L’UGC de La Défense projettera ce dimanche Jurassic Park, le premier volet de la saga culte - DR
Véritable prouesse lors de sa sortie en 1993, Jurassic Park, le film de Steven Spielberg va revenir à l’UGC du Westfield Les 4 Temps pour deux séances (mais pas en 3D), l’une en VO et l’autre en VOSTF. Le multiplexe de La Défense projettera ce dimanche 15 août ce long métrage mettant à l’affiche Sam Neill, Laura Dern, Jeff Goldblum mais aussi des Tyrannosaure…
L’histoire de Jurassic Park débute quand John Parker Hammond, le PDG de la puissante compagnie nommée InGen, parvient à donner vie à des dinosaures grâce à la génétique et décide de les utiliser dans le cadre d’un parc d’attractions qu’il compte ouvrir sur une île au large du Costa Rica. Avant l’ouverture, il fait visiter le parc à un groupe d’experts pour obtenir leur aval. Pendant la visite, une tempête éclate et un informaticien corrompu par une entreprise rivale en profite pour couper les systèmes de sécurité afin de voler des embryons de dinosaures. En l’absence de tout système de sécurité pendant plusieurs heures, les dinosaures s’échappent sans mal, et le cauchemar des visiteurs commence.
La première projection se fera à 11 heures et sera en VF. La seconde débutera à 14 heures et sera en VOSTF. Les projections sont proposées au tarif de 12,40 euros, 7,80 euros pour les moins de 26 ans, 5,60 euros pour les moins de 14 ans et 6 euros pour les membres du Club UGC. Les abonnés UGC Illimités n’ont pas de frais supplémentaire à payer. Les réservations se font ici pour la séance de 11 heures et ici pour celle de 14 heures..
Le pass sanitaire n'est pas demandé pour le moment au Westfield Les 4 Temps - Defense-92.fr
Le shopping est encore accessible pour tout le monde. Redouté par les géants du commerce, le pass sanitaire n’est finalement pas demandé dans les grands centres commerciaux de plus de 20 000 mètres carrés dont ceux de La Défense.
Si le décret prévoit l’instauration du pass, l’application de la mesure a été laissée aux préfets qui peuvent l’appliquer en fonction de la situation sanitaire. Et actuellement le taux d’incidence est en baisse dans le département des Hauts-de-Seine (187) et dans la région (188). En cas de rebond des contaminations dans le département et la région, mais surtout de la saturation des hospitalisations, la donne pourrait changer et le pass être imposé.
Mais attention, si l’accès aux commerces est actuellement possible sans le pass sanitaire, pour les restaurants et les cinémas ce n’est pas la même histoire. Depuis ce lundi 9 août le pass est désormais exigé pour s’attabler à un restaurant, sauf si les consommations se font à emporter. Pour les cinémas dont l’UGC, le pass est demandé depuis le 21 juillet.
L’homme aurait tenté de grimper sur la passerelle piétonne depuis le garde-corps du boulevard circulaire situé en contre-bas - Defense-92.fr
La soirée festive s’est terminée tragiquement. Samedi dernier, peu avant cinq heures du matin, les pompiers sont appelés pour un feu de broussailles le long d’un embranchement de la ligne L du Transilien -où les trains ne circulent plus pour le moment à cause du chantier d’Eole-, situé au pied de l’hôtel Pullman. Mais en arrivant sur place les soldats du feu rejoints par des policiers ne trouvent aucun incendie mais plutôt le corps d’un homme sans vie.
