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jeudi 28 mars 2024
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Pour le Printemps du Cinéma, offrez-vous une séance à cinq euros

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Le Printemps du Cinéma se déroule cette année du 24 au 26 mars 2024 - Defense-92.fr

Une toile à petit prix. Le Printemps du Cinéma est de retour du dimanche 24 au mardi 26 mars. Organisée par la Fédération Nationale des Cinémas Français, cette grande fête du cinéma est l’occasion de voir les films à l’affiche au tarif unique de cinq euros. Pour cette nouvelle édition, l’UGC du Westfield Les 4 Temps et le CGR de Nanterre y participent.

Cette semaine à l’UGC du Westfield Les 4 Temps et au CGR de Cœur de Quartier de Nanterre plusieurs films sont à l’affiche dont « La Jeune fille et les paysans », « Immaculée », « Dune, deuxième partie », « Karaoké », « Heureux gagnants » ou encore « Imaginary ».

Retrouvez le programme complet des séances sur le site Ugc.fr et Cgrcinemas.fr.

Le département ouvre les inscriptions du concours national de Jazz de La Défense

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Le département des Hauts-de-Seine a lancé l’appel à candidatures pour le quarante-septième concours national de Jazz de La Défense - Defense-92.fr

Un tremplin pour booster sa carrière de musicien. Le département des Hauts-de-Seine vient d’ouvrir l’appel à candidatures pour le quarante-septième concours national de Jazz de La Défense. Ce concours se tiendra en marge du festival gratuit et en plein air La Défense Jazz Festival, qui se déroulera du 24 au 30 juin prochain sur la place du quartier d’affaires.

Né en 1977 avant même l’apparition du festival, ce concours est ouvert aux groupes émergents de la scène du jazz, de tous âges, et de toutes nationalités, résidant en France. Les candidats doivent présenter un répertoire de compositions et/ou de standards, dont la durée d’interprétation sur scène est d’au moins trente minutes. Ils ne doivent pas avoir commercialisé d’EP ou d’album plus de cinq ans avant le dépôt de leur candidature. Les candidats doivent avoir donné à minima une représentation publique rémunérée dans les trois ans précédant l’appel à candidatures. Par ailleurs, les auteurs-compositeurs au sein des groupes candidats, doivent être inscrits, ou en cours d’inscription à la Société des Auteurs, Compositeurs et Éditeurs de Musique (SACEM).

Les six groupes sélectionnés se produiront sur la scène de La Défense Jazz Festival, les 26 et 27 juin, pour un concert de trente minutes chacun. À l’issue de sa prestation, chaque groupe ou artiste sélectionné sera reçu par le jury pour un entretien individuel de vingt minutes. À la fin de ces échanges, le jury délibèrera pour choisir les deux lauréats du concours. Les lauréats pourront bénéficier de conseils personnalisés sur les différents aspects qui composent leur carrière artistique tels que la production de spectacle, l’édition, la production discographique, les relations presse et le management.

Ce concours permet ainsi de soutenir le développement de carrière de la scène émergente avec l’attribution d’un prix de 5 000 euros pour le « Prix du Concours National de Jazz de La Défense » et de 1 500 euros pour le « Prix d’Instrumentiste ». Les lauréats seront choisis par un jury composé de journalistes, diffuseurs, programmateurs, attachés de presse ou tourneurs, spécialisés dans le jazz. Ils formeront un panel représentatif de la filière professionnelle, assure le département.

Depuis plus de quarante-six ans, le prestigieux concours a récompensé de grands noms de la scène jazz française dont Julien Lourau, Pierre de Bethman, Antoine Hervé, Le Sacre du Tympan, Erik Truffaz, Paul Lay, Leïla Martial, Anne Quillier Sextet, Laurent Coulondre, EYM trio, Gauthier Toux, Obradovic Tixier Duo, Chocho Cannelle en 2022.

