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vendredi 2 mai 2025
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Placée en liquidation judiciaire, Camaïeu va fermer tous ses magasins dont celui de La Défense

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Toutes les boutiques Camaïeu dont celle de La Défense vont fermer définitivement - Defense-92.fr

Camaïeu rejoint la longue liste des enseignes victimes de la pandémie. L’enseigne française de prêt-à-porter a été mise en liquidation judiciaire par le tribunal de commerce de Lille ce mercredi 28 septembre après avoir été placée en redressement judiciaire le 1er août dernier avec une période d’observation de six mois. Le tribunal avait prévu un point d’étape au bout de deux mois, pour vérifier que la société n’avait pas créé de nouvelles dettes et qu’elle était capable d’assumer ses échéances d’ici janvier. Mais les juges ont constaté que ces exigences n’avaient pas été respectées.

Jusqu’au bout l’actionnaire Hermione People and Brands (HPB) espérait sauver sa chaine Camaïeu criblée d’une dette de 240 millions d’euros. L’enseigne de mode pour femmes a été durement touchée par la pandémie du Covid-19. Pour ne rien arranger, l’entreprise très affaiblie avait subi l’année dernière une importante attaque informatique.

Pour passer les quatre mois à venir et approvisionner correctement ses boutiques en vue des fêtes de fin d’années, Camaïeu avait annoncé avoir besoin de près de 80 millions. Mais son actionnaire HPB n’a pas réussi à trouver les fonds malgré un appel à l’aide de 48 millions d’euros à l’Etat.

La disparition de cette enseigne née en 1984 à Roubaix, dans le Nord de la France va entrainer la suppression de 2 600 emplois et la fermeture de plus de 500 boutiques, dont celle installée au Westfield Les 4 Temps. L’intégralité des boutiques Camaïeu doit définitivement fermer samedi soir.

Une femme violée dans un parking du Faubourg de l’Arche

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La victime a subi un viol dans le parking de son immeuble du Faubourg de l’Arche - Defense-92.fr

Soirée sordide pour cette habitante du Faubourg de l’Arche. Alors qu’elle rentrait chez-elle en voiture, une femme a fait une très mauvaise rencontre dans le parking souterrain de son immeuble de Courbevoie, tard dans la soirée de lundi, révèle Le Parisien. Vers 22h45, cette habitante de la rue des Lilas-d’Espagne se dirige vers l’ascenseur de sa résidence après avoir garé son véhicule. Mais soudain un homme se rue sur elle, la ligote avec du ruban adhésif puis la pousse vers sa voiture.

L’agresseur la menace avec un tournevis. Dans un premier temps il la fouille avec pour objectif de lui dérober son véhicule. Il trouve alors sa carte bancaire et exige que sa victime lui dévoile le code secret. Tétanisée elle obéit, relate Le Parisien. Mais l’homme ne va pas s’arrêter là. Il la pousse dans un écoulement d’eau, la déshabille avant de la violer. Puis le bourreau quitte les lieux.

La victime de 24 ans prévient la police qui arrive rapidement sur place. Les forces de l’ordre récoltent le témoignage « à chaud » de la femme. Plusieurs équipes de la Brigade Anti-Criminalité (BAC), sillonnent alors les environs pour retrouver le criminel, en vain.

Dans un même temps la victime est conduite aux urgences médico-légales de Garches pour y subir des examens. Parallèlement les fonctionnaires de la police scientifique réalisent des prélèvements biologiques sur les effets de la victime et sur les lieux des faits.

L’enquête pour viol a été confiée au parquet de Nanterre, précise Le Parisien. Le service départemental de police judiciaire des Hauts-de-Seine est chargé de mener les investigations. La victime a été une nouvelle fois entendue ce mardi par les enquêteurs. Les policiers espèrent pouvoir tracer l’homme sur des images de vidéosurveillance du quartier du Faubourg de l’Arche, et surtout qu’il ait laissé ses empreintes digitales sur les lieux.