La victime qui allait fêter ses trente ans ce 11 août revenait d’une soirée avec une son amie. Alors que le couple se dirigeait vers Nanterre en longeant le boulevard circulaire sur un trottoir normalement interdit aux piétons, il semblerait que le trentenaire aurait tenté de regagner la passerelle du Faubourg de l’Arche qui surplombe l’axe routier et les voies de la SNCF, selon les constatations policières. Préférant gagner un peu de temps sur son trajet le malheureux aurait alors essayé de s’agripper depuis le garde-corps en béton du boulevard circulaire à des plaques métalliques placées au-dessus de la voie ferrée. Ces dernières servent justement à éviter les chutes d’objets et de personnes sur les rails depuis la passerelle piétonne. Mais sa tentative périlleuse a échoué et l’homme a touché les caténaires, le tuant sur le coup. Sa chute ne serait donc pas à l’origine de son décès.
Pour permettre la poursuite de la construction d’un couloir de correspondance entre la station du tramway de La Défense et de la gare Transilien des lignes L et U avec la future gare du RER E sous le Cnit, la circulation des tramways sera interrompue cette année encore.
Comme l’année dernière, la circulation des tramways sera totalement à l’arrêt du samedi 10 juillet au 8 dimanche août prochain entre les stations Charlebourg et Puteaux, qui deviendront les deux terminus de la ligne alors scindée en deux. Les stations Les Fauvelles, le Faubourg de l’Arche et de La Défense ne seront donc plus desservies.
Un itinéraire alternatif sera mis en place entre La Défense et Charlebourg via une navette qui assurera la liaison sur ce tronçon, pendant la fermeture. Le tronçon La Défense à Puteaux sera assuré par les lignes SNCF L et U, ainsi que par la ligne de bus 141 de la RATP.
La circulation des tramways a été rétabli sur la ligne T2 du tramway entre les stations Charlebourg et Puteaux - Defense-92.fr
Ça roule de nouveau sur toute la ligne. Après près d’un mois d’interruption le trafic a été rétabli ce lundi matin entre les stations Charlebourg et Puteaux sur la ligne T2 du tramway. Depuis le 10 juillet dernier la ligne était coupée en deux et ne desservait plus le quartier d’affaires afin d’y réaliser le couloir de correspondance entre les quais du tramway et des lignes L et U du Transilien avec la future gare d’Eole creusée sous le Cnit. Durant les quatre semaines de fermeture partielle, la RATP qui exploite la ligne du tramway avait mis en place des navettes de bus comme moyen de substitution, ce qui a rallongé significativement les temps de trajet des voyageurs.
Le film Usual Suspects sera projeté à l'UGC des 4 Temps ce jeudi 12 août - DR
Une nouvelle « séance culte » à l’UGC du Westfield Les 4 Temps. L’UGC de La Défense projettera ce jeudi 12 août à 20 heures Usual Suspects. Sorti en France en 1995, ce thriller réalisé par Bryan Singer qui met à l’affiche Chazz Palminteri, Kevin Spacey, Gabriel Byrne, Benicio Del Toro et Stephen Baldwin raconte l’histoire d’une légende du crime qui contraint cinq malfrats à aller s’acquitter d’une tâche très périlleuse. Ceux qui survivent pourront se partager un butin de 91 millions de dollars…
Cette projection en VOSTF est proposée au tarif de 12,40 euros, 7,80 euros pour les moins de 26 ans, 5,80 euros pour les moins de 14 ans et 5 euros pour les membres du Club UGC. Les abonnés UGC Illimités n’ont pas de frais supplémentaire à payer. Les réservations se font ici.
Le kiosque de Jumbo est installé au Dôme du Westfield Les 4 Temps, face à l'entrée de l'UGC - Defense-92.fr
Une nouvelle venue au Westfield Les 4 Temps. L’enseigne Jumbo née en février dernier à Colmar, dans le Haut-Rhin, vient d’ouvrir son second point de vente à La Défense, dans le centre commercial Westfield Les 4 Temps.
Implanté au cœur du Dôme, Jumbo a pris place face à l’entrée du cinéma UGC dans un emplacement dédié auparavant à des distributeurs automatiques d’argent. Créé par un trio d’entrepreneurs (Michaël Jahjah, Jordan Rosner et Alexis Baron), Jumbo met à sa carte des hot-dogs, des buns, des sides, des cookies et aussi des cheesecakes. « Nos produits sont frais et préparés sur place », affirme Michaël Jahjah qui dit avoir voulu faire « quelque chose de cool » avec Jumbo.
