie via La Défense à la mi-2023 contre fin 2022, une nouvelle mauvaise nouvelle est venue impacter cet énorme projet.

Selon un rapport présenté par Valérie Pécresse, la présidente du conseil régional, SNCF Réseau qui porte ce projet (initialement chiffré à 3,8 milliards d’euros) a annoncé un dépassement colossal du projet d’environ 640 millions d’euros, et ce sans compter l’impact de la crise sanitaire du Covid-19 et son confinement.

La commission permanente du conseil régional d’Ile-de-France a ainsi voté jeudi dernier sa participation à un « protocole-relais », afin de permettre une rallonge budgétaire pour poursuivre le chantier de l’extension du RER E.

« Dans l’attente d’un audit par Ile-de-France Mobilités, SNCF Réseau demande qu’une solution temporaire soit mise en place et menace à défaut, de ne pas engager les marchés nécessaires à la poursuite du chantier, début 2021 », détaille ce rapport.

Pour éviter de voir le chantier s’arrêter une avance de crédit de 182 millions d’euros (aux conditions de 2012) a été débloquée pour SNCF Réseau. La région y contribue à hauteur de 66 millions d’euros et l’État de 82 millions d’euros. Le reste, soit 34 millions d’euros devrait être apporté par les départements des Hauts-de-Seine, des Yvelines mais aussi la ville de Paris.

Dans son plan de financement acté en 2012, plusieurs acteurs se sont engagés à financer ce projet à 3,8 milliards d’euros. Avec 1,47 milliard d’euros la Société du Grand Paris est le plus gros contributeur avec la région Ile-de-France qui avait prévu de mettre sur la table 1,06 milliard d’euros. Viennent ensuite l’État (459 millions d’euros), SNCF Réseau (250 millions d’euros), Ile-de-France Mobilités (81,5 millions d’euros), Le conseil départemental des Yvelines (200 millions d’euros) et celui des Hauts-de-Seine (150 millions d’euros) et enfin la ville de Paris (128 millions d’euros).

Un ascenseur du parking du Westfield Les 4 Temps prend feu

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L'incendie a partiellement détruit ces deux ascenseurs du parking P2 du Westfield Les 4 Temps - Defense-92.fr

Un incendie sans gravité. Un ascenseur du parking « P2 » du centre commercial Westfield Les 4 Temps dont l’émergence se fait au pied de la Grande Arche, face au Mc Donald’s a subi un incendie ce lundi matin. C’est vers 7h20 que les flammes ont commencé à dévorer les câblages de la gaine où se trouve l’une des deux cabines qui étaient alors à l’arrêt. Une vingtaine de pompiers équipés de huit véhicules sont rapidement intervenus pour mettre un terme au sinistre qui n’a pas fait de victime.

Contacté, ni Paris La Défense à qui appartient les équipements, ni la police, n’étaient en mesure d’indiquer les raisons de l’incendie. Une enquête devra déterminer s’il s’agit d’une défaillance technique, d’un acte criminel ou d’une négligence.

Les deux ascenseurs qui étaient déjà à l’arrêt bien avant l’incendie devraient le rester encore un long moment le temps que les réparations soient faites.

Les expulsés du Damier Bretagne devant la Cour d’appel de Versailles

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L'ensemble des Damiers Anjou, Bretagne et Infra le 14 février 2021 - Defense-92.fr

Dans l’affaire des anciens locataires des Damiers la justice a encore du boulot. Alors que le tribunal de Courbevoie a récemment prononcé l’expulsion de Tatiana Dinulescu de son logement du Damier Anjou et doit dans les prochaines semaines statuer sur le sort de Wolfgang Kirchhof, habitant de ce même immeuble, la Cour d’appel de Versailles examine actuellement le cas des sept anciens locataires expulsés à l’été 2018 du bâtiment voisin, le Damier Bretagne. Ces deux immeubles tout comme le bâtiment Infra qui représentaient 250 appartements sont en effet voués à être détruits au profit des deux tours géantes d’Hermitage, un projet chiffré à près de 2,5 milliards d’euros.

