The Offspring était en concert à la Paris La Défense Arena - Defense-92.fr
Après Linkin Park et Sum 41 , c’est un nouveau groupe culte nord-américain des années 1990/2000 qui a investi la Paris La Défense Arena. Pour son unique date française de sa tournée mondiale Supercharged, The Offspring a choisi la plus grande salle de spectacle d’Europe.
Le groupe punk-rock américain, formé au milieu des années 80 et propulsé une dizaine d’années plus tard avec son album Smash, était en concert ce samedi soir à la Paris La Défense Arena.
Et Dexter Holland et sa bande ont mis les petits plats dans les grands pour le plus grand plaisir de leurs fans. L’apéritif débute avec le groupe français Dynashakers. Pour l’entrée, place à nos « cousins Québécois » de Simple Plan. Pendant un peu moins d’une heure, les Québécois livrent une superbe performance. Le chanteur Pierre Bouvier réserve même une belle surprise en annonçant une date le 31 octobre 2026, non pas à la Paris La Défense Arena, mais à l’Accor Arena.
Après ces deux premières parties, la salle pleine à craquer est en ébullition. L’effervescence est à son comble. L’heure est venue d’attaquer le plat principal ! Et The Offspring est pile à l’heure : 21h20, comme annoncé dans le programme. Le show débute avec du lourd, du très lourd. Dexter lance le cultissime Come Out and Play, puis enchaîne avec All I Want, Want You Bad, Original Prankster et Looking Out for #1.
Si la scène reste sobre, sans avancée, les écrans géants diffusent des visuels dynamiques et immersifs. Deux immenses squelettes surgissent même du décor. Les tubes retraçant la carrière de The Offspring s’enchaînent durant 1h40 -il y en aura une bonne vingtaine- avec Hammerhead, Bad Habit, Gotta Get Away, Why Don’t You Get a Job? ou encore Drum Solo.
Je suis joie jamais je n’aurais pensé en 1999 que j’irais à Paris voir The Offspring pic.twitter.com/n2YS3wR4hH
Tout au long du show, Dexter et ses acolytes s’adressent régulièrement au public, même si les mots en français se font rares, contrairement à Simple Plan. On se contentera de quelques banalités comme « Bonsoir » ou « Vive la France ».
Le chanteur offre aussi un moment de communion lorsque la foule brandit les torches de ses téléphones pour accompagner Gone Away. Le groupe livre également une superbe reprise de Hey Jude des Beatles, un clin d’œil qui rappelle les passages de Paul McCartney dans cette même salle en 2018 et 2024.
Pour conclure, Dexter glisse les morceaux cultes du groupe : Pretty Fly (For a White Guy), The Kids Aren’t Alright, You’re Gonna Go Far, Kid et l’incontournable Self Esteem en guise de dessert. Un final savoureux pour un show intense qu’il ne fallait pas rater !
« Cela fait quinze ans que je suis élue au conseil municipal de Courbevoie. Il est temps qu’une nouvelle équipe émerge. Courbevoie est une belle ville où il fait bon vivre, mais il y a des points de fragilité qui apparaissent, avec un sentiment d’insécurité lié à des points de deal », confie t-elle.
Dans une lettre massivement distribuée aux habitants, Aurélie Taquillain dit vouloir placer la sécurité, la fiscalité, le commerce local et l’environnement au cœur de son programme. Elle propose de renforcer la police municipale, d’étendre la vidéoprotection et de subventionner les alarmes à domicile. L’élue promet également de stabiliser la fiscalité locale, après une hausse de plus de 35 % durant le mandat en cours. Elle souhaite aussi doter la ville d’un véritable centre-ville autour du secteur Charras, soutenir le commerce de proximité par une politique active de préemption, et accélérer la végétalisation des espaces publics, tout en réaménageant les berges de Seine pour en faire un lieu de vie et de convivialité. Enfin, Aurélie Taquillain veut favoriser l’ouverture de maisons de santé pluriprofessionnelles. « Aujourd’hui, à Courbevoie, avec la fermeture récente de la clinique La Montagne, on compte un médecin pour 1 500 habitants, contre un pour 1 000 au niveau national. La santé n’est pas une compétence municipale, mais face à l’urgence, elle devient une responsabilité locale », explique la quadragénaire.