Le kiosque de Jumbo qui ne dispose pas de places assises est ouvert tous les jours de 11 heures à 22 heures. L’enseigne propose en outre des livraisons avec Uber Eats et Deliveroo.
L'eau chaude a été rétablie dans le quartier d'affaires par Idex ce vendredi matin - Defense-92.fr
Fin de la douche froide pour les milliers d’habitants de La Défense et d’une partie de Nanterre. Après quatre jours de coupure, l’eau chaude a été rétablie ce vendredi matin pour les quelques 11 000 logements et 150 immeubles de bureaux raccordés au réseau d’Idex, le concessionnaire de la chaleur et de l’eau glacée du quartier d’affaires.
Débutée lundi matin cette coupure annuelle qui était programmée jusqu’au dimanche 8 août aura donc duré moins longtemps que prévu. Programmée tous les étés depuis la construction de la centrale de Courbevoie dans le milieu des années 60, la coupure jugée « indispensable » par Idex a permis au concessionnaire de mener une révision des deux usines et des quelques vingt-quatre kilomètres du réseau de chaleur.
Tatiana Dinulescu devant son ancien logement du Damiers Anjou en avril 2020 - Defense-92.fr
Une page se tourne dans le feuilleton qui a débuté il y a plus d’une décennie. Tatiana Dinulescu, dernière habitante des Damiers, ensemble composé de trois bâtiments (Infra, Anjou et Bretagne), propriété du bailleur social RATP Habitat (ex Logis Transports) vient d’être expulsée avec sa famille de son cinq pièces ce vendredi 16 juillet, tout comme son voisin Wolfgang Kirchhof. Native de Roumanie, Tatiana avait intégré son logement de l’Anjou la veille de Noël 1995. A cette époque le couple Dinulescu avait contracté auprès d’UAP (devenu par la suite AXA), alors propriétaire des trois immeubles, un bail de droit commun.
Très vite Tatiana a un rêve : acquérir son logement. Une ambition qui va devenir une illusion. En juin 2003 elle apprend avec stupeur qu’AXA a revendu pour une vingtaine de millions d’euros les trois immeubles des Damiers au bailleur social RATP Habitat (les deux autres Damiers Dauphiné et Champagne ne sont pas concernés par l’opération). C’est la douche froide pour elle et de nombreux autres habitants de l’ensemble. D’autant plus qu’elle contracte en décembre 2006 un nouveau bail PLI avec le bailleur social. Désormais, celui-ci ne lui permet plus de préempter son logement.
L’ensemble des Damiers le 18 juillet 2021 – Defense-92.fr
Deux ans plus tard, en 2008, elle et les 249 autres locataires des Damiers découvrent que leurs appartements sont menacés par le projet du promoteur Hermitage qui concourt pour le projet de la tour Signal. Si le projet en « H » dessiné par Jacques Ferrier perd le concours organisé par l’Epad (devenu par la suite Epadesa puis Paris La Défense), Emin Iskenderov, le jeune patron d’Hermitage ne lâche pas l’affaire. Il dégaine une nouvelle version de son projet en proposant d’ériger deux tours jumelles de 320 mètres complétées de petits bâtiments, le tout abritant des logements de luxe, des bureaux, un hôtel ainsi qu’un centre commercial et une résidence étudiante. L’ensemble immobilier dévoilé en mars 2009 au Mipim de Cannes est imaginé par l’architecte anglais Norman Foster à qui on doit le Viaduc de Millau. Le promoteur russe convient avec la filiale de la RATP de racheter les trois bâtiments pour une cinquantaine de millions d’euros une fois qu’ils seront tous vides. Avec cette coquette somme RATP Habitat s’engage à construire un millier de nouveaux logements.
