17.8 C
Courbevoie
mardi 5 août 2025
- Publicité -
Accueil Blog Page 101

Le tramway T2 pourrait rester interrompu pendant plusieurs semaines entre Parc de Saint-Cloud et Les Moulineaux

0
L'effondrement ce mardi matin au niveau de la station Meudon sur Seine - Ville de Meudon

Le tramway T2 enchaîne les incidents improbables. Quelques jours seulement après l’impressionnant accident de bus survenu à la station du Faubourg de l’Arche, le tramway T2, en quête d’une meilleure performance, rencontre de nouveaux soucis.

Mardi matin, vers 5 heures du matin, un affaissement des sols « extérieurs à l’emprise RATP », a entraîné l’effondrement d’un escalier desservant l’ancien bâtiment voyageurs de la station Meudon-sur-Seine. Ouverte en 1889, cette gare servait à la ligne de Puteaux – Issy-Plaine transformée en 1997 en la ligne du tramway T2.

« Par mesure de sécurité, la RATP a interrompu dès 8h20 le trafic sur une partie de la ligne T2 entre les stations Parc de Saint Cloud et Les Moulineaux », indique la RATP dans un communiqué. Pour pallier cette fermeture, un service de bus de substitution a été mis en place.

L’origine de l’effondrement qui n’a causé aucun blessé n’est pour l’heure pas encore connue. Mais la présence d’une ancienne carrière et les fortes pluies récentes pourraient bien en être la cause. « Les équipes techniques de la RATP, en lien avec la ville de Meudon, Grand Paris Seine Ouest, et l’inspection générale des carrières se sont réunies immédiatement sur site afin de procéder au contrôle et à la sécurisation des infrastructures », assure la RATP précisant que « des investigations renforcées sont nécessaires pour évaluer les travaux et ainsi déterminer la durée d’interruption du trafic qui pourrait durer plusieurs semaines ».

Ce n’est pas la première fois que la ligne du T2 subit d’improbables incidents. En mars 2006, l’incendie de l’une des deux cheminées de l’ancienne usine d’incinération Tiru à Issy-les-Moulineaux avait entrainé l’interruption du trafic sur une partie de la ligne durant une quinzaine de jours. Plus récemment, en mars 2021, deux rames étaient entrées en collision, également à Issy-les-Moulineaux.

La tour CB16 se rebaptise Liberty Tower

0
L'historique tour CB16 devient Liberty Tower - Defense-92.fr

N’en déplaise à certains, l’anglicisme à la cote à La Défense. Alors que la plupart des gratte-ciels du quartier d’affaires de l’Ouest parisien adoptent depuis quelques années déjà pour des noms à consonnance anglaise, une nouvelle tour historique vient d’emboiter le pas.

Partners Group, société internationale de gestion de placements dans les marchés privés, agissant pour le compte de ses clients, et son asset manager Arax Properties ont renommé dernièrement la tour CB16 en Liberty Tower.

Acquise en 2017 par Partners Group pour près de 170 millions d’euros, le building érigé au début des années 70, est l’un des plus anciens du quartier d’affaires. Bâtiment dit de « première génération », CB16, a été longtemps connu sous le nom de son occupant EDF-GDF. Au tout début des années 2000, le groupe public avait abandonné le gratte-ciel pour s’installer dans la toute nouvelle tour PB6, devenue tour Légende.

Après le départ de l’entreprise, Hines avait initié une importante restructuration du bâtiment de 28 000 mètres carrés. L’édifice a accueilli, jusqu’à il y a peu, l’entreprise canadienne de services-conseils en technologie de l’information CGI (anciennement Logica) ainsi que la multinationale Rio Tinto.

Les espaces communs de Liberty Tower ont été entièrement modernisés – DR

Pour redonner un nouveau souffle à cette tour colorée d’une façade vitrée verte, Partners Group et Arax Properties ont initié au cours des vingt-quatre derniers mois une nouvelle rénovation.

L’offre servicielle du bâtiment a été entièrement réinventée, avec notamment l’ouverture d’un plateau de services au dernier étage offrant aux utilisateurs des salles de réunion avec des équipements « à la pointe de la technologie », un espace de coworking, un skybar et son lounge. Le tout se déploie sur un millier de mètres carrés avec des vues uniques sur La Défense. Les services comprennent également un espace fitness et une salle bien-être inaugurés cette année, un restaurant d’entreprises et une cafeteria.