Les candidats ont jusqu’au 24 mai 2024 pour s’inscrire en ligne avant une sélection sur écoute le 7 juin.

Un homme escalade la Cheminée végétalisée de La Défense

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L'homme d'une quarantaine d'années a escaladé la Cheminée végétalisée de La Défense - Defense-92.fr

Son coup de folie l’a poussé dans une étonnante ascension. Ce mardi, vers 14h40, un homme vêtu d’une doudoune grise fluo a été aperçu en train d’escalader à mains nues la Cheminée végétalisée, située au pied du vaste complexe immobilier Cœur Défense.

Il aura fallu à peine quelques minutes à l’individu pour gravir les seize mètres de cette œuvre d’art constituée de bacs à plantes en cuivre, servant à dissimuler une imposante cheminée d’évacuation des fumées des sous-sols de La Défense en cas d’incendie.

Alertés, les pompiers sont rapidement arrivés sur place accompagnés d’un dispositif policier. Les nombreux appels des secouristes demandant au grimpeur de redescendre sont restés vains. L’homme, à l’aise sur son perchoir, s’est contenté de faire régulièrement des signes en direction des passants interloqués par la situation ubuesque.

L’individu a escaladé cette structure de seize mètres recouverte d’une ouvre d’art végétale – Defense-92.fr

Face au refus de l’homme de regagner le plancher des vaches, les sapeurs-pompiers ont tenté de faire venir un camion à grande échelle. Mais la structure de la dalle ne permettant pas une telle manœuvre dans cette zone de l’esplanade a poussé les sapeurs-pompiers à renoncer à cette technique d’approche. Un énorme coussin gonflable de sauvetage a alors été déployé en contrebas dans la crainte d’une chute accidentelle ou volontaire.

Durant une bonne heure, la situation est restée figée. Le Groupe de Reconnaissance et d’Intervention en Milieu Périlleux (GRIMP) a été appelé en renfort pour tenter d’aller chercher l’homme. C’est finalement vers 16h15 que l’individu a décidé de quitter de lui-même son perchoir au moment où un pompier était en train d’escalader la structure pour l’appréhender. Quelques mètres avant le sol, il s’est jeté dans le coussin gonflable sans se blesser.

Immédiatement pris en charge par les pompiers et policiers, l’homme, visiblement souffrant de troubles psychologiques, a été conduit à l’hôpital. Selon nos informations, le grimpeur serait un sans-domicile âgé de 43 ans, originaire de Bulgarie et faisant l’objet d’une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF).

L’homme est resté durant plus d’une heure perché en haut de cette cheminée – Defense-92.fr

Les grandes surfaces alimentaires de La Défense vont pouvoir rester ouvertes tous les dimanches après-midi

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Le Conseil d'Etat à Paris - Defense-92.fr

Acheter un camembert, du jambon, du poisson, du vin et de la salade chez Auchan ou Monoprix le dimanche après-midi va rester possible, n’en déplaise à la CFTC-CSFV. La Fédération Commerce, Services et Force de Vente (CSFV) de la CFTC avait saisi le Conseil d’État pour contester le classement du plus grand quartier d’affaires d’Europe en Zone Touristique Internationale (ZTI) pris par un arrêté interministériel le 25 septembre 2019.

Les commerces non-alimentaires de La Défense avaient obtenu la précieuse autorisation d’ouverture dominicale par un arrêté préfectoral datant du 22 janvier 2009 classant le quartier en Zone Touristique (ZT). Cette décision avait alors été contestée à l’époque par cette même CFTC-CSFV. Par la suite, une nouvelle autorisation avait été accordée en septembre 2010. Le classement de La Défense en ZT ne permettant pas aux grandes surfaces alimentaires (à savoir Auchan et Monoprix) d’ouvrir les dimanches après-midi, La Défense était ainsi passée en ZTI, un positionnement beaucoup plus souple.