Pour élaborer son programme, l’opposante à Jacques Kossowski affirme avoir sondé plus de 3 000 Courbevoisiens. « Plusieurs centaines sont actuellement investis dans des groupes de travail réunissant des experts. C’est sur la base de vos propositions que je construis mon projet pour notre ville », indique Aurélie Taquillain.
La publicité de Perk restera visible durant tout le mois de novembre - Defense-92.fr
Une publicité géante pour Perk. L’Américain spécialisé dans l’organisation de voyages d’affaires, la gestion des dépenses et la facturation des entreprises s’affiche ce mois de novembre sur la façade vitrée du Westfield Les 4 Temps, donnant sur le parvis de La Défense, avec une publicité de 860 mètres carrés.
Depuis son lancement en 2006, ce support a attiré de très nombreux annonceurs dont l’Armée de Terre, France Télévision, Delta, Samsung, Nintendo, La Poste, Huawei, Volkswagen, Lynk & Co, H&M, Tel-Aviv, Accenture, Suez, JD Sports, Renault, Lacoste, Samsung, Vueling, Wero, Eva Air, Alpine, Kave Home et dernièrement Deel.
Révélé en 2016 avec son premier album Batterie Faible, Damso, de son vrai nom William Kalubi, est un rappeur belge d’origine congolaise qui s’est imposé comme l’une des principales figures du rap francophone. Ses albums suivants, Ipséité, Lithopédion et QALF, ont rencontré un large succès public et critique.
Les billets, proposés entre 50 et 109 euros selon les catégories, sont en vente sur le site de la Paris La Défense Arena. Il est à noter que des places ont également été remises en vente pour les concerts des 28 et 29 mai. Elles sont proposées entre 59 et 109 euros.
Si tu veux sécuriser ta place pour Damso le 31 mai 2026 c’est le moment !
Starbucks s’est installée pour deux jours sur la place de La Défense - Defense-92.fr
Dégustation gratuite de chilled coffee ! Starbucks s’est installé pour deux jours sur la place de La Défense pour faire découvrir aux passants du quartier d’affaires ses boissons fraîches au nouveau look, à base de café, vendues hors de ses salons (supermarchés, stations services…). À l’intérieur d’un grand dôme transparent, il est possible de savourer gratuitement un caramel macchiato, un café latte ou un café latte allégé en sucres.
L’animation est à retrouver ce mercredi 5 et jeudi 6 novembre, entre 8 heures et 18 heures.
Environ cinquante salariés de la branche sécurité de Fiducial se sont mobilisés ce mercredi à La Défense à l’appel de la CGT, de la CFDT et de l’Unsa - Defense-92.fr
Ils veulent retrouver leurs avantages envolés. Une cinquantaine d’agents de sécurité du groupe français Fiducuial s’est réunie ce mercredi matin dans le quartier d’affaires de La Défense pour protester contre la perte de plusieurs primes.
À l’appel de la CGT, de la CFDT et de l’Unsa, ces agents se sont d’abord retrouvés devant les bureaux de Fiducial, en bordure du boulevard Patrick Devedjian à courbevoie, avant de se rendre au pied de l’ensemble Cœur Défense -où l’entreprise détient un contrat de prestation de sécurité- puis de revenir à leur point de départ.
Avec cette mobilisation, les salariés entendaient dénoncer la suppression de plusieurs primes, notamment celles de fin d’année et celles versées aux agents cynophiles, ainsi que la baisse d’une prime d’astreinte. « Nous voulons également que nos heures supplémentaires soient payées chaque mois. Nous ne voulons plus être trimestrialisés mais mensualisés, afin que les heures supplémentaires ne soient pas lissées », martèle Mehdi Agueni, délégué CFDT.
Les trois organisations syndicales sont d’autant plus remontées que, selon elles, Fiducial Sécurité est la deuxième entreprise du secteur. « Nos droits et avantages sont en dessous de ceux de nos concurrents. C’est incompréhensible et injuste ! », dénoncent-elles, exigeant « des conditions de travail dignes », « une vraie reconnaissance des efforts » et « des accords équitables et adaptés au pouvoir d’achat ».
« Nous voulons également peser sur les négociations annuelles obligatoires (NAO) », ajoute le représentant syndical de la CFDT, qui promet d’autres actions ciblant de « gros clients » en cas d’échec des discussions avec la direction.
Contactée, Fiducial n’a pas répondu à nos sollicitations.