Le Pôle Léonard de Vinci victime d’une cyberattaque

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Le Pôle universitaire Léonard de Vinci a subi une cyberattaque - Defense-92.fr

Les cyberattaques se multiplient. Le Pôle universitaire Léonard de Vinci a été victime d’une cyberattaque samedi dernier. Il était 23 heures lorsque les équipes du Pôle Léonard de Vinci ont pris connaissance d’un message sur Twitter les avertissant d’une intrusion dans un de ses serveurs de données.

La direction du Pôle a indiqué avoir immédiatement activé sa cellule de crise et mis en place les mesures recommandées par les autorités. Le pôle a alors prévenu l’ANSSI (l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information) et est entré en contact « très étroit » avec les services de police compétents (l’Office central de lutte contre la criminalité liée aux technologies de l’information et de la communication).

« Dès la connaissance de l’information, une première communication aux étudiants et au personnel a été faite sur les réseaux internes du Pôle, dimanche 25 septembre à 3 heures du matin et des compléments ont été envoyés dans la soirée pour la reprise des cours lundi matin », affirme le Pôle dans un communiqué.

Le serveur impacté contenait des données à caractère personnel des étudiants, alumni, intervenants et partenaires extérieurs ; ce dernier a été immédiatement fermé « par mesure de précaution ». Les hackers ont eu accès à des données d’état Civil, coordonnées, données relatives à des informations bancaires (IBAN), documents officiels et administratifs, données d’accès au portail (uniquement parents) et données de parcours académique. Une attaque massive mais limitée. « Les identifiants de connexion et mots de passe aux outils informatiques ainsi que les coordonnées de paiement par carte bancaire ne sont pas concernés », rassure le Pôle universitaire Léonard de Vinci.

Le journal Le Parisien a réussi à interroger l’un des attaquants. « Nous nous dirigeons vers des infrastructures qui ont une crédibilité numérique et nous procédons nous-mêmes à des vérifications sur leur cybersécurité et cela fonctionne dans 95 % des cas, puis nous contactons les administrateurs pour discuter de la faille de sécurité et nous prenons ce qu’il y a à prendre, sans forcément être trop gourmands », a expliqué FJ7, l’un des pirates au quotidien, sans vouloir révéler le montant de leur butin qui serait « moins que ce que touche un prof par trimestre ».

Reste que cette attaque « éthique » n’a pas du tout plu au pôle universitaire qui déplore des « actes criminels ». Une plainte a été déposée ce mardi 27 septembre. L’enquête judiciaire d’ores et déjà en cours a été confiée au Parquet de Paris. Par ailleurs, compte tenu de la fuite de données personnelles, un signalement de la cyberattaque a été fait dans la journée de lundi à la Cnil.

« En conséquence, et même si pour l’heure, nous n’avons connaissance d’aucune utilisation malveillante des données dérobées, la direction a communiqué lundi 26 septembre dans la soirée à tous les étudiants, intervenants, partenaires, parents et alumni, leur demandant de considérer que ce type de données les concernant ont pu être exfiltrées et risquent d’être divulguées par les cybercriminels », explique le Pôle Léonard de Vinci.

« Dès la connaissance de l’intrusion, les équipes se sont mobilisées pour assurer la continuité de l’activité. Les cours ont pu être assurés dès lundi matin dans leur très grande majorité. Tous les services concernés travaillent à un rétablissement complet de l’activité dans les prochains jours », rajoute le Pôle qui dit « pouvoir compter sur une communauté solide et résiliente et sur l’engagement de ses partenaires pour l’aider à surmonter collectivement cette période difficile ».

Des fermetures nocturnes sur les voies des Bâtisseurs et des Sculpteurs

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Les voies des Bâtisseurs et des Sculpteurs sont fermées toutes les nuits de la semaine en raison de travaux - Defense-92.fr

En raison de travaux, les voies des Bâtisseurs et des Sculpteurs sont fermées toutes les nuits durant deux semaines. La voie des Bâtisseurs et la voie des Sculpteurs sont donc interdites à la circulation depuis le lundi 26 septembre jusqu’au vendredi 7 octobre (hors week-ends) de 22 heures à 6 heures du matin.