Pendant ce temps RATP Habitat doit reloger les 250 familles des trois bâtiments. Une grande partie d’entre elles accepte les offres de relogement du bailleur et plie bagages. Vidés, les appartements sont un à un condamnés. En plus des cinquante millions d’euros pour l’acquisition, Hermitage s’engage à verser à l’ex-Logis Transport les loyers des logements devenus vacants. Et de son côté Hermitage s’attelle à déposer les nombreux permis de démolir et construire pour son projet.
Une décision en appel attendue d’ici à l’automne
Mais une partie d’irréductibles refuse toutes les propositions et dénonce les conditions dans lesquelles s’est fait la vente de leur logement une dizaine d’années plus tôt. Ils lancent un flot de procédures s’attaquant particulièrement à la validité des permis. Mais la justice les valide tous. Une première locataire est expulsée de son logement du bâtiment Infra en 2011. Puis à l’été 2018 ce sont neuf familles qui sont chassées de leur appartement du Bretagne après de longs mois de procédure. Les deux bâtiments sont désormais vides.
Ne restait plus que Tatiana Dinulescu et sa famille mais aussi Wolfgang Kirchhof, un autre locataire de l’Anjou, à refuser toutes les propositions de relogement du bailleur social qui a enclenché dès l’année dernière une procédure judiciaire d’expulsion. Demande qu’a accordée le Tribunal d’Instance de Courbevoie, en résiliant le bail des époux Dinulescu en janvier dernier puis celui de Wolfgang Kirchhof en avril. Si ce dernier n’avait pas fait appel de la décision, Tatiana Dinulescu n’a, elle, pas renoncé au combat en interjetant appel avec son avocate Maitre Armelle De Coulhac Mazerieux. Une audience qui s’est tenue à la Cour d’appel de Versailles ce 21 mai.
Mais sans attendre la décision mise en délibéré pour le 5 octobre, l’expulsion de la famille Dinulescu a été rendue effective ce vendredi 16 juillet. Une procédure à laquelle s’était préparée Tatiana Dinulescu. « Je m’y attendais à cette expulsion », indique-t-elle. Depuis un bon mois la famille avait préparé ses affaires. Dans son malheur, elle se réjouit cependant : « Je suis heureuse que mes enfants aient pu voir depuis le balcon les feux d’artifice du 14 juillet ». Mais si Tatiana Dinulescu admet avoir perdu une bataille, pour elle la guerre est loin d’être finie. « Ce n’est pas fini. J’ai la ferme conviction, plus que jamais que je récupérerai mon appartement », martèle Tatiana Dinulescu espérant que la Cour d’appel de Versailles aille dans son sens, même si cette dernière a confirmé dernièrement l’expulsion de sept des neuf familles expulsées en 2018, les autres n’ayant pas fait appel de la décision. Accusée à plusieurs reprises par Emin Iskenderov de faire du chantage pour obtenir de l’argent afin de quitter son logement, Tatiana Dinulescu réfute : « Je n’ai jamais demandé un centime à personne. Mon bût c’est d’acheter mon appartement. J’avais demandé cela le 17 novembre 1995 quand j’ai signé mon contrat de location. J’ai payé mes loyers tous les mois. Je n’ai pas de dettes», se défend- elle.
L’entrée du Damiers Anjou a été condamné après l’expulsion de Tatiana Dinulescu et sa famille – Defense-92.fr
Ces derniers résistants fondaient leur ultime espoir sur une Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC) déposée par Maitre Armelle De Coulhac Mazerieux afin que le Conseil constitutionnel tranche sur la législation applicable au sujet de la validité du statut des baux HLM des anciens résidents. Mais cette demande a été rejetée par la Cour de cassation. Un coup dur pour l’avocate des anciens locataires qui dit réfléchir à de nouvelles actions judiciaires.