« Avec vingt-quatre baux signés ces deux dernières années, représentant plus de 13 800 mètres carrés, Liberty Tower a établi un nombre record de transactions pour le marché de La Défense », se félicitent Partners Group et Arax Properties. Le building a su séduire notamment le ministère de l’Intérieur, une filiale d’Enedis, SGD Pharma, Sandvik ou encore Convera.

Liberty Tower offre à ses occupants plusieurs espaces de restauration – DR

« Nous avons travaillé au repositionnement de cet immeuble en partenariat avec Arax Properties afin de mettre en place une offre servicielle de haut niveau pour un usage multilocataires. Les résultats locatifs confirment la pertinence du nouveau positionnement de Liberty Tower et l’adéquation qui existe entre notre offre locative et les attentes du marché », confie Philippe Dewevre, Head of Private Real Estate Asset Management Europe, Partners Group.

« Notre stratégie de flexibilité a pour vocation d’offrir plus de liberté à nos locataires dans leurs choix. Nous avons finalisé la signature de plus de 13 800 mètres carrés à des utilisateurs publics et privés (dans les secteurs de l’IT, du conseil et de la santé) et pour des surfaces allant de 250 à 3 400 mètres carrés. Nous affichons un taux d’occupation de plus de 60 % et poursuivons la commercialisation des étages les plus élevés, avec des surfaces disponibles entre 250 et 6 000 mètres carrés », rajoute Loïc Cohen, Partner, Arax Properties.

Liberty Tower qui dispose à ce jour d’environ 11 000 mètres carrés de bureaux disponibles est commercialisée dans le cadre d’un mandat quadri-exclusif avec CBRE, BNP Paribas, JLL et C&W. Les sociétés Tétris (design & build), Creartchi (architecture d’intérieur) et Impact Communication (marketing) sont intervenues sur la régénération de la tour.

Liberty Tower dispose à ce jour d’environ 11 000 mètres carrés de bureaux disponibles – DR

Un spectacle musical grandiose pour le centième anniversaire de Disney

0
Pour ses deux dates, le spectacle Disney a attiré près de 50 000 spectateurs - Defense-92.fr

Depuis sa naissance en 1923, l’histoire de Disney a toujours été étroitement liée à la musique. C’est à la Paris La Défense Arena que la plus célèbre des entreprises de divertissements fondée par Walt Disney est venue fêter son anniversaire. Durant deux jours, samedi et dimanche derniers, la salle de spectacle a accueilli un somptueux concert célébrant les chansons les plus mythiques de l’univers Disney devant près de 50 000 personnes pour les deux représentations.

Pour ce spectacle grandiose produit par Guillaume Gein (G1 Production), ce sont plus de 500 artistes qui ont investi une scène longue de soixante mètres. Durant plus de trois heures, accompagnés d’une cinquantaine de danseurs, 315 choristes, une centaine de musiciens et 35 chanteurs ainsi que 12 enfants dirigés par le chef d’orchestre Constantin Rouits, ont repris avec talent les plus grands classiques musicaux issus de films d’animations légendaires tels que « Le Livre de la jungle », « La Belle et la Bête », « La Petite Sirène », « Mary Poppins », « Les Aristochats » ou encore « Les 101 Dalmatiens », « Le Bossu de Notre-Dame » sans oublier « Aladdin » et « Le Monde de Nemo ».

Présent il y a quelques semaines pour son concert « Corsu Mezu Mezu », Patrick Fiori est revenu dans la plus grande salle de spectacle d’Europe pour interpréter « Comme un homme », de « Mulan ». Kendji Girac a, lui, chanté « Belle nuit », de « La Belle et le Clochard ». Durel, le gagnant de « The Voice Kids », a quant à lui chanté « De zéro en héros », du dessin animé « Hercule ». Emmylou Homs, la voix d’Anna dans « La Reine des neiges », a pour sa part chanté avec Charlotte Hervieux « Dans un autre monde » et « Libérée délivrée » (chantée à l’origine par Anaïs Delva).