« Dans la continuité des travaux engagés depuis plusieurs années sur les voies couvertes, les entreprises en charge des travaux pour Paris La Défense prévoient des travaux d’entretien des équipements », indique Paris La Défense, le propriétaire de l’équipement. Ces travaux doivent permettre la réalisation des tests de mise en sécurité des voies et l’entretien des divers équipements de sécurité.

Longeant l’axe historique et quasiment intégralement couvertes par l’esplanade, ces deux voies permettent la desserte du quartier d’affaires entre le Pont de Neuilly et la place de La Défense. Elles ont principalement vocation à desservir les entreponts auxquels sont raccordées de nombreuses tours afin d’assurer les livraisons.

Ces travaux d’entretien ne sont que les prémices d’un vaste chantier à venir. L’objectif de l’établissement public étant à terme de mettre aux normes l’ensemble des voies couvertes afin « d’assurer leur sécurité et d’apporter plus de confort aux usagers ».

La Défense veut réduire sa consommation électrique pour bien passer l’hiver

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Le quartier de La Défense en pleine nuit. La quasi-totalité des bureaux sont désormais éteints la nuit - Defense-92.fr

Symbole du modernisme et de la grande puissance économique française, La Défense a, à sa naissance dans les années 60, brillé de mille feux toutes les nuits. Jusqu’au premier choc pétrolier de 1973, laisser les tours entièrement illuminées la nuit, ne choquait pas. Mieux, cela représentait l’arrogance de la réussite financière des grandes sociétés. Mais après de multiples crises économiques et la prise de conscience du réchauffement climatique les choses ont bien changé. Le symbole de fierté est devenu une honte.

Si une loi est bien en vigueur depuis juillet 2013 pour contraindre les sociétés à éteindre les locaux vides la nuit, elle n’est pas toujours bien respectée. Malgré les efforts, selon Paris La Défense, 60 % des tours du quartier sont encore éclairées la nuit et près d’une tour sur quatre est éclairée toutes les nuits, même les week-ends.

Aujourd’hui avec la guerre en Ukraine et la crise énergétique La Défense veut devenir plus vertueuse. L’établissement public Paris La Défense a réuni mercredi dernier près de 400 représentants d’entreprises, de propriétaires et de gestionnaires d’immeubles de La Défense. Cette réunion organisée avec RTE, l’IFPEB et la CCI des Hauts-de-Seine, visait à informer de la situation en matière d’approvisionnement électrique pour l’hiver prochain.

La Défense veut réduire sa consommation électrique de 15 %

Le bilan carbone du quartier d’affaires montrait qu’en 2019, les émissions du territoire s’élevaient à 1 000 kt CO², soit l’équivalent d’une grande ville de province de 127 000 habitants. Sachant que La Défense compte environ 180 000 salariés, 45 000 étudiants et près de 20 000 habitants dans son cœur historique.

Pour passer au mieux l’hiver et éviter les coupures électriquesParis La Défense s’est fixé comme objectif de réduire de 15 % la consommation électrique du quartier d’ici le début du printemps. Cette démarche collective inédite entend répondre à l’ambition de Paris La Défense de diviser par deux ses émissions de gaz à effet de serre du territoire, d’ici à 2030.

« La crise énergétique que nous traversons, aussi difficile soit-elle, nous incite à transformer la contrainte en opportunité. Elle nous force à repenser notre consommation électrique et à adopter des pratiques plus responsables. Il y a urgence : les effets les plus sévères du dérèglement climatique sont devant nous et l’énergie abondante et peu chère est quant à elle derrière nous. En visant une baisse de 15 % de la consommation électrique du quartier, nous fixons un objectif ambitieux, mais atteignable, comme le prouve la première édition du concours Cube Paris La Défense qui a permis aux entreprises participantes de réaliser d’ores et déjà en moyenne 13 % d’économies d’énergie. Notre défi est aujourd’hui de fédérer et d’arriver à créer une dynamique réunissant toutes les parties prenantes du territoire », explique Georges Siffredi, le président des Hauts-de-Seine et de Paris La Défense.