Une décision qui avait fait bondir le syndicat chrétien farouchement opposé au travail dominical. La CFTC-CSFV avait fait valoir que le quartier de l’Ouest parisien n’avait pas la dimension touristique internationale, telle que l’arrêté l’indiquait. Après avoir fait annuler cet arrêté par un jugement du tribunal administratif de Paris le 16 décembre 2021, Monoprix et Auchan avaient été contraints au printemps 2022 de baisser leurs rideaux les dimanches après-midi. Dans le même temps, les deux enseignes ainsi qu’Unibail-Rodamcao-Westfield, le propriétaire du Cnit et du Westfield Les 4 Temps avaient fait appel de la décision. La cour administrative d’appel de Paris avait finalement donné raison à Auchan, Monoprix et Unibail-Rodamco-Westfield le 18 juillet 2022, validant l’arrêté du 25 septembre 2019. Les deux enseignes avaient alors pu rouvrir dans la foulée le dimanche, durant toute la journée.

« Je suis complètement satisfait »

Ne lâchant pas l’affaire, la CFTC-CSFV avait saisi le Conseil d’État. Après une séance en date du 29 novembre 2023, la juridiction suprême de l’ordre administratif a dans sa décision du 15 décembre 2023 débouté l’organisation syndicale, ne trouvant rien à redire à l’arrêt de la cour administrative d’appel. Cette dernière avait considéré « qu’à lui seul, le volume des achats réalisés au sein du centre commercial pouvait être évalué à 31,4 millions d’euros pour ceux réalisés par la clientèle étrangère résidant hors de l’Union européenne et à 62,8 millions d’euros pour l’ensemble de la clientèle étrangère résidant hors de France ».

La cour d’appel avait par ailleurs estimé que La Défense offrait « un patrimoine architectural contemporain de rayonnement international » et que le premier quartier d’affaires européen « accueillait à ce titre chaque année 2,4 millions de touristes d’affaires ». Le Conseil d’État considère en outre que la cour « n’a pas commis d’erreur de droit en tenant ainsi compte de l’affluence de touristes dit  »d’affaires », quel que puisse être le motif premier de leur venue dans ce quartier ».

Une décision du Conseil d’État qui a soulagé les deux grandes surfaces, ainsi qu’Unibail-Rodamco-Westfield. « Je suis complètement satisfait », s’est satisfait Eric Demestre, le directeur de l’hypermarché Auchan. Le responsable du magasin s’interroge toujours sur cette volonté de la CFTC-CSFV d’avoir voulu attaquer ce classement de La Défense en ZTI. « J’aurais compris si ça avait été des personnes qui travaillaient à l’intérieur du magasin, mais là ce sont des personnes extérieures qui sont venues attaquer cette décision. Ça me dépasse un peu », a-t-il confié.

De son côté, Patrick Ertz, le président de la fédération syndicale CFTC-CSFV a dit « prendre acte » de cette décision du Conseil d’État.

Michel Sardou fait ses adieux à la Paris La Défense Arena

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Michel Sardou a donné deux concerts à la Paris La Défense Arena - Richard Melloul

Il l’assure : il va prendre sa retraite à l’issue de sa tournée qui s’achèvera le 29 mars prochain à Brest. A quelques jours de cette ultime date, Michel Sardou était à la Paris La Défense Arena ce weekend pour y donner ses deux concerts parisiens d’adieu.

Au cœur de la plus grande salle de spectacle d’Europe, l’artiste de 77 ans a posé sa scène circulaire pour être au plus proche de son public. Une scène équipée d’un plateau tournant où le chanteur élégamment vêtu d’un costume sombre a d’ailleurs failli se « casser la gueule ». Il s’en amusera à plusieurs reprises. « Inutile de vous dire que je suis ravi de vous voir dans cette charmante petite salle », déclare le chanteur aux 20 000 spectateurs massés dans la salle.