L’impressionnante troupe d’artistes a également repris avec brio les nouveaux succès de « Raiponce », « Ratatouille », « Les Indestructibles », « Là-haut », « Vaiana » et « Encanto ». Mais Disney c’est désormais l’univers de Marvel et Stars Wars. La célèbre musique d’introduction des films Stars Wars a été jouée tout comme celles des films Marvel. La saga « Pirates des Caraïbes » et ses musiques légendaires se sont également invitées sur la scène.

Bien que pas mal de dessins animés aient été oubliés, les deux spectacles se sont achevés en beauté avec « Le Roi lion », le plus grand succès des films d’animation de l’histoire de Disney. Et pour reprendre le magnifique « L’Histoire de la vie », Debbie Davis a fait le voyage spécialement de Los Angeles pour entonner avec émotion ce titre cultissime qui l’a propulsée il y a vingt ans.

Pour tous ceux qui ont raté le show, plusieurs séances de rattrapage -moins intenses- sont prévues. Le concert va voyager dans une tournée d’une vingtaine de dates françaises jusqu’au 30 décembre prochain.

Top 14 : le Racing 92 échoue de peu face à Toulon

0
Le logo du Top 14 - Defense-92.fr

Malmenés durant toute la première période, les Ciel & Blanc n’ont pas réussi à vaincre les Toulonnais au retour des vestiaires. Le Racing 92 s’est incliné 26 à 31 ce dimanche soir sur la pelouse du Stade Mayol pour la sixième journée du Top 14.

Dans ce match plein de rebondissements, les joueurs du RC Toulon ont marqué quatre essais (B. Serin 8’ et 19’, G. Drean 42’ et S. Tuicuvu 43’), dont un transformé (B. Serin 21’), ainsi que trois pénalités (B. Serin 17’, 31’ et N. Lolesio 58’). De leur côté, les Racingmen ont réussi trois essais (H. Arundell 36’ et 60’ et T. Laclayat 63’), tous transformés (N. Le Garrec 37’, T. Tedder 64’ et 68’).

Cette défaite fait reculer les Ciel & Blanc qui perdent la seconde marche du podium pour se positionner à la troisième place du championnat. Les Racingmen ont désormais moins d’une semaine pour se reprendre avant le derby face au Stade Français samedi prochain.

La Maison de l’Amitié est à la recherche de gobelets réutilisables

0
La collecte s'achèvera le 30 novembre - Defense-92.fr

Distribués dans les festivals et concerts, ils finissent souvent oubliés au fonds de nos placards. L’établissement public Paris La Défense s’associe avec la Maison de l’Amitié qui vient en aide aux sans-abris du quartier d’affaires dans sa grande collecte de gobelets réutilisables.

Jusqu’au 30 novembre, vous allez pouvoir vous débarrasser de ces éco-cups en les déposant à l’espace Info de Paris La Défense. Les gobelets en plastique collectés seront utilisés pour la distribution du « Grand Café », un des temps forts quotidiens de l’association fondée par Geneviève Gazeau en 1998.

Pour offrir ces gobelets, rendez-vous sur la place de La Défense, à l’Espace Info qui est ouvert du lundi au vendredi entre 9 heures et 18 heures.

Viva l’Opéra : « Turandot » à l’UGC de La Défense ce lundi

0
L'affiche Viva l'Opéra de la saison 2023 / 2024 - UGC

Pour ce nouveau rendez-vous de la quatorzième saison de Viva l’Opéra, c’est l’opéra « Turandot » de Giacomo Puccini, filmé en direct de l’Opéra Bastille qui sera diffusé à l’UGC de La Défense. Le lundi 13 novembre à 19h30, le cinéma du Westfield Les 4 Temps projettera dans la salle 16, la plus grande du complexe, cette œuvre de 2h30min, entrecoupée d’un entracte de trente minutes.

La mise en scène de cet opéra est signée par Robert Wilson, la direction musicale par Marco Armiliato, les décors par Robert Wilson et Stéphanie Engeln, les costumes par Jacques Reynaud et les lumières par Robert Wilson et John Torres. Côté distribution on retrouve Iréne Theorin (dans le rôle de Turandot), Ermonela Jaho (Liù), Guilhem Worms (Un mandarino), Carlo Bosi (Altoum), Florent Mbia (Ping), Hyung Jong Roh (II Principe di Persia), Mika Kares (Timur), Maciej Kwaśnikowski (Pang), Pranvera Lehnert, Isabelle Wnorowska-Pluchart (Due Ancelle), Brian Jagde (Calaf) et Nicholas Jones (Pong).