Paris La Défense fixe quatre objectifs

Paris La Défense propose à toutes les entreprises du quartier d’affaires de « se mettre en mouvement » autour de quatre grandes actions répondant à la fois aux enjeux de court terme sur les difficultés d’approvisionnement électrique, mais également aux défis à long terme en matière d’énergie.

Concrètement Paris La Défense va demander aux occupants des buildings d’appliquer la loi de 2013 et d’éteindre les bureaux la nuit. « Cette action, à forte valeur d’exemplarité, répond à des impératifs réglementaires et favorisera la sensibilisation aux bonnes pratiques des entreprises et de leurs salariés », indique l’établissement public. Paris La Défense invite les usagers à réaliser un diagnostic des installations techniques et des outils de gestion centralisés afin d’assurer « un meilleur usage des dispositifs existants, des économies d’énergies substantielles étant accessibles par la simple optimisation de ce qui existe déjà ». L’établissement souhaite que les entreprises du quartier baissent d’un ou deux degrés la température de leurs locaux. Enfin, en cas de signal rouge Ecowatt, il sera nécessaire d’optimiser l’utilisation du chauffage dans les bâtiments (baisse des températures et décalage des horaires de chauffe), d’éviter la recharge des véhicules électriques sur les heures de pointe, de limiter les consommations à partir de 18 heures pour les locaux inoccupés (éclairage, chauffage, ventilation).

« Les entreprises représentent plus de la moitié des consommations d’électricité en Île-de-France. Leurs engagements concrets et responsables de réduction de la consommation au bon moment, ont un rôle essentiel à jouer pour nous permettre d’assurer l’alimentation électrique de tous les Français cet hiver. Nous sommes heureux d’accompagner l’ambition de Paris La Défense de baisser la consommation du quartier de 15 % cet hiver, avec EcoWatt, notre météo de l’électricité », précise Nathalie Lemaitre, déléguée régionale Île-de-France et Normandie de RTE.

Des mesures que certaines entreprises de La Défense appliquent déjà. L’année dernière, plusieurs d’entre elles ont participé au concours Cube, le Championnat de France des économies d’énergie, organisé par l’Institut français pour la performance énergétique du bâtiment (Ifpeb) avec à la clef 13 % d’économies d’énergie.

Franchir la Seine est maintenant plus facile avec la nouvelle passerelle piétonne d’Eole

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La passerelle vient longer l'actuel pont ferroviaire SNCF - Defense-92.fr

Les piétons et cyclistes ne sont pas près de voir passer les trains d’Eole. Si le prolongement du RER E vers Mantes-la-Jolie par La Défense a pris beaucoup de retard, un premier équipement public a été ouvert. SNCF Réseau qui porte le prolongement d’Eole vers l’Ouest a achevé la nouvelle passerelle « mode doux » de Bezons, permettant de relier plus aisément Nanterre et les villes de Bezons (95) et Houilles / Carrières sur Seine (78), en franchissant la Seine au-dessus de l’Île Saint-Martin. L’équipement a été inauguré le 15 septembre dernier par les élus locaux dont Pierre Bédier (LR), le président des Yvelines et Éric Berdoati (DVD), maire de Saint-Cloud, vice-président du Conseil départemental des Hauts-de-Seine, chargé des Transports.

« Cette passerelle est le fruit de l’écoute des territoires riverains du projet Eole. C’est pendant la concertation sur les travaux du nouveau viaduc ferroviaire de Bezons qu’est née l’idée de profiter des très importants travaux à venir pour réaliser une infrastructure supplémentaire, réservée à la mobilité non motorisée », indique SNCF Réseau.