Les agents dénoncent la suppression de plusieurs primes et réclament une meilleure reconnaissance de leurs conditions de travail – Defense-92.fr
Le trafic est interrompu chaque soir entre Maisons-Laffitte et Cergy-Le-Haut jusqu’au 19 décembre - Defense-92.fr
Usagers nocturnes du RER A, vos trajets risquent d’être impactés. Depuis ce lundi 3 novembre et jusqu’au vendredi 19 décembre, le trafic est interrompu chaque soir de la semaine (du lundi au vendredi) à partir de 21h50 entre les gares de Maisons-Laffitte et Cergy-Le-Haut, en raison de travaux menés par la SNCF, qui exploite cette branche de la ligne A. La circulation des trains est également interrompue sur la branche nord de la ligne L du Transilien, qui partage cette section avec le RER A.
Un service de bus de remplacement est assuré entre Sartrouville et Cergy-Le-Haut, avec desserte de toutes les gares intermédiaires. Un allongement des temps de trajet est à prévoir.
En revanche, la circulation des trains reste normale sur le reste de la ligne, notamment sur la branche de Poissy.
La publicité de 3 000 mètres carrés pour Call of Duty : Black Ops 7 restera visible durant tout le mois de novembre - Defense-92.fr
Call of Duty fait son retour en ce mois de novembre sur le plus ancien bâtiment du quartier d’affaires. Un peu plus d’un an après sa précédente campagne pour le dernier opus, le célèbre jeu de tir à la première personne (FPS) s’affiche de nouveau sur le Westfield Cnit avec une publicité adhésive géante de 3 000 mètres carrés. Visible par les dizaines de milliers de passants qui arpentent chaque jour le parvis de La Défense et qui visiteront bientôt le Marché de Noël, cette campagne hors norme accompagne la sortie, le 14 novembre prochain, de Call of Duty : Black Ops 7 sur consoles PS4 et PS5, Xbox One et Series, ainsi que sur ordinateur.
Depuis le lancement de ce support au milieu des années 2000, de nombreuses marques se sont succédé sur la façade du Westifled Cnit, dont Audi, Leffe, Seat, Volkswagen, Huawei, Gillette Labs, Nike, New Balance, Samsung, Vueling, Toyota, Google et de dernièrement EDF.
L'inconnu de la Grande Arche sort au cinéma ce 5 novembre 2025 - Julien Janie / Agat Films / Le Pacte
Bâtiment emblématique du quartier d’affaires de La Défense avec son voisin le Cnit, la Grande Arche clôture, ou du moins prolonge, l’axe historique dessiné par André Le Nôtre. Lancé par François Mitterrand après des années de tergiversation, le projet « Tête Défense » avait été remporté en 1983 par Johan Otto von Spreckelsen. L’architecte danois, parfaitement inconnu, avait séduit le président avec son « Cube » face à des dizaines d’autres propositions signées de grands noms.
La Grande Arche de La Défense avait fait l’objet d’un roman en 2016 de Laurence Cossé, intitulé tout simplement La Grande Arche. Mais l’histoire de l’Arche reste finalement peu connue et encore plus celle de son architecte, décédé durant la construction.
Une histoire savamment racontée, servie par un casting remarquable, que le réalisateur Stéphane Demoustier réussit à porter à l’écran. Si la narration s’autorise quelques largesses scénaristiques malgré un récit globalement fidèle à l’histoire, la réalisation minutieuse nous plonge au cœur de la naissance de l’Arche et de son chantier. L’intégration de photographies d’époque offre aux spectateurs une immersion saisissante dans un quartier tel qu’il était au début des années 80.
L’Inconnu de la Grande Arche, dont la sortie est programmée ce mercredi 5 novembre, met à l’affiche Claes Bang (dans le rôle de Johan Otto von Spreckelsen), Sidse Babett Knudsen (Liv von Spreckelsen), Xavier Dolan (Jean-Louis Subilon, qui est un mélange de trois personnages du projet : Jean-Louis Subileau qui dirigeait la la SEM nationale Tête Défense ; Robert Lion, président de la SEM Tête Défense et Yves Dauge, Coordonnateur des Grands Projets), Swann Arlaud (Paul Andreu) et Michel Fau (François Mitterrand).