Wolfgang Kirchhof a lui aussi été écarté de son logement ce vendredi 16 juillet lors de la procédure d’expulsion. Désormais entièrement déserté, les entrées des trois immeubles sont scellées par des plaques d’acier afin d’éviter les squats. L’Infra et le Bretagne ont été curés et désamiantés. Une étape qui va donc bientôt débuter pour l’Anjou.
Le ciel semble donc s’éclaircir pour Emin Iskenderov. « RATP Habitat est toujours dans les termes de la promesse de vente avec Hermitage dont la date n’a pas encore été fixée et qui doit intervenir au plus tard le 30 juin 2022 », assure le bailleur. Mais outre l’acquisition de l’ensemble pour cinquante millions d’euros, l’homme d’affaires russe sera-t-il en mesure de financer son opération immobilière chiffrée à près de trois milliards d’euros ? En avril dernier, le promoteur dévoilait à Paris Match une partie de son financement. Le groupe immobilier qui s’est entouré de la banque française Natixis comme conseil financier, prévoit d’apporter 750 millions d’euros en fonds propres, 250 millions d’euros de fonds complémentaires, environ 1,1 milliard d’euros issus de la pré-commercialisation des appartements de luxe et un emprunt de 1,2 à 1,3 milliards d’euros. Pour la construction de l’ensemble immobilier, Hermitage prévoit de faire appel à Bouygues Construction. Emin Iskenderov peut aussi se targuer de s’être réconcilié cette année avec Paris La Défense (PLD) après s’être brouillé avec l’ancien président de l’établissement public, Patrick Devedjian, mort en mars 2020 et Marie-Célie Guillaume, l’ex-directrice de PLD.
« Une opération de relogement sans précédent » pour RATP Habitat
De son côté RATP Habitat dit se féliciter d’avoir mené en plus de dix ans, lors de la promesse de ventes des immeubles à Hermitage « une opération de relogement sans précédent » avec « des modalités avantageuses de libération amiable des appartements » ce qui a permis de « convaincre les locataires les plus exigeants et les plus réticents ». « Un comité de pilotage a été créé sous la responsabilité du préfet et un médiateur a été nommé. Ce processus de relogement a permis à 238 familles d’être relogées dans le parc social à Paris et dans les Hauts de Seine », rajoute le bailleur. Si douze familles ont été expulsés de leurs logements lors de cette procédure, RATP Habitat se défend : « Depuis le début, RATP Habitat a cherché à maintenir le dialogue afin de trouver un accord amiable, portant sur leur relogement dans un appartement adapté à leurs besoins et la prise en charge de leurs frais de déménagement ».
Contacté Emin Iskenderov n’a pas répondu à nos sollicitations. Mais une chose est certaine : le souhait du promoteur de livrer ses deux tours de 320 mètres pour les Jeux Olympiques de 2024 est désormais impossible.
Les deux premiers volets d'OSS 117 seront projetés ce dimanche à l'UGC de La Défense - DR
Le plus célèbre des agents secrets français est de retour sur grand écran. Depuis ce mercredi OSS 117, repart pour une nouvelle enquête dans « OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire ». L’occasion pour les fans de cette trilogie de revoir les deux premiers volets : « OSS 117 : Le Caire nids d’espions » sorti en 2006 et « OSS 117 : Le Caire ne répond plus » sorti en 2009.
Le premier film sera diffusé à l’UGC de La Défense ce dimanche à 18 heures, puis le second à 20h05. Ces deux projections sont proposées chacune au tarif de 12,40 euros, 7,80 euros pour les moins de 26 ans, 5,80 euros pour les moins de 14 ans et 5 euros pour les membres du Club UGC. Les abonnés UGC Illimités n’ont pas de frais supplémentaire à payer. Les réservations se font ici pour « OSS 117 : Le Caire nids d’espions » et ici pour « OSS 117 : Le Caire ne répond plus ».
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