La passerelle de Bezons a été inauguré le 15 septembre – Defense-92.fr

L’équipement vient longer le pont SNCF où circulent actuellement les trains des lignes J, TER et Intercité, en se greffant sur le « saut-de-mouton » nouvellement créé pour que les RER E viennent s’insérer dès 2025 sur les voies SNCF. La nouvelle passerelle longue de 377 mètres pour cinq mètres de large est dotée d’une charpente de 930 tonnes pour le tablier et 200 tonnes pour les dix consoles métalliques

Au total cette couture urbaine s’étire sur plus d’un kilomètre. Elle comprend une chaussée dédiée aux vélos et une chaussée réservée aux piétons, accessible aux personnes à mobilité réduite. En offrant un nouveau franchissement de la Seine, elle réduit fortement les temps de trajet pour de nombreux riverains qui n’ont plus besoin de transiter par le Pont de Bezons (situé 1,5 kilomètres) ou le pont de Chatou (à plus de 4 kilomètres). « Par exemple, on peut désormais relier en vélo le centre-ville de Houilles et l’université de Nanterre en moins de quinze minutes (deux fois plus vite qu’auparavant) », précise SNCF Réseau. Ne reste désormais plus qu’à la ville de Nanterre et au département des Hauts-de-Seine de réaménager les abords de la passerelle qui sont pour l’heure pas très qualitatifs…

La passerelle de Bezons permet de franchir plus facilement la Seine – Defense-92.fr

Le montant total des travaux pour les ouvrages d’art est de 60 millions d’euros (Projet Eole) dont 8,2 millions pour la passerelle mode doux, financée par la communauté d’agglomération Saint-Germain Boucle de Seine (25 %), le Conseil départemental des Hauts-de-Seine (25 %) et des Yvelines (25 %), la région Ile-de-France (24,21 %) et la ville de Nanterre 0,79 %). Débutés en 2017 et achevés au printemps dernier, les travaux ont été réalisés par Eiffage Génie Civil, Spie Fondations, pieux et fondations, ETMF et Eiffage Métal.

« Ce chantier a aussi permis de renforcer notre engagement sociétal et la démarche d’insertion professionnelle ambitieuse portée par le projet, ainsi que d’apporter des effets positifs aux territoires traversés, se félicite SNCF Réseau. Plus qu’un objectif quantitatif, de 700 000 heures d’insertion en sept ans, c’est surtout un objectif qualitatif qui est porté par le projet avec des parcours qualifiants permettant un retour à l’emploi durable sur des profils et des métiers dont on sait le besoin et l’offre pour cette prochaine décennie avec tous les projets franciliens de mobilité ».

La passerelle de Bezons a été réalisée dans le cadre du projet d’Eole – Defense-92.fr

Les femmes victimes de violences vont pouvoir trouver de l’écoute dans cette nouvelle structure de Nanterre

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La ministre de l’Égalité entre les femmes et les hommes, Isabelle Lonvis-Rome a inauguré « La Maison des femmes » de Nanterre - Defense-92.fr

Les violences conjugales sont l’un des plus gros fléaux de notre société, et aussi l’un des plus tabous. Pour tenter d’endiguer ce phénomène malheureusement si banal, la ville de Nanterre vient d’ouvrir « La Maison des femmes ». Pour lancer cet espace situé à l’emplacement de l’ancienne mairie de quartier des Terrasses de l’Arche, c’est la ministre de l’Égalité entre les femmes et les hommes, Isabelle Lonvis-Rome qui est venue couper le ruban ce samedi 24 septembre, aux côtés de Patrick Jarry, le maire de Nanterre.

« Il n’y a plus de temps à perdre pour accélérer la lutte contre toutes les violences faites aux femmes. Pas de temps à perdre, non plus, pour combattre les stéréotypes et toutes les inégalités qui sont le terreau sur lequel ces violences se développent », s’est exprimé Patrick Jarry.