La projection est proposée au tarif de 12 euros pour les moins de 26 ans, 27 euros avec la carte UGC Illimité et 33 euros au plein tarif.

Les prochains rendez-vous de Viva l’Opéra sont programmés le 23 novembre avec « La Fille du régiment » puis le 7 décembre avec « La Périchole ».

Toutes les informations sur ces offres, la programmation ou encore la réservation de places sont sur Vivalopera.fr.

Un second Starbucks va s’ouvrir d’ici la fin de l’année au Westfield Les 4 Temps

0
Starbucks va ouvrir un nouveau salon dans le centre commercial Westfield Les 4 Temps - Defense-92.fr

L’histoire de Starbucks à La Défense est pleine de rebondissements. Quelques semaines après la fermeture du Starbucks de l’esplanade installé au sein de l’hôtel MGallery Nest (anciennement Sofitel), l’enseigne américaine ouvrira courant décembre un nouveau salon au cœur du Westfield Les 4 Temps. Ce nouveau Starbucks viendra s’ajouter à celui du Dôme, ouvert en 2006.

D’une trentaine de mètres carrés, l’établissement viendra se loger entre l’opérateur Orange et La boutique du coiffeur, au premier niveau du mall, non loin de l’Apple Store, là même où un kiosque avait déjà vécu entre 2010 et 2015. Mais contrairement à son voisin du Dôme, ce salon proposera uniquement une offre à emporter.

Et ce n’est pas tout. La chaîne, originaire de Seattle, a prévu d’ouvrir au printemps prochain un autre établissement dans le nouveau niveau de commerces du Cnit, afin d’accompagner l’extension d’Eole. Ce futur salon viendra compléter le kiosque du plus ancien bâtiment de La Défense, ouvert en mai dernier.

Depuis son arrivée à La Défense en 2004, Starbucks a déjà fermé plusieurs salons. Outre ceux de l’hôtel MGallery et du Westfield Les 4 Temps, le quartier d’affaires a par le passé compté un point de vente à la station de métro Esplanade de La Défense, un autre dans la gare RER de Nanterre-Université ainsi qu’un sur le cours Michelet. Avec ces deux nouveaux établissements à venir, l’enseigne comptera ainsi sept adresses à La Défense.

WeWork poursuit son activité française malgré sa faillite

0
WeWork dispose d’un espace de coworking dans le quartier de La Défense - Defense-92.fr

Les déboires de WeWork continuent. Accablé par sa lourde dette et un modèle économique remis en cause depuis la pandémie du Coronavirus, le géant américain du coworking WeWork a déposé le bilan ce mardi afin de se soumettre à la protection prévue par le Chapitre 11 de la loi sur les faillites.

À court terme, les répercussions devraient demeurer limitées, car la législation américaine autorise la poursuite des activités pendant la procédure, qui ne s’étend pas à ses filiales situées en dehors des États-Unis et du Canada.

En clair, les quinze centres situés en France, dont celui situé à La Défense vont continuer à accueillir leurs clients. Ouvert en pleine pandémie, le centre Bellini de La Défense accueille sur plus de 5 000 mètres carrés de nombreuses entreprises dont heycar.

Dans un communiqué, WeWork qui exploite actuellement 660 espaces dans 119 villes dans le monde promet que ses « opérations mondiales vont se poursuivre, comme d’habitude ». La firme américaine va devoir s’atteler à renégocier sa lourde dette avec ses créanciers tout en présentant un plan de réorganisation de son activité. Cela devrait passer par la fermeture dans les prochains mois des centres les moins rentables.

Si l’essor du télétravail a été bénéfique au coworking en France, WeWork implanté uniquement en région parisienne a perdu de la vitesse, surplanté par une concurrence de plus en plus intense notamment par des acteurs comme Wojo, Spaces ou encore Morning.

D’après les données rapportées par Frenchweb, l’entreprise a enregistré en France un chiffre d’affaires de 10,6 millions contre 13,1 millions l’année précédente. Pire depuis quatre ans l’entreprise a cumulé une dette d’environ 125 millions d’euros. Même si aucune annonce n’a encore été faite, cette contre-performance de la filiale française pourrait pousser WeWork à fermer ou céder à la concurrence certains de ses centres parisiens ou même quitter le marché français.