Pour lancer le premier de ses deux concerts, c’est avec son cultissime « Les lacs du Connemara » que le monument de la chanson française a fait son apparition. Le chanteur poursuit avec « Marie-Jeanne », « Casino » et « Une fille aux yeux clairs ».

L’artiste va scander cette blague douteuse sur le consentement : « [Aujourd’hui], un jeune homme qui pose sa main sans son consentement sur la main d’une femme, c’est garde à vue direct. S’il a l’audace de vouloir poser sa main ailleurs, là, c’est Fleury-Mérogis (en référence à la prison) ». Puis un tacle sur Sandrine Rousseau. « J’espère que [cette chanson « Je vais t’aimer »] va déstructurer un peu plus, une femme charmante, adorable, intelligente et chiante », a-t-il lancé à l’attention de la députée écologiste avec qui il entretient un conflit un peu puéril.

Pour satisfaire les désirs de ses fans, Michel Sardou va ensuite se lancer dans une avalanche de tubes plus ou moins connus dont « En chantant », « Il était là (Le Fauteuil) » « La java de Broadway », « J’accuse », « Je ne suis pas mort », « Je viens du Sud » ou encore « La maladie d’amour ».

Puis Michel Sardou va rendre hommage à « son ami » Johnny Hallyday en reprenant en toute intimité « Quelque chose de Tennessee », titre qu’ils avaient chanté ensemble en juin 2000 au parc de Sceaux.

Le chanteur originaire de Paris va poursuivre son spectacle avec « Rouge », « Vladimir Ilitch », « Mam’selle Louisiane », « L’autre femme », « Verdun » et le légendaire « Je vole ». Après deux bonnes heures de concert et « Comme d’habitude » joué en rappel, Michel Sardou va repartir comme il est arrivé avec son fameux « Les lacs du Connemara », le tube jugé comme « immonde » et de « droite » par la chanteuse Juliette Armanet. La setlist du concert est à retrouver ici.

Viva l’Opéra : « La Fille mal gardée » à l’UGC de La Défense ce jeudi

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L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2023 / 2024 - UGC

Pour ce nouveau rendez-vous de la quatorzième saison de Viva l’Opéra, c’est le ballet « La Fille mal gardée » de Frederick Ashton, filmé en direct du Palais Garnier qui sera diffusé à l’UGC de La Défense. Le jeudi 21 mars à 19h30, le cinéma du Westfield Les 4 Temps projettera dans la salle 16, la plus grande du complexe, cette œuvre de 2h05, coupée d’un entracte de vingt minutes.

La direction musicale sera signée par Philip Ellis, les décors et costumes par Osbert Lancaster, les chorégraphies par Frederick Ashton d’après Jean Dauberval, la musique par Louis-Joseph-Ferdinand Hérold et les lumières par George Thomson. Côté distribution on retrouvera Les Étoiles, les Premières Danseuses, les Premiers Danseurs & le Corps de Ballet de l’Opéra

La projection est proposée au tarif de 12 euros pour les moins de 26 ans, 33 euros au plein tarif, 27 euros avec la carte UGC Illimité et comprise dans la nouvelle carte UGC Illimité Viva l’Opéra.

Les prochains rendez-vous de Viva l’Opéra sont programmés le 2 avril avec le ballet « Don Quichotte », en direct l’Opéra Bastille puis « Il trittico » le 11 avril.

Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places sont sur Vivalopera.fr.

Philippe Guérinet est le nouveau directeur de DeVinci Executive Education

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Philippe Guérinet a été nommé directeur de DeVinci Executive Education - DR

Le Pôle universitaire Léonard de Vinci a annoncé la nomination de Philippe Guérinet comme nouveau directeur de l’établissement de formation professionnelle DeVinci Executive Education. Il aura pour mission de piloter et coordonner l’activité du centre de formation tout en développant de nouvelles offres pédagogiques adaptées aux besoins des salariés et des entreprises.