Sur les neuf familles évacuées de leur logement en août et septembre 2018, sept contestent toujours la procédure initiée par leur ancien bailleur, Logis-Transports devenu RATP Habitat. Mercredi dernier ces irréductibles représentés par leur avocate Armelle de Coulhac-Mazérieux étaient à la Cour d’Appel de Versailles pour demander l’annulation des expulsions.

Dans une longue plaidoirie, Me Armelle de Coulhac-Mazérieux a demandé à la présidente de la seizième chambre de la Cour d’appel de Versailles de surseoir à statuer sur la procédure d’appel d’expulsion qu’elle a elle-même lancée dans l’attente du pourvoi en cassation récemment lancé dans une autre procédure.

Cette autre procédure toujours pendante concerne une Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC) et porte sur la législation applicable au sujet de la validité du statut des baux HLM des anciens résidents. Car si à l’origine un grand nombre de locataires avaient signé un bail classique avec AXA, la vente des trois immeubles au bailleur social RATP Habitat en 2001 avait changé la donne. Les baux des habitants avaient pour beaucoup en effet été transformés en baux social. « Vous ne pourrez pas statuer sur la validité des actes d’expulsions sans que soit définitivement tranchée la question de la législation applicable aux rapports locatifs », a affirmé Me Armelle de Coulhac-Mazérieux à la présidente de la Cour d’appel.

Les ex-locataires du Bretagne qui ont été déboutés le 19 janvier dernier par cette même Cour d’appel de Versailles sur cette QPC et la question de législation applicable estiment en effet que leurs baux ne relevaient pas de la législation HLM mais du droit commun. « Cela signifierait que les offres de relogement n’avaient pas lieu d’être et qu’il fallait leur délivrer un congé qui attrait à la législation de droit commun », estiment Me Armelle de Coulhac-Mazérieux.

Pour Me Laure-Anne Fournier, l’avocate de RATP Habitat, cette demande n’a pas lieu d’être. « Vous n’êtes pas supposé remettre en question le titre (des baux, ndlr) mais en charge d’examiner la validité de ces actes d’exécution », a-t-elle clamé à la présidente estimant que cette nouvelle procédure devant la Cour de cassation était « absolument dilatoire ». « On parle d’anciens locataires qui ont refusé des dizaines d’offres de relogement. Il y avait une quantité d’offres hallucinante », s’est désolée Me Laure-Anne Fournier estimant que le « combat » des anciens locataires était « absolument farouche et borné ».

Sur la forme de la procédure, Me Armelle de Coulhac-Mazérieux a appuyé sa défense sur la présence de « vice intrinsèques » sur les actes de procès-verbaux d’expulsion. Me Armelle de Coulhac-Mazérieux a déploré l’absence du nom de l’huissier instrumentaire « SCP » dans ces actes. Pour l’avocate des anciens locataires qui s’appuie sur un arrêt de la Cour d’appel de Paris datant de 2002 « l’omission de ces indications dans un acte constituent un vice de fond ce qui entraine la nullité de l’acte sans qu’il soit besoin de prouver un quelconque grief ». Partant de là, Me Armelle de Coulhac-Mazérieux a ainsi demandé à la Cour d’appel de Versailles que les sept anciens locataires réintègrent leurs appartements et qu’une astreinte de 1 500 euros par jour de retard soit versée. « Ce dossier est un véritable scandale, il est loin d’être terminé. On a beaucoup d’adversité », a martelé Armelle de Coulhac-Mazérieux.

Si Me Laure-Anne Fournier a bien reconnu l’absence de la mention « SCP » sur la première page des actes d’expulsion, pour elle cette mention figurait dans les « innombrables » offres de relogement faites par cette étude localisée à Montrouge.