Les boutiques du Westfield Les 4 Temps et du Cnit seront ouvertes ce samedi 11 novembre

0
Les enseignes des centres Westfield Les 4 Temps et du Cnit seront ouvertes ce samedi 11 novembre - Defense-92.fr

Pas de week-end prolongé et pas de pause pour le shopping. Les deux centres commerciaux détenus par le groupe Unibail-Rodamco-Westfield (URW) seront ouverts de 10 heures à 20 heures ce samedi 11 novembre, jour de commémoration de l’Armistice.

Au Westfield Les 4 Temps, l’hypermarché Auchan lèvera ses rideaux de 9 heures à 20 heures (le service de livraison ne sera pas assuré). L’Apple Store sera ouvert entre 10 heures et 20 heures. Les restaurants du Dôme et de la Clairière seront ouverts à leurs horaires habituels et le cinéma UGC Ciné Cité projettera ses séances comme les autres jours. Le programme est à retrouver ici.

Au Cnit, le Monoprix sera ouvert de 10 heures à 20 heures (le service de livraison ne sera pas assuré), la Fnac sera accessible de 10 heures à 19 heures et le Decathlon de 9h30 à 20h30.

Le Monop’ et son corner Marks & Spencer Food implanté dans la gare de La Défense sera ouvert entre 10h30 et 20h30.

Enfin le Monoprix du Faubourg de l’Arche installé le long de l’avenue de Leonard de Vinci à Courbevoie sera ouvert de 8 heures à 23h45 (Le service de livraison ne sera pas assuré).

Le Pôle universitaire Léonard de Vinci lance un Institut des crypto-actifs

0
Le Pôle Universitaire Léonard de Vinci a lancé son Institut des Cryptos-Actifs - Defense-92.fr

Après Institute For Future Technologies (IFT) dédié à la conception et au développement des technologies durables, le Pôle universitaire Léonard de Vinci a inauguré ce mercredi l’Institut des crypto-actifs.

La création de l’Institut des crypto-actifs se veut être une initiative pionnière du Pôle universitaire Léonard de Vinci visant à combiner recherche, pédagogie et partenariats avec des entreprises pour démystifier le monde de la crypto-finance.

« Afin de promouvoir et développer les systèmes technologiques et financiers des crypto-actifs, l’Institut s’appuie sur le rayonnement et l’expertise académique du Pôle Léonard de Vinci », indique le pôle qui forme chaque année quelques 10 000 étudiants et apprentis dans ses quatre écoles (ESILV, EMLV, IIM et De Vinci).

Ce nouvel institut se structure autour de deux comités d’experts « pour approfondir les travaux, projets et partenariats tournés vers l’évolution des crypto-actifs ». D’une part, le comité scientifique, composé de onze experts reconnus, oriente les travaux académiques pour faire évoluer la recherche dans le secteur des crypto-actifs. D’autre part, le comité de praticiens, constitué de six spécialistes réputés, « garantit la pertinence des programmes et diverses actions de l’Institut liés aux actualités du secteur ».

Début 2024, l’Institut ambitionne de former des professionnels, souhaitant se perfectionner dans le domaine. Les étudiants pourront continuer à se former à la blockchain au sein de l’ESILV, l’École Supérieure d’Ingénieurs du pôle Léonard de Vinci.

« A notre connaissance, s’il existe bien ici et là des centres de recherches et des initiatives de recherche sur les crypto-actifs, essentiellement localisés aux Etats-Unis et en Angleterre, il n’existe pas d’institut aussi ouvert que celui que nous voulons développer », s’est félicité Cyril Grunspan, le directeur de ce nouvel institut.

Les crypto-actifs regroupent à la fois l’ensemble des crypto-monnaies (Bitcoin) mais aussi les NFT. Vanté par certains ou critiqué par d’autres comme servant de moyen pour blanchir l’argent des escroqueries en tout genre, les crypto-actifs s’appuient sur le réseau informatique et la blockchain pour réaliser des transactions entre des entités. En d’autres termes, les crypto-actifs sont stockés sur un support électronique permettant à une communauté d’utilisateurs de réaliser des transactions sans avoir à recourir aux monnaies officielles, échappant à quasiment tout contrôle des états. Il s’agit donc d’un domaine qui concerne à la fois des experts financiers et technologiques, mais aussi le grand public.