Cette structure unique en son genre permet aux femmes victimes de violences de trouver de l’écoute et surtout de l’aide. Ce pôle a vocation à délivrer des conseils juridiques et administratifs, d’offrir des consultations psychologiques et médicales. Mais pas que. La Maison des femmes promet d’organiser des débats et conférences, des formations de sensibilisation mais aussi des ateliers artistiques et sportifs.

L’espace de 400 mètres carrés s’étend sur deux niveaux. Il est équipé d’une zone d’accueil comprenant un espace adapté pour les enfants, d’une salle de réunion et de formation, d’un espace modulable doté d’une bibliothèque et d’un coin cuisine. A l’étage quatre bureaux doivent permettre d’accueillir les femmes victimes.

Pour assurer le fonctionnement du lieu, deux personnes à temps plein sont positionnées par la ville en plus de la responsable du centre. Le lieu vivra surtout avec l’aide d’une trentaine d’acteurs publics et associatifs dont le Centre d’Accueil et de Soins Hospitaliers de Nanterre (CASH), le commissariat de Nanterre, la Maison de l’Emploi et de la Formation de Nanterre (MEF), le service de la Protection Maternelle et Infantile (PMI) ou encore les associations Avocats pour les Femmes Victimes de Violences (AFVV), les Mamans des Pablos et l’Association Départementale d’Aide aux Victimes d’Infractions Pénales (ADAVIP 92). La Maison des femmes est soutenue par Axa et son association Axa Atout-Cœur, dont les bureaux de l’assureur sont localisés juste au-dessus.

Situé au 215, Terrasse de l’Arche, La Maison des femmes est ouverte du mardi au vendredi entre 9h30 et midi et de 13h30 à 17h30. La structure est joignable au 01 71 11 44 75 ou par mail à maisondesfemmes@mairie-nanterre.fr.

Cette structure, unique en son genre permet aux femmes victimes de violences de trouver de l’aide – Defense-92.fr

Un mois pour convaincre vingt salariés de Dalkia de passer au véltotaf

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Vingt salariés de Dalkia vont pouvoir tester l’usage du vélo électrique grâce au dispositif de GoodWatt - Defense-92.fr

Quoi de mieux que de le tester avant de l’adopter. Après une première édition réussie en mai en dernier, une vingtaine de nouveaux salariés de Dalkia peuvent durant un mois bénéficier du dispositif GoodWatt et de ses vélos électriques. Le mois d’expérimentation proposé par GoodWatt permet ainsi aux salariés de cette filiale d’EDF, dont le siège est basé à La Défense, de découvrir si le vélo électrique est fait pour eux avant d’envisager d’adopter durablement ce mode de déplacement.

Pour cette seconde édition de l’opération GoodWatt ce sont vingt salariés de l’entreprise spécialisée dans les services énergétiques et la production d’énergie décentralisée qui peuvent expérimenter un vélo électrique français de la marque Gitane.

Un passage au vélotaf qui s’est fait tout en douceur pour ces testeurs. Jeudi dernier, le jour de la remise de leur vélo, les salariés ont pu bénéficier d’une courte formation au savoir rouler en ville pour se lancer en toute confiance. Pour les salariés de Dalkia, cette formation a été assurée par ByciclAide.

Durant ce mois de test, Stéphane va oublier le RER, son mode de déplacement habituel au profit de la petite reine. « Je trouve que c’est agréable comme mode de déplacement. C’est une façon de venir au travail un peu plus détendue », glisse Stéphane, habitant de Chatou (78). Venir d’Antony (92) en vélo plutôt qu’en voiture, un choix qui n’effraie pas Christophe. « En fonction du résultat il est possible que je passe au vélo électrique pour venir au travail », confie ce cadre de Dalkia. Mais pas question de se séparer de sa voiture, du moins pour l’instant. « Quand il va pleuvoir il y a peu de chance que je prenne le vélo », admet-il. « Je veux tester le vélo car c’est un moyen plus écologique et ça va faire un peu de sport », estime pour sa part Gaëtan, habitant du 16ème arrondissement de Paris.

Passer au vélotaf, un choix encouragé par Dalkia. « Promouvoir des modes de transports plus écologiques tels que le vélo s’inscrit dans le cadre de l’accord collectif sur la mobilité durable de groupe EDF signé en novembre 2019. Chez Dalkia, cela fait aussi partie de notre ADN et de notre engagement en faveur de la transition énergétique », glisse Stéphanie Freynet, directrice des ressources humaines au siège de Dalkia.

Depuis son lancement en 2021, le dispositif GoodWatt soutenu par le Ministère de la Transition écologique, l’ADEM et financé par Bolloré comptabilise désormais plus d’un millier de salariés français participants, dont 74 % d’automobilistes qui ont souhaité tester ce mode de déplacement. Pour GoodWatt cela représente 120 000 kilomètres parcourus et 14 000 tonnes de CO2 économisées à l’échelle nationale.

Et l’expérimentation semble convaincre. « Après les tests, ils sont maintenant 89 % à envisager le vélo électrique comme transport pour leur quotidien. Au niveau de la région parisienne, GoodWatt ambitionne de s’étendre auprès des grands bassins d’emploi franciliens à savoir La Défense, le Plateau de Saclay, Roissy, Plaine Commune,… », indique GoodWatt.

Top 14 : Toulouse écrase le Racing 92 pour la rencontre choc du weekend

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Le Racing 92 a perdu face à Toulouse - Defense-92.fr

Une belle défaite des Racingmen pour ce premier match choc de la saison. Ce samedi les toulousains ont battu 37 à 10 le Racing 92 dans leur stade Ernest-Wallon lors de la quatrième journée du Top 14. Les joueurs du Sud de la France ont également décroché le point de bonus offensif.

Lors de cette rencontre le Stade Toulousain a inscrit quatre essais (E.Meafou 23’, M.Lebel 32’, A.Capuozzo 66’ et S.Guitoune 74’), tous transformés (T.Ramos 23’, 32’, 66’ et 74’) ainsi que trois pénalités (T.Ramos 4’, 47’ et 64’). Les Ciel & Blanc n’ont quant à eux pas brillé durant ce match. Ils n’ont inscrit qu’un unique essai (D.Taofifenua 39’), transformé (F.Russell 39’) et bénéficié d’une pénalité réussie (F.Russell 42’).

La prochaine rencontre pour le Racing 92, celle de la cinquième journée du Top 14 se fera samedi prochain, à la Rochelle.

Viva l’Opéra : « Les Capulet et les Montaigu » à l’UGC de La Défense ce jeudi

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L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2022 / 2023 - UGC

Pour ce second rendez-vous de la treizième saison de Viva l’Opéra, c’est l’opéra « Les Capulet et les Montaigu » de Vincenzo Bellini, filmé en direct de l’Opéra Bastille qui sera diffusé à l’UGC de La Défense. Le jeudi 29 septembre à 19h30 le cinéma du Westfield Les 4 Temps projettera dans la salle 16, la plus grande du complexe, cette œuvre de 2h55m, avec un entracte de trente minutes, dont la direction musicale est assurée par Speranza Scappucci et la mise en scène par Robert Carsen. Les décors et costumes sont signés par Michael Levine, les lumières par Davy Cunningham, le cheffe des chœurs par Ching-Lien Wu et le livret par Felice Romani.

Côté distribution, les spectateurs pourront retrouver Julie Fuchs (dans le rôle de Giuletta), Anna Goryachova (Romeo), Jean Teitgen (Capellio), Francesco Demuro (Tebaldo) et Krzysztof Bącyk (Lorenzo).

La projection est proposée au tarif de 12 euros pour les moins de 26 ans, 27 euros avec la carte UGC Illimité et 33 euros au plein tarif.

Les prochains rendez-vous de Viva l’Opéra sont programmés le 6 octobre avec le ballet « Le Parc », puis le 27 octobre avec « Salomé », en direct de l’Opéra Bastille.

Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places se fait sur Vivalopera.fr.