Titulaire d’un diplôme d’ingénieur à l’ENSAE et d’un Mastère Strategic Management à HEC, ce spécialiste possède selon le Pôle universitaire « une grande expérience dans le monde des affaires et de l’enseignement supérieur ». Il a débuté son cursus professionnel dans le domaine du pilotage et la gestion opérationnelle au sein de diverses entreprises comme Gemini Consulting, American Express…

Il s’est engagé, par la suite, dans le secteur de l’enseignement supérieur en occupant durant plusieurs années les fonctions de secrétaire général du groupe CESI et de directeur executive éducation de Centrale Supélec. Dernièrement, Thierry Guérinet était à la tête de Science Po Executive Education. « Grâce à un parcours professionnel riche, le nouveau directeur de DeVinci Executive Education va pouvoir proposer de nouvelles perspectives pour les formations continues du Pôle Léonard de Vinci », indique un communiqué du Pôle.

« Je suis enthousiaste à l’idée de rejoindre le Pôle Léonard de Vinci pour développer son offre Executive Education en s’appuyant sur la qualité de l’équipe actuelle et mon expérience du marché de la formation professionnelle. Notre objectif est de positionner le Pôle en tant qu’acteur majeur de la formation tout au long de la vie, en capitalisant sur ses spécificités telles que la multidisciplinarité, la diversité et l’innovation de ses programmes de formation, et sa proximité avec les entreprises », déclare Philippe Guérinet.

Le nouveau directeur de DeVinci Executive Education aura notamment pour mission de développer et faire avancer les axes stratégiques du centre de formation continue du Pôle Léonard de Vinci.

Le Mipim reste le rendez-vous incontournable des acteurs de l’immobilier

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L’édition 2024 du Mipim a attiré plus de 20 000 participants - Defense-92.fr

La grand-messe de l’immobilier continue d’attirer. Venus des quatre coins du monde, les professionnels de l’immobilier étaient à Cannes où s’est tenu du 12 au 15 mars l’édition 2024 du Mipim, le Marché international des professionnels de l’immobilier.

Pendant ces quatre jours, RX France, l’organisateur de l’événement, revendique avoir attiré plus de 20 000 participants dans le palais des festivals de la croisette. Qualifié de « premier rassemblement de la ville et de l’immobilier au monde », RX France se félicite d’une « affluence solide » malgré les difficultés actuelles du marché.

« Le top trois des pays représentés a été la France (30 % des participants), la Grande-Bretagne (20 %) et l’Allemagne (14 %) », indique RX France dans un communiqué. Le Moyen-Orient, l’Amérique du Nord, et l’Asie étaient aussi bien représentés. Dans un contexte de guerre en Ukraine, la Russie était une nouvelle fois totalement invisible dans les allées du salon.

Installé sous la tente de Paris Région, Paris La Défense a profité de ce rendez-vous pour révéler les deux derniers lauréats de l’appel à projets Empreintes -à savoir le site de la Demi-Lune et celui de Liberté-, concours lancé il y a tout juste deux ans au Mipim.

Barack Obama est venu parler du climat au Cnit

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Barack Obama a lancé la première édition du PowR.Earth Summit au Cnit de La Défense - POwR Earth Foundation/ Yann Arthus-Bertrand

Pour la première édition du PowR.Earth Summit, les organisateurs ont décroché un invité de prestige. L’ancien président des États-Unis, Barack Obama, était au Cnit de La Défense ce mercredi soir pour lancer le sommet PowR.Earth Summit consacré aux énergies renouvelables.

Devant un parterre de chefs d’entreprises, politiques et scientifiques, le quarante-quatrième président des USA a livré un discours d’environ deux heures sur le climat, les énergies renouvelables et notre façon de consommer. L’ex-président démocrate a insisté sur l’importance de préserver la planète plutôt que de vouloir coloniser Mars. « Même après une guerre nucléaire, que je ne minimise pas, la Terre serait plus vivable que Mars ! Même si l’on ne faisait rien contre le changement climatique, elle aurait toujours de l’oxygène, et pour ce que l’on en sait, Mars non », a-t-il insisté taclant « les magnats de la Silicon Valley ».