Le tournage du film s’est déroulé du 9 septembre au 25 octobre 2024, en Île-de-France, au Danemark et en Italie. Certaines scènes ont été filmées au palais de l’Élysée, au Louvre, dans les carrières de marbre de Carrare en Italie, à la préfecture des Hauts-de-Seine (dans le bureau du préfet) et sur le parvis de La Défense. Le chantier de l’Arche en construction a été reconstitué dans le backlot des TSF Studios 77, en Seine-et-Marne. Des prises de vue ont également eu lieu sur les Champs-Élysées, où la circulation a été interrompue un dimanche matin pendant trois heures pour faire circuler des véhicules d’époque.
Entretien avec Stéphane Demoustier :
Stéphane Demoustier est le réalisateur de L’Inconnu de la Grande Arche – Defense-92.fr
Pourquoi, comment et quand vous est venue l’idée de vous intéresser à la Grande Arche et à son architecte ?
J’avais lu le livre de Laurence Cossé et ça a attisé ma curiosité pour ce personnage hautement romanesque qu’est Johan Otto von Spreckelsen. Dans le livre, j’ai découvert que l’on avait très peu d’informations sur lui. J’ai découvert une histoire atlante. J’ai lu le livre dès sa sortie en 2016. Au début, les droits étaient pris. Puis ils sont redevenus libres. J’ai donc décidé de l’adapter en film.
Comment avez-vous mené votre travail de recherche ? Beaucoup de protagonistes sont morts, à commencer par Johan Otto von Spreckelsen, Paul Andreu et François Mitterrand ?
J’avais quand même une base sur le chantier et les soubresauts politiques de l’affaire. C’est documenté. Le livre de Laurence Cossé m’a offert beaucoup de matière. Il est très bien documentée. J’ai aussi pu rencontrer des personnes qui avaient travaillé avec Paul Andreu sur le projet, comme Jean-Louis Subileau.
Claes Bang (dans le rôle de Johan Otto von Spreckelsen), Xavier Dolan (Jean-Louis Subilon, qui est un mélange de trois personnages du projet) et Swann Arlaud (Paul Andreu) – Agat Films / Le Pacte
Avez-vous eu du mal à convaincre la famille de Johan Otto von Spreckelsen, dont sa femme, toujours vivante et âgée de 98 ans, d’obtenir les autorisations nécessaires ?
Le film montre bien que Liv, la femme de Johan Otto von Spreckelsen, a inventé le principe des royalties sur les œuvres architecturales. Nous avons sollicité l’autorisation de réaliser le film et de filmer le bâtiment auprès de la famille de Johan Otto von Spreckelsen. Nous n’avons longtemps pas eu de réponse, puis avons finalement reçu une réponse négative. Ils n’ont d’ailleurs même pas proposé de prix : ils ont tout simplement dit non. Nous avons fait valoir le droit à l’information. C’est une œuvre publique, financée par des fonds publics. Nous ne montrons pas l’œuvre finie. Je ne crains pas de poursuites : la question juridique a été scrupuleusement étudiée.
Le format de l’image est carré (1/37), c’est un clin d’œil direct à la Grande Arche ?
C’était pour évoquer le carré de von Spreckelsen. C’était un homme qui voyait le monde à travers les formes cubiques en permanence. Il a conçu des églises toutes de forme cubique. Il fallait que je chausse ses lunettes pour entrer dans la tête de quelqu’un qui voit le monde à travers un carré.
Votre film dépeint un architecte passionné mais aussi colérique, borné et orgueilleux ?
J’ai essayé d’être fidèle à un aspect fondamental chez lui. C’était quelqu’un de très attaché à son idée. L’architecture, c’est toujours une tension entre l’idée et le principe de réalité. Il a eu raison de croire en son idée, mais je pense qu’il a eu tort de ne pas réussir à s’adapter au réel. Je me suis dit qu’il fallait dépeindre quelqu’un parfois obsessionnel, attaché à ses convictions. Les témoignages que j’ai pu recueillir ont montré un homme rigoureux, même s’il levait rarement la voix.
Le tournage du film sur le parvis de La Défense le 8 octobre 2024 – Defense-92.fr
La construction et l’architecture sont des domaines très techniques. Il était important pour vous de rendre le film le plus compréhensible possible ?