Quant à une éventuelle réintégration dans les lieux des ex-locataires si RATP Habitat venait à être condamné, pour l’avocate du bailleur social cela est « impossible » car « le bâtiment Bretagne a été entièrement curé ». « On ne va pas refaire des cloisons et des salle-de-bain pour les anciens locataires, a estimé Me Laure-Anne Fournier. Quand bien même vous deviez donner raison aux appelants, ce sujet se traiterait d’un point de vue indemnitaire et non en nature (c’est-à-dire par la réintégration, ndlr) ».

Une fois entièrement vidés, RATP Habitat pour céder les Damiers Infra, Anjou et Bretagne pour une cinquantaine de millions d’euros au promoteur russe Hermitage.

Le délibéré de la Cour d’appel est attendu pour le 25 mars prochain.

Coronavirus : le département des Hauts-de-Seine indique avoir consacré 120 millions d’euros

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Le département des Hauts-de-Seine a consacré plus de 120 millions d’euros pour faire face à la crise sanitaire du Coronavirus - Defense-92.fr

La crise du Coronavirus va couter cher au département des Hauts-de-Seine. Le département a indiqué ce vendredi avoir déjà consacré plus de 120 millions d’euros pour faire face à la crise sanitaire débutée il y a bientôt un an.

Cette grosse enveloppe a notamment permis d’offrir un soutien aux bénéficiaires de la prime d’activité et aux communes et aux entreprises ; de commander des masques, du gel et de gants ; de proposer des dotations complémentaires aux établissements de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE), pour personnes handicapées et personnes âgées afin de faire face aux surcoûts liés à la crise ou encore de financer des actions en faveur de la fracture numérique et du décrochage scolaire.

« Le département des Hauts-de-Seine sera, dans la poursuite des efforts entrepris en 2020, pleinement mobilisé pour répondre aux urgences sociales. Notre responsabilité et notre devoir, en tant que chef de file de l’action sociale, est de continuer à soutenir les habitants et les forces vives du territoire. Nous serons à leurs côtés, avec des moyens renforcés pour les solidarités », indique Georges Siffredi, le président du département des Hauts-de-Seine.

Le budget de la collectivité va par ailleurs augmenter cette année de 180 millions d’euros. L’enveloppe pour les politiques sociales va passer à 901 millions d’euros et l’investissement sera d’un demi-milliard d’euros.

Top 14 : le Racing 92 s’impose 34 à 26 face au Lou

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Le Racing 92 a battu le club du Lou 34 à 26 ce samedi à la Paris La Défense Arena - DR

Nouvelle victoire pour les Ciel & Blanc. Le Racing 92 a battu à domicile 34 à 26 les joueurs lyonnais du Lou lors de cette seizième journée du Top 14. Durant cette rencontre les Racingmen ont enregistré trois essais (T.Baubigny 5’, S.Zebo 11’ et F.Trinh-Duc 75’), dont deux transformés (M.Machenaud 6’ et T.Iribaren 77’) et inscrit cinq pénalités (M.Machenaud 4’, 16’ et 33’, A.Gibert 41’ et T.Iribaren 57’). De son côté le Lou a réalisé trois essais (N.Nakaitaci 24’, 34’ et 62’), dont un transformé (J.Wisniewski 36’) et marqué trois pénalités (J.Wisniewski 29’ et 71’ et JM.Doussain 53’).

La CCI des Hauts-de-Seine quitte Via Verde à Nanterre pour Cœur Défense

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William Prost dirige la CCI depuis juin 2016 - Defense-92.fr

De Nanterre à La Défense. La Chambre de Commerce et de l’Industrie (CCI) du département des Hauts-de-Seine vient de s’installer dans l’ensemble Cœur Défense. Implanté historiquement à Nanterre, d’abord dans un bâtiment indépendant de la rue des Trois Fontanot, puis à partir de 2011 dans l’immeuble Via Verde, la CCI est désormais établie depuis le lundi 8 février dans Cœur Défense. Ce plus grand ensemble immobilier de bureaux d’Europe héberge notamment HSBC, EDF, Orange Business Services ou encore Paris La Défense.