« Je préférerais que nous investissions dans le soin de cette planète ici-bas. La raison pour laquelle nous allons dans l’espace, c’est pour sa découverte, sa connaissance, pas parce que nous allons créer une meilleure situation là-bas. Nous avons été conçus pour cet endroit-ci et ce serait bien que nous le préservions, de façon à ce qu’il reste vivable », a rajouté Barack Obama.

Interrogé, l’ancien locataire de la Maison-Blanche a défendu son bilan climatique durant ses deux mandats (de 2009 à 2017), notamment avec la signature de l’Accord de Paris sur le climat en 2015. Un accord qu’avait quitté son successeur, Donald Trump. Sans rentrer dans une polémique, Barack Obama a simplement déclaré : « Les faits parlent d’eux-mêmes ».

Cette soirée a marqué l’ouverture du sommet PowR.Earth Summit qui se tient jusqu’à vendredi au Cnit. Si les organisateurs n’ont pas voulu indiquer le montant qu’a demandé Barack Obama pour se rendre dans le quartier d’affaires, les places pour assister au show de l’ancien président de la plus grande puissance mondiale ont coûté très cher. Il fallait en effet débourser entre 650 et 3 300 euros. Les organisateurs du sommet ont cependant précisé que 150 jeunes avaient été invités pour garnir les 1 175 sièges de l’amphithéâtre Séquoia où s’est tenu le discours.

L’IÉSEG s’engage pour l’égalité des chances dans l’éducation en signant un partenariat avec Télémaque

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L'IÉSEG et Télémaque ont signé un partenariat pour intégrer des jeunes issus de milieux défavorisés - DR

Alors que les disparités socio-économiques n’ont jamais été aussi importantes en France, pesant fortement sur l’accès à une éducation de qualité pour tous, l’IÉSEG et l’association Télémaque qui contribue à la relance de l’ascenseur social ont annoncé la signature d’un partenariat pour intégrer des jeunes défavorisés.

En devenant mécène de Télémaque, l’IÉSEG participera ainsi à l’action de l’association par une adhésion au soutien et à la réussite des jeunes de la cinquième à la terminale et de la communauté des Alumni Télémaque, qui compte à ce jour plus de 750 membres.

En plus d’un soutien financier à hauteur de 55 000 euros sur trois ans, dix collaborateurs de l’école de commerce basée à Lille et dans le quartier d’affaires de La Défense rejoindront les équipes de Télémaque en tant que mentors des jeunes accompagnés par l’association en Ile-de-France et à Lille. Enfin, l’École offrira chaque année une réduction de 75 % des frais de scolarité à quatre jeunes issus du programme de mentorat de Télémaque et admis en formation initiale à l’IÉSEG.

« Nous sommes très heureux de contribuer, en collaboration avec Télémaque, à rendre plus accessibles les études supérieures, qu’il s’agisse d’aides financières ou d’actions liées à l’orientation, l’information et l’accompagnement académique et professionnel de jeunes issus de milieux plus modestes », s’est exprimé Caroline Roussel, directrice générale de l’IÉSEG, estimant que cette contribution est « l’un des piliers majeurs de la stratégie RSE » de l’école.

« Grâce au partenariat de mécénat noué avec l’IÉSEG, nous co-construisons une nouvelle page de notre histoire. Dorénavant, nous pouvons accompagner plus massivement encore vers les études supérieures des jeunes investis issus de territoires fragiles, désireux de prendre confiance en eux, de choisir leur orientation, de réussir dans leur parcours éducatif et professionnel, et ainsi de saisir la rampe de l’ascenseur social », a pour sa part indiqué Ericka Cogne, directrice générale de Télémaque.