Le plaisir d’un film réside aussi dans le plaisir de découvrir un univers, parfois un territoire, et ceux qui y vivent. Ici, l’univers du film est celui de la construction. Il m’importait donc d’assumer le fait que l’Arche posait des questions techniques. Il ne fallait pas avoir peur de les traiter. Car c’est la singularité du sujet de ce film. Je suis par ailleurs convaincu que c’est en étant spécifique qu’on parle paradoxalement au plus grand nombre. Donc j’ai assumé volontiers ces discussions techniques, en considérant que si je comprenais ces discussions, alors tout le monde pourrait les comprendre, car je ne suis pas un spécialiste.
Il y a eu un gros travail de post-production pour intégrer vos scènes dans une Défense telle qu’elle l’était dans les années 80. Cela a-t-il été compliqué ?
Nous sommes partis de photographies réelles pour y insérer nos personnages. Certaines images, comme celles tournées sur la passerelle du chantier de l’Arche, ont été animées. Nous avons eu accès à l’ensemble de la photothèque de Bouygues (qui a mené le chantier, ndlr) et de Paris La Défense. En post-production, nous avons animé ces photos pour les intégrer au paysage. Il a également fallu effacer, en post-production, toutes les tours construites postérieurement. Notre budget était très réduit : il s’élevait à 7 millions d’euros.
Pourquoi ce choix scénaristique de le voir mourir au milieu de la dalle devant son œuvre inachevée, alors qu’il s’est éteint chez lui, au Danemark ?
Après avoir abandonné le projet, il est revenu en France. Personne ne sait pourquoi. Il a fait un malaise cardiaque en arrivant en France. Il a été hospitalisé à l’hôpital Américain de Neuilly, puis il a été rapatrié au Danemark où il est mort en mai 1989. La question que pose cette scène était de savoir s’il meurt écrasé par son œuvre ou s’il meurt de l’avoir abandonnée.
Après votre film sur la Grande Arche, auriez-vous envie de réaliser un nouveau film sur La Défense qui regorge d’histoire politico-financière ?
La Défense est un lieu de pouvoir et d’argent. Oui, il doit y avoir matière à faire des choses intéressantes, mais je n’ai pas de projet pour l’instant.
Le film retrace l’histoire de la Grande Arche et de son architecte Johan Otto von Spreckelsen – Agat Films / Le Pacte
La signature s’est déroulée en présence de la ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative, Marina Ferrari, de Gilles Moretton, président de la FFT, et de Frédéric Longuépée, président-directeur général de Paris La Défense Arena.
Créée par le ministère des Sports et la fondation WWF France, cette charte fixe quinze engagements concrets destinés à encourager les organisateurs d’événements à adopter une démarche de développement durable. Elle couvre plusieurs domaines, notamment l’alimentation et la mobilité durables, la gestion des déchets, la préservation des ressources, l’accessibilité, l’inclusion et les actions éducatives liées à la transition écologique.
Déjà signataire du texte en 2017 pour le tournoi de Roland-Garros, la FFT étend désormais son engagement au Rolex Paris Masters, désormais organisé à la Paris La Défense Arena, à minima jusqu’en 2034. Les deux partenaires entendent réduire et mesurer l’impact environnemental du tournoi et atteindre, d’ici quatre ans, les principaux indicateurs fixés par la charte.
« Avec la signature de cette charte, nous souhaitons inspirer et montrer l’exemple au mouvement sportif français et international. Nous avons la conviction que le sport peut être un moteur de la transition écologique », a déclaré Gilles Moretton, président de la FFT.
La ministre des Sports, Marina Ferrari, a salué cette démarche commune. « Le Rolex Paris Masters prouve qu’il est possible de conjuguer excellence sportive, exigence environnementale et engagement. Cette co-signature illustre l’alliance nécessaire entre tous les acteurs du sport pour construire, ensemble, un bien commun durable », a-t-elle expliquée.
Pour le président de l’arena, Frédéric Longuépée « cette co-signature traduit une conviction commune » pour que les grands événements soient des « leviers concrets de la transition environnementale ».
La FFT et les responsables de la plus grande salle de spectacle d’Europe ambitionnent ainsi de faire du le Rolex Paris Masters « un exemple de transition écologique en France et dans le monde ».
À l’occasion de la première édition du Rolex Paris Masters dans son tout nouvel écrin, le président de la @FFTennis, @GillesMoretton, le président directeur général de @ParisLaDefArena, Frédéric Longuépée, et la ministre des Sports, de la Jeunesse et de la Vie associative,… pic.twitter.com/HkNHQOaD70
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