Changer d’air le temps d’une journée. Cet été encore, la ville de Nanterre propose à ses habitants, enfants comme adultes, de passer une journée au bord de la mer, le samedi 19 juillet prochain. Direction la côte d’Opale et la Normandie, avec plusieurs destinations dont Berck-sur-Mer, Ouistreham, Stella ou encore Villers-sur-Mer.
Le tarif, qui comprend uniquement le transport, est fixé à 6 euros pour les adultes (plus de 18 ans), 2 euros pour les enfants de 5 à 17 ans, et gratuit pour les moins de 5 ans. À noter toutefois que les enfants de moins d’un an ne peuvent pas participer à cette sortie.
Les inscriptions sont ouvertes jusqu’au 6 juin via un formulaire en ligne, puis du 10 juin au 4 juillet à l’hôtel de ville ou dans les mairies de quartier.
Dans un communiqué, il est précisé que « deux juges d’instruction ont signé ce jour une ordonnance de mise en accusation », renvoyant le fonctionnaire devant la cour d’assises pour meurtre. Le procès pourrait se tenir « au cours du second ou du troisième trimestre 2026 » devant la cour d’assises des Hauts-de-Seine.
Un « hasard heureux ». Il y a tout juste vingt ans, le 2 juin 2005, Raymond Moretti disparaissait, laissant derrière lui de monumentales œuvres, certaines légendaires, d’autres plus méconnues.
Dans les dédales du quartier d’affaires, sa création la plus emblématique est sans doute l’habillage coloré d’une cheminée, qu’il a signé en 1995. Il y a aussi cette sculpture oubliée et démontée dans le courant des années 2000, située à l’époque dans l’allée centrale du centre commercial Westfield Les 4 Temps.
Raymond Moretti est mort en 2005 à l’âge de 73 ans – DR
Mais une autre œuvre sommeille dans les profondeurs du quartier d’affaires. Un véritable monstre. Et c’est justement son nom :« Le Monstre ». Élaboré durant une grande partie de sa vie de peintre et sculpteur, Raymond Moretti donne naissance à cette créature dès les années 60 dans les studios de la Victorine, à Nice, sa ville de cœur. Rapidement transférée aux Halles Baltard, à Paris, l’œuvre de bric et de broc -un assemblage de plexiglas, bois, métal, verre et peinture- doit déménager à nouveau lors du réaménagement des Halles. C’est finalement en 1973 queLe Monstretrouve refuge à La Défense, grâce au soutien de Jacques Duhamel, alors ministre des Affaires culturelles.
Et cela tombe bien car La Défense regorge d’espaces monumentaux délaissés. Sous la dalle en béton fraîchement coulée, Raymond Moretti installe sa bête aux dimensions dantesques : trente mètres de long, quinze mètres de large et huit mètres de haut.
Le Monstre Moretti sommeille dans les profondeurs du quartier d’affaires – Benedite Topuz / Paris La Défense
Ce Monstre, Raymond Moretti l’a aimé, choyé. Pour l’œuvre de sa vie, l’artiste niçois et sa femme, Marie-France, ont dépensé sans compter. Dans le film « Moretti ou le Monstre oublié »de Thibaut Bertrand, diffusé en 2019 sur internet, sa veuve raconte les sommes englouties dans « sa danseuse », qu’elle voit comme « rivale ».
Jusqu’à sa mort, il y a déjà deux décennies, Raymond Moretti n’a cessé de faire croître sa créature. Depuis, la bête sommeille en silence dans l’atelier secret de son père. Devenue un mythe pour certains ou un lointain souvenir pour d’autres, elle ne se révèle aux curieux qu’à de très rares occasions.
L’œuvre de bric et de broc est un assemblage de plexiglas, bois, métal, verre et peinture – Benedite Topuz / Paris La Défense
Mais vingt ans jour pour jour après la mort de son géniteur, la veuve de Raymond Moretti, aujourd’hui âgée de 85 ans, a décidé decéder gratuitement, ce lundi 2 juin 2025, le Monstre à Paris La Défense.