Le siège altoséquanais de la CCI a basé ses 65 salariés (mais aussi une dizaine de ses stagiaires et alternants) et au second niveau de la tour A de Cœur Défense sur 1 300 mètres carrés auxquels s’ajoutent près de 800 mètres carrés loués dans l’espace de coworking Wojo. Si l’installation chez Wojo se traduit par des espaces privatisés, ce choix permet d’une part à la CCI 92 d’avoir des bureaux plus modulables mais aussi et surtout, d’être au plus proche des start-up. Outre les services d’accueil pour les entrepreneurs, ces nouveaux locaux hébergent notamment la direction de la CCI 92 ou encore le « Pôle territoires & financement ».

La Chambre de Commerce et de l’Industrie des Hauts-de-Seine s’est installée sur environ 2 100 mètres carrés dans Cœur Défense – Defense-92.fr

Un déménagement dans le plus grand quartier d’affaires d’Europe qui a du sens pour la CCI. Non seulement l’organisme a pu obtenir des conditions avantageuses pour son bail compte tenu de la situation actuelle, mais a aussi pu se mettre au plus proche des entreprises. « L’idée était d’être dans un environnement stimulant en s’inspirant de ce que font les grandes entreprises du quartier en termes de management », confie William Prost, le directeur de la CCI 92 qui a voulu être plus accessible pour les entrepreneurs.

Ce déménagement en pleine crise sanitaire a aussi été un défi pour la CCI qui a dû s’adapter au Covid-19. « On a maintenu des espaces ouverts par pool avec de grandes salles de réunions », détaille William Prost. La CCI 92 en a aussi profité pour passer une partie de ses bureaux en flex office et rendre ses nouveaux locaux plus agréables avec plus d’espaces de convivialité et d’accueil.

Une grosse soixantaine de personnes travaillent à la CCI des Hauts-de-Seine – Defense-92.fr

Ce nouveau départ pour la CCI n’a en revanche pas été des plus coûteux. Si le mobilier est neuf, l’organisme des Hauts-de-Seine a essayé de limiter « le gâchis et les frais » en gardant son matériel informatique. « J’ai gardé ma table qui venait de la bourse du commerce. Les marchands échangeaient sur cette table. Elle a une valeur symbolique », raconte William Prost qui dirige la CCI 92 depuis juin 2016.

Pour l’instant il y a encore peu de monde dans ces nouveaux locaux dont l’aménagement a été assuré directement par les équipes régionales de la CCI. Seulement 15 % des troupes de l’organisme sont présents quotidiennement au bureau. Le reste des équipes continue à pratiquer le télétravail le temps que la crise sanitaire passe.

La CCI 92 reçoit tous les jours les créateurs et chefs d’entreprises. Un accueil sans rendez-vous est proposé du lundi au vendredi entre 9 heures et midi et avec rendez-vous entre 14 heures et 16 heures.

La Chambre de Commerce et de l’Industrie des Hauts-de-Seine est installée dans Cœur Défense depuis le 8 février – Defense-92.fr

Un ouvrier meurt sur le chantier de la tour Hekla

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Un ouvrier est mort sur le chantier de la tour Hekla - Defense-92.fr

Le chantier de la tour Hekla est endeuillé. Ce mardi 9 février vers 19h45 les pompiers ont été appelés pour accident sur le chantier de construction de ce building imaginé par l’architecte Jean Nouvel et dont les travaux sont menés par le groupe Vinci.

Un ouvrier est décédé des suites de ses blessures après avoir été écrasé par un lift alors qu’il se trouvait sur une nacelle. Les secours ne sont pas parvenus à réanimer la victime alors en arrêt cardiaque. Le liftier présent dans le lift de chantier au moment du choc, a quant à lui été légèrement blessé à la jambe

Une enquête a été ouverte par le commissariat de police de La Défense. Elle devra déterminer les circonstances précise du drame même si d’après une source policière, les premiers éléments semblent confirmer un accident suite à une erreur de communication entre les ouvriers. L’inspection du travail a également ouvert une enquête.