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mardi 8 juillet 2025
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Avec Edenn Icade séduit Schneider Electric

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Edenn accueillera au second trimestre 2025 le siège de Schneider Electric - Brenac et Gonzales

Nanterre continue de se transformer. Après avoir signé Origine, le nouveau siège de Technip Energies, Icade va lancer Edenn son nouveau programme tertiaire. Venant remplacer un immeuble de bureaux érigé au début des années 80, précédemment occupé par Hitachi, Edenn viendra s’insérer entre Origine, le nouveau campus de Vinci et le siège de Axa à Nanterre.

L’ensemble immobilier signé par l’agence d’architecture Brenac et Gonzales développera 30 090 mètres carrés répartis sur huit niveaux. Comme son voisin Origine, Edenn aliera une structure mixte de bois, béton et métal afin de bénéficier des « meilleurs labels et certifications environnementaux (HQE niveau Excellent, BREEAM niveau Excellent, E+C-, LEED niveau Platinium, BBCA, OsmoZ, R2S) ». De nombreux espaces végétalités orneront les différents niveaux d’Edenn.

L’ensemble immobilier signé par l’agence d’architecture Brenac et Gonzales développera 30 090 mètres carrés – Brenac et Gonzales

Un programme qui a déjà séduit un utilisateur. La foncière tertiaire a signé le 23 juillet dernier un Bail en État Futur d’Achèvement (BEFA) avec Schneider Electric pour une surface d’environ 16 000 mètres carrés, soit 58 % de l’immeuble. Ce BEFA signé avec Schneider Electric, pour une durée de neuf ans ferme prendra effet au second trimestre 2025 lors de la livraison du bâtiment. Le leader mondial des solutions numériques d’énergie et des automatisations pour l’efficacité énergétique et la durabilité quittera alors son siège actuellement basé à Rueil-Malmaison.

Les travaux d’Edenn viennent tout juste d’être lancés avec le curage de l’actuel bâtiment avant sa démolition l’année prochaine. La fin du chantier d’Edenn est prévu pour le second trimestre 2025.

Edenn aliera une structure mixte de bois, béton et métal – Brenac et Gonzales

Viva l’Opéra : Turandot, ce jeudi à l’UGC de La Défense

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L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2021 / 2022 - UGC

Pour ce nouveau rendez-vous de Viva l’Opéra, c’est l’opéra « Turandot » de Giacomo Puccini filmé au Teatro alla Scala à Milan qui sera diffusé à l’UGC de La Défense. Le jeudi 24 mars à 19h30 le cinéma du Westfield Les 4 Temps projettera dans la salle 16, la plus grande du complexe, cette œuvre de 2h46 coupée d’un entracte de vingt minutes, dont la direction musicale est assurée par Riccardo Chailly et la mise en scène par Nikolaus Lehnhoff. Les décors sont signés par Raimund Bauer, les costumes de Andrea Schmidt-Futterer, les lumières de Duane Schuler et l’orchestre par le Chœurs du Teatro alla Scala de Milan.

Côté distribution, les spectateurs pourront retrouver Nina Stemme (dans le rôle de Turandot), Maria Agresta (Liù), Aleksandrs Antonenko (Calaf), Alexander Tsymbalyuk (Timur), Angelo Veccia (Ping), Roberto Covatta (Pang), Blagoj Nacoski (Pong), Carlo Bosi (Altoum), Ginaluca Breda (Mandarin) et Azer Rza-Zada (Le Prince de Perse).

La projection est proposée au tarif de 10 euros pour les moins de 26 ans, 25 euros avec la carte UGC Illimité et 30 euros au plein tarif, avec toujours la possibilité de souscrire un abonnement pour six opéras/ballets à 150 euros en plein tarif.

Les prochains rendez-vous de Viva l’Opéra sont programmés le 7 avril avec « Cendrillon », puis « Faust » le 21 avril.

Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places se fait sur vivalopera.fr.

Coupé de rubans pour Watt, le petit jumeau d’Ampère

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L’immeuble Watt a été inauguré ce lundi 21 mars - Defense-92.fr

Une métamorphose réussie. Ceux qui ont connu ou même travaillé dans l’immeuble City Défense ne le reconnaîtraient plus aujourd’hui. Et pour cause, ce vieil immeuble édifié au milieu des années 80 et occupé un temps par une filiale de TotalEnergies a subi une vaste restauration, tout comme Ampère son faux frère jumeau.

Lancés en 2019 par Léon Grosse, les travaux de rénovation et d’extension de cet immeuble se sont officiellement achevés ce lundi 21 mars par un geste inaugural de Sogeprom, le promoteur de l’opération et par La Française Real Estate Managers (REIM), le propriétaire du bâtiment en compagnie de l’architecte Jean Mas de l’agence Ateliers 2/3/4/, de Pierre-Yves Guice, le directeur de Paris La Défense et du maire (LR) de Courbevoie, Jacques Kossowski.

L’immeuble Watt a été entièrement restructuré – Defense-92.fr

Ce baptême vient conclure l’acte d’un projet initié en 2014 par Sogeprom avec la rénovation de l’immeuble Ampère E+, inauguré quant à lui en juin 2017, permettant ainsi de restituer aujourd’hui la cohérence architecturale et urbaine globale à l’ensemble immobilier Delalande édifié il y près de quarante ans. Outre la teinte plus grise de la façade, Watt reprend l’allure de son grand frère, Ampère E+ avec des formes cependant plus arrondies et plus de terrasses. Ce nouvel ensemble entièrement détenu par la Française REIM permet désormais de s’ouvrir entre La Défense et Courbevoie grâce à un passage public.

« Il y a dix ans, la première fois que j’avais visité Ampère, j’avais poliment refusé le projet car la structure n’allait pas. A l’époque je pensais qu’il valait mieux démolir et faire un bâtiment plus intéressant », confie Jean Mas, l’architecte de la restructuration des deux immeubles qui totalise plus de 25 000 mètres carrés. Mais l’architecte a changé d’avis en décidant de mener à terme la métamorphose des édifices. « Ce ne sont plus des projets de bâtiments mais des projets de ville, des projets urbains », a rajouté Jean Mas qui doit signer un autre projet de rénovation non de loin de là, celui de l’immeuble CB3, voisin de Watt et Ampère. L’architecte français va également réaliser la tour des Jardins de l’Arche à Nanterre (dont la programmation a évolué, la partie hôtelière étant remplacée par du coliving), libérée de son recours et dont les travaux pourraient débuter rapidement selon nos informations.

L’immeuble Watt est un faux frère jumeau d’Ampère – Defense-92.fr

La restructuration de Watt a rendu possible une augmentation des surfaces de bureaux associée à une flexibilité des espaces pour des usages multiples. L’immeuble totalise désormais 11 000 mètres carrés d’espaces de travail répartis sur huit niveaux, pour une capacité d’accueil d’environ un millier de personnes.

L’immeuble qui n’est pas classé comme un IGH (Immeuble de Grande Hauteur) offre ainsi plus de souplesse et permet entre autres d’offrir plus de 640 mètres carrés de terrasses et loggias embellis par de nombreux végétaux. Le bâtiment bénéficie également d’un restaurant inter-entreprises commun avec l’immeuble Ampère E+. « Cette restructuration permet une meilleure visibilité de cet immeuble et une meilleure insertion urbaine. Il y aura au rez-de-chaussée une brasserie ouverte au public ainsi qu’une crèche », se félicite Loïc Madeline, le directeur général délégué Ile-de-France et Grands projets régions de Sogeprom, dont le siège est implanté dans l’immeuble Ampère E+. A cela s’ajoute un parking privatif de 128 places pour voitures et 45 places pour deux-roues motorisées.

Le hall d’accueil de l’immeuble Watt offre une double hauteur – Defense-92.fr

Avec ces atouts, La Française REIM espère bien séduire rapidement des entreprises de venir poser leurs cartons dans Watt. « Cet immeuble sera loué en multi-location. Nous avons un certain nombre de contacts », assure Philippe Depoux, président de La Française REM. Et pour rassurer les nouveaux arrivants, La Française REIM pourra s’appuyer sur l’expertise d’Aveltys qui a été sélectionnée pour garantir les charges de l’immeuble Watt.

Au total Watt cumule sept certifications environnementales dont les labels Breeam, niveau excellent ; Effinergie Rénovation ; Biodivercity ou encore NF HQE, niveau Excellent.

L’immeuble offre de nombreuses terrasses et loggias – Defense-92.fr

Sogeprom fait son entrée dans l’immeuble Ampère e+

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L'immeuble Ampère e+ le 18 janvier 2017 - Defense-92.fr

« On essuie encore un peu les plâtres », sourit Florence Carel, la secrétaire générale de Sogeprom qui vient de s’installer dans ses bureaux de l’immeuble Ampère e+ dont la rénovation vient tout juste de s’achever. Depuis le 16 janvier dernier, les 180 collaborateurs du siège de Sogeprom, la filiale de promotion immobilière de la Société Générale auparavant domiciliée à l’immeuble Ile-de-France ont emménagé dans l’immeuble Ampère e+. L’entreprise s’y est établie sur 3 150 mètres au travers les étages hauts du bâtiment avec les huitième et neuvième niveaux ainsi que la moitié du septième.

Le promoteur partagera ce septième niveau avec la Direction des Affaires Immobilière (DAI) de la banque qui va elle s’y installer avant la fin du mois ses 220 salariés actuellement implantés dans l’immeuble les Miroirs. En plus de l’aile B du septième niveau la DAI va occuper le cinquième et sixième étage du bâtiment soit également 3 150 mètres carrés.

Un smartphone couteau suisse faisant office de badge et de gestion de la domotique

Et déménagement rime avec changement. Pour ses collaborateurs Sogeprom a opté pour de l’open-space pour tout le monde, même la direction, mais pas de Flex office « car beaucoup de gens sont sédentaires », confie Florence Carel. La DAI va elle choisir une solution plutôt classique mêlant open-space et bureaux cloisonnés. L’aménagement des espaces de travail de Sogeprom et de la DAI ont été confiés à l’agence Archimage.

Finis également les traditionnels téléphones fixes qui ont été remplacés par les téléphones portables. Tous les salariés de Sogeprom se sont vu confié un smpartphone véritable couteau suisse qui permet de gérer via une application la climatision, la lumière les stores mais qui fait office de badge et de porte-monnaie électronique pour le restaurant de l’immeuble.

Un immeuble qui a été complètement restructuré

D’une surface d’environ 15 000 mètres carrés l’immeuble Ampère e+ a fait l’objet d’une importante restructuration entre 2015 et 2016 engagée par Sogeprom qui l’a dans un même temps revendu à Primonial. Sa rénovation a été menée par une filiale de Vinci Construction d’après les plans de l’architecte Jean Mas de Ateliers 2/3/4/ qui doit d’ailleurs réaliser la tour des Jardins de l’Arche avec Sogeprom.

L’édifice implanté sur le territoire de Courbevoie, dans le quartier Henri Regnault en bordure du boulevard circulaire intègre désormais des loggias à chaque niveau et une terrasse accessible. Il bénéficie en outre de plusieurs innovations technologiques et écologiques comme un système de purification d’air par bio-organismes développé par la start-up BioOrg, « l’Ascenseur Otis ReGen » qui réduit jusqu’à 75 % la consommation d’énergie des ascenseurs en récupérant l’énergie générée par les cabines en descente, le « B4B » (« Batterie For Building ») qui crée au sein de l’immeuble un réservoir d’énergie en réemployant d’anciennes batteries de voitures électriques ou encore le LiFi (Light Fidelity) qui permet une communication haut débit à internet par l’intermédiaire des ondes lumineuses des lampes du plafond.

En plus d’accueillir Sogeprom et la DAI de la Société Générale, l’immeuble dispose encore de 6 626 mètres carrés disponibles à la location.

Comet Meetings, le spécialiste des salles de réunion retrouve ses clients après deux années difficiles

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Comet Meetings affirme avoir retrouvé son activité d’avant la crise sanitaire - Defense-92.fr

Ça va beaucoup mieux pour Comet Meetings. Spécialiste des réunions et événements d’entreprise, Comet Meetings indique avoir constaté les effets de l’annonce de la levée des restrictions sanitaires en France pour la mi-mars. La jeune entreprise qui exploite plus de 300 000 mètres carrés et compte dix lieux à Paris (dont celui de La Défense ouvert fin 2019) et Bruxelles, dédiés aux réunions stratégiques et événements d’entreprise, affirme enregistrer depuis plusieurs semaines un nombre record de réservations.

Au seul premier trimestre 2022, Comet Meetings explique avoir dépassé son niveau d’activité d’avant la pandémie avec l’accueil de plus de 40 000 participants. Un chiffre plus qu’encourageant comparé aux 35 000 événements accueillis sur l’ensemble de l’année 2020.

Par ailleurs Comet Meetings a lancé il y a quelques mois sa nouvelle offre « Teamwork » destinée aux « entreprises hybrides » manquant de bureaux, soit parce qu’elles les ont réduits ou supprimés pendant la crise sanitaire, soit parce qu’elles se sont créées en 100 % télétravail et que leurs équipes sont dispersées partout en France. Cette offre « Teamwork » leur permet de se réunir à la demande dans un cadre de réunion adapté parmi les lieux Comet, en profitant de l’ensemble des services Comet. « Cette offre a été largement adoptée depuis la fin 2021 : aujourd’hui plus de cent entreprises hybrides se réunissent à une fréquence variée, d’hebdomadaire à mensuelle, pour recréer des moments de collaboration entre équipes et renforcer leurs cultures d’entreprise », affirme Comet Meetings.

Fondée en 2016 par trois entrepreneurs, Victor Carreau, Maxime Albertus et Nicholas Findling, Comet Meetings entend dépoussiérer les traditionnelles salles de réunions à la location avec des espaces décalés, aux décorations atypiques.

Guerre en Ukraine : « Votre pétrole, votre gaz – leur sang », des activistes font irruption chez TotalEnergies

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Une quinzaine d’activistes a fait irruption ce lundi à l’intérieur de la tour de TotalEnergies pour dénoncer la décision de la multinationale de maintenir ses activités en Russie - Basile Mesré-Barjon

TotalEnergies a une nouvelle fois été la cible d’une manifestation à La Défense. Une quinzaine d’activistes des Amis de la Terre France, d’Alternatiba Paris et d’Action Non-Violente COP21 a fait irruption ce lundi matin vers 9 heures à l’intérieur de la tour TotalEnergies à La Défense pour dénoncer la décision de la multinationale française de maintenir ses activités en Russie.

Les militants ont notamment badigeonné en noir le hall de la multinationale française et ont brandi leurs mains peintes en rouge. Plusieurs pancartes et banderoles où était affiché le message « Votre pétrole et votre gaz – leur sang », ont été brandies.

« Ce sont les énergies fossiles qui arment le régime de Vladimir Poutine et prennent chaque jour de nouvelles vies aux portes de l’Europe. Non seulement nous le savons, mais la quasi- totalité des majors pétrolières et gazières en a pris acte en annonçant son retrait de Russie dès les premiers jours de l’invasion militaire [1]. Patrick Pouyanné persiste au contraire à faire preuve d’une fermeté criminelle en s’accrochant à ses actifs russes et à son business avec des oligarques proches du Kremlin. Cette position est honteuse : Total, profiteur du chaos climatique, s’illustre aujourd’hui en profiteur de guerre », s’est exprimée dans un communiqué Marie Cohuet, porte-parole d’Alternatiba Paris et d’Action Non-Violente COP21.

Avec cette action surprise les militants entendaient pointer du doigt « la complicité du gouvernement français », et exigent qu’Emmanuel Macron fasse appliquer « sans exception » les sanctions européennes afin de contraindre TotalEnergies à se retirer de Russie.

Alors que plusieurs groupes pétroliers comme BP et Shell ont décidé de se retirer de Russie le temps de cette guerre lancée par le Kremlin, le géant TotalEnergies a choisi de rester en Russie en maintenant ses activités, en stoppant toutefois sous la pression ses nouveaux investissements.

« Le gouvernement français s’est jusque-là lâchement caché derrière l’engagement lacunaire de Total à ne pas faire de nouveaux investissements en Russie pour ne pas lever le petit doigt. Mais les sanctions européennes publiées la semaine dernière changent la donne et pourraient porter un coup sévère à la multinationale. Les respecter signifierait qu’aussi longtemps que Total restera en Russie, il ne pourrait plus compter sur les précieux soutiens financiers de ses banquiers. Emmanuel Macron doit aujourd’hui choisir : s’opposer délibérément à ce que ces sanctions s’appliquent à Total et afficher au grand jour sa complaisance avec les activités toxiques du groupe pétro-gazier ; ou arrêter ici l’hypocrisie et enfin contraindre Total à se retirer », a rajouté Lorette Philippot, chargée de campagne aux Amis de la Terre France.

La Paris La Défense Arena a vibré au son de la techno le temps d’une nuit

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La Paris La Défense Arena a accueilli la première édition de « Visiv : The future is now » - Defense-92.fr

Près de douze heures de musique techno non-stop. La Paris La Défense Arena a accueilli ce samedi la première édition de « Visiv : The future is now », un événement musical futuriste qui a mélangé techno et metavers. Une soirée, ou plutôt une nuit qui a attiré près de 6 000 participants déchainés venu retrouver sur scène plusieurs DJ dont Ben Klock, Blawan, DVS1, Helena Hauff mais aussi Rødhåd. « On aimerait que ça soit un événement qui se déroule de manière régulière et pourquoi pas revenir tous les ans à la Paris La Défense Arena, indique Axel Picodot, l’organisateur de la soirée. C’est un projet qui s’est monté pendant le covid, en six mois ».

Ce festival, Visiv : The future is now a été occasion pour les organisateurs de mélanger du réel et virtuel. Durant plusieurs heures les deux grands écrans latéraux de l’enceinte ont projeté un univers métavers, où munis d’un casque de réalité virtuelle, les festivaliers pouvaient danser virtuellement aux côtés d’autres internautes connectés au salon du concert.

Un évènement de nuit qui a été une première pour la Paris La Défense Arena qui se diversifie de plus en plus. « C’est le premier événement que l’ont fait depuis l’ouverture (de la Paris La Défense Arena, ndlr) de nuit dans ce type de configuration », se réjouit Bathilde Lorenzetti, vice-présidente de l’arena. « C’est un format que je voulais tester. Visiv, l’organisateur a eu une super idée », rajoute-t-elle.

 

Pour son retour le Mipim attire près de 20 000 participants

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Le Mipim a attiré près de 20 000 professionnels de l’immobilier - Defense-92.fr

L’immobilier a repris ses droits sur la croisette de Cannes. Interrompu pendant deux ans à cause de la pandémie du Coronavirus, le Mipim était de retour cette année dans sa version classique. Une édition 2022 qui a attiré près de 20 000 professionnels de l’immobilier, contre 26 800 en 2019, selon RX, l’organisateur du salon.

Durant les quatre jours, le Mipim a accueilli plus de 360 conférenciers, 2 400 exposants répartis sur plus de 350 stands et pavillons pour 18 500 mètres carrés de surface d’exposition. Les délégués de France ont constitué le plus gros contingent, suivis par ceux du Royaume-Uni et de l’Allemagne. Les espagnols, égyptiens, américains, canadiens étaient également bien représentés tout comme le Bresil et les pays du Moyen-Orient. Sans surprise, les grands absents cette année étaient les délégations russes et ukrainiennes.

« Les investisseurs ont représenté un quart des participants du Mipim, parmi eux les principaux fonds et investisseurs immobiliers du monde entier. Les principaux brokers internationaux, CBRE, Colliers, Cushman & Wakefield, JLL, Knight Frank et Savills, étaient tous présents en nombre », indique le salon.

Cette édition a été l’occasion pour Paris La Défense de retrouver les promoteurs et investisseurs qui façonnent le quartier d’affaires et de lancer « Empreintes », un appel à projet bas carbone. « C’était encourageant déjà par la fréquentation. Pour Paris La Défense ça nous a permis de remettre en perspective tout ce que l’on a lancé ces derniers mois », confie Pierre-Yves Guice, le directeur de Paris La Défense.

Le retour du Mipim a également permis à un projet du quartier d’affaires de se distinguer. Arboretum, le campus en bois développé par WO2 a été salué dans la catégorie « Meilleur futur projet », lors des Mipim Awards.

La prochaine édition du Mipim prévue du 14 au 17 mars 2023 sera dirigée par l’ancien directeur du centre commercial Les 4 Temps, Nicolas Kozubek, à qui Ronan Vaspart passe le relais après cinq ans au poste de directeur de la marque Mipim et de ses événements. Au cours des quatre dernières années, Nicolas Kozubek a dirigé l’événement proptech et innovation Propel by Mipim.

Okko Hotels va organiser ce jeudi un job dating pour son nouvel hôtel de La Défense

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Okko Hotels va organiser ce jeudi 24 mars un job dating pour recruter de nombreux salariés pour son nouvel hôtel de Nanterre - Defense-92.fr

Un nouvel hôtel va s’ouvrir à La Défense quelques mois après le Mama Shelter. La jeune marque hôtelière française Okko Hotels va organiser ce jeudi 24 mars un job dating pour recruter de nombreux salariés pour son nouvel hôtel 4* de La Défense dont l’ouverture est programmée pour début juin. Construit à Nanterre, le long du boulevard de La Défense, face à la Paris La Défense Arena, non loin de la Grande Arche et du nouveau siège de Vinci, l’hôtel comprendra 184 chambres.

Cette journée de recrutement s’articulera en deux sessions. La première se déroulera de 9h30 à 12h45 et concernera la partie hôtellerie et la seconde de 14h15 à 17h30 pour la partie restauration. La première heure est consacrée à la présentation du groupe et du projet Okko Hotels et les deux heures suivantes sont dédiées aux entretiens « flash » de quinze minutes.

Pour son hôtel du quartier d’affaires de La Défense Okko Hotels va recruter de nombreux profils en CDI mais également pour soutenir la réouverture de l’établissement Rueil-Malmaison (92) qui avait subi un incendie en septembre 2020 et pour renforcer les équipes de l’hôtel de Gare de l’Est. La chaine hôtelière recherche des postes d’hôteliers polyvalents et de responsables techniques et d’adjoint de direction.

A La Défense, pour ses espaces de restauration, Okko Hotels propose de nombreux postes en restauration et recrute notamment un directeur de restaurant, un adjoint de direction restaurant, des chefs de rang, un chef de cuisine, un chef de partie, des équipiers de cuisine et un second de cuisine.

« Les ouvertures sont de belles perspectives pour nos collaborateurs et pour les talents qui ont envie de s’engager à nos côtés dans ce projet d’entreprise. La RSE est un pilier qui donne du sens à notre métier et qui nous permet de contribuer à garder le cap d’une hôtellerie responsable, authentique et généreuse », explique Solenne Ojea-Devys, la directrice générale du groupe hôtelier.

Durement touché depuis deux ans par la pandémie du Coronavirus, Okko Hotels affirme avoir maintenu 99 % des emplois de ses équipes grâce à la mise en place de l’activité partielle, à l’ouverture de nouveaux établissements et à un plan de reclassement de certaines fonctions siège dans les hôtels.

Le groupe dit également avoir profité de ces dernières années pour former l’intégralité de ses équipes et développe une école de formation pour proposer des carrières dans lesquelles « les candidats peuvent se projeter plusieurs années [dans le futur] et pour lesquelles il faut des parcours spécifiques ».

Cette journée de recrutement se déroulera à l’Okko Hotels Paris Gare de l’Est, au 23 rue d’Alsace. Pour réserver un entretien il faut s’inscrire ici.

Une partie de l’équipe de « Qu’est-ce qu’on a tous fait au Bon Dieu ? » à l’UGC de La Défense

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« Qu'est-ce qu'on a tous fait au Bon Dieu ? » sera projeté en avant-première le 3 avril à l’UGC de La Défense - DR

Il faudra attendre le 6 avril prochain pour découvrir sur grand écran le troisième volet de cette comédie française devenue culte. Trois jours avant la sortie du film de Philippe de Chauveron, l’UGC de La Défense accueillera le dimanche 3 avril à 16h30 une partie de l’équipe de « Qu’est-ce qu’on a tous fait au Bon Dieu ? » pour une avant-première. La liste des acteurs qui seront présents pour cette séance n’est en revanche pas encore dévoilée.

Dans cette suite les quatre filles de Claude Verneuil (Christian Clavier) et Marie (Chantal Lauby), décident pour les quarante ans de mariage de leurs parents d’organiser une grande fête surprise dans la maison familiale de Chinon et d’y inviter les parents de chacun des gendres, pour quelques jours… Mais une fois de plus tout ne va pas se passer comme prévu et les festivités seront mouvementées.

Si la séance n’est que dans deux semaines, l’UGC de La Défense invite les fans à réserver dès maintenant leurs places sur son site. Les places sont proposées aux tarifs normaux.