Ce transfert de propriété permettra à l’établissement public de restaurer et de promouvoir cette œuvre, située dans un volume nécessitant des travaux de sécurisation. Malheureusement, de petits vandales s’étant introduits dans l’antre du Monstre à la veille de Noël 2024 ont endommagé l’œuvre. « On ne sait pas vraiment évaluer les dégâts, même s’il n’y en a finalement pas autant que ce que l’on pensait au départ », regrette Franck Boucher, directeur de l’attractivité de Paris La Défense.
« Nous allons nettoyer le local, puis restaurer le Monstre. L’idée, dans un premier temps, est de le mettre en sécurité et de rendre toute intrusion impossible pour préserver l’avenir », précise-t-il.
C’est en 1973 que Raymond Moretti a logé son Monstre dans les entrailles de La Défense – Benedite Topuz / Defense-92.fr
Désormais pleinement propriétaire de l’œuvre, Paris La Défense compte à nouveau en faire profiter les amateurs d’art. Du temps de son vivant, Raymond Moretti accueillait les curieux qui pouvaient découvrir le Monstre pour une poignée de francs. Mais depuis sa disparition, la créature vit recluse, à l’abri des regards.
S’il n’est pas encore question de rendre l’œuvre visible en permanence, l’établissement public envisage dans un premier temps de la dévoiler ponctuellement, à l’occasion de manifestations culturelles.
« Cette œuvre monumentale est l’une des singularités du quartier d’affaires et est intimement liée à l’histoire de La Défense. Cette acquisition va nous permettre d’assurer sa pérennité et sa mise en valeur future. Nous remercions Madame Moretti pour les échanges fructueux qui nous ont permis d’aboutir à cette convention et à la préservation du patrimoine artistique de Raymond Moretti », indique pour sa part Pierre-Yves Guice, directeur de Paris La Défense.
Le Monstre de Raymond Moretti pourra bientôt se révéler à l’occasion de quelques évènements – Defense-92.fr
L'exposition est à découvrir jusqu'au 5 octobre à l'Espace Info de Paris La Défense - Archives Paris La Défense
La Défense a connu bien des moments marquants. Plus qu’un simple quartier d’affaires, c’est aussi un lieu de vie animé par de nombreuses festivités. Parfois insolites, souvent spectaculaires, ces événements ont rythmé la vie du quartier depuis sa création dans les années 60.
En mai 1980, Michel Drucker a interviewé Joe Dassin pour une émission de RTL en direct de l’esplanade de La Défense – Archives Paris La Défense
Parmi ces photos oubliées, on découvre ce jour de printemps 1980 où RTL avait installé un chapiteau sur l’esplanade pour une émission animée par Michel Drucker, avec Joe Dassin quelques semaines avant sa disparition. Il y a aussi ce vide-greniers impressionnant qui avait envahi la dalle à l’automne 1976. Ou encore la performance de la troupe Royal de Luxe au pied de la Grande Arche en 1991, sans oublier un étonnant show taurin durant l’été 1983.
Cette rétrospective est à découvrir librement et gratuitement depuis ce lundi 2 juin et jusqu’au 5 octobre 2025 à l’Espace Info de Paris La Défense, ouvert du lundi au vendredi de 9 heures à 18 heures.
Un énorme vide-greniers avait investi la dalle du quartier d’affaires à l’automne 1976 – Archives Paris La Défense
La destruction de cette ancienne rampe de la Rose de Cherbourg doit prendre environ deux mois - Defense-92.fr
Un vestige de l’échangeur de la Rose de Cherbourg va s’effacer. Alors que se poursuivent les travaux de dévoiement de deux galeries techniques (Idex et Sénéo) dans le secteur de la Rose de Cherbourg, en amont du chantier de la future gare de La Défense sur la ligne 15 Ouest, un viaduc va bientôt disparaître. La Société des Grands Projets (SGP) a annoncé le lancement imminent de la démolition d’une rampe désaffectée, vestige de l’ancien échangeur routier.
Réaménagée ces dernières années en promenade urbaine, la Rose de Cherbourg va ainsi voir disparaître l’une de ses anciennes rampes, aujourd’hui désaffectée. Parallèle à celle de la rue Michets Petray -toujours en service pour garantir un accès pompier à la tour Voltaire- cette structure ne présentait plus aucune utilité.
Devenue obsolète dès les années 90, à peine dix ans après sa mise en service, cette rampe en béton mesurait environ 120 mètres de long pour un peu moins de cinq de large. Elle servait autrefois de sortie pour les véhicules du parking PA/PB du centre commercial Westfield Les 4 Temps, leur offrant un accès direct au boulevard circulaire, aujourd’hui rebaptisé boulevard Patrick Devedjian. À l’abandon depuis près de trente ans, la rampe n’avait pas été intégrée au réaménagement de la Rose de Cherbourg. Elle va désormais être démolie -tout comme une petite portion de l’émergence du souterrain, qui sera détruite ultérieurement- afin de libérer l’emprise nécessaire à l’implantation de la future gare de La Défense, portée par le groupement Intencités15, en charge des travaux de la ligne 15 Ouest dans le secteur.
La démolition sera réalisée par « grignotage », une méthode consistant à fragmenter progressivement la structure à l’aide d’une pince-cisaille hydraulique. Ce chantier, potentiellement bruyant, s’étalera sur deux mois. Il se déroulera du lundi au vendredi, de 7 heures à 18 heures, sans impact sur la circulation de l’avenue du Général de Gaulle, selon la SGP.
La rampe à démolir, visible ici au centre de la photo, a servi pendant une dizaine d’années de sortie pour les véhicules du parking PA/PB du centre commercial Westfield Les 4 Temps – Defense-92.fr
Des travaux impacteront la ligne U durant tout le mois de juin - Defense-92.fr
Les mois se suivent et se ressemblent sur la ligne U. Depuis plusieurs années déjà, cette ligne reliant le quartier d’affaires de La Défense à La Verrière, dans les Yvelines, en passant par Versailles, fait l’objet d’importants travaux, souvent nocturnes.
Durant tout le mois de juin, du 2 juin au 4 juillet la tangentielle sera impactée par des travaux nocturnes du lundi au vendredi. Les derniers départs se feront à 22h15 depuis La Verrière et à 21h20 depuis La Défense. Les deux derniers trains seront remplacés par des bus, mais un temps de parcours plus que doublé est à prévoir.
Les samedi 7 et dimanche 8 juin, le trafic sera interrompu toute la journée. Pour pallier cette fermeture, plusieurs alternatives seront proposées afin de desservir toutes les gares. La plus simple et la plus rapide sera d’utiliser les lignes L, N ainsi que la ligne C, en transitant par les gares de Versailles-Rive-Droite et Versailles-Chantiers.
Enfin, le samedi 28 juin, les trains de la ligne U seront prolongés jusqu’à Rambouillet, avec comme noms de mission « Refi » et « Feri ».
Porté par le promoteur Altarea Entreprise -à l’origine du voisin, le Campus Cyber– et dessiné par le cabinet Franklin Azzi Architecture, le Bellini étale 18 000 mètres carrés sur treize étages. Tout en longueur, tel un navire, l’édifice a été conçu, selon les mots de l’assureur suisse, pour « répondre aux exigences d’une organisation du travail plus agile, collaborative et durable » de ses 1 200 salariés parisiens.
Le hall d’accueil de l’immeuble le Bellini – Defense-92.fr
Voulu en pleine pandémie de Coronavirus, le déménagement de Swiss Life vers La Défense s’est inscrit dans le projet « NEO » (Nouveaux Environnements et Organisation du travail). « Le Bellini incarne la transformation culturelle de l’entreprise », se félicite Tanguy Polet, CEO de Swiss Life France.
Propriétaire de son nouveau QG, Swiss Life propose à ses collaborateurs plusieurs espaces joliment décorés et de nombreuses terrasses. « Avec le Bellini, nous avons conçu un projet sur mesure. L’idée, c’était de fabriquer un cadre de vie qui permette d’avoir l’impression de vivre et pas seulement de travailler dans un immeuble », confie Franklin Azzi.
Le nouveau siège de Swiss Life propose une grande agora – Defense-92.fr
Au premier étage, on retrouve une agora. Pensé comme un véritable lieu de rencontres et de convivialité, c’est ici que les salariés peuvent se restaurer ou accéder à différents services, dont une conciergerie. L’étage supérieur est le Forum, avec de nombreuses salles de réunion, un espace forme, des services médico-sociaux ainsi que les bureaux des représentants du personnel. Du cinquième étage au douzième se trouvent les espaces de travail en flex office. Enfin, le dernier niveau abrite la direction française de l’assureur ainsi qu’un rooftop offrant une vue imprenable et panoramique sur la capitale.
Le Bellini propose des espaces de travail en flex office – Defense-92.fr
Deux niveaux ne sont cependant pas occupés pour le moment. L’un d’eux pourrait prochainement accueillir des salariés de Swiss Life, tandis que l’autre pourrait être mis en location. « Nous avons pensé le bâtiment par activité pour mieux travailler, avec une ergonomie qui a été fortement améliorée », détaille Tanguy Polet.
L’immeuble le Bellini abrite 1 200 salariés de Swiss Life France – Defense-92.fr
Pionnier du télétravail depuis 2012, Swiss Life a profité de sa nouvelle adresse pour optimiser ses espaces de travail. « Nous avons un quota de 135 jours annuels, soit trois jours par semaine », précise Karine Goemaere, la DRH de la branche française de l’assureur. De quoi permettre une capacité de 0,6 poste par collaborateur.
Après s’être offert son nouveau siège parisien, Swiss Life ne va pas s’arrêter là. Le géant helvète va désormais s’atteler à construire de nouveaux bureaux pour ses équipes du Nord de la France. Les 800 salariés de Roubaix bénéficieront également du projet NEO, avec un nouvel immeuble projeté dans quelques années à Lille.
L’immeuble dispose de nombreuses terrasses offrant notamment des vues sur la capitale – Defense-92.fr
Gilles Prunier est nommé président du nouveau conseil d’école de l’ESILV - DR
Une nouvelle tête au Pôle Léonard de Vinci. Gilles Prunier a récemment été nommé président du conseil d’école de l’ESILV (École Supérieure d’Ingénieurs Léonard de Vinci), une nouvelle instance mise en place dans le cadre du changement de statut du Pôle universitaire Léonard de Vinci. Ingénieur de formation, Gilles Prunier est actuellement membre du Comité Exécutif de la Business Line Cybersécurité chez Sopra Steria. Son parcours dans les secteurs du numérique, des télécommunications et de la cybersécurité lui confère une expertise reconnue, particulièrement utile pour accompagner la stratégie de développement de l’école.
Avec près de trente-cinq ans d’expérience, notamment au sein d’AKKA Technologies, d’Orange Business, d’Orange France et de France Télécom, Gilles Prunier a occupé plusieurs postes de direction dans des environnements en transformation. Il est diplômé de l’École Polytechnique, de Télécom Paris et du Corps des Mines. Il a également été auditeur à l’Institut des Hautes Études de la Sécurité Intérieure (IHESI) et a suivi une formation de leadership au CEDEP.
Le conseil d’école de l’ESILV, qu’il préside désormais, a pour rôle de délibérer et de rendre un avis sur la stratégie de l’établissement dans plusieurs domaines : orientations pédagogiques, programmes de formation et de recherche, budget, règlements internes, actions internationales, partenariats et expérience étudiante. Cette instance contribuera à renforcer la gouvernance de l’école en s’inscrivant dans la stratégie globale du Pôle Léonard de Vinci.
Le conseil est composé de membres externes et internes. Parmi les personnalités extérieures figurent notamment Paul Friedel (Académie des technologies), Nathalie Chiurulla (Collège numérique France 2030), Laurent Puechmaille (BNP Paribas), Valérie Ferreboeuf (Université Paris-Saclay), Olivier Polit (Fondation Université Paris Nanterre) et Gérard Sigaud (TRSb et Ville de Castelnau-le-Lez). Des représentants des personnels et des étudiants du Pôle Léonard de Vinci siègent également au sein du conseil. Les mandats sont fixés à quatre ans, sauf pour les représentants étudiants dont la durée est de deux ans.
Le directeur général du Pôle Léonard de Vinci ainsi que la direction de l’ESILV assistent aux réunions avec une voix consultative. Ce nouveau conseil s’inscrit dans la mission du Pôle Léonard de Vinci, qui vise à anticiper les mutations du monde par une approche interdisciplinaire mêlant sciences, technologies, créativité et sciences humaines.
La gare de Saint-Germain-en-Laye ne sera pas desservie du 9 au 22 août - Defense-92.fr
Si les voyageurs du RER A en ont terminé avec les travaux du Renouvellement des Voies et du Ballast (RVB) sur le tronçon central, ceux qui utilisent les différentes branches vont encore devoir s’adapter. C’est le cas pour les usagers de Saint-Germain-en-Laye. L’historique terminus de la ligne la plus fréquentée d’Europe va être fermé une partie de l’été.
La RATP va profiter de la période estivale pour renouveler des appareils de voie, des traverses et du ballast dans le secteur de Saint-Germain-en-Laye. La gare sera totalement fermée du 9 au 22 août prochain. La gare du Vésinet – Le Pecq deviendra le terminus temporaire. Le trafic sera également à l’arrêt entre Rueil-Malmaison et Saint-Germain-en-Laye à partir de 22 heures, jusqu’à la fin du service, les vendredis 8 et 22 août 2025.
Pour limiter l’impact sur les voyageurs, des bus de substitution seront proposés, ainsi que des taxis pour les personnes à mobilité réduite, précise la RATP, qui promet un plan de transport alternatif pour chaque fermeture.
L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2024/2025 - UGC
La fin de la quinzième saison de Viva l’Opéra approche. Pour cet avant-dernier rendre-vous, c’est l’opéra « La Bohème » de Giacomo Puccini, filmé au Teatro dell’Opera di Roma en Italie qui sera à découvrir à l’UGC de La Défense. Le jeudi 5 juin à 19h30, le cinéma du Westfield Les 4 Temps projettera cette œuvre de 1h54 sans entracte.
La mise en scène de ce ballet est signée par Mario Martone, la direction musicale par Michele Mariotti et les costumes par Anna Biagiotti. Côté distribution on retrouve Federica Lombardi (dans le rôle de Mimì), Giorgi Manoshvili (Colline), Giordano Massaro (Un vendeur ambulant), Jonathan Tetelman (Rodolfo), Valentina Naforniţă (Musetta), Vinicio Cecere (Parpignol), Davide Luciano (Marcello), Armando Ariostini (Benoît), Roberto Lorenzi (Schaunard) et Bruno Lazzaretti (Alcindoro).
La projection est proposée au tarif de 12 euros pour les moins de 26 ans et 33 euros au plein tarif. Il est également possible de souscrire à la carte « UGC Illimité Viva l’Opéra » à 34,90 euros par mois.
La saison 2024-2025 s’achèvera le jeudi 19 juin avec la diffusion en direct du ballet « Ballet to Broadway ».
Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places sont disponibles sur Vivalopera.